COLLECTION JEUNE – VIEUX. Retour d’âge (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Retour d’âge (1/1)
• Mais oui, Alata tu peux partir tranquille, je prendrai bien soin de Jules.
Avec Alata et son mari, nous sommes voisines et devenues amies.
Jules, quelle idée d’appeler son fils Jules quand on a une mère Tahitienne, plutôt Marquisienne d’où elle est originaire et plus précisément Tahuata où son mari l’a connu !
Un jour, je lui ai demandé pourquoi Jules alors qu’il y avait de si beaux prénoms polynésiens qui auraient été si bien à son fils, un très beau métissé ayant le teint de sa maman et la carrure de son papa.
Son papa, officier de la Marine Nationale, se déplaçait d’île en île avec son équipe, chargé de surveiller les îles ou des expériences atomiques avaient eu lieu, même si cela avait été fait dans des puits hors de l’atmosphère.
C’était là qu’elle l’avait rencontré, son père faisant fonction de maire sur leur île.
Donc pour Jules, c’était le prénom du grand-père de Paul et par tradition que je trouve idiote, à sa naissance, ils l’ont prénommé Jules.
Ce joli mâle de presque dix-huit ans que je dois garder, plutôt surveiller, pendant les vacances de ses parents, aurait gagné à s’appeler Nanua ou autre Taari.
Quand nous en avions parlé avec Alata, je me souviens que Taari m’avait marqué, car dans sa langue, cela voulait dire « qui porte le monde ».
Vu sa carrure, il aurait été capable de le faire.
Ils sont donc partis, le taxi les attendant. Vingt ans qu’elle est venue en France, elle a toujours sa grand-mère sur l’île qui est centenaire ayant en plus, bon pied bon œil, tous les soirs avant de se coucher elle avale son petit verre de rhum de fabrication locale.
Question alcool, je suis servie, à cinquante-deux ans, moi qui n’aie jamais bu que quelques bières Picons, je suis mariée avec Lucien, un fils d’immigré Italien qui a coupé toutes ses racines sauf celle qui le relie au gros rouge qui tache.
Gros rouge qui tache quand il mange et Picons bières au bistrot où il va à partir de 17 heures retrouver ses copains de la SNCF retraités et aussi poivrots que lui.
Picon bière, boisson favorite des gens du Nord ou nous habitons plus particulièrement à Arras, chef-lieu du Pas-de-Calais comme tout le monde le sait.
Je l’ai épousé à 24 ans, j’étais vierge et à ce jour, je n’ai eu que lui dans ma vie.
Voyez comme la mémoire est sélective, j’ai eu un demi amant en la personne de Ludo, son cousin italien, venu spécialement avec ses parents et qui le soir de mes noces m’a donné sa queue à sucer alors que j’étais sortie prendre l’air derrière la salle des fêtes.
Lui aussi était beau, je fumais une clope tranquillement ce que je ne fais plus, ayant profité l’an passé du mois sans tabac pour arrêter du jour au lendemain.
Ceux qui disent que d’arrêter se trompent à mon âge, à part un léger ventre rond, je suis encore bien conservée pour une femme ayant porté trois enfants.
Je parlais donc de Ludo, il avait lui aussi découvert le Picon bière, et voulait fumer une clope avant de retrouver Lucien au bar. Moi la pucelle, je n’ai pas été étrangère à son charme et quand il a sorti sa queue pour pisser, quand il m’a demandé de la lui secouer pour faire tomber la dernière goutte, c’est ma bouche qui l’a fait.
Dans notre région les bals étaient fréquents et pour protéger nos petites fleurs, nous les sucions chaque fois, j’avais donc l’habitude.
On connaît la question « Est-ce que sucer c’est tromper ? » Chez nous, nous avons tranché, c’est non, c’est pour cela que j’avais oublié de le compter, mais ayant la bague au doigt, je dois reconnaître que ça a été un amant.
Cependant, avant qu’il n’éjacule, il a eu envie de se faire la mariée dans sa robe blanche !
Il voulait que je me mette à quatre pattes sur la pelouse, au risque de la tacher de vert.
De plus ayant peu bu, ça aurait fait désordre, la mariée « dégueulant » dans la salle de noces, j’avais conscience que nos invités pouvaient s’apercevoir de ma disparition.
N’oublions pas que j’étais vierge.
Je me suis accrochée à ses reins et il a fini par me remplir ma cavité buccale de sperme.
Une fois ma bouche nettoyée, j’ai rejoint Lucien, qui déjà bien atteint a voulu faire voir à ses copains qu’il m’avait à sa pogne.
Me prenant par la taille, il m’a roulé une pelle, sa langue ramassant au passage les parcelles de sperme de son cousin, j’avais simplement essuyé mes coins de bouche.
Son cousin avec qui j’ai dansé un slow, se frottant la verge contre ma chatte, m’a mise en feu, il l’a bien vu, Il m’a dit de le rejoindre en Italie, qu’il y aurait du travail pour moi.
Ma nuit de noces a été courte, mon mari tellement Piconnisé a eu du mal à bander.
De plus avant notre mariage, je le suçais régulièrement et je savais qu’il n’avait que 5 à 6 centimètres à m’offrir.
Los de notre voyage de noces à Venise, nous sommes allés à Rome recevoir la bénédiction du pape, puis dans la région de Catanzaro d’où venait sa famille.
Ne voyant pas Ludo, une cousine avec qui j’avais sympathisé, m’a annoncé qu’il avait été arrêté pour proxénétisme, je l’avais échappé belle.
Voici donc, ma vie sexuelle en règle générale, je suis un peu frustrée, mais je m’y suis habituée, n’ayant même plus de rapport depuis deux mois.
Il ne demande pas, alors pourquoi prendrais-je le risque qu’il s’endorme sur moi comme la dernière fois.
Alata et son mari partis, mon travail pendant leur mois de vacances sera double.
Je devrai m'assurer que Jules soit bien levé pour partir à l'heure au lycée et que le frigo soit bien garni pour qu’il ne manque pas de nourriture.
Le lendemain, il est sept heures quand j’ouvre la porte de leur appartement, ayant les clefs.
J’appelle, il me répond et je le vois arriver en caleçon, se grattant la tête.
• Je t’offre un café Juliette, j’ai quelques minutes. Je bois du cacao, je me mettrai au café si j’ai mon bac, car je serais devenu un homme.
De mon temps, on devenait un homme en plongeant son poireau dans une chatte, les moeurs évoluent !
Je m’assieds et il démarre sa machine à café, il y a deux heures que je me suis levée et j’en suis déjà à mon troisième expresso, c’est ma seule boisson en règle générale.
Il se met à mon côté après s'être préparé un cacao qu’il réchauffe au micro-ondes.
Nous buvons en silence.
Je suis en robe de chambre avec ma chemise de nuit en plus, c’est ça, les vieux ou les vieilles diraient que dans notre jeunesse, je portais des nuisettes ras la moule.
Pour lui, son caleçon se tend, où est l’enfant que j’ai connu quand son père a quitté la marine pour prendre un poste de responsable à la ville, chargé des transports urbains ?
Je me rends compte qu’il s’est bien développé, heureusement qu’il ne bande pas, j’aurais été gênée.
Le lendemain rebelote, mais quand j’appelle aucune réponse, il est vrai qu’hier, je n’ai pas entendu la porte palière.
À son âge, a-t-il découché ?
La rigidité de son père ancien militaire doit lui peser.
A-t-il profité de leur absence pour s’occuper d’une petite chatte ?
Les jeunes n’étant plus si pointilleux sur la fidélité grâce à la pilule et surtout aux films pornos leur montrant comment ils doivent se servir de leurs sexes.
J’avance doucement jusqu’à sa chambre, la porte est poussée, mais non fermée. Grâce au petit jour, je vois qu’il dort sur le dos, nu, il doit rêver d’une belle, car il bande, je n’en ai jamais vu de pareille, même celle de Ludo.
Dans le temps ça arrivait à mon poivrot de mari, bien que certaines fois, il avait simplement envie de pisser les litres de Picon qu’il avait ingurgités la veille.
Je me retire, jusqu’à la cuisine et je l’appelle jusqu’à ce qu’il me réponde.
Il arrive comme la veille, mais à la différence, sa bite tend son caleçon, me montrant qu’il devait avoir un rêve érotique.
Je me surprends à avoir envie de la prendre en main, mais ma différence d’âge me retient, me frustrant par là même, je fais diversion.
• Hier, j’ai vu que tu avais fini ton cacao, je t’en ai racheté.
• Je vais te prendre comme mère, elle oublie toujours ce dont j’ai besoin.
Ouf, il me compare à sa mère, il n’a pas de pensée cachée ayant trait à notre condition de mâle à femelle, ce n’est pas de moi qu’il rêvait !
Le lendemain rebelote, j’appelle, pas de réponse, j’approche, il bande avec une différence, il se masturbe et me regarde.
• Entre Juliette, j’ai bien vu hier que tu avais envie de l’attraper, viens, j’ai envie que ce soit toi, qui me masturbes.
Je manque de partir en courant, mais une telle bite me fait envie.
Si je passais ma main sous ma chemise de nuit, je me rendrais compte que je dois mouiller comme jamais.
Je finis par repousser la porte, c’est lui qui me prend la main pour la poser sur ma gourmandise.
Masturber Lucien, je l’ai fait des heures sans beaucoup de résultats, mais là, il est chaud et dur, il finit par éjaculer sur ma main me permettant de me sauver.
Il est derrière moi, je pensais qu’il en avait assez.
J’avais oublié notre jeunesse où certains garçons repartaient de plus bel, ayant vidé leurs couilles une première fois.
Il me plaque sur la table de la cuisine et c’est moi qui soulève robe de chambre et chemise de nuit pour qu’il puisse m’atteindre plus facilement et surtout plus rapidement.
Un jour, je pensais à ce que j’endurais avec Lucien, et qu’un sexe, un vrai sexe, pas un simulacre comme il m’en a fourni un depuis le début de notre mariage, ne me labourerait jamais plus.
Je me trompais.
La position, la grosseur, la longueur, tout est fait pour que je prenne mon pied, ne sachant pas si avec Jules, je serais un coup d’un matin, j’en profite autant que je peux.
Je devrais me prendre pour une salope, se faire sauter par un homme bien plus jeune que moi, et fils de mon amie de surcroît.
Mais on pourrait crier « au feu » à nos côtés, je continuerais à pousser du cul pour qu’il entre profondément en moi.
Il y a dix minutes que je me fais labourer, exploit de la part de Jules, car Lucien c’est un petit coup et s'en va. Je sens une force inconnue monter en moi, je dis une force, ne trouvant pas d’autres mots pour décrire la vague qui monte en moi et qui me submerge.
Si ma poitrine n’avait pas été couchée sur la table, je pense que je me serais affalée à ses pieds.
Dès qu’il m'eut expédié son sperme au fond de mon vagin, il me libère.
Pendant tout le temps où ses parents sont partis, je retrouve Jules tous les matins. Rapidement le soir, je dis à mon mari qu’il faut que j’aille faire à manger à Jules, après la promesse faite à Alata.
Dans l’état où il est, il n’a pas conscience que sa femme est devenue une salope qui ne pense qu’au sexe.
Il est souvent minuit quand je pousse la porte de notre appartement, mais comme depuis deux mois, nous faisons chambre à part, il ronfle ne voyant pas les cornes pousser sur sa tête.
Petit moment de cafard, lorsqu’ils reviennent, me privant de mon joujou.
Comment dire à cette femme qui est mon amie que son fils baise une femme de son âge. Je suis frustrée, le croisant de temps en temps, il me fait voir qu’il a toujours envie de moi.
Un matin où je sais qu’il va passer sa première épreuve de philo pour son bac, Alata me l’ayant dit la veille, j’attends qu’il sorte de son appartement pour en faire de même un sac-poubelle à la main.
Il appuie sur le bouton, nous sommes au 4ème, je n’avais pas pensé qu’Alata aurait sa porte entrouverte pour dire un dernier au revoir à son fils.
• Tu descends ta poubelle de si bon matin !
• Oui, je pars pour la journée et tu sais qu’il m’est impossible de compter sur Lucien pour le faire, bonne journée, alors Jules c’est le grand jour.
Ce qu’ignore mon amie, c’est que je suis nue sous mon peignoir et que le sac-poubelle, je l’ai descendu hier au soir en attendant mon poivrot.
Dans celui que je tiens, je l’ai bourré de torchons pris dans ma cuisine.
Que valent trois torchons pour un moment de plaisir intense !
L’ascenseur démarre, mon amant va directement au but en m’embrassant.
Ses doigts m’agrippent la chatte me faisant couler, lui mouillant les doigts, mais ascenseur arrive au rez-de-chaussée.
J’appuie sur sous-sol, arrivés près du parking, nous sortons comme deux bêtes en rut et il me fait entrer dans le local poubelle.
Mon peignoir m’abandonne, mais j’y gagne une belle queue qui vient me prendre alors qu’il m’a plaqué contre le mur un peu crade.
Je n’en ai cure, je retrouve les plaisirs d’être remplie comme je l’étais chaque matin et souvent soir pendant les vacances de mes amis.
Il passe une main devant moi et me caresse le clitoris, j’aimerais le voir, il doit être rouge et gonflé de plaisir.
Je commence à haleter et des sons venus du tréfonds de mon être commencent à sortir de ma bouche, il plaque son autre main pour me museler, en même temps que j’ai un orgasme plus fort que tous ceux qu’il m’a déjà donnés.
Il éjacule, ce petit salaud a su rapidement que j’étais ménopausée et me baise sans protection depuis la première fois.
Je sens son sperme m’envahir, heureuse de lui avoir décompressé la verge avant son examen.
Incroyable, j’ai tellement joui que je suis encore collée au mur alors qu’il est déjà parti, je remonte dix minutes après.
Quelques jours plus tard, il vient chez moi pour me dire qu’il avait son bac. Il vient avec la bénédiction d’Alata qui m’a croisée plusieurs fois et m’a sentie anxieux du résultat de son fils.
Ma petite culotte n’est pas un rempart pour sa queue et la table de la cuisine est un bon terrain de jeu surtout en l’absence de mon Pi-connard de mari.
• Mes parents m’offrent un voyage pour les Marquises pour voir ma grand-mère pendant deux mois, elle a de quoi nous loger, viens avec moi.
Je sais que le voyage coûte un bras, j’ai un plan d’épargne, pourquoi ne pas le casser pour faire ce voyage avec mon amant, baiser sous les cocotiers.
Même si cela pose des problèmes à mon retour, il ne faut pas hésiter.
• Ne dit rien à personne même à ta mère, donne-moi simplement l’heure et l’endroit du départ, c’est comme si c’était fait.
J’écrirais peut-être mon séjour, mais dites-vous bien que je vais profiter pleinement de mon retour d’âge pendant deux mois.
Avec Alata et son mari, nous sommes voisines et devenues amies.
Jules, quelle idée d’appeler son fils Jules quand on a une mère Tahitienne, plutôt Marquisienne d’où elle est originaire et plus précisément Tahuata où son mari l’a connu !
Un jour, je lui ai demandé pourquoi Jules alors qu’il y avait de si beaux prénoms polynésiens qui auraient été si bien à son fils, un très beau métissé ayant le teint de sa maman et la carrure de son papa.
Son papa, officier de la Marine Nationale, se déplaçait d’île en île avec son équipe, chargé de surveiller les îles ou des expériences atomiques avaient eu lieu, même si cela avait été fait dans des puits hors de l’atmosphère.
C’était là qu’elle l’avait rencontré, son père faisant fonction de maire sur leur île.
Donc pour Jules, c’était le prénom du grand-père de Paul et par tradition que je trouve idiote, à sa naissance, ils l’ont prénommé Jules.
Ce joli mâle de presque dix-huit ans que je dois garder, plutôt surveiller, pendant les vacances de ses parents, aurait gagné à s’appeler Nanua ou autre Taari.
Quand nous en avions parlé avec Alata, je me souviens que Taari m’avait marqué, car dans sa langue, cela voulait dire « qui porte le monde ».
Vu sa carrure, il aurait été capable de le faire.
Ils sont donc partis, le taxi les attendant. Vingt ans qu’elle est venue en France, elle a toujours sa grand-mère sur l’île qui est centenaire ayant en plus, bon pied bon œil, tous les soirs avant de se coucher elle avale son petit verre de rhum de fabrication locale.
Question alcool, je suis servie, à cinquante-deux ans, moi qui n’aie jamais bu que quelques bières Picons, je suis mariée avec Lucien, un fils d’immigré Italien qui a coupé toutes ses racines sauf celle qui le relie au gros rouge qui tache.
Gros rouge qui tache quand il mange et Picons bières au bistrot où il va à partir de 17 heures retrouver ses copains de la SNCF retraités et aussi poivrots que lui.
Picon bière, boisson favorite des gens du Nord ou nous habitons plus particulièrement à Arras, chef-lieu du Pas-de-Calais comme tout le monde le sait.
Je l’ai épousé à 24 ans, j’étais vierge et à ce jour, je n’ai eu que lui dans ma vie.
Voyez comme la mémoire est sélective, j’ai eu un demi amant en la personne de Ludo, son cousin italien, venu spécialement avec ses parents et qui le soir de mes noces m’a donné sa queue à sucer alors que j’étais sortie prendre l’air derrière la salle des fêtes.
Lui aussi était beau, je fumais une clope tranquillement ce que je ne fais plus, ayant profité l’an passé du mois sans tabac pour arrêter du jour au lendemain.
Ceux qui disent que d’arrêter se trompent à mon âge, à part un léger ventre rond, je suis encore bien conservée pour une femme ayant porté trois enfants.
Je parlais donc de Ludo, il avait lui aussi découvert le Picon bière, et voulait fumer une clope avant de retrouver Lucien au bar. Moi la pucelle, je n’ai pas été étrangère à son charme et quand il a sorti sa queue pour pisser, quand il m’a demandé de la lui secouer pour faire tomber la dernière goutte, c’est ma bouche qui l’a fait.
Dans notre région les bals étaient fréquents et pour protéger nos petites fleurs, nous les sucions chaque fois, j’avais donc l’habitude.
On connaît la question « Est-ce que sucer c’est tromper ? » Chez nous, nous avons tranché, c’est non, c’est pour cela que j’avais oublié de le compter, mais ayant la bague au doigt, je dois reconnaître que ça a été un amant.
Cependant, avant qu’il n’éjacule, il a eu envie de se faire la mariée dans sa robe blanche !
Il voulait que je me mette à quatre pattes sur la pelouse, au risque de la tacher de vert.
De plus ayant peu bu, ça aurait fait désordre, la mariée « dégueulant » dans la salle de noces, j’avais conscience que nos invités pouvaient s’apercevoir de ma disparition.
N’oublions pas que j’étais vierge.
Je me suis accrochée à ses reins et il a fini par me remplir ma cavité buccale de sperme.
Une fois ma bouche nettoyée, j’ai rejoint Lucien, qui déjà bien atteint a voulu faire voir à ses copains qu’il m’avait à sa pogne.
Me prenant par la taille, il m’a roulé une pelle, sa langue ramassant au passage les parcelles de sperme de son cousin, j’avais simplement essuyé mes coins de bouche.
Son cousin avec qui j’ai dansé un slow, se frottant la verge contre ma chatte, m’a mise en feu, il l’a bien vu, Il m’a dit de le rejoindre en Italie, qu’il y aurait du travail pour moi.
Ma nuit de noces a été courte, mon mari tellement Piconnisé a eu du mal à bander.
De plus avant notre mariage, je le suçais régulièrement et je savais qu’il n’avait que 5 à 6 centimètres à m’offrir.
Los de notre voyage de noces à Venise, nous sommes allés à Rome recevoir la bénédiction du pape, puis dans la région de Catanzaro d’où venait sa famille.
Ne voyant pas Ludo, une cousine avec qui j’avais sympathisé, m’a annoncé qu’il avait été arrêté pour proxénétisme, je l’avais échappé belle.
Voici donc, ma vie sexuelle en règle générale, je suis un peu frustrée, mais je m’y suis habituée, n’ayant même plus de rapport depuis deux mois.
Il ne demande pas, alors pourquoi prendrais-je le risque qu’il s’endorme sur moi comme la dernière fois.
Alata et son mari partis, mon travail pendant leur mois de vacances sera double.
Je devrai m'assurer que Jules soit bien levé pour partir à l'heure au lycée et que le frigo soit bien garni pour qu’il ne manque pas de nourriture.
Le lendemain, il est sept heures quand j’ouvre la porte de leur appartement, ayant les clefs.
J’appelle, il me répond et je le vois arriver en caleçon, se grattant la tête.
• Je t’offre un café Juliette, j’ai quelques minutes. Je bois du cacao, je me mettrai au café si j’ai mon bac, car je serais devenu un homme.
De mon temps, on devenait un homme en plongeant son poireau dans une chatte, les moeurs évoluent !
Je m’assieds et il démarre sa machine à café, il y a deux heures que je me suis levée et j’en suis déjà à mon troisième expresso, c’est ma seule boisson en règle générale.
Il se met à mon côté après s'être préparé un cacao qu’il réchauffe au micro-ondes.
Nous buvons en silence.
Je suis en robe de chambre avec ma chemise de nuit en plus, c’est ça, les vieux ou les vieilles diraient que dans notre jeunesse, je portais des nuisettes ras la moule.
Pour lui, son caleçon se tend, où est l’enfant que j’ai connu quand son père a quitté la marine pour prendre un poste de responsable à la ville, chargé des transports urbains ?
Je me rends compte qu’il s’est bien développé, heureusement qu’il ne bande pas, j’aurais été gênée.
Le lendemain rebelote, mais quand j’appelle aucune réponse, il est vrai qu’hier, je n’ai pas entendu la porte palière.
À son âge, a-t-il découché ?
La rigidité de son père ancien militaire doit lui peser.
A-t-il profité de leur absence pour s’occuper d’une petite chatte ?
Les jeunes n’étant plus si pointilleux sur la fidélité grâce à la pilule et surtout aux films pornos leur montrant comment ils doivent se servir de leurs sexes.
J’avance doucement jusqu’à sa chambre, la porte est poussée, mais non fermée. Grâce au petit jour, je vois qu’il dort sur le dos, nu, il doit rêver d’une belle, car il bande, je n’en ai jamais vu de pareille, même celle de Ludo.
Dans le temps ça arrivait à mon poivrot de mari, bien que certaines fois, il avait simplement envie de pisser les litres de Picon qu’il avait ingurgités la veille.
Je me retire, jusqu’à la cuisine et je l’appelle jusqu’à ce qu’il me réponde.
Il arrive comme la veille, mais à la différence, sa bite tend son caleçon, me montrant qu’il devait avoir un rêve érotique.
Je me surprends à avoir envie de la prendre en main, mais ma différence d’âge me retient, me frustrant par là même, je fais diversion.
• Hier, j’ai vu que tu avais fini ton cacao, je t’en ai racheté.
• Je vais te prendre comme mère, elle oublie toujours ce dont j’ai besoin.
Ouf, il me compare à sa mère, il n’a pas de pensée cachée ayant trait à notre condition de mâle à femelle, ce n’est pas de moi qu’il rêvait !
Le lendemain rebelote, j’appelle, pas de réponse, j’approche, il bande avec une différence, il se masturbe et me regarde.
• Entre Juliette, j’ai bien vu hier que tu avais envie de l’attraper, viens, j’ai envie que ce soit toi, qui me masturbes.
Je manque de partir en courant, mais une telle bite me fait envie.
Si je passais ma main sous ma chemise de nuit, je me rendrais compte que je dois mouiller comme jamais.
Je finis par repousser la porte, c’est lui qui me prend la main pour la poser sur ma gourmandise.
Masturber Lucien, je l’ai fait des heures sans beaucoup de résultats, mais là, il est chaud et dur, il finit par éjaculer sur ma main me permettant de me sauver.
Il est derrière moi, je pensais qu’il en avait assez.
J’avais oublié notre jeunesse où certains garçons repartaient de plus bel, ayant vidé leurs couilles une première fois.
Il me plaque sur la table de la cuisine et c’est moi qui soulève robe de chambre et chemise de nuit pour qu’il puisse m’atteindre plus facilement et surtout plus rapidement.
Un jour, je pensais à ce que j’endurais avec Lucien, et qu’un sexe, un vrai sexe, pas un simulacre comme il m’en a fourni un depuis le début de notre mariage, ne me labourerait jamais plus.
Je me trompais.
La position, la grosseur, la longueur, tout est fait pour que je prenne mon pied, ne sachant pas si avec Jules, je serais un coup d’un matin, j’en profite autant que je peux.
Je devrais me prendre pour une salope, se faire sauter par un homme bien plus jeune que moi, et fils de mon amie de surcroît.
Mais on pourrait crier « au feu » à nos côtés, je continuerais à pousser du cul pour qu’il entre profondément en moi.
Il y a dix minutes que je me fais labourer, exploit de la part de Jules, car Lucien c’est un petit coup et s'en va. Je sens une force inconnue monter en moi, je dis une force, ne trouvant pas d’autres mots pour décrire la vague qui monte en moi et qui me submerge.
Si ma poitrine n’avait pas été couchée sur la table, je pense que je me serais affalée à ses pieds.
Dès qu’il m'eut expédié son sperme au fond de mon vagin, il me libère.
Pendant tout le temps où ses parents sont partis, je retrouve Jules tous les matins. Rapidement le soir, je dis à mon mari qu’il faut que j’aille faire à manger à Jules, après la promesse faite à Alata.
Dans l’état où il est, il n’a pas conscience que sa femme est devenue une salope qui ne pense qu’au sexe.
Il est souvent minuit quand je pousse la porte de notre appartement, mais comme depuis deux mois, nous faisons chambre à part, il ronfle ne voyant pas les cornes pousser sur sa tête.
Petit moment de cafard, lorsqu’ils reviennent, me privant de mon joujou.
Comment dire à cette femme qui est mon amie que son fils baise une femme de son âge. Je suis frustrée, le croisant de temps en temps, il me fait voir qu’il a toujours envie de moi.
Un matin où je sais qu’il va passer sa première épreuve de philo pour son bac, Alata me l’ayant dit la veille, j’attends qu’il sorte de son appartement pour en faire de même un sac-poubelle à la main.
Il appuie sur le bouton, nous sommes au 4ème, je n’avais pas pensé qu’Alata aurait sa porte entrouverte pour dire un dernier au revoir à son fils.
• Tu descends ta poubelle de si bon matin !
• Oui, je pars pour la journée et tu sais qu’il m’est impossible de compter sur Lucien pour le faire, bonne journée, alors Jules c’est le grand jour.
Ce qu’ignore mon amie, c’est que je suis nue sous mon peignoir et que le sac-poubelle, je l’ai descendu hier au soir en attendant mon poivrot.
Dans celui que je tiens, je l’ai bourré de torchons pris dans ma cuisine.
Que valent trois torchons pour un moment de plaisir intense !
L’ascenseur démarre, mon amant va directement au but en m’embrassant.
Ses doigts m’agrippent la chatte me faisant couler, lui mouillant les doigts, mais ascenseur arrive au rez-de-chaussée.
J’appuie sur sous-sol, arrivés près du parking, nous sortons comme deux bêtes en rut et il me fait entrer dans le local poubelle.
Mon peignoir m’abandonne, mais j’y gagne une belle queue qui vient me prendre alors qu’il m’a plaqué contre le mur un peu crade.
Je n’en ai cure, je retrouve les plaisirs d’être remplie comme je l’étais chaque matin et souvent soir pendant les vacances de mes amis.
Il passe une main devant moi et me caresse le clitoris, j’aimerais le voir, il doit être rouge et gonflé de plaisir.
Je commence à haleter et des sons venus du tréfonds de mon être commencent à sortir de ma bouche, il plaque son autre main pour me museler, en même temps que j’ai un orgasme plus fort que tous ceux qu’il m’a déjà donnés.
Il éjacule, ce petit salaud a su rapidement que j’étais ménopausée et me baise sans protection depuis la première fois.
Je sens son sperme m’envahir, heureuse de lui avoir décompressé la verge avant son examen.
Incroyable, j’ai tellement joui que je suis encore collée au mur alors qu’il est déjà parti, je remonte dix minutes après.
Quelques jours plus tard, il vient chez moi pour me dire qu’il avait son bac. Il vient avec la bénédiction d’Alata qui m’a croisée plusieurs fois et m’a sentie anxieux du résultat de son fils.
Ma petite culotte n’est pas un rempart pour sa queue et la table de la cuisine est un bon terrain de jeu surtout en l’absence de mon Pi-connard de mari.
• Mes parents m’offrent un voyage pour les Marquises pour voir ma grand-mère pendant deux mois, elle a de quoi nous loger, viens avec moi.
Je sais que le voyage coûte un bras, j’ai un plan d’épargne, pourquoi ne pas le casser pour faire ce voyage avec mon amant, baiser sous les cocotiers.
Même si cela pose des problèmes à mon retour, il ne faut pas hésiter.
• Ne dit rien à personne même à ta mère, donne-moi simplement l’heure et l’endroit du départ, c’est comme si c’était fait.
J’écrirais peut-être mon séjour, mais dites-vous bien que je vais profiter pleinement de mon retour d’âge pendant deux mois.
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