COLLECTION JEUNE – VIEUX. Le pari fou (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Le pari fou (1/2)
C’est bon l’alcool bu avec mon copain Jules, même quant-il vous fait faire un pari complétement fou.
• Gabriel, pourrais-tu sauter une vieille ?
• 40 ans ?
• Non, c’est une « cougar », il est facile d’en trouver pour baiser, les femmes qui sont frustrées trompant leurs maris sont légion, il suffit de traîner dans les rues pour les ramasser.
Je te parle de grand-mère de plus de 60 ans, même mieux 70, le sommet ce sont celles de 80, après il faudrait être fou.
• Julien qu’est-ce que je gagne, si je réussis, preuve en main bien sûr ?
• 60 à 69 un week-end dans un relais château, 70 à 79 une semaine en Andalousie avec elle, il va de soi que tu la baiseras pendant une semaine, tu auras le temps d’en profiter.
Le sommet et je pense que je vais t’intéresser, 80 à 89 une voiture de plus de 20 000 €, ma voiture de collection que je chéris plus que tout au monde.
• Ta Mustang, des années 60 ?
• Oui, mais si tu perds, c’est toi qui me donnes ta Mercedes 190 SL cabriolet elle aussi des années 60.
• Tu es fou, mais je suis sûr de gagner tu sais, comme je les tombe.
• Oui, celle de 20 ans avec ta belle gueule de jeune premier, tu n’as aucun mal, mais là, tu vas jouer dans la cour des grands, surtout si tu veux ma Mustang.
• Tape là, mais avant le délai ?
• Un mois, nous sommes le 3 mai, tu as, jusqu’au 3 juin.
• J’ai de la chance les mémés ressortant aux beaux jours, je vais bien trouver un moyen d’en alpaguer une et l’emmener dans mon lit.
• Top départ, attention, je veux la preuve.
• Sans aucun problème.
Le lendemain au matin, la gueule de bois est doublée d’un sentiment de malaise, non pas de peur de perdre ma voiture, mais je me vois mal emmener dans mon lit une femme qui pourrait être mon arrière-grand-mère.
Afin de me rendre compte du pari stupide que j’ai fait, je vais sur Internet et je cherche des vidéos de cul avec des femmes de l’âge que je vais être obligé de me farcir.
J’en trouve rapidement, me rassurant, s’il y a des vidéos, il y en a qui aiment encore se faire sauter, il suffit d’un coup de change.
Mais, ce que je vois me fait peur, il faut les mettre dans mon lit avant de prouvez que ma queue est entrée en elle.
Quand je vois ces femmes les seins tombants, certains aussi plats que des limandes peu fraîches, je me vois mal les sucer comme j’aime le faire avec les jeunes filles que j’attrape dans mes filets à raison d’une par semaine en moyenne, voire plus si coup de chance.
Ma phrase favorite dès le premier soir, « Tu sais avec moi, cela durera au maximum 15 jours » ainsi elles savent à quoi s’en tenir quand je les quitte.
Celles qui sont des midinettes cherchant l’âme sœur pour convoler savent à quoi s’en tenir et elles se tirent.
Se faire un ancêtre de 60 à 79 ans pour un week-end où une semaine de vacances, je laisse ça aux amateurs bien que Nicolas ait oublié de bloquer le contrat, je vais essayer de me faire les trois, preuves en main et lui faire payer les trois cadeaux.
Au début, je cherche l’âme sœur en sortant de fac ou je suis des études pour être psychologue, j’aime écouter les gens parler plus que je ne parle.
Je suis les cours à la Sorbonne et le Quartier latin est bien connu pour les personnes d’un certain âge qui y habitent.
C’est dans un café du boulevard Saint-Michel que je pose ma première banderille, une table est libre à côté d’une autre ou une femme âgée, mais sans que je puisse déterminer dans quelle catégorie la faire concourir est seule.
Le serveur m’apporte un demi, au moment où je cherche à engager la conversation une très jolie blonde s’assoie à côté de la dame et l’embrasse.
• Bonjour, maman excuse mon retard ma coiffeuse me racontait une histoire qu’elle avait lue sur Internet sur le site HDS, il y a des auteurs qui sont complètements déjantés, mais elle m’a émoustillé.
La jeune blonde parle en évitant que je ne l’entende regardant à droite et à gauche et force est de constater que je l’ai entendu.
Le rouge lui vient aux joues ce qui lui va bien.
J’aurais voulu engager la conversation, j’aurais eu plus de mal.
• J’ai entendu, mais continué de parler avec votre maman, mes oreilles sont fermées.
• Je vous laisse, on se voit demain, j’ai rendez-vous dans vingt minutes.
Je vois ma proie s’éloigner après avoir embrassé sa fille et m’avoir salué.
• Vous avez beaucoup d’écart avec votre maman.
• Oui, un amour tardif avec un connard qui l’a quitté dès qu’il a su qu’elle était enceinte, elle avait 42 ans et j’en ai 20.
• Elle a refait sa vie.
• Non, cette expérience malheureuse l'a vacciné des hommes, elle vient de partir vers son amour, mais qui est dépourvue de sexe mâle.
• Elle est lesbienne.
• Elle refoulait ce penchant, mais un jour à cette terrasse de café sa voisine a engagé la conversation comme nous en ce moment, elle a terminé dans son lit, depuis elle se font des cinq à sept sans jamais vivre ensemble.
• Tu es lesbienne aussi.
• Non, je les aime bien dur et bien grosse comme celle qui s’occupait de l’héroïne dans l’histoire porno que ma coiffeuse me racontait.
Je vous choc ?
• Non, la mienne est bien grosse et je sais m’en servir.
C’est ainsi que cinq minutes après, nous rejoignons mon logement sous les toits.
Je la sexe toute la nuit, elle m’a dit vrai, une vraie panthère, j’ai loupé la mère qui aurait joué dans la catégorie des 60 à 69, mais après avoir baisé la fille, je me vois mal baiser la mère surtout avec sa copine lesbienne, j’ai de la morale tout de même.
Au matin, elle me quitte, faisant partie des étoiles filantes qui passent régulièrement dans mon lit sans s’arrêter.
Les couilles bien vides le lendemain, je retourne à la fac, je dois refuser l’approche d’une jeune bachelière qui semble flacher sur moi chaque fois qu’elle me voit.
Sûrement une jeune pucelle, les pires, tu leur ôtes leur petite membrane et elles sont persuadées avoir trouvé l’amour avec un grand A.
J’appelle Julien, lui demande de s’en occuper, contrairement à moi, c’est le spécialiste de ce genre de fille, neuf fois sur dix, je les console d’avoir été délaissées, mais elles sont moins collantes, ayant connu le loup.
Quand vous leur expliquez qu’avec vous c’est pour 15 jours max, comme Julien est lui aussi doué avec sa queue, elles ont envie d’y retourner.
Avec tout cela, je stagne, ou me rendre pour trouver des femmes de ces âges-là, elles se couchent tôt ces petites bêtes, je drague souvent les démonstratrices des grands magasins, je les trouve propres sur elle et elles font partie des jeunes sympas à sexer quelques fois, c’est des cougars en manque quand les maris se sont barrés ou qu’ils oublient de s’occuper de leur chatte.
Les clientes, c’est une bonne piste, il faut du fric pour acheter dans ces boutiques et sauter une vieille dans des draps de soie me plaît mieux que dans des draps râpeux.
Je suis aux rayons, petites culottes, depuis quelques minutes, je suis une femme très élancée, mais avec des cheveux blancs et une peau qui commence à se parcheminer.
Comment savoir son âge ?
• Puis-je vous donner un conseil ?
• Vous êtes bien impertinent jeune homme, que faîte vous dans le rayon petites culottes pour dame.
• Je drague, c’est un très bon endroit.
• Avec moi vous êtes mal tombé, j’ai 74 ans et les galipettes sont révolues pour moi.
• Avec le corps de rêve que vous avez, vous pourriez tous les faire tomber.
• Un marrant, la dernière fois, il avait 45 ans, mais vous à 20 ans, vous êtes gérontophile.
Coup de chance, à la fac personne n’a prononcé ce mot, mais je l’ai vu sur Internet quand j’ai regardé les vidéos de vieilles dames.
• J’aimerais essayer, je suis sûr qu’une femme comme vous m’apprendrait à devenir un bon amant.
Il faut toujours, soit les flatter, soit les faire rire, présentement, j’obtiens les deux, elle est flattée et elle éclate de rire.
• Je vais vous faire passer un petit test, quelle culotte et de quelle couleur me l’a conseillez-vous ?
• Vu la taille de vos hanches, vous êtes dans le rayon des vieilles alors que vous avez un corps à supporter celle de ce rayon sans aller jusqu’au string.
• Bien vu, je regardais celles-ci en coton, mais je me demandais comment des femmes élégantes peuvent porter ce genre de dessous.
Aidez-moi à porter mes achats.
C’est comme cela que je sors devant ma première conquête de plus de 40 ans, âge de la mère d’un copain que j’ai baisé pendant les vacances au Cap d'Agde l’été dernier.
Cette jolie rousse délaissée faisait partie de la catégorie citée plus haut, des femmes délaissées par un mari pensant plus à faire fructifier ses biens qu’a arrosés la belle plante qu’il avait épousée.
Elle était devenue libertine sortant tous les soirs à la recherche de jeunes bites.
Comme j’étais à portée de main, j’ai fait partie de son tableau de chasse dans ma chambre où j’ai eu le plaisir de la voir entrée vêtue d’un simple peignoir qui est tombé sur le sol immédiatement.
Elle est montée sur mon lit, a avancé vers moi à quatre pattes me donnant l’impression d’être la proie qu’elle s’était choisie ce matin pour me déguster dès son petit-déjeuner.
Une vraie louve la paroi buccale bien chaude quand elle m’a avalé la tige bandée au maximum en voyant cette femme se comporter comme une femelle en chaleur, ce qu’elle était me le prouvant dans les deux heures qu’a duré notre première baise.
Je savais déjà beaucoup de choses depuis mon dépucelage par ma jeune prof d’Anglais que j’avais baisé sans même lui ôter sa culotte sur l’un des bureaux de la salle des professeurs la trouille au ventre d’être surpris.
Cette rouquine contrairement aux autres femmes que j’ai allongées avait deux particularités, son sexe ayant l’intégralité de sa toison, la plupart de mes conquêtes épilées, mais surtout l'odeur forte et épicée que depuis je recherche sans en retrouver.
Deux fois, j’ai été piégé par de fausses rousses leur chatte lisse de tout poil n’embaumait pas comme elle.
Tous les soirs, nous sortions alors que mon copain allait voir celle à qui il devait se faire passer la bague au doigt, elle m’emmenait dans un club libertin comme il en existe quelqu’un là-bas.
On peut croire que je m’égare, mais c’est comme un gentil toutou que je la suis petite culotte en main, jusqu’à sa voiture, belle et chère, mais moins belle que ma Mercedes sport ou la Mustang que je convoite.
C’est dans un immeuble moderne du 2e arrondissement que Noémi me conduit faisant entrer sa voiture dans le parking souterrain où elle a un emplacement.
Moi qui suis toujours très sûr avec les femmes, quand elle ouvre sa porte, je suis aussi intimidé qu’un jeune puceau venant sauter sa première femme…
• Gabriel, pourrais-tu sauter une vieille ?
• 40 ans ?
• Non, c’est une « cougar », il est facile d’en trouver pour baiser, les femmes qui sont frustrées trompant leurs maris sont légion, il suffit de traîner dans les rues pour les ramasser.
Je te parle de grand-mère de plus de 60 ans, même mieux 70, le sommet ce sont celles de 80, après il faudrait être fou.
• Julien qu’est-ce que je gagne, si je réussis, preuve en main bien sûr ?
• 60 à 69 un week-end dans un relais château, 70 à 79 une semaine en Andalousie avec elle, il va de soi que tu la baiseras pendant une semaine, tu auras le temps d’en profiter.
Le sommet et je pense que je vais t’intéresser, 80 à 89 une voiture de plus de 20 000 €, ma voiture de collection que je chéris plus que tout au monde.
• Ta Mustang, des années 60 ?
• Oui, mais si tu perds, c’est toi qui me donnes ta Mercedes 190 SL cabriolet elle aussi des années 60.
• Tu es fou, mais je suis sûr de gagner tu sais, comme je les tombe.
• Oui, celle de 20 ans avec ta belle gueule de jeune premier, tu n’as aucun mal, mais là, tu vas jouer dans la cour des grands, surtout si tu veux ma Mustang.
• Tape là, mais avant le délai ?
• Un mois, nous sommes le 3 mai, tu as, jusqu’au 3 juin.
• J’ai de la chance les mémés ressortant aux beaux jours, je vais bien trouver un moyen d’en alpaguer une et l’emmener dans mon lit.
• Top départ, attention, je veux la preuve.
• Sans aucun problème.
Le lendemain au matin, la gueule de bois est doublée d’un sentiment de malaise, non pas de peur de perdre ma voiture, mais je me vois mal emmener dans mon lit une femme qui pourrait être mon arrière-grand-mère.
Afin de me rendre compte du pari stupide que j’ai fait, je vais sur Internet et je cherche des vidéos de cul avec des femmes de l’âge que je vais être obligé de me farcir.
J’en trouve rapidement, me rassurant, s’il y a des vidéos, il y en a qui aiment encore se faire sauter, il suffit d’un coup de change.
Mais, ce que je vois me fait peur, il faut les mettre dans mon lit avant de prouvez que ma queue est entrée en elle.
Quand je vois ces femmes les seins tombants, certains aussi plats que des limandes peu fraîches, je me vois mal les sucer comme j’aime le faire avec les jeunes filles que j’attrape dans mes filets à raison d’une par semaine en moyenne, voire plus si coup de chance.
Ma phrase favorite dès le premier soir, « Tu sais avec moi, cela durera au maximum 15 jours » ainsi elles savent à quoi s’en tenir quand je les quitte.
Celles qui sont des midinettes cherchant l’âme sœur pour convoler savent à quoi s’en tenir et elles se tirent.
Se faire un ancêtre de 60 à 79 ans pour un week-end où une semaine de vacances, je laisse ça aux amateurs bien que Nicolas ait oublié de bloquer le contrat, je vais essayer de me faire les trois, preuves en main et lui faire payer les trois cadeaux.
Au début, je cherche l’âme sœur en sortant de fac ou je suis des études pour être psychologue, j’aime écouter les gens parler plus que je ne parle.
Je suis les cours à la Sorbonne et le Quartier latin est bien connu pour les personnes d’un certain âge qui y habitent.
C’est dans un café du boulevard Saint-Michel que je pose ma première banderille, une table est libre à côté d’une autre ou une femme âgée, mais sans que je puisse déterminer dans quelle catégorie la faire concourir est seule.
Le serveur m’apporte un demi, au moment où je cherche à engager la conversation une très jolie blonde s’assoie à côté de la dame et l’embrasse.
• Bonjour, maman excuse mon retard ma coiffeuse me racontait une histoire qu’elle avait lue sur Internet sur le site HDS, il y a des auteurs qui sont complètements déjantés, mais elle m’a émoustillé.
La jeune blonde parle en évitant que je ne l’entende regardant à droite et à gauche et force est de constater que je l’ai entendu.
Le rouge lui vient aux joues ce qui lui va bien.
J’aurais voulu engager la conversation, j’aurais eu plus de mal.
• J’ai entendu, mais continué de parler avec votre maman, mes oreilles sont fermées.
• Je vous laisse, on se voit demain, j’ai rendez-vous dans vingt minutes.
Je vois ma proie s’éloigner après avoir embrassé sa fille et m’avoir salué.
• Vous avez beaucoup d’écart avec votre maman.
• Oui, un amour tardif avec un connard qui l’a quitté dès qu’il a su qu’elle était enceinte, elle avait 42 ans et j’en ai 20.
• Elle a refait sa vie.
• Non, cette expérience malheureuse l'a vacciné des hommes, elle vient de partir vers son amour, mais qui est dépourvue de sexe mâle.
• Elle est lesbienne.
• Elle refoulait ce penchant, mais un jour à cette terrasse de café sa voisine a engagé la conversation comme nous en ce moment, elle a terminé dans son lit, depuis elle se font des cinq à sept sans jamais vivre ensemble.
• Tu es lesbienne aussi.
• Non, je les aime bien dur et bien grosse comme celle qui s’occupait de l’héroïne dans l’histoire porno que ma coiffeuse me racontait.
Je vous choc ?
• Non, la mienne est bien grosse et je sais m’en servir.
C’est ainsi que cinq minutes après, nous rejoignons mon logement sous les toits.
Je la sexe toute la nuit, elle m’a dit vrai, une vraie panthère, j’ai loupé la mère qui aurait joué dans la catégorie des 60 à 69, mais après avoir baisé la fille, je me vois mal baiser la mère surtout avec sa copine lesbienne, j’ai de la morale tout de même.
Au matin, elle me quitte, faisant partie des étoiles filantes qui passent régulièrement dans mon lit sans s’arrêter.
Les couilles bien vides le lendemain, je retourne à la fac, je dois refuser l’approche d’une jeune bachelière qui semble flacher sur moi chaque fois qu’elle me voit.
Sûrement une jeune pucelle, les pires, tu leur ôtes leur petite membrane et elles sont persuadées avoir trouvé l’amour avec un grand A.
J’appelle Julien, lui demande de s’en occuper, contrairement à moi, c’est le spécialiste de ce genre de fille, neuf fois sur dix, je les console d’avoir été délaissées, mais elles sont moins collantes, ayant connu le loup.
Quand vous leur expliquez qu’avec vous c’est pour 15 jours max, comme Julien est lui aussi doué avec sa queue, elles ont envie d’y retourner.
Avec tout cela, je stagne, ou me rendre pour trouver des femmes de ces âges-là, elles se couchent tôt ces petites bêtes, je drague souvent les démonstratrices des grands magasins, je les trouve propres sur elle et elles font partie des jeunes sympas à sexer quelques fois, c’est des cougars en manque quand les maris se sont barrés ou qu’ils oublient de s’occuper de leur chatte.
Les clientes, c’est une bonne piste, il faut du fric pour acheter dans ces boutiques et sauter une vieille dans des draps de soie me plaît mieux que dans des draps râpeux.
Je suis aux rayons, petites culottes, depuis quelques minutes, je suis une femme très élancée, mais avec des cheveux blancs et une peau qui commence à se parcheminer.
Comment savoir son âge ?
• Puis-je vous donner un conseil ?
• Vous êtes bien impertinent jeune homme, que faîte vous dans le rayon petites culottes pour dame.
• Je drague, c’est un très bon endroit.
• Avec moi vous êtes mal tombé, j’ai 74 ans et les galipettes sont révolues pour moi.
• Avec le corps de rêve que vous avez, vous pourriez tous les faire tomber.
• Un marrant, la dernière fois, il avait 45 ans, mais vous à 20 ans, vous êtes gérontophile.
Coup de chance, à la fac personne n’a prononcé ce mot, mais je l’ai vu sur Internet quand j’ai regardé les vidéos de vieilles dames.
• J’aimerais essayer, je suis sûr qu’une femme comme vous m’apprendrait à devenir un bon amant.
Il faut toujours, soit les flatter, soit les faire rire, présentement, j’obtiens les deux, elle est flattée et elle éclate de rire.
• Je vais vous faire passer un petit test, quelle culotte et de quelle couleur me l’a conseillez-vous ?
• Vu la taille de vos hanches, vous êtes dans le rayon des vieilles alors que vous avez un corps à supporter celle de ce rayon sans aller jusqu’au string.
• Bien vu, je regardais celles-ci en coton, mais je me demandais comment des femmes élégantes peuvent porter ce genre de dessous.
Aidez-moi à porter mes achats.
C’est comme cela que je sors devant ma première conquête de plus de 40 ans, âge de la mère d’un copain que j’ai baisé pendant les vacances au Cap d'Agde l’été dernier.
Cette jolie rousse délaissée faisait partie de la catégorie citée plus haut, des femmes délaissées par un mari pensant plus à faire fructifier ses biens qu’a arrosés la belle plante qu’il avait épousée.
Elle était devenue libertine sortant tous les soirs à la recherche de jeunes bites.
Comme j’étais à portée de main, j’ai fait partie de son tableau de chasse dans ma chambre où j’ai eu le plaisir de la voir entrée vêtue d’un simple peignoir qui est tombé sur le sol immédiatement.
Elle est montée sur mon lit, a avancé vers moi à quatre pattes me donnant l’impression d’être la proie qu’elle s’était choisie ce matin pour me déguster dès son petit-déjeuner.
Une vraie louve la paroi buccale bien chaude quand elle m’a avalé la tige bandée au maximum en voyant cette femme se comporter comme une femelle en chaleur, ce qu’elle était me le prouvant dans les deux heures qu’a duré notre première baise.
Je savais déjà beaucoup de choses depuis mon dépucelage par ma jeune prof d’Anglais que j’avais baisé sans même lui ôter sa culotte sur l’un des bureaux de la salle des professeurs la trouille au ventre d’être surpris.
Cette rouquine contrairement aux autres femmes que j’ai allongées avait deux particularités, son sexe ayant l’intégralité de sa toison, la plupart de mes conquêtes épilées, mais surtout l'odeur forte et épicée que depuis je recherche sans en retrouver.
Deux fois, j’ai été piégé par de fausses rousses leur chatte lisse de tout poil n’embaumait pas comme elle.
Tous les soirs, nous sortions alors que mon copain allait voir celle à qui il devait se faire passer la bague au doigt, elle m’emmenait dans un club libertin comme il en existe quelqu’un là-bas.
On peut croire que je m’égare, mais c’est comme un gentil toutou que je la suis petite culotte en main, jusqu’à sa voiture, belle et chère, mais moins belle que ma Mercedes sport ou la Mustang que je convoite.
C’est dans un immeuble moderne du 2e arrondissement que Noémi me conduit faisant entrer sa voiture dans le parking souterrain où elle a un emplacement.
Moi qui suis toujours très sûr avec les femmes, quand elle ouvre sa porte, je suis aussi intimidé qu’un jeune puceau venant sauter sa première femme…
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