COLLECTION JEUNE – VIEUX. Échanges internationaux (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Échanges internationaux (2/3)
Alors que j’ai été trompé par Fred mon ex qui s’est tiré avec une pétasse bien plus jeune que la femme mûre que je suis, j’accepte de prendre deux jeunes Anglais de l’équipe de rugby dès 19 ans du club londonien avec lequel notre club est jumelé, j’étais loin de penser que moi aussi, je donnerais dans le jeunisme.
Tom, est le premier à me baiser alors qu’il était puceau avant que John me fasse la totale allant même jusqu’à me sodomiser.
J’ignorais que j’étais capable d’accepter autant de choses en si peu de temps, il est vrai que la fraîcheur de ces deux garçons et l’inventivité de John y est pour beaucoup, après un passage dans ma cuisine pour prendre un café, il me prend directement debout devant la cafetière.
Il me fait jouir comme la folle du cul qu’ils m’ont fait devenir, quand nous passons devant la glace de mon armoire de chambre, je me fais peur, j’ai les cheveux en bataille, il faut dire que lorsqu’il me prenait, il me tirait les cheveux en arrière pour m’enfoncer plus profondément dans la bouche.
Dans ma chambre, Tom a les yeux hors de la tête et se masturbe, bandant une nouvelle fois.
Sur le lit, je reprends la verge de John pour la nettoyer comme je l’ai fait avec le puceau après qu’il m’eût inondé après quelques coups au fond de mon vagin.
• Tom regarde ce qu’aiment les femmes qui baisent avec deux hommes, du moins un homme et demi, je lui mets dans la chatte, et tu as de la place pour venir la prendre toi aussi au même endroit.
• Comme ça.
• Impeccable, tu vas être un bon baiseur.
• Vous êtes fous les garçons, ce que tu lui demandes est impossible.
• On te met en double vaginale, regarde, il entre à côté de ma verge, je le sens se frotter à mon sexe, je bande doublement.
• Vous avez raison, je sens que la jouissance monte en moi, vous êtes diabolique.
J’ai à peine terminé ces mots qu’une vague m’emporte, j’ai honte de dire que la jouissance que je retire des verges de ces deux jeunes garçons et la pire qui m’ait ravagé depuis que je me suis femme.
Pire dans le bon sens du mot ravagé, quand je m’envole couverte de sueur, c’est sans avoir senti les deux garçons lâchés en moi leur sperme, je me réveille au matin avec un goût de gueules de bois.
Moi qui ai été trompé par une gamine du même âge que mes amants, je me suis comporté comme la dernière des chiennes en chaleur.
• Bonjour Joëlle, merci pour hier, grâce à toi, je suis un homme aujourd’hui.
Me disant ces mots, il se frotte derrière moi me prenant mon sein, je sens que je recommence à être excité surtout quand il me met les seins sur la table poussant les tartines que je viens de préparer et m’enculant d’un seul trait.
Il a pris de l’assurance en peu de temps, les garçons à cet âge apprennent vite s’ils sont bien drivés, je dois être un bon cheval, car il caracole en moi comme s’il m’avait sodomisé depuis des années.
• Que fais-tu, tu es fou ?
Je tourne la tête en direction des paroles prononcées par John, il a empoigné les hanches de Tom et comme Tom la fait avec moi, il vient de l’enculer.
J’ai déjà vu des hommes enculer d’autres hommes sur Internet, mais là, je suis dans l’impossibilité de voir, seulement de sentir quand le deuxième wagon entre dans le premier wagon à grands coups de verge, qui lui-même tamponne la micheline que je suis.
Je porte mes doigts à ma chatte et le T.G.V que nous avons mis sur les voies éclate en même temps dans un orgasme digne d’un accident ferroviaire.
• Tu es fou John, tu m’as pris le cul.
• J’ai aimé et toi !
• Je dois dire que j’ai un peu mal, mais cela va passer, je me souviendrais de mon voyage en France.
• Tom va chercher ton sac, trop tard pour déjeuner, nous devons être au stade à 13 heures pour notre match à 15 heures, viens-tu nous voir jouer Joëlle !
• Oui, je suis aussi invité à la troisième mi-temps, mais il va falloir rester sage, j’ai une réputation à défendre dans ma ville et dans le club.
• Nous serons très respectueux, tu as raison pour ta réputation, même si les mâles présents ne savent pas ce qu’ils perdent.
• Dis que je suis une salope.
• Mieux Joëlle, tu es la plus belle pute dans un rayon de 100 kilomètres.
• C’est trop d’honneur, filez, je pourrais bien vous faire voir à qui vous avez à faire.
Il me quitte, vers 14 heures 45, j’arrive au stade.
• Alors Joëlle, t’en es-tu sortie avec tes deux adolescents ?
• Oui, Pierre, à peine entré, ils se sont couchés et ils se sont réveillés à 12 heures 30 quand je les ai appelés pour déjeuner.
• Danseras-tu avec moi ce soir au bal que nous organisons ?
• Je te vois venir, je n’ai pas changé d’avis, mais je pense qu’il y aura plus de garçons que de filles, il faudra que je m’occupe de nos jeunes invités.
• Pas de bêtise Joëlle, nous avons déjà perdu mon prédécesseur à la tête du club, j’aurais du mal à retrouver une trésorière, viens, nous allons sur la pelouse saluer les joueurs et les dirigeants.
Bonjour, bienvenu bon match.
Bonjour, bienvenu bon match.
Bonjour, John, tu m’enculeras encore ce soir.
Bonjour, bienvenu bon match.
Bonjour, Tom, j’espère que ton fondement va bien.
Bien sûr, je salue tout et toute sans ajouter les mots à Tom, John, enculera, fondement.
Le match commence, à la fin 60 à 10 pour notre équipe, il faut dire que plusieurs fois, mes deux amants ont loupé des balles ou des plaquages faciles nous offrant des essais en contre.
Celui qui est le plus virulent à la fin du match contre eux, c’est un grand black qui joue en deuxième ligne et qui est le capitaine de l’équipe.
• Madame, c’est chez vous que ces deux garçons étaient pour dormir hier au soir, ils sont partis après l’entraînement, j’ai quitté des ogres, prêt à tous faire pour éclater votre équipe, cet après-midi, j’avais deux moutons dans mon équipe.
C’est à l’apéritif que nous échangeons ces propos, je bois un rosé pamplemousse, vin provenant d’un viticulteur de notre commune.
Alex, le grand black que je compare par sa carrure à un champion français de sport de combat que j’ai vu aux Jeux Olympiques, a le regard qui croise le mien, je suis chamboulé, même Fred au plus fort de notre amour ne m’a pas fait autant d’effet.
Nous parlons en anglais, le français, à part le célèbre « jolie mademoiselle » qu’il me dit, en forme d’humour, quand je lui demande s’il connaît ma langue lui est inconnu.
Mes deux colocataires sont loin du maintien qu’affiche Alex et boivent chope de bière sur chope de bière, à ce rythme, je vais avoir une soirée et une nuit tranquille, je connais peu d'hommes bien biturés comme eux, sont capable de baiser comme nous avons baisé hier et cette nuit.
Au repas, mon black devient mon chevalier servant se comportant avec moi en gentleman, normal malgré sa peau noire, il est anglais, pendant tout le repas chaque fois qu’ils le peuvent Tom ou John ou ensemble viennent faire des selfies avec moi.
Quand le bal débute, mon chevalier servant s’il est doué pour jouer au rugby, c’est lui qui a marqué le seul essai de son équipe emportant tout sur son passage, danse divinement.
• Qu’aimez-vous danser ?
• J’aime les danses pour vous les jeunes, mais j’adore la valse et le tango.
• Tango ?
Tango argentin ?
• Êtes-vous capable de me montrer ?
• Attendez.
Il va voir le DJ et lui parle à l’oreille, il revient vers moi à la première note du morceau qui lui a été proposé.
• Accepte-you de te donner à moi.
• Bravo pour l’effort, continue de parler anglais.
• Ai-je fait un impair ?
• Tu m’as carrément demandé de devenir ta maîtresse.
• Si tu voyais mon visage derrière le cirage qui le recouvres-tu verrais, je suis rouge de honte.
Je dis « tu » car le « You » classique en anglais chaque fois qu’il le dit, je sens un « tu » dans son regard.
Je danse un tango sous le regard de tous, ma chatte coule littéralement d’être dans ses bras, Pierre oublie de venir m’inviter ce qui m’aurait mise dans l’embarras.
Les danses modernes nous sont inconnues, être collée l’un à l’autre une nouvelle fois malgré la différence d’âge est la chose la plus importante de la soirée, surtout que sa queue se développe chaque fois que mon pubis entre en contact avec elle.
• Tu viens chez moi.
• J’allais te le proposer, vas vers les toilettes, je te rejoins discrètement à la sortie…
Tom, est le premier à me baiser alors qu’il était puceau avant que John me fasse la totale allant même jusqu’à me sodomiser.
J’ignorais que j’étais capable d’accepter autant de choses en si peu de temps, il est vrai que la fraîcheur de ces deux garçons et l’inventivité de John y est pour beaucoup, après un passage dans ma cuisine pour prendre un café, il me prend directement debout devant la cafetière.
Il me fait jouir comme la folle du cul qu’ils m’ont fait devenir, quand nous passons devant la glace de mon armoire de chambre, je me fais peur, j’ai les cheveux en bataille, il faut dire que lorsqu’il me prenait, il me tirait les cheveux en arrière pour m’enfoncer plus profondément dans la bouche.
Dans ma chambre, Tom a les yeux hors de la tête et se masturbe, bandant une nouvelle fois.
Sur le lit, je reprends la verge de John pour la nettoyer comme je l’ai fait avec le puceau après qu’il m’eût inondé après quelques coups au fond de mon vagin.
• Tom regarde ce qu’aiment les femmes qui baisent avec deux hommes, du moins un homme et demi, je lui mets dans la chatte, et tu as de la place pour venir la prendre toi aussi au même endroit.
• Comme ça.
• Impeccable, tu vas être un bon baiseur.
• Vous êtes fous les garçons, ce que tu lui demandes est impossible.
• On te met en double vaginale, regarde, il entre à côté de ma verge, je le sens se frotter à mon sexe, je bande doublement.
• Vous avez raison, je sens que la jouissance monte en moi, vous êtes diabolique.
J’ai à peine terminé ces mots qu’une vague m’emporte, j’ai honte de dire que la jouissance que je retire des verges de ces deux jeunes garçons et la pire qui m’ait ravagé depuis que je me suis femme.
Pire dans le bon sens du mot ravagé, quand je m’envole couverte de sueur, c’est sans avoir senti les deux garçons lâchés en moi leur sperme, je me réveille au matin avec un goût de gueules de bois.
Moi qui ai été trompé par une gamine du même âge que mes amants, je me suis comporté comme la dernière des chiennes en chaleur.
• Bonjour Joëlle, merci pour hier, grâce à toi, je suis un homme aujourd’hui.
Me disant ces mots, il se frotte derrière moi me prenant mon sein, je sens que je recommence à être excité surtout quand il me met les seins sur la table poussant les tartines que je viens de préparer et m’enculant d’un seul trait.
Il a pris de l’assurance en peu de temps, les garçons à cet âge apprennent vite s’ils sont bien drivés, je dois être un bon cheval, car il caracole en moi comme s’il m’avait sodomisé depuis des années.
• Que fais-tu, tu es fou ?
Je tourne la tête en direction des paroles prononcées par John, il a empoigné les hanches de Tom et comme Tom la fait avec moi, il vient de l’enculer.
J’ai déjà vu des hommes enculer d’autres hommes sur Internet, mais là, je suis dans l’impossibilité de voir, seulement de sentir quand le deuxième wagon entre dans le premier wagon à grands coups de verge, qui lui-même tamponne la micheline que je suis.
Je porte mes doigts à ma chatte et le T.G.V que nous avons mis sur les voies éclate en même temps dans un orgasme digne d’un accident ferroviaire.
• Tu es fou John, tu m’as pris le cul.
• J’ai aimé et toi !
• Je dois dire que j’ai un peu mal, mais cela va passer, je me souviendrais de mon voyage en France.
• Tom va chercher ton sac, trop tard pour déjeuner, nous devons être au stade à 13 heures pour notre match à 15 heures, viens-tu nous voir jouer Joëlle !
• Oui, je suis aussi invité à la troisième mi-temps, mais il va falloir rester sage, j’ai une réputation à défendre dans ma ville et dans le club.
• Nous serons très respectueux, tu as raison pour ta réputation, même si les mâles présents ne savent pas ce qu’ils perdent.
• Dis que je suis une salope.
• Mieux Joëlle, tu es la plus belle pute dans un rayon de 100 kilomètres.
• C’est trop d’honneur, filez, je pourrais bien vous faire voir à qui vous avez à faire.
Il me quitte, vers 14 heures 45, j’arrive au stade.
• Alors Joëlle, t’en es-tu sortie avec tes deux adolescents ?
• Oui, Pierre, à peine entré, ils se sont couchés et ils se sont réveillés à 12 heures 30 quand je les ai appelés pour déjeuner.
• Danseras-tu avec moi ce soir au bal que nous organisons ?
• Je te vois venir, je n’ai pas changé d’avis, mais je pense qu’il y aura plus de garçons que de filles, il faudra que je m’occupe de nos jeunes invités.
• Pas de bêtise Joëlle, nous avons déjà perdu mon prédécesseur à la tête du club, j’aurais du mal à retrouver une trésorière, viens, nous allons sur la pelouse saluer les joueurs et les dirigeants.
Bonjour, bienvenu bon match.
Bonjour, bienvenu bon match.
Bonjour, John, tu m’enculeras encore ce soir.
Bonjour, bienvenu bon match.
Bonjour, Tom, j’espère que ton fondement va bien.
Bien sûr, je salue tout et toute sans ajouter les mots à Tom, John, enculera, fondement.
Le match commence, à la fin 60 à 10 pour notre équipe, il faut dire que plusieurs fois, mes deux amants ont loupé des balles ou des plaquages faciles nous offrant des essais en contre.
Celui qui est le plus virulent à la fin du match contre eux, c’est un grand black qui joue en deuxième ligne et qui est le capitaine de l’équipe.
• Madame, c’est chez vous que ces deux garçons étaient pour dormir hier au soir, ils sont partis après l’entraînement, j’ai quitté des ogres, prêt à tous faire pour éclater votre équipe, cet après-midi, j’avais deux moutons dans mon équipe.
C’est à l’apéritif que nous échangeons ces propos, je bois un rosé pamplemousse, vin provenant d’un viticulteur de notre commune.
Alex, le grand black que je compare par sa carrure à un champion français de sport de combat que j’ai vu aux Jeux Olympiques, a le regard qui croise le mien, je suis chamboulé, même Fred au plus fort de notre amour ne m’a pas fait autant d’effet.
Nous parlons en anglais, le français, à part le célèbre « jolie mademoiselle » qu’il me dit, en forme d’humour, quand je lui demande s’il connaît ma langue lui est inconnu.
Mes deux colocataires sont loin du maintien qu’affiche Alex et boivent chope de bière sur chope de bière, à ce rythme, je vais avoir une soirée et une nuit tranquille, je connais peu d'hommes bien biturés comme eux, sont capable de baiser comme nous avons baisé hier et cette nuit.
Au repas, mon black devient mon chevalier servant se comportant avec moi en gentleman, normal malgré sa peau noire, il est anglais, pendant tout le repas chaque fois qu’ils le peuvent Tom ou John ou ensemble viennent faire des selfies avec moi.
Quand le bal débute, mon chevalier servant s’il est doué pour jouer au rugby, c’est lui qui a marqué le seul essai de son équipe emportant tout sur son passage, danse divinement.
• Qu’aimez-vous danser ?
• J’aime les danses pour vous les jeunes, mais j’adore la valse et le tango.
• Tango ?
Tango argentin ?
• Êtes-vous capable de me montrer ?
• Attendez.
Il va voir le DJ et lui parle à l’oreille, il revient vers moi à la première note du morceau qui lui a été proposé.
• Accepte-you de te donner à moi.
• Bravo pour l’effort, continue de parler anglais.
• Ai-je fait un impair ?
• Tu m’as carrément demandé de devenir ta maîtresse.
• Si tu voyais mon visage derrière le cirage qui le recouvres-tu verrais, je suis rouge de honte.
Je dis « tu » car le « You » classique en anglais chaque fois qu’il le dit, je sens un « tu » dans son regard.
Je danse un tango sous le regard de tous, ma chatte coule littéralement d’être dans ses bras, Pierre oublie de venir m’inviter ce qui m’aurait mise dans l’embarras.
Les danses modernes nous sont inconnues, être collée l’un à l’autre une nouvelle fois malgré la différence d’âge est la chose la plus importante de la soirée, surtout que sa queue se développe chaque fois que mon pubis entre en contact avec elle.
• Tu viens chez moi.
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