COLLECTION JEUNE – VIEUX. Cours particuliers (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Cours particuliers (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Cours particuliers (1/1)
- Donner des cours à ton fils pour que cette année il ait son bac ?
Bien sûr tu peux compter sur moi.
- Tu sais à part toi, je ne vois rien d’autre, tu verras il va falloir que tu reprennes tout de A à Z.
Soit mon fils est une nullité soit il n’a pas eu la chance d’avoir des profs à la hauteur.
Je connais ta réputation, chaque jeune que tu présentes au BAC, presque 100 % de réussite.
- Ça c’est dans mon lycée, notre proviseur sait s’entourer d’une équipe pédagogique compétente.
Je le suis dans ma matière mais pour d’autres c’est loin d’être le cas.
- Avec le coefficient des maths, si tu le fais progresser, il a des chances de réussir et d’entrer en BTS force de vente.
Je te payerais, je me suis renseignée sur les tarifs, je te propose 12 € de l’heure.
- Si tu veux me donner quelque chose, 10 € suffiront.
Je suis bien payée après 30 ans de carrière.
Tu sais qu’à part mes vacances passées dans le Tarn dans la maison de mes parents où je dépense peu, je n’ai pas grands frais.
Pas de voiture, ici je prends les transports en commun et je passe mon temps à lire.
- Justement parle-lui des bouquins que tu lis, à part sa Game comme il dit, son niveau en français surtout en littérature est trop faible.
- Acceptera-t-il que si je lui demande de travailler il le fasse, je ne veux pas avoir l’impression de perdre mon temps.
Regarde la pile de livres que j’ai en retard.
Heureusement je pars à Cordes dans huit jours et que je vais retrouver leur médiathèque car il m’est impossible d’emmener tous ces livres.
J’en mets deux dans mes bagages.
L’un pour l’allée, l’autre pour le retour.
- Il a déjà accepté, son beau-père lui a dit que c’était ça ou il lui trouverait un boulot de caissier au supermarché.
Une honte pour lui, tous ses copains viendront se fiche de sa figure Agnès, il le sait et ne le supportera pas.
- Dis-lui de venir, je vais voir le travail qu’il y a à faire en math et en littérature, je lui prêterais quelques livres à lire avant mon retour.
- Bonne idée, 14 heures ça te va ?
- Oui, j’aurais mangé, je serais prête à le recevoir.
Ici je ne fais pas de sieste, ce n’est pas le cas à Cordes où la chaleur certains jours est étouffante.

Agnès, bientôt cinquante ans.
Je les aurais pendant mes vacances dans cette maison dans le haut de Cordes-sur-Ciel qui domine la vallée du Cérou.
Jennifer mon amie et presque voisine l’est depuis notre naissance.
Elle est montée à Paris pour suivre un beau brun qui l'a cocufié et dont elle a divorcé à la naissance de son fils Yannick.
Elle a presque dix ans de moins que moi mais dans ce petit village nous étions souvent ensemble lors des fêtes.
Voisine à Paris et voisine à Cordes.
La seule différence c’est qu’elle n’a plus d’attache là-bas, ses parents ayant rejoint le cimetière en même temps que…Pardon, à l’évocation de Julien le garçon que je venais de rencontrer et qui venait de me demander en mariage, une larme me vient au coin de l’œil.
Il avait 22 ans, moi 20.
Il venait de s’acheter une voiture et dans la descente vers les cabanes, il a quitté la ligne droite pour venir emplafonner la voiture des parents de Jennifer qui eux rentraient chez eux.
Trois morts, trois familles dans le cimetière.
Celle de mon amie.
Celle de Julien et la mienne.
C’est là que trop mal pour rester là-bas je suis montée moi aussi à la capitale.
Nous nous étions perdus de vue avec Jennifer jusqu’au jour où j’ai croisé mon amie et que nous avons renoué.
Elle avait réussi à refaire sa vie avec Lionel rencontré dans un bar, j'étais restée vieille fille.
Un peu plus même, mais on le verra plus tard.
J’étais revenue une fois puis deux à chaque décès de mes parents, mais eux ne sont pour rien dans cette histoire.
Si un peu, la maison où je passe mes vacances depuis est celle où j’ai passé ma jeunesse jusqu’à mon départ dans les hauts du village près de la halle.
Jennifer quant à elle m’a dit ne jamais y être revenue car ses parents louaient.
Elle a juste récupéré quelques effets.

Il est 14 heures quand il arrive.
Grand, beau, du genre à plaire aux filles, il doit les tomber à la pelle.

- Yannick entre, je t’attendais, veux-tu boire quelque chose ?
- Non je viens de déjeuner.
- J’ai oublié de demander à ta mère si vous aviez un ordinateur ?
- Pour mon bac, nous en avons acheté un.
- Pour ton bac ?
- Oui, je l’ai loupé.
- Bon, assieds-toi ici près du miens, je vais te faire voir des sites où tu vas pouvoir avancer le travail avant mon retour.
- Bien madame Agnès.

Je lui fais voir un site dont je me sers pour préparer mes cours.
Nous travaillons presque deux heures.
J’allais lui dire que c’est bien et que ça suffira quand je vois son regard plongeant dans mon décolleté.
Oh, pas très profond, je n’ai pas de gros seins certainement car je n’ai jamais allaité.
Et malgré une robe peu excentrique mais dont le premier bouton plongeant vers ma vallée est défait.
Il voit donc le galbe de mon sein gauche.

- Dis Yannick ne serais-tu pas un peu voyeur, tu regardes mes seins ?
- Celui que je vois est mignon.
- Tu te rends compte, ta mère et moi avons relativement le même âge.
- Ma mère n’a rien à voir avec nous, tu as des seins, j’ai une bite et tu as une chatte.
J’aimerais bien y goutter.
- Tu es devenu fou.
- Non, regarde ma bite, ne dit pas qu’elle ne te fait pas envie.

Comme de nombreux jeunes, il est en survêtement.
Il sort sa bite, la prenant dans sa main.

- Veux-tu être la première ?
- Que me dises-tu, tu es puceau avec ta belle gueule ?
- As-tu vois, je te plais.
Prends-la dans ta main.

C’est drôle par moments le peu de volonté que l’on peut avoir.
Il me prend la main, je suis obnubilée.
C’est la première que je vois de si près et si grosse.
De si près car je n’ai jamais vu celle de Julien dans ma jeunesse et si grosse car j’en ai vu sur Internet ou à la télé sans pour autant regarder du porno.
Bref, moi aussi je suis vierge et c’est d’en voir une après tant d’années qui me troublent.
C’est chaud, ça réagit sous ma main et c’est agréable.
J’avais fait une croix sur le sexe, je ne me masturbe même plus depuis quelques années.
C’est drôle, j’ai l’impression que ma chatte se réveille et que sa coule le long de mes jambes.

- Tu dois aimer sucer, ne te gênes pas, tu vois ce n’est pas si difficile que ça.

C’est fou, dans une sorte de brouillard, je me vois me baisser et diriger ce gros gland vers ma bouche.
Vierge et suceuse de bite, mais je dois reconnaître que c’est bon.
Alors je me laisse glisser de ma chaise et repoussant le fauteuil d’ordi où il est assis, je m’agenouille devant cette merveille de la nature.
Voulant en avoir le cœur net, je passe ma main libre sous le bas de ma robe.
Je n’ai pas rêvé, je dégouline d’envie.
Après tant d’années, j’ai envie de connaître ce sexe que l’on m’offre.
Qu’importe celui qui me l’offre, qui le saura et je dois dire que perdre mon pucelage aussi n’est pas pour me déplaire.
Je suce, je masturbe et je me caresse.

- Attends, je vais jouir, pas maintenant avant je veux voir ta chatte et t’enfiler.
Tu dois aimer te faire défoncer.

Il parle comme les jeunes avec des mots crus.
Pour son bac, je devrais le reprendre, mais j’aime que l’on me dise des mots comme ceux-là.
Des mots salaces que de toute ma fichue de vie à cause d’une vitesse excessive je n’ai pas connu.
Quand je sens que ma bouche est vide et que je me redresse, je suis dans un tel état que lorsque je m’assois sur le bureau mettant à sa porter les boutons de ma robe, je ne m’en rends même pas compte.
Des boutons vite défaits et un souffle sur ma fente.
Un souffle qui devient caresse quand sa langue entre en action après que ses mains eurent écarté ma culotte en dentelle.
En dentelle car si j’avais conscience que je ne plairais plus, j’ai toujours aimé mettre de la lingerie fine.
C’est là un des seuls plaisirs que j’aime me faire avec des bons restos les dimanches.

- Tu vois tu aimes autant que j'aime on se fiche de nos âges.

Disant cela, je lui prends la tête pour qu’il entre profondément en moi.
Je suis à deux doigts d’éclater.
Ce que je fais quelques minutes après là encore persuadée que jouir et moi ça ferait deux.
Il s’est redressé et a placé son énorme gland sur ma petite chatte vierge.

- Toi aussi tu seras le premier.

Il me regarde incrédule, commençant à se retirer.

- Non, reste.

Il a poussé et est rentré sans trop de mal.
Je vois tous les ans ma gynécologue qui n’a jamais constaté ma virginité.
J’ai dû me déflorer au cours de ma vie sans m’en rendre compte et surtout sans pénétration autre que l’écarteur de cette gynécologue.
J’ai joui rapidement ayant même un orgasme.
Un orgasme trois fois dans la nuit quand c’est moi qui l’ai sucé alors qu’il dormait à mes côtés, ayant appelé Jennifer qu’il avait trouvé des amis en sortant de chez moi et qu’il restait avec lui.
En plaisantant le haut-parleur de son portable étant ouvert j’ai entendu.

- C’est une blonde ou une brune.
- Maman, c’est ma vie privée, une brune.

Au matin on a remis le couvert, il était toujours en forme, c’est moi qui suis venue m’empaler sur cette verge à côté de laquelle j’avais failli passer.

- Jennifer, je viens te voir, Yannick et moi nous avons une requête à te faire !

Nous sommes dans le train, j’ai pris un deuxième billet direction les vacances pour travailler dès maintenant.
Nous travaillons mais nous faisons souvent des travaux pratiques jusqu’à la fin de l’été.
Un grand changement, nous ne sommes pas repartis Yannick étant amoureux de moi et de la région.
Il va au lycée avec les jeunes d’ici.
Je vais avec lui, trois mois plus tard quand je suis nommée en remplacement d’un prof retournant en Martinique.

Voilà mon histoire, j’aime ce grand dadais qui me le rend bien.
De nombreuses personnes hors du village pensent que je suis sa mère.
Mais les deux bagues que j’ai à mon doigt, fiançailles et femme mariée me montrent que c’est bien vrai.
Il envoie des SMS d’amour sans retour.
Le temps aplanira les difficultés.
Pourtant, bac fac à Albi, où Yannick prépare un diplôme d’informaticien.
Bac mention très bien avec un 20 sur 20 en math.
Voyez que malgré nos galipettes nous avons travaillé.
Je vais vous quitter, il est là à mes côtés.
Je viens de le sucer en avalant son sperme.
J’adore avaler son sperme.
Mais je dois aller à la médiathèque voisine chercher des livres pour notre semaine de vacances où nous ferons lit-repas, lit lecture ensemble et surtout lit sexe avec passion.
Dire que j’ai attendu si longtemps.

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