COLLECTION JEUNES - VIEUX. J’étais venue chercher ma fille (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNES - VIEUX. J’étais venue chercher ma fille (2/2)
• Maman, ce soir chez Gilles, le fils du nouveau médecin, nous fêtons nos réussites au bac.
Lorsque Sophie, ma fille le jour du résultat du bac me demande pour la première fois si elle peut sortir, j’étais loin de penser que j’allais bouleverser ma vie lorsque j’ai accepté.
J’ai mis des barrières de temps lui demandant de rentrer à une heure du matin, mais je me suis endormi et Sophie à deux heures brillait par son absence.
Je suis partie à sa recherche fort de mon expérience un peu plus de dix-huit ans avant ou dans ce genre de soirée, j’ai eu des rapports sexuels multiples ayant entraîné sa venue au monde.
Depuis, j’ai eu des amants d’un soir et un qui a duré.
Les coups d’un soir, je préfère les oublier, mais mon légionnaire était une véritable force de la nature.
C’est lors de sa dernière mission avant d’être démobilisé qu’il a perdu la vie au combat au Mali.
J’ai vécu deux ans avec lui au rythme de ses permissions et ses missions dont certaines très secrètes.
Vivre avec un homme qui disparaît deux mois voire trois sans savoir vers quelle destination il est parti, c’était dur.
Mais j’étais passionné par sa prestance et je dois le dire, aussi au lit où il était un amant extraordinaire.
C’est à l’hôpital que je l’ai rencontré, il était en tenue et je dois reconnaître que je suis resté très sensible à l’uniforme.
Depuis mes débuts comme infirmière, dans mon métier je côtoie souvent des gens en uniforme.
Pompiers, gendarmes, mais eux sont en service lorsque je les vois et accepter de manger au restaurant un soir, c’est plus difficile.
Karl était d’origine allemande, il avait été renversé par une voiture qui était venue les percuter sur un trottoir, la femme qui conduisait le faisait avec des talons hauts.
Deux morts, le troisième, c’était lui et la voiture lui avait frappé dans la jambe.
Par chance les radios ont démontré qu’il avait échappé à la fracture.
Il était bon pour un bel hématome nécessitant des soins et surtout des béquilles pour éviter de mettre son pied au sol.
La chance a voulu que je sois appelée à la réception et que je croise ce bel homme.
J’ignorais que le coup de foudre pouvait arriver !
Surtout quand en me dépêchant j’ai fauché sa béquille le déséquilibrant.
Je l’ai reçu dans mes bras, nous avons rigolé et quand une femme rit, son invitation a reçu un accueil favorable.
Il était là pour huit jours de perme avant de retourner dans sa caserne en vue de sa première mission.
Comme je l’ai dit, j’étais un coup d’un soir et dans mon esprit, je pensais que pour huit jours s’était une bonne occase surtout que dès ce premier soir, il m’a fait grimper au rideau.
Gros, longue avec un gland hors de proportion de ce que j’avais connu dans mes nombreuses expériences bien protégées pour éviter toutes grossesses.
Nous avons été chez moi, par chance Sophie était chez sa grand-mère pour les quelques jours de vacances de février.
Dès que nous avons quitté le restaurant, il m’a pris par ma taille sans que je refuse cette main se terminant sur mes fesses.
Dans le vestibule de mon petit pavillon, il m’a plaqué contre la porte dès qu’elle fut refermée.
J’ai dit qu’il était musculeux et c’est en me soulevant me tenant à bout de bras qu’il m’a embroché ayant dégagé sa verge.
Avec mes nombreux amants, j’ai toujours commencé nos rapports en leur suçant la queue.
Karl était un ours, mais aussi un homme qui aimait faire jouir les femmes et en m’enfourchant et me tenant sans sembler forcer, avant d’être arrivé vers ma chambre, j’avais joui deux fois.
Dans la nuit, il m’a fait l’amour trois fois.
J’ai souvent joui avec mes amants.
Le gang bang de mes dix-huit ans étant depuis longtemps dans le fond de ma mémoire, mais je sentais avec Karl que toutes les fibres érotiques de mon corps étaient exacerbées chaque fois qu’il bougeait en moi.
Au matin, il m’avait tellement ravagé sexuellement qu’il a fallu qu’il appelle mon service pour leur dire que je récupérais d’une grande fatigue passagère.
Deux ans, d’intense bonheur surtout que Sophie adorait cet homme, même si elle était en âge de comprendre la différence entre ce monsieur et son père biologique.
Et il y a eu le dernier jour avant son départ, surtout la dernière soirée ou il m’a emmené au restaurant.
À la fin du repas, il s’est agenouillé et a sorti un écrin, j’ai avancé mon annulaire avec la promesse qu’à son retour, il me passerait une autre bague aussi officielle qu’il devait commander avant de partir.
Cette alliance, elle est restée à la bijouterie, car il est mort la veille de la date prévue de son retour en France.
Enterrement très militaire étant simplement sa concubine les formalités ont été assez difficiles.
Mais les dix millions d’euros qu’il me laissait, même après les impôts m’ont permis de faire des travaux de rénovation dans mon pavillon.
Bref, le soir de ma recherche de ma fille chez ce médecin, une page s’est tournée, même si ça été contre ma volonté.
Ça fait trois jours que Sophie est partie avec son amante.
Seule dans mon lit devenu trop grand pour moi, j’ai eu le temps de me faire à l’idée que j’avais mis au monde une jeune fille devenue lesbienne.
Il est vingt heures, je suis rentré de la clinique étant en poste de jours depuis la légère dépression que j’ai eue à la mort de celui qui voulait faire de moi sa femme.
J’ai pris ma douche la chaleur étant étouffante quand on sonne à ma porte, je vais ouvrir, mais comme j’étais nue sur ma terrasse, je passe un déshabillé en soie, cadeau de Karl pour mon anniversaire.
• Bouboule, toi ici, pourquoi cette visite à cette heure et ces fleurs, sont-elles pour Sophie, tu vas être déçu, elle est partie avec Malène en vacances après son bac.
• Non, madame Marie-Agnès, elles sont pour vous.
Je sais que Sophie aime son amie Marlène, je me permets de le dire, car après votre départ, il parlait de votre fille à qui un con vous avait appris ce que tous savaient au lycée.
• Et c’est pour cela que tu m’offres ce magnifique bouquet de fleurs !
• Non, c’est pour autre chose, mais je vais vous laisser, ce que je voulais serait incorrect à vous le demander.
• Tu es bien sérieux d’un seul coup, entre, je suis sur ma terrasse à boire une limonade à moins que tu préfères une bière, tu m’expliqueras ce que tu attends de moi.
Je suis peut-être vieux jeux, même à trente-six ans, mais je vois venir ce gros lourdaud avec ses gros sabots, perdre son pucelage avec moi, c’est ce qu’il est venu chercher avec son bouquet de fleurs.
Il m’inspire de la tendresse, s’il avait voulu me sauter, il avait mille fois l’occasion de le faire l’autre soir.
• Et si je te disais pourquoi ta présence ce soir, pour commencer, dit moi comment tu t’appelles, bouboule, même si tu es un peu enveloppé, c’est injurieux.
• Christopher, madame Marie-Agnès, merci mais vous êtes si gentille que je suis de plus en plus confus d’être venu vous déranger.
Je savais très précisément ce qu’il était venu chercher, mais c’est bête, le bouquet était une barrière entre lui et moi.
Je l’ai saisi et je l’ai posé sur la table à côté de nous.
J’ai pu le prendre dans mes bras et c’est moi qui l’ai embrassé.
Il était maladroit et cette maladresse me plaisait, je savais qu’en tout point, j’étais et je serai la première.
Savoir embrasser et savoir respirer, même ça ç’a se maitrise et nos bouches, ce sont séparer sans que nos corps sentent la nécessité d’en faire autant.
Je sentais qu’il bandait.
Dans mes expériences d’un soir, ceux qui éjaculaient instantanément ou ceux qu’il fallait sucer pendant des plombes, car ils pensaient à bobonne, étaient fréquents.
• J’ai apporté des capotes, Marie-Agnès, comment on fait pour en mettre une.
Le drôle de la situation, c’est que j’en ai dans le tiroir de ma table de nuit.
Karl avant que nous fassions l’amour sans protection après des tests et pour l’un et pour l’autre que j’ai fait faire par un copain à l’hôpital en avait apporté comme Christopher l’a fait.
• Donnes, je vais te montrer.
Il en a sorti une bande de six, gourmand le garçon pour une première fois.
J’en ai déchiré une et sorti la capote en même temps que je faisais tomber son pantalon de survêtement.
Un survêtement, l’avait-il fait exprès, pour se faciliter la tâche ?
En même temps que, je déroulais la capote avec mes doigts, ma bouche faisait entrer son gland.
Un instant j’ai eu peur qu’il éjacule remplissant sa protection.
Je me suis relevée, je l’ai tirée jusqu’au canapé où je suis tombée en arrière en même temps que mon déshabillé.
Je l’ai guidé en moi au moment où il a déchargé, mais il était déjà au fond de ma chatte.
• Reste, continu à me pénétrer, tu vas voir ça va repartir, je suis sûr qu’à ton âge ça repart toujours !
Pour repartir, c’est reparti, je jouis autant que Karl...
Non, aucune comparaison, mon légionnaire voulait m’épouser, Christopher l’a fait.
Je sais, dix-huit ans d’écart entre nous, je le sais et je le saurai toujours à chaque anniversaire de Sophie.
Comme il est dit « lorsque l’on aime il faut éviter de compter. » En ce moment, il est devant moi dans notre jardin.
Il finit de planter des pivoines fleurs qui étaient dans le bouquet qu’il avait apporté et qui au bout de deux jours que nous avons intégralement à baiser et à rebaiser toujours et encore a fini à la poubelle.
Mes amants, ceux qui avaient été résistants, m’avaient appris une grande partie du kamasoutra que je me suis efforcée à transmettre à celui qui m’a passé une alliance après une bague de fiançailles.
Si ma fille a accepté mon mariage, quand je lui ai dit que j’avais appris qu’elles étaient lesbiennes et en couple avec Marlène, Chantal ma belle-mère le même âge que moi ça a été bien différent.
Âge plus le fait que je lui volais son fils s’était trop jusqu’à deux faits qui se sont produits.
Une nourriture adaptée que je faisais pour son fils alors qu’elle part facilitée était plutôt burgers frites, que salade jambon.
De plus, le sport que nous pratiquons en extérieur l’été et en salle l’hiver, a fait fondre les kilos superflus de mon mari.
Il y a aussi, le métier qu’il a embrassé avec mon aide, peu doué pour les études, il se destinait à être paysagiste, ce qu’il est devenu et l’entreprise que nous avons créée.
Nous avons de nombreux contrats à honorer et ce travail physique entretient notre ligne.
Le deuxième fait ayant calmé Chantal, c’est quand je pose ma main sur mon ventre et que je sens son petit-fils ou sa petite-fille en moi.
Avec Christopher, nous voulons découvrir son sexe à la naissance, mais elle a hâte de le serrer dans ses bras.
Tante Sophie est loin d’être la dernière à être pressé que j’accouche pour bercer son petit frère ou sa petite sœur.
Avec Marlène elle parle mariage et enfant les deux étant possible en France.
Ce sera elle qui sera mère, car son amie a un problème gynécologique de naissance et est dans l’incapacité d’enfanter.
Bref, qui a dit que j’aurais dû éviter de m’en faire il y a quelques mois et que je suis aller chercher la fille en retard de sa soirée, moi certainement pas.
Lorsque Sophie, ma fille le jour du résultat du bac me demande pour la première fois si elle peut sortir, j’étais loin de penser que j’allais bouleverser ma vie lorsque j’ai accepté.
J’ai mis des barrières de temps lui demandant de rentrer à une heure du matin, mais je me suis endormi et Sophie à deux heures brillait par son absence.
Je suis partie à sa recherche fort de mon expérience un peu plus de dix-huit ans avant ou dans ce genre de soirée, j’ai eu des rapports sexuels multiples ayant entraîné sa venue au monde.
Depuis, j’ai eu des amants d’un soir et un qui a duré.
Les coups d’un soir, je préfère les oublier, mais mon légionnaire était une véritable force de la nature.
C’est lors de sa dernière mission avant d’être démobilisé qu’il a perdu la vie au combat au Mali.
J’ai vécu deux ans avec lui au rythme de ses permissions et ses missions dont certaines très secrètes.
Vivre avec un homme qui disparaît deux mois voire trois sans savoir vers quelle destination il est parti, c’était dur.
Mais j’étais passionné par sa prestance et je dois le dire, aussi au lit où il était un amant extraordinaire.
C’est à l’hôpital que je l’ai rencontré, il était en tenue et je dois reconnaître que je suis resté très sensible à l’uniforme.
Depuis mes débuts comme infirmière, dans mon métier je côtoie souvent des gens en uniforme.
Pompiers, gendarmes, mais eux sont en service lorsque je les vois et accepter de manger au restaurant un soir, c’est plus difficile.
Karl était d’origine allemande, il avait été renversé par une voiture qui était venue les percuter sur un trottoir, la femme qui conduisait le faisait avec des talons hauts.
Deux morts, le troisième, c’était lui et la voiture lui avait frappé dans la jambe.
Par chance les radios ont démontré qu’il avait échappé à la fracture.
Il était bon pour un bel hématome nécessitant des soins et surtout des béquilles pour éviter de mettre son pied au sol.
La chance a voulu que je sois appelée à la réception et que je croise ce bel homme.
J’ignorais que le coup de foudre pouvait arriver !
Surtout quand en me dépêchant j’ai fauché sa béquille le déséquilibrant.
Je l’ai reçu dans mes bras, nous avons rigolé et quand une femme rit, son invitation a reçu un accueil favorable.
Il était là pour huit jours de perme avant de retourner dans sa caserne en vue de sa première mission.
Comme je l’ai dit, j’étais un coup d’un soir et dans mon esprit, je pensais que pour huit jours s’était une bonne occase surtout que dès ce premier soir, il m’a fait grimper au rideau.
Gros, longue avec un gland hors de proportion de ce que j’avais connu dans mes nombreuses expériences bien protégées pour éviter toutes grossesses.
Nous avons été chez moi, par chance Sophie était chez sa grand-mère pour les quelques jours de vacances de février.
Dès que nous avons quitté le restaurant, il m’a pris par ma taille sans que je refuse cette main se terminant sur mes fesses.
Dans le vestibule de mon petit pavillon, il m’a plaqué contre la porte dès qu’elle fut refermée.
J’ai dit qu’il était musculeux et c’est en me soulevant me tenant à bout de bras qu’il m’a embroché ayant dégagé sa verge.
Avec mes nombreux amants, j’ai toujours commencé nos rapports en leur suçant la queue.
Karl était un ours, mais aussi un homme qui aimait faire jouir les femmes et en m’enfourchant et me tenant sans sembler forcer, avant d’être arrivé vers ma chambre, j’avais joui deux fois.
Dans la nuit, il m’a fait l’amour trois fois.
J’ai souvent joui avec mes amants.
Le gang bang de mes dix-huit ans étant depuis longtemps dans le fond de ma mémoire, mais je sentais avec Karl que toutes les fibres érotiques de mon corps étaient exacerbées chaque fois qu’il bougeait en moi.
Au matin, il m’avait tellement ravagé sexuellement qu’il a fallu qu’il appelle mon service pour leur dire que je récupérais d’une grande fatigue passagère.
Deux ans, d’intense bonheur surtout que Sophie adorait cet homme, même si elle était en âge de comprendre la différence entre ce monsieur et son père biologique.
Et il y a eu le dernier jour avant son départ, surtout la dernière soirée ou il m’a emmené au restaurant.
À la fin du repas, il s’est agenouillé et a sorti un écrin, j’ai avancé mon annulaire avec la promesse qu’à son retour, il me passerait une autre bague aussi officielle qu’il devait commander avant de partir.
Cette alliance, elle est restée à la bijouterie, car il est mort la veille de la date prévue de son retour en France.
Enterrement très militaire étant simplement sa concubine les formalités ont été assez difficiles.
Mais les dix millions d’euros qu’il me laissait, même après les impôts m’ont permis de faire des travaux de rénovation dans mon pavillon.
Bref, le soir de ma recherche de ma fille chez ce médecin, une page s’est tournée, même si ça été contre ma volonté.
Ça fait trois jours que Sophie est partie avec son amante.
Seule dans mon lit devenu trop grand pour moi, j’ai eu le temps de me faire à l’idée que j’avais mis au monde une jeune fille devenue lesbienne.
Il est vingt heures, je suis rentré de la clinique étant en poste de jours depuis la légère dépression que j’ai eue à la mort de celui qui voulait faire de moi sa femme.
J’ai pris ma douche la chaleur étant étouffante quand on sonne à ma porte, je vais ouvrir, mais comme j’étais nue sur ma terrasse, je passe un déshabillé en soie, cadeau de Karl pour mon anniversaire.
• Bouboule, toi ici, pourquoi cette visite à cette heure et ces fleurs, sont-elles pour Sophie, tu vas être déçu, elle est partie avec Malène en vacances après son bac.
• Non, madame Marie-Agnès, elles sont pour vous.
Je sais que Sophie aime son amie Marlène, je me permets de le dire, car après votre départ, il parlait de votre fille à qui un con vous avait appris ce que tous savaient au lycée.
• Et c’est pour cela que tu m’offres ce magnifique bouquet de fleurs !
• Non, c’est pour autre chose, mais je vais vous laisser, ce que je voulais serait incorrect à vous le demander.
• Tu es bien sérieux d’un seul coup, entre, je suis sur ma terrasse à boire une limonade à moins que tu préfères une bière, tu m’expliqueras ce que tu attends de moi.
Je suis peut-être vieux jeux, même à trente-six ans, mais je vois venir ce gros lourdaud avec ses gros sabots, perdre son pucelage avec moi, c’est ce qu’il est venu chercher avec son bouquet de fleurs.
Il m’inspire de la tendresse, s’il avait voulu me sauter, il avait mille fois l’occasion de le faire l’autre soir.
• Et si je te disais pourquoi ta présence ce soir, pour commencer, dit moi comment tu t’appelles, bouboule, même si tu es un peu enveloppé, c’est injurieux.
• Christopher, madame Marie-Agnès, merci mais vous êtes si gentille que je suis de plus en plus confus d’être venu vous déranger.
Je savais très précisément ce qu’il était venu chercher, mais c’est bête, le bouquet était une barrière entre lui et moi.
Je l’ai saisi et je l’ai posé sur la table à côté de nous.
J’ai pu le prendre dans mes bras et c’est moi qui l’ai embrassé.
Il était maladroit et cette maladresse me plaisait, je savais qu’en tout point, j’étais et je serai la première.
Savoir embrasser et savoir respirer, même ça ç’a se maitrise et nos bouches, ce sont séparer sans que nos corps sentent la nécessité d’en faire autant.
Je sentais qu’il bandait.
Dans mes expériences d’un soir, ceux qui éjaculaient instantanément ou ceux qu’il fallait sucer pendant des plombes, car ils pensaient à bobonne, étaient fréquents.
• J’ai apporté des capotes, Marie-Agnès, comment on fait pour en mettre une.
Le drôle de la situation, c’est que j’en ai dans le tiroir de ma table de nuit.
Karl avant que nous fassions l’amour sans protection après des tests et pour l’un et pour l’autre que j’ai fait faire par un copain à l’hôpital en avait apporté comme Christopher l’a fait.
• Donnes, je vais te montrer.
Il en a sorti une bande de six, gourmand le garçon pour une première fois.
J’en ai déchiré une et sorti la capote en même temps que je faisais tomber son pantalon de survêtement.
Un survêtement, l’avait-il fait exprès, pour se faciliter la tâche ?
En même temps que, je déroulais la capote avec mes doigts, ma bouche faisait entrer son gland.
Un instant j’ai eu peur qu’il éjacule remplissant sa protection.
Je me suis relevée, je l’ai tirée jusqu’au canapé où je suis tombée en arrière en même temps que mon déshabillé.
Je l’ai guidé en moi au moment où il a déchargé, mais il était déjà au fond de ma chatte.
• Reste, continu à me pénétrer, tu vas voir ça va repartir, je suis sûr qu’à ton âge ça repart toujours !
Pour repartir, c’est reparti, je jouis autant que Karl...
Non, aucune comparaison, mon légionnaire voulait m’épouser, Christopher l’a fait.
Je sais, dix-huit ans d’écart entre nous, je le sais et je le saurai toujours à chaque anniversaire de Sophie.
Comme il est dit « lorsque l’on aime il faut éviter de compter. » En ce moment, il est devant moi dans notre jardin.
Il finit de planter des pivoines fleurs qui étaient dans le bouquet qu’il avait apporté et qui au bout de deux jours que nous avons intégralement à baiser et à rebaiser toujours et encore a fini à la poubelle.
Mes amants, ceux qui avaient été résistants, m’avaient appris une grande partie du kamasoutra que je me suis efforcée à transmettre à celui qui m’a passé une alliance après une bague de fiançailles.
Si ma fille a accepté mon mariage, quand je lui ai dit que j’avais appris qu’elles étaient lesbiennes et en couple avec Marlène, Chantal ma belle-mère le même âge que moi ça a été bien différent.
Âge plus le fait que je lui volais son fils s’était trop jusqu’à deux faits qui se sont produits.
Une nourriture adaptée que je faisais pour son fils alors qu’elle part facilitée était plutôt burgers frites, que salade jambon.
De plus, le sport que nous pratiquons en extérieur l’été et en salle l’hiver, a fait fondre les kilos superflus de mon mari.
Il y a aussi, le métier qu’il a embrassé avec mon aide, peu doué pour les études, il se destinait à être paysagiste, ce qu’il est devenu et l’entreprise que nous avons créée.
Nous avons de nombreux contrats à honorer et ce travail physique entretient notre ligne.
Le deuxième fait ayant calmé Chantal, c’est quand je pose ma main sur mon ventre et que je sens son petit-fils ou sa petite-fille en moi.
Avec Christopher, nous voulons découvrir son sexe à la naissance, mais elle a hâte de le serrer dans ses bras.
Tante Sophie est loin d’être la dernière à être pressé que j’accouche pour bercer son petit frère ou sa petite sœur.
Avec Marlène elle parle mariage et enfant les deux étant possible en France.
Ce sera elle qui sera mère, car son amie a un problème gynécologique de naissance et est dans l’incapacité d’enfanter.
Bref, qui a dit que j’aurais dû éviter de m’en faire il y a quelques mois et que je suis aller chercher la fille en retard de sa soirée, moi certainement pas.
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