COLLECTION JEUNE – VIEUX. Éducation sexuelle (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Éducation sexuelle (2/3)
L’histoire que je suis en train de vous conter se déroule dans mon immeuble.
Je suis très souvent chez moi car je suis écrivain, j’ai publié des dizaines de polars.
Je vis chichement bien que je pourrais rouler bagnole de sport et villa à St Trop.
Depuis quelques jours, j’ai un jeune couple comme voisin, je sympathise, normal entre voisins, mais très vite je me rends compte qu’un malaise s’est installé dans le jeune couple.
Le mari, petite bite ainsi qu'éjaculateur précoce.
Sans calculer même si la petite est bandante, je me propose de les aider à concrétiser leur union.
C’est très difficile car on les a élevés dans un concept où le sexe pour le sexe est exclu.
Je leur apprends des mots comme chatte, bite, vagin, pieu.
J’en emploie dans mes livres, dans les passages torrides où mon policier fétiche, Alban, baises jusque sur le capot de sa Ferrari.
Je sais ça fait clicher, mais depuis James Bond ce genre de personnage beau gosse de surcroit fait fantasmer les femmes.
Calmer ce garçon, sait-il qu’il est loin d’être un étalon avec sa verge.
Trois centimètres comment peut-il faire sauter l’hymen de sa femme.
Détourner son attention c’est ce que j’essaye en demandant à Lory cette jeunette de 18 ans de lui faire un strip-tease afin de retarder le moment où il devra essayer de la pénétrer.
Comme je l’ai dit dans cet immeuble, les murs sont plus fins que ceux que l’on trouve au Japon dans les maisons traditionnelles.
C’est ainsi que le soir la petite recommence à se trémousser, essayant de mettre en pratique ce que je lui ai appris.
Le calme reprend ses droits aussi rapidement que la musique à démarrer.
Lory semble avoir encore essuyé un échec.
Le lendemain après une nuit blanche à chercher ce que je vais pouvoir trouver pour me sortir de l’impasse dans laquelle je me suis mis tout seul, je cherche à écrire comme je le fais tous les jours de 4 heures à 8 heures avant d’aller prendre mon petit déjeuner principal repas de ma journée.
À 38 ans, j’ai de beaux restes, d’ailleurs j’ignore ce qu’avait de plus que moi mon seul copain Yvan pour séduire Olga ma femme et qu’il me l’enlève.
Yvan, Olga est-ce suffisant ?
Origine slave mais il y a plus de trois générations est-ce suffisant pour baiser ensemble.
Tient le couple se réunissant pour donner suite à une affaire de meurtre dans les milieux russes, ça peut se retrouver dans mon prochain polard.
Mais là est loin d’être le sujet, Lory et Louis, voilà la question.
Quand je suis chez moi n’ayant aucun vis-à-vis, j’écris nu.
J’entends Louis partir à 9 heures à sa fac.
Je tape du pied tellement j’ai envie d’aller voir les progrès que la petite a faits dans son deuxième strip-tease.
Je suis con, je suis en train de tomber amoureux de cette jeune femme victime des préjugés moraux du milieu dans lequel elle est née.
Je sors rarement, même mes courses je me les fais livrer par l’épicerie voisine.
J’enfile jeans et marinière, Caporale 5 et slip français tout de même.
Je m’habille Français comme la France recommande de le faire pour booster l’économie de notre pays.
Un petit détail, les pompes, je suis italien pour les pompes, j’en ai 50 paires dans mon placard alors pourquoi les mettre en l’air et jeter l’argent par la fenêtre.
Je vais au square voisin, en temps normal c’est lors des pannes d’inspiration que je me rends sur ce banc.
Aujourd’hui c’est pour trouver comment je vais pouvoir aller chez eux, surtout que je sais que rien n’a évolué.
- Bonjours Christian, si je m’attendais à te voir ici, tu viens souvent dans ce square ?
- Quand j’ai perdu l’inspiration, c’est le cas ce matin.
- C’est nous qui te chamboulons avec notre histoire, tu sais hier j’ai essayé de lui refaire un strip, fiasco complet.
Tu peux revenir ce soir après 20 heures nous prodiguer quelques conseils ?
Quand je dis que ce square est une aubaine et une source d’inspiration.
Lorsqu’elle me quitte, je fonce chez moi, je jette mes vêtements au sol et devant mon ordi je ponds un chapitre de l’histoire en cours étant en panne.
Il faut dire que le balancement des hanches de Lory dans son jean de même marque que le mien montrant son goût pour les belles choses et que sa belle-famille peut lui offrir, m’a inspiré.
Une partie de l’après-midi je fais ma sacro sieste.
À l'heure dite, je sonne.
- Met ça aux frais, on va trinquer ce soir quand tu auras réussi à faire jouir ta femme Louis.
- Lory m’a dit que vous vous étiez parlé, elle t’a dit que j’avais été minable.
- Allons dans le salon, j’ai une petite idée pour que vous soyez satisfait une fois l’un par l’autre, comme hier, je serais en retrait ne participant surtout pas à vos ébats.
Louis remet la musique et Lory, refais-lui un strip-tease, avant Louis tu te mets nu.
Ils s’exécutent pour mon plus grand plaisir au moment où celle qui prend de l’importance dans ma vie se retrouve en tenue d’Éve.
Je suis à deux doigts de sortir mon portable de ma poche pour la flacher et immortaliser sa beauté juvénile.
Surtout ses seins que j’ai aperçus hier dans son soutien-gorge rose à balconnet.
J’ai une envie folle de les prendre dans mes mains.
- Lory assied toi près de Louis.
Louis lève-toi et agenouille-toi devant la chatte de ta femme !
Tu te souviens, chatte, vagin, trou à bite, clitoris.
- Oui, Christian, ma femme est un trou à bite !
- Non, elle est ton trou pour ta bite, mais aussi ta langue.
Lory écarte tes cuisses et ouvre tes lèvres vaginales avec chacune de tes mains.
C’est très bien.
Louis à ton tour, tu vois le haut de sa fente, il y a une petite excroissance, caresse là avec le bout de ton doigt et passe ta langue de bas en haut sur la partie rose de sa chatte.
On appelle ça un cunnilingus, essaye.
Il le fait pendant plusieurs minutes, Lory devrait se tordre de plaisir, contrairement à ce que je leur ai dit, je me lève montrant que je bande.
Louis lève la tête, je vois le mal est plus profond, la petite est vaginale alors qu’Olga était clitoridienne.
C’est là où j’ai péché dans notre couple, j’aurais dû m’occuper principalement de lui au lieu de vouloir chaque fois la pénétrer.
Yvan avait dû trouver son secret.
- Je vois où le bât blesse, voulez-vous que nous employions les grands moyens pour te dépuceler Lory.
- Oh oui, Christian, ce que me fait Louis j’aime, mais j'aimerais ressentir cette boule qui devrait venir me dévaster.
Moi aussi je suis mal formé.
- Chérie, je le savais, je vois Christian bander dans son jean, il est énorme comparer à moi, comment faire afin de pouvoir te satisfaire.
Jamais nous ne pourrons avoir des enfants.
- Les enfants, je vous ai dit que je vous aiderais, si tu es partant Lory, nous allons employer les grands moyens.
- Si Louis est d’accord, je le suis, explique.
- Il faut que j’aille jusque chez moi, je reviens, inutile de vous demander si vous avez ce que je vais chercher.
Aller-retour trois minutes, je vais dans la table de nuit d’Olga, la lotion qui me permettait de lui assouplir l’anus avant de la sodomiser est là, j’emporte le flacon.
- Voilà Lory place tes fesses et ta fente pour que Louis puisse te mettre cette huile spéciale dans ton intimité avec ses doigts.
- Mais c’est dégueulasse !
- Le sexe pour un couple rien n’est dégueulasse, tout est consentement.
Lory consens-tu à perdre ton pucelage avec les doigts de ton mari ?
- Je te suis Christian, si c’est pour notre bonheur.
- C’est bien, malgré l’huile ça va te faire un peu souffrir.
Mon pote caresse la fente de ta femme avec un doigt.
Parfait, maintenant deux.
Tu sens que ça résiste.
- Oui.
- Sans hésiter mes trois doigts ça te donnera plus de force et tourne, tu vas sentir que ça entre.
- Oui, je pénètre, ma chérie t’ai-je fait mal ?
- Un peu, mais continu, fais ce que Christian te dit.
- Tourne, tourne, tourne à droite à gauche, voilà tu es entré, dit Lory ta chatte est gourmande, les doigts de Louis sont en toi, pousse une dernière fois.
Lory pousse un grand cri, suivi d’un bruit caractéristique de la femme qui va jouir.
Elle le fait cherchant son air à deux doigts de l’apoplexie.
Elle finit par s’écrouler sur la banquette, la main de Louis quittant son vagin.
- Tu vois Louis, tu peux faire jouir ta femme.
Regarde sa chatte est encore ouverte, plonge ton sexe dedans, je vois que tu bandes.
Le garçon suit mon conseil, je vois nettement le trou de sa femme se refermer autour de ce petit sexe.
Il donne plusieurs coups de suite, alors qu’habituellement il aurait déjà déchargé, il tient quelques minutes de plus avant de lâcher sa semence.
Il tombe sur le dos de Lory.
- Les enfants avant que je vous laisse, tu vois mon copain, tu viens de fister ta femme, c’est le terme qu’on emploie quand on plonge sa main jusqu’au poignet dans la chatte de sa partenaire.
Vous m’excusez, je vous laisse le flacon ça se vend en pharmacie, demandez du lubrifiant.
Lory, une dernière chose, récompense celui qui t’a dépucelé et qui t’a fait jouir, fais-lui une fellation.
Tu prends sa queue dans ta bouche et tu la suces jusqu’à ce qu’il t’offre son sperme, apprends à aimer.
En bonne vaginale, Lory a joui grâce à un subterfuge.
Je cours chez moi et je me masturbe jusqu’au moment où moi aussi je gicle dans le lavabo de ma salle de bains…
Je suis très souvent chez moi car je suis écrivain, j’ai publié des dizaines de polars.
Je vis chichement bien que je pourrais rouler bagnole de sport et villa à St Trop.
Depuis quelques jours, j’ai un jeune couple comme voisin, je sympathise, normal entre voisins, mais très vite je me rends compte qu’un malaise s’est installé dans le jeune couple.
Le mari, petite bite ainsi qu'éjaculateur précoce.
Sans calculer même si la petite est bandante, je me propose de les aider à concrétiser leur union.
C’est très difficile car on les a élevés dans un concept où le sexe pour le sexe est exclu.
Je leur apprends des mots comme chatte, bite, vagin, pieu.
J’en emploie dans mes livres, dans les passages torrides où mon policier fétiche, Alban, baises jusque sur le capot de sa Ferrari.
Je sais ça fait clicher, mais depuis James Bond ce genre de personnage beau gosse de surcroit fait fantasmer les femmes.
Calmer ce garçon, sait-il qu’il est loin d’être un étalon avec sa verge.
Trois centimètres comment peut-il faire sauter l’hymen de sa femme.
Détourner son attention c’est ce que j’essaye en demandant à Lory cette jeunette de 18 ans de lui faire un strip-tease afin de retarder le moment où il devra essayer de la pénétrer.
Comme je l’ai dit dans cet immeuble, les murs sont plus fins que ceux que l’on trouve au Japon dans les maisons traditionnelles.
C’est ainsi que le soir la petite recommence à se trémousser, essayant de mettre en pratique ce que je lui ai appris.
Le calme reprend ses droits aussi rapidement que la musique à démarrer.
Lory semble avoir encore essuyé un échec.
Le lendemain après une nuit blanche à chercher ce que je vais pouvoir trouver pour me sortir de l’impasse dans laquelle je me suis mis tout seul, je cherche à écrire comme je le fais tous les jours de 4 heures à 8 heures avant d’aller prendre mon petit déjeuner principal repas de ma journée.
À 38 ans, j’ai de beaux restes, d’ailleurs j’ignore ce qu’avait de plus que moi mon seul copain Yvan pour séduire Olga ma femme et qu’il me l’enlève.
Yvan, Olga est-ce suffisant ?
Origine slave mais il y a plus de trois générations est-ce suffisant pour baiser ensemble.
Tient le couple se réunissant pour donner suite à une affaire de meurtre dans les milieux russes, ça peut se retrouver dans mon prochain polard.
Mais là est loin d’être le sujet, Lory et Louis, voilà la question.
Quand je suis chez moi n’ayant aucun vis-à-vis, j’écris nu.
J’entends Louis partir à 9 heures à sa fac.
Je tape du pied tellement j’ai envie d’aller voir les progrès que la petite a faits dans son deuxième strip-tease.
Je suis con, je suis en train de tomber amoureux de cette jeune femme victime des préjugés moraux du milieu dans lequel elle est née.
Je sors rarement, même mes courses je me les fais livrer par l’épicerie voisine.
J’enfile jeans et marinière, Caporale 5 et slip français tout de même.
Je m’habille Français comme la France recommande de le faire pour booster l’économie de notre pays.
Un petit détail, les pompes, je suis italien pour les pompes, j’en ai 50 paires dans mon placard alors pourquoi les mettre en l’air et jeter l’argent par la fenêtre.
Je vais au square voisin, en temps normal c’est lors des pannes d’inspiration que je me rends sur ce banc.
Aujourd’hui c’est pour trouver comment je vais pouvoir aller chez eux, surtout que je sais que rien n’a évolué.
- Bonjours Christian, si je m’attendais à te voir ici, tu viens souvent dans ce square ?
- Quand j’ai perdu l’inspiration, c’est le cas ce matin.
- C’est nous qui te chamboulons avec notre histoire, tu sais hier j’ai essayé de lui refaire un strip, fiasco complet.
Tu peux revenir ce soir après 20 heures nous prodiguer quelques conseils ?
Quand je dis que ce square est une aubaine et une source d’inspiration.
Lorsqu’elle me quitte, je fonce chez moi, je jette mes vêtements au sol et devant mon ordi je ponds un chapitre de l’histoire en cours étant en panne.
Il faut dire que le balancement des hanches de Lory dans son jean de même marque que le mien montrant son goût pour les belles choses et que sa belle-famille peut lui offrir, m’a inspiré.
Une partie de l’après-midi je fais ma sacro sieste.
À l'heure dite, je sonne.
- Met ça aux frais, on va trinquer ce soir quand tu auras réussi à faire jouir ta femme Louis.
- Lory m’a dit que vous vous étiez parlé, elle t’a dit que j’avais été minable.
- Allons dans le salon, j’ai une petite idée pour que vous soyez satisfait une fois l’un par l’autre, comme hier, je serais en retrait ne participant surtout pas à vos ébats.
Louis remet la musique et Lory, refais-lui un strip-tease, avant Louis tu te mets nu.
Ils s’exécutent pour mon plus grand plaisir au moment où celle qui prend de l’importance dans ma vie se retrouve en tenue d’Éve.
Je suis à deux doigts de sortir mon portable de ma poche pour la flacher et immortaliser sa beauté juvénile.
Surtout ses seins que j’ai aperçus hier dans son soutien-gorge rose à balconnet.
J’ai une envie folle de les prendre dans mes mains.
- Lory assied toi près de Louis.
Louis lève-toi et agenouille-toi devant la chatte de ta femme !
Tu te souviens, chatte, vagin, trou à bite, clitoris.
- Oui, Christian, ma femme est un trou à bite !
- Non, elle est ton trou pour ta bite, mais aussi ta langue.
Lory écarte tes cuisses et ouvre tes lèvres vaginales avec chacune de tes mains.
C’est très bien.
Louis à ton tour, tu vois le haut de sa fente, il y a une petite excroissance, caresse là avec le bout de ton doigt et passe ta langue de bas en haut sur la partie rose de sa chatte.
On appelle ça un cunnilingus, essaye.
Il le fait pendant plusieurs minutes, Lory devrait se tordre de plaisir, contrairement à ce que je leur ai dit, je me lève montrant que je bande.
Louis lève la tête, je vois le mal est plus profond, la petite est vaginale alors qu’Olga était clitoridienne.
C’est là où j’ai péché dans notre couple, j’aurais dû m’occuper principalement de lui au lieu de vouloir chaque fois la pénétrer.
Yvan avait dû trouver son secret.
- Je vois où le bât blesse, voulez-vous que nous employions les grands moyens pour te dépuceler Lory.
- Oh oui, Christian, ce que me fait Louis j’aime, mais j'aimerais ressentir cette boule qui devrait venir me dévaster.
Moi aussi je suis mal formé.
- Chérie, je le savais, je vois Christian bander dans son jean, il est énorme comparer à moi, comment faire afin de pouvoir te satisfaire.
Jamais nous ne pourrons avoir des enfants.
- Les enfants, je vous ai dit que je vous aiderais, si tu es partant Lory, nous allons employer les grands moyens.
- Si Louis est d’accord, je le suis, explique.
- Il faut que j’aille jusque chez moi, je reviens, inutile de vous demander si vous avez ce que je vais chercher.
Aller-retour trois minutes, je vais dans la table de nuit d’Olga, la lotion qui me permettait de lui assouplir l’anus avant de la sodomiser est là, j’emporte le flacon.
- Voilà Lory place tes fesses et ta fente pour que Louis puisse te mettre cette huile spéciale dans ton intimité avec ses doigts.
- Mais c’est dégueulasse !
- Le sexe pour un couple rien n’est dégueulasse, tout est consentement.
Lory consens-tu à perdre ton pucelage avec les doigts de ton mari ?
- Je te suis Christian, si c’est pour notre bonheur.
- C’est bien, malgré l’huile ça va te faire un peu souffrir.
Mon pote caresse la fente de ta femme avec un doigt.
Parfait, maintenant deux.
Tu sens que ça résiste.
- Oui.
- Sans hésiter mes trois doigts ça te donnera plus de force et tourne, tu vas sentir que ça entre.
- Oui, je pénètre, ma chérie t’ai-je fait mal ?
- Un peu, mais continu, fais ce que Christian te dit.
- Tourne, tourne, tourne à droite à gauche, voilà tu es entré, dit Lory ta chatte est gourmande, les doigts de Louis sont en toi, pousse une dernière fois.
Lory pousse un grand cri, suivi d’un bruit caractéristique de la femme qui va jouir.
Elle le fait cherchant son air à deux doigts de l’apoplexie.
Elle finit par s’écrouler sur la banquette, la main de Louis quittant son vagin.
- Tu vois Louis, tu peux faire jouir ta femme.
Regarde sa chatte est encore ouverte, plonge ton sexe dedans, je vois que tu bandes.
Le garçon suit mon conseil, je vois nettement le trou de sa femme se refermer autour de ce petit sexe.
Il donne plusieurs coups de suite, alors qu’habituellement il aurait déjà déchargé, il tient quelques minutes de plus avant de lâcher sa semence.
Il tombe sur le dos de Lory.
- Les enfants avant que je vous laisse, tu vois mon copain, tu viens de fister ta femme, c’est le terme qu’on emploie quand on plonge sa main jusqu’au poignet dans la chatte de sa partenaire.
Vous m’excusez, je vous laisse le flacon ça se vend en pharmacie, demandez du lubrifiant.
Lory, une dernière chose, récompense celui qui t’a dépucelé et qui t’a fait jouir, fais-lui une fellation.
Tu prends sa queue dans ta bouche et tu la suces jusqu’à ce qu’il t’offre son sperme, apprends à aimer.
En bonne vaginale, Lory a joui grâce à un subterfuge.
Je cours chez moi et je me masturbe jusqu’au moment où moi aussi je gicle dans le lavabo de ma salle de bains…
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