COLLECTION JEUNE – VIEUX. La fille de ma femme (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. La fille de ma femme (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. La fille de ma femme (1/1)
Marié à Agnès depuis deux ans, je dois subir sa progéniture, jeune fille blonde de 16 ans véritable petite peste.
J’ai épousé Agnès, sa maman en deuxièmes noces après un long moment où je l’ai poursuivi de mes assiduités, car son divorce avec le père de Mélanie l’avait traumatisé.
J’ai bien fait d’insister, car c’est une belle salope que je récupère dans mon lit complètement désinhibé lorsqu’elle accepte que je lui caresse la chatte.
Encore pire lorsqu’elle dit oui à ma demande de mariage.
En acceptant, elle se donnait intégralement à moi.
La fellation, la sodomie et des baises toujours dans des endroits où des positions inimaginables et insolites, nous les avons pratiquées.

Mais, car il y a toujours un, mais, il y avait sa fille.
Tout a démarré la première fois où je l’ai vue seule.
Elle porte une paire de lunettes et j’ai voulu faire une boutade.

• Tu es une femme à lunettes, tu seras une femme à quéquette.
• Vieux pervers, ta quéquette, tu sais où tu peux te la mettre.
Je suis encore pucelle, mais tu peux courir pour voir si je suis une femme à quéquette.
Je t’entends avec ma mère, vous êtes tellement expansif lorsque vous avez des rapports, que souvent vous en êtes obscènes.
• Eh bien, si tu le prends comme cela, je pari que le jour de tes18 ans, je te baiserais ici sur la table de la cuisine, sinon je te donne dix mille euros.
• Tu es bien le salaud que j’étais sûr que tu étais, tu tromperais, ta femme avec sa fille, tu es un grand pervers.
• Non, je suis pragmatique et je suis sûr que tu es la même salope que ta mère.
• Dégage, je vais le dire à maman.
• Regarde, il te sort encore du lait du nez, je vais le dire à maman, cela me fait rire, on dirait une petite fille qui va se plaindre à sa mère.
Va, y fait le, je lui donnerais un petit coup de bite lui certifiant que tu es jalouse d’elle et elle te renverra à tes chères études.
• Tire-toi, malade !
• Souviens-toi, le jour de tes dix-huit ans !
• Conard.

Voilà comment nous avons entamé nos rapports, nous nous voyons souvent seuls en tête-à-tête, car ma femme, sa mère, est infirmière.
Régulièrement, j’entretiens notre conflit en lui rappelant notre pari.
Pour les dix mille euros aucun problème si je perds, à 45 ans, je suis rentier, je vis des dividendes de la fortune que mes parents m’ont léguée et dix mille euros, c’est ce que je peux me permettre de dépenser par jour après avoir tout payé pour l’entretien de mon hôtel particulier à Neuilly, de ma femme et de sa fille.

Ce matin, encore, je suis dans la cuisine, alors qu’elle passait en nuisette noire près de moi comme une provocation de sa part, j’essaye de lui mettre une main au cul, qui de surcroit est fort joli.

• Tu profites de ce que l’on soit dans la cuisine, car tu sais que c’est là que tu as promis de me baiser sur cette table, tu peux toujours te brosser pour y arriver, si je résiste, je gagnerais 10 000 €.

Maline la petite, j’ai été trop vite, j’aime gagner alors je vais pimenter le jeu.

• D’accord, si tu me cèdes le jour de tes dix-huit ans et que tu deviens ma maîtresse ici par ton dépucelage sur cette table, je louerais un appartement de trois pièces qui sera à ton nom.
• Tu te fiches de moi, un trois-pièces.
• Non, sérieux, tu peux même le visiter, il est dans un immeuble à deux kilomètres, extrêmement bien placés au centre-ville.
• Et je peux le visiter.
• Quand tu le veux, mais.
• Je savais bien qu’il y aurait un, mais.
• Bien sûr, pour ce prix-là, tu deviendras ma pute à qui j’enverrais des clients pour me rembourser de mon investissement, mais il sera à toi après cinq ans de soumissions de ta part, je te signerais devant mon notaire tous les papiers dans ce sens.
• Je savais que tu étais un malade doublé d’un pourri, tu me fais honte.
• Je sais, vas le dire à maman, tu sais ta petite maman que je baise tous les soirs.
En plus, nous le meublerons ensemble à une seule condition, j’achèterai le lit où tu recevras tes clients.
Un lit avec des barreaux, tes clients aimeront les menottes, demande-toi pourquoi quand j’ai épousé ta mère, nous avons changé mon lit.

Elle quitte la pièce outrée.
Pour l’appartement, tout est déjà réglé, je viens de l’acquérir et je m’apprêtais à le mettre dans mon lot de location, cela peut attendre, ses dix-huit ans sont si prêts.
Qu’elle devienne ma maîtresse, même si c’est la femme de ma fille, je m’en fiche, la morale et moi cela fait deux, mais pour la pute qu’elle deviendrait ces justes pour pimenter le jeu et voire jusqu’où une jeune et jolie fille est capable d’aller pour un rapport substantiel au bout de cinq ans.
Si elle cède, je me vois choisir le lit où nous batifolerons ensemble, il est vrai que j’adore attacher sa mère, mais elle aussi, c’est elle qui me les donnes chaque fois qu’elle veut se faire flageller par ma cravache.

Les jours passent, régulièrement je lui rappelle ma proposition.
J’essaye même de mettre le fruit dans le ver.
Pardon, le ver dans le fruit.

• Alors, tu as été visité ?

Ce qu’elle ignore, c’est que le ver, je l’ai déjà mis.
J’ai fait placer un panneau à louer sur le balcon avec le nom de l’agence qui gère mon parc de logements.
La responsable et tous les employés ont la photo de Mélanie et ordre de ne faire visiter que la petite si elle demande à le voir.
Je m’en suis sortie en leur disant que c’était mon cadeau fait pour la fille de ma femme pour ses dix-huit ans et qui souhaite acquérir son indépendance.

Les choses vont se précipiter quelques jours avant ses 18 ans.
Je sais depuis le matin qu’elle est bien venue visiter, sans bien sûr exprimer quoi que ce soit auprès de la responsable de l’agence qui lui a fait faire le tour du propriétaire.
Mais surtout le soir ou lorsque Mélanie est entrée de la fac en disant à ma femme qu’elle avait échouée dans sa première année et qu’elle devait redoubler.
Je me garde bien de me mêler de leur dispute, car Agnès lui fait comprendre qu’il lui est impossible de financer un redoublement.

• Va demander à ton beau-père, lui acceptera peut-être, mais il est impossible que ce soit à moi de le faire alors que pour lui, tu es une étrangère.

Lorsqu’elles reviennent, je lis mon journal financier, je fais semblant que leur conversation soit restée inaudible pour moi.
Agnès est anxieuse le soir au lit, car elle sent mal le fait de me demander de l’aide, lors de notre mariage, elle a accepté, sachant ma fortune, à la condition expresse qu’elle assume seule sa fille.
J'ai commencé dans sa chatte, je décharge dans son cul la faisant jouir très fort pour que sa fille entende bien que sa mère est une salope et qu’il lui suffit de se positionner sur la table de la cuisine pour suivre le même chemin.

Le lendemain au petit-déjeuner, j’essaye d’enfoncer le clou de son échec et la demande à sa mère de venir me demander de lui payer son redoublement.

• Alors Mélanie, quand vas-tu savoir si tu passes en deuxième année de médecine à la fac.

Pas de réponse, au contraire, elle quitte la cuisine déjà habillée, comme si elle fuyait, elle quitte l’appartement en claquant la porte.
Dans la journée lorsque les deux femmes sont là, l’ambiance est tendue entretenue par des messes basses entre la mère et la fille.
Un moment toujours stoïque le journal entre les mains, j’entends Mélanie dire qu’il est impossible qu’elle s’abaisse à me demander de les aider.
Je suis incapable de dire ce qu’il l’a décidée, mais au matin dès que sa mère est partie, le jour de ses dix-huit ans, elle entre dans notre chambre entièrement nue et m’entraîne dans la cuisine.

• Viens.

Je la suis la queue déjà bandée.

• Baise-moi, salaud tu as gagné.

Je plonge en elle et je sens son hymen résisté, première pour moi depuis que je baise des filles.
Je me penche sur elle.

• Embrasse-moi !
• Salaud.

Mais elle le fait.
Je décharge en même temps qu’elle, je sens son ventre se tendre et éclater de plaisir.
Je me retire, la capote me prouvant la réalité de son dépucelage.

• Au fait, c’est d’accord en plus de l'appartement, je prends en charge tes études jusqu’au jour où tu seras médecin.
• Salaud.

Je suis peut-être un salaud, mais je respecte ma parole, certes, Mélanie devient ma maîtresse à qui j’apprends tout ce que l’on peut connaître pour une jeune femme sur le sexe.
Sa mère est une salope lorsqu’elle frétille sur ma queue, sa fille suit le même chemin et entre les deux domiciles, je suis le roi du monde.
Et un jour Mélanie me sidère.

• Les études m'emmerde, je croyais que je devais devenir ta pute, je suis déçu, j’attends toujours le premier qui va me donner du fric.
Tu m’as bien formé, si j’aime ta manière de me faire l’amour, j’aimerais connaître d’autres sensations et te rapporter de l’argent pour rembourser tout ce que tu as fait pour moi.

Pendant plusieurs jours, cette petite phrase chemine dans ma tête, je suis satisfait d’être arrivé à casser cette jeune fille qu’il y a peu de temps était hautaine avec moi et c’est là que, son et mon destin vont basculer.

• Tiens, comment vas-tu, tu te souviens, nous étions ensemble en fac.
• Je me souviens, tu m’avais piqué une gonzesse, mais c’est bien oublié depuis, je me suis bien rattrapé.
• Toi qui es resté ici, je vais te faire une demande directe et si tu refuses de me répondre, je resterais ton ami.
• Aucune question ne peut me choquer.
• Je suis revenu pour créer une entreprise et je suis seul pendant de longues semaines, connais-tu une pute qui pourrait la soulager et lorsque j’aurai des clients à qui je voudrais faire un cadeau les lui envoyer.
• Tu tombes bien, compose le 06 01 01 01 01, seul problème, elle est chère, 500 la baise simple, 1000 la sodo.
• Elle est bandante.
• Appel, tu verras.

C’est ainsi que son destin et le mien bascule en louant un appartement et en envoyant des clients à une jeune femme.

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