COLLECTION JEUNE – VIEUX. Madame Dupond, prof d’anglais (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Madame Dupond, prof d’anglais (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Madame Dupond, prof d’anglais (1/2)
Je m’appelle Abby, je suis prof d’anglais dans un lycée de Limoges.
Maman était londonienne et mon papa de Belleville.
J’ai commencé dans ce lycée dès que j’ai eu mes diplômes, il y a si longtemps que j’ai du mal à me souvenir de l’âge que j’avais.
Cette rentrée, ça devait être la dernière avant ma retraite, j’ai soixante ans en fin d’année scolaire.
Ce matin j’ai quitté Pierre, mon mari, ancien prof d’histoire et géographie déjà à la retraite.
C’est à pied, comme chaque jour de scolarité, que je rejoins mon lycée croisant quelques élèves que je sais avoir dans une des classes ou je vais leur donner mes cours.
J’arrive à la grille et au lieu de rentrer, je continue tout droit.
J’ignore ce qu’il me prend, tout ce qui est sûr, c’est que j’arrive à la gare où j’entends.

« Le train en partance pour Bordeaux, départ dans cinq minutes quai numéro 3. »

Comme un automate, me trouvant devant le quai 2, je monte dans ce train sans savoir exactement pourquoi.
Pas tout à fait, l’envie impérieuse de voir la mer me saisit et lorsque le train roule, il est trop tard pour faire machine arrière.

• Pardon ou se rend ce train !

Hors vacances, le wagon où je viens de m’installer est presque vide, mais de l’autre côté de l’allée un homme, certainement d’affaire, me regarde avec des yeux ronds.
Aimablement il me répond.

• Il va directement à Bordeaux, pourquoi...

Un peu légèrement, cet homme devant me prendre pour une folle, je me lève et je vais m’assoir quelques banquettes plus loin où je vais pouvoir rester seule.
Quelques minutes, le contrôleur passe et me fait payer un supplément pour mon manque de billet.

« ...Bon voyage et j’espère vous revoir prochainement sur notre ligne. »

J’ai dû dormir, le train entre en gare lorsque j’entends cette annonce.
Je quitte le wagon, l’homme que j’ai rembarré le tend la main.
Loin d’être rancunier après mon abandon.
Nous marchons côte à côte, qu’aurais-je fait s’il avait continué à me draguer.
Je me pose même la question si mon escapade est liée à des problèmes sexuels.
Non, ni moi ni Pierre somme porté sur la gaudriole.
Nous avons des sexes opposés, mais les quelques moments où nous les réunissons, l’intellect primant sur les galipettes.
Il faut dire que Pierre est prof d’histoire et si vous avez vu le film « Prof », l’acteur jouant celui d’histoire pourrait être son jumeau.
Jusqu’à Karl Marx surnom que les élèves lui donnent depuis qu’ils savent qu’en plus de vendre l’humanité au marcher les dimanches, il écrit les principaux discours de certains membres du Parti Communiste.
C’est le grand George qu’il a commencé à lui demander des textes, nous venions de nous marier et c’est peut-être pour cela que la nature m’a privé d’enfant.
Pendant de longues années, j’ai cru que mes élèves compenseraient ce manque, mais je dois reconnaitre qu’aujourd’hui, il existe, hélas, il est trop tard pour me rattraper, la nature ayant fait son œuvre.

• Bonjour, pouvez-vous m’emmener au bord de la mer, plus spécifiquement dans un hôtel avec vue sur cette mer ?
• Je le peux, mais il va me falloir deux choses, appeler ma femme pour la prévenir de cette longue course et compter un aller-retour.
• Vous avez un enregistreur de cartes bancaire.

Il en a un, je vois un panneau « dune du Pilat ».
Il me laisse devant un hôtel avec des chambres donnant pleinement sur la mer.
J’ai toujours aimé la mer, mais c’est dans les forêts pyrénéennes que nous passons nos vacances.

• Bonjour, monsieur avez-vous une chambre donnant sur la mer.
• Pour combien de nuit ?
• Je l’ignore, une, deux, non trois !
• Vous avez de la chance, la semaine dernière avant la rentrée des classes, l’hôtel affichait complet, la rentrer ayant eu lieu, à part des vieux, Oh ! pardon.
Il y a de la place, je vais vous donner notre meilleure chambre.
Avez-vous des bagages ?
• Non, je suis partie sur un coup de tête.
• Une nouvelle fois, pardon, Julien conduisez madame à sa chambre numéro 69.
• Bien monsieur Louis, ou sont les bagages ?
• Madame est sans, conduisez là seulement à sa chambre.

Les étages le dernier, je pense que comme l’hôtel est construit, ma chambre va me permettre de voir le plus au large possible.
Lorsque nous sommes arrivés avec le chauffeur de taxi, la mer était chargée et le temps bien gris.
Le chasseur me fait entrer et me donne ma carte magnétique, système nouveau avant c’était des clefs.
Je suis partie ou j’ai fui Limoges avec mon cartable de prof ou se trouve simplement mon livre de cours et un paquet de mouchoirs.
Non, j’ai aussi mis mon portable lorsque je suis monté dans le train après l’avoir mis sur arrêt.
J’ai mon sac à main en bandoulière dans lequel j’ai mes papiers avec ma carte de crédit.
Ça m’a permis de pays le taxi et je pourrais payer l’hôtel lorsque j’aurais décidé de revenir à ma vie normale.
J’ai toujours quelques billets et je donne 10 € au chasseur qui me remercie et quitte ma chambre.
La porte fermée, je vais à la fenêtre jetant mon maigre bagage sur mon lit.
Lorsque j’ouvre les embruns marins me fouettant le visage.
Il fait encore bien chaud même en ce mois de septembre, un à un, mes vêtements quittent mon corps lorsque je les jette sur le lit.
Même ma petite culotte me quitte et va rejoindre le reste de mon vêtement mis ce matin alors que j’ignorais qu’à cette heure je serais au pied de la dune que je vois sur ma gauche.
Je respire à pleins poumons, au large je vois un cargo qui semble lutter contre le début de tempête.
Je suis heureuse, au fond de moi, ce doit être pour ça que je suis venue ici, le large, les bateaux et l’air marin qui fouette mon visage.
Je suis assez haut et le balcon sur lequel je suis opaque pour les rares clients qui doivent passer en bas de mon hôtel peuvent voir ma nudité.
Combien de temps je reste les bras en croix à respirer pour la première fois depuis des mois.
D’un coup le froid me prend, je rentre, je ferme la fenêtre et rejoins la salle de bains.
L’air froid m’a revigoré, l’eau chaud me permet, comme dans le train, de dormir quelques minutes.
Lorsque j’émerge, je me surprends à avoir ma main entre mes cuisses.
J’ai toujours été une farouche opposée aux plaisirs onanismes depuis ma plus tendre enfance.
J’ôte ma main, comme si elle m’avait brûlé pourtant pour la première fois, du moins au plus loin de ma mémoire je sens mes parties intimes me démanger.
Sans êtes bigote, je me rends compte que j’ai toujours suivi les préceptes du jour de mon mariage ou le curé m’a dit qu’avec mon homme s’était pour le meilleur et pour le pire.
Je vais pour me couvrir, c’est à ce moment que je prends conscience de mes origines anglaises lorsque je me vois nue dans la glace dans la salle de bains.
Certes, mon corps est touché par l’âge, mais je vois mon postérieur, mes efforts alimentaires ont été efficaces, les quelques traces de cellulites m’ayant fait peur, ont disparu.
Je m’aimerais presque.
C’est à ce moment que j’entends frapper à la porte de ma chambre.
Je cherche mon peignoir, du moins celui que j’ai chez moi pour voir à côté de la glace.

« Pour avoir un peignoir, vous pouvez en demander à la réception en faisant le zéro.
Vous devrez le restituer à la réception à votre départ. »

J’ai entendu un soir où je préparais à manger que les hôtels étaient pillés de leurs peignoirs et qu’ils se protégeaient comme l’hôtel où je suis descendue.
Par chance, les serviettes de bain sont immenses, je peux m’enrouler grâce à l’une d’elles, la bloquant sous mes seins assez généreux, pourtant comme je l’ai dit, ils ont été inexistant à servir pour des enfants.

• Bonjour, jeune homme, j’ai oublié quelque chose.
• Non, madame Dupond, me reconnaissez-vous ?
• Oui, le jeune homme qui m’aviez donné ma chambre à la réception lorsque je suis arrivée !
• Ça oui, c’est aussi là que j’ai vu votre nom me confirmant que je vous connaissais lorsque j’habitais chez mes parents à Limoges.
Je m’appelle Victor Dubois, vous avez été ma prof d’anglais jusqu’au bac et c’est grâce à vous que j’ai décroché ma situation actuelle.
• Excusez ma tenue, je sors de mon bain, j’ai cherché un peignoir et j’ai vu que j’aurais dû vous en commander un pour que vous l’enregistriez !
• Je vais, vous en cherchez un, je reviens.

Avant que j’aie le temps de dire ouf, il repart vers un escalier délaissant l’ascenseur, c’est beau d’être jeune.
Je repousse ma porte sans la fermer, je me vois mal à moitié nue devant ma porte si un ou une cliente passe dans le couloir.
Lorsqu’il revient, il frappe, entre avant que j’ai eu le temps de lui dire d’entrer.
Il me tend un peignoir, se retournant me permettant de me mettre nue et d’enfiler ce peignoir mouilleux à souhait,

• Vous pouvez vous retourner, merci, mais s’était inutile de vous déranger.
Je vois un bar sous cette table, puis-je vous offrir un verre, vous me raconterez pourquoi vous avez atterri ici après Limoges.
Un verre de champagne, ça vous dit !
• C’est interdit au personnel, mais je suis le directeur, je remplaçais la réceptionniste lorsque vous êtes arrivée madame Dupond, un instant j’ai douté que ce soit vous.
• J’ai autant vieilli que ça !
• Plus de dix ans, vous avez même embellie, madame Dupond.
• Appelez-moi, Abby au lieu de madame Dupond...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Mmmhhhh...
Tu me mets l'eau à la bouche 💖💖💖

Cyrille

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Super comme histoire vivement la suite

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très beau début d'histoire



Texte coquin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Madame Dupond, prof d’anglais (1/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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