COLLECTION JEUNES – VIEUX. L’amour, toujours l’amour (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNES – VIEUX. L’amour, toujours l’amour (1/1)
Notre histoire commence lors de notre anniversaire.
Noëlle est née le même jour à la même heure dans la même clinique et c’est pour cela que je m’appelle Noël.
Nos mères sont des copines et je me suis toujours demandé si l’une avait téléphoné à l’autre le moment où elles se sont fait sauter par leur mari pour qu’ils leur déversent du sperme au même moment dans leurs chattes.
Petit, c’était au bois de Vincennes que nous nous rencontrions.
J’adorais lui tirer les nattes jusqu’au moment où elle allait se plaindre à nos mères qui papotaient entre elles.
Bien sûr, depuis l’âge de trois ans, nous étions dans la même classe en maternel.
Tout a continué en CP à l’âge de six ans.
Nous avions dix ans et nous venions toujours jouer à la balançoire et tourner sur les chevaux de bois où il fallait attraper des anneaux.
Nos mères étaient assises sur un banc et continuaient à papoter entre elles.
Alors que Noëlle poussait son landau, je suis venu prendre dans un sac mes soldats de plomb, je l’ai fait sans que nos mères me voient, tellement attentionnées à ce qu’elles se disaient.
Malgré mon âge, c’est ce jour-là que j’apprends qu’il est très bon pour une femme mariée de se faire défoncer par le facteur pour l’une et le fils des voisins pour l’autre.
J’ignorais comment on pouvait défoncer une femme.
J’avais entendu à la télévision qu’un camion de quarante tonnes avait défoncé une maison, mais lorsque je les regardais, il m’était difficile de voir un quarante tonnes les défoncer.
J’hésitais dans mon choix, car comme je l’ai dit, j’étais trop petit pour comprendre la portée des mots prononcés.
- Sabine, pourquoi cocufies-tu ton mari ?
La réponse a fusé.
- Mon mari me baise mal.
Que « cocufier » voulait dire dans leur conversation !
Pourquoi ma mère parlait de baiser alors que dès qu’elle était avec mon père, ils s’embrassaient ?
- Pour le mien, Gladys tout était parfait, mais lorsque j’ai vu le bâton de ce jeune garçon, je l’ai voulu tout de suite dans ma grotte.
Les adultes sont compliqués, j’ai un bâton dans notre jardin mais où y a-t-il une grotte où le ranger ?
La conversation dure pendant de nombreuses minutes arrivant à comprendre un mot sur dix.
Ma mère d’un coup m’a cherché et quand elle a vu que j’étais derrière elle, la conversation est devenue plus conventionnelle.
La vie a duré comme cela jusqu’aux jours où j’ai eu dix-sept ans.
Depuis l’âge de douze ans le bois de Vincennes nous emmerdait et j’avais l’habitude d’aller chez Noëlle regarder Dorothé.
Je venais d’avoir dix-sept ans donc, un mercredi je suis allé voir mon amie presque ma sœur.
Sa mère m’a dit que son père l’avait emmenée pour une semaine de vacances de ski, ça s’était décidé au dernier moment et c’est pour cela que je l’ignorais.
J’étais au courant que ses parents avaient divorcé quelques mois plus tôt.
Son père avait surpris sa mère se faisant sauter par le mari de la voisine qui était le père du fils qui se servait de son bâton dans sa grotte quelques années plus tôt.
Bien sûr, depuis mes quatorze ans, j’avais mis des images sur tous ces mots entendus derrière leur dos alors qu’elles parlaient sur leur banc.
La copine, trompait son mari et papa était cocu.
À 15 ans, j’aurais pu éviter ce divorce en lui disant au mari l’avoir vu sauter ma propre mère chez nous sur la table du salon !
J’étais rentré plus tôt, car les profs avaient déclenché une grève préventive au collège.
J’avais préféré me taire, car ils ne faisaient peut-être pas de mal et plusieurs mots comme sodomise-moi, ou prends-moi à fond risquaient de faire du mal à mon propre père.
Ce matin, donc, lorsque je rentre dans la cuisine, la mère de Noëlle faisait la vaisselle revêtue seulement d’une petite culotte rose les seins nus.
Ses seins, je les connaissais déjà, les ayant souvent vus l’été.
Noëlle et sa mère bronzaient les seins nus sur des transats.
Ma copine avait des œufs sur le plat alors que sa mère avait de vrais obus.
Ce que j’avais tu, c’est que depuis l’âge de 14 ans, je savais avoir une verge et que depuis quelque temps quand je me remémorais ce que j’avais vu dans la journée, elle devenait toute dure.
Un soir, j’ignorais pourquoi, je l’ai tenu fortement et j’ai senti qu’en bougeant ma main rapidement, j’arrivais à la faire cracher du liquide qui giclait dans tous les sens en me donnant de longs frissons dans le dos.
Là encore, je venais de découvrir la masturbation.
C’était agréable et pendant les mois qui ont suivi, je le faisais chaque fois que j’étais seul surtout dans mon lit.
Pour la première fois, la vision de cette femme nue dans sa cuisine m’a fait relever la verge.
Je me suis approché et lorsqu’elle a senti la dureté de ma bite, elle s’est retournée.
Je m’attendais à prendre une baffe, mais elle a réagi différemment.
- Je suis contente que tu deviennes entreprenant, je vais bien m’occuper de ton bâton dans ma petite chatte.
Avant de m’embrasser, premier baisé de puceau, nos bouches séparées, c’est en faisant glisser son slip qu’elle m’a fait descendre à l’étage inférieur.
- Ma grotte, est à toi, broute là.
Les mots incompréhensifs de ma jeunesse sont remontés à la surface.
Bâton et grotte prenait corps, ma langue ayant trouvé son clitoris.
Corps, car comme je l’ai dit, je m’éveillais à la sexualité, je connaissais tout sans avoir pratiqué.
- Sabine, je vais te baiser, je vais prendre ta grotte avec mon bâton.
- Avant, bouffe-moi la chatte, depuis mon divorce, chaque fois que je te vois, je mouille comme une salope.
Je découvrais la chatte rasée d’une femme en même temps que je découvrais les mots crus qu’elle aimait employer.
Je mettais en phase comme dans un puzzle les mots et les gestes que je faisais pour la première fois.
- C’est ignoble de me faire baiser par le copain de ma fille, tu es si jeune, mais j’ai tellement envie de ta queue.
Oui bouffe-moi le clito.
Lorsque j’ai pris le premier jet d’urine dans ma figue malgré mes débuts de connaissance, sans pratique comme je l’ai dit, j’ai cru à de la pisse.
Pourtant la pisse, je connaissais, celle de Noëlle sa fille.
Ça peut paraître étrange surtout que comme je l’ai dit nous étions comme frère et sœur.
Depuis le premier jour de notre rencontre jusqu’à ce jour, pas la moindre pensée lubrique c’est normal avec une sœur.
C’est lors de notre bizutage à l’entrée du lycée que ceux de terminale nous ont fait pisser dans des gobelets.
On m’a imposé de boire la pisse de Noëlle et elle, la mienne.
Le bizutage était interdit et nous savions malgré cela, que si nous refusions, c’était l’assurance d’avoir une vie infernale dans ce lycée Prévert jusqu’au bac.
Le goût, plus fort état différent de ce goût un peu fade.
- Oui, bois ma cyprine, putain je gicle comme une fontaine.
Exact, elle sort ses mots dont certains me sont inconnus, mais ça me confirmait, alors que je reçois une nouvelle giclée, que ce qu’elle appelle cyprine, est tout autre chose.
- Tient essuie-toi et baise-moi.
Attends avant je vais te sucer.
Alors que je remonte prenant le torchon au passage, Sabine descendant à l’étage inférieur.
Ma bite est au meilleur de sa forme et rapidement, j’ai senti sa langue parcourir ma verge.
Sabine me suçait et même mon gland.
Je suis à deux doigts de lui donner le torchon pour qu’elle essuie mes jets de sperme quand elle remonte sentant certainement la pression qui monte en moi.
Un nouveau passage par nos bouches et nos langues et elle met son pied sur le plan de travail s’ouvrant à ma pénétration.
Anh.
Je rentre un peu, Sabine me regarde les yeux embués de désir.
Anh.
Je rentre un peu plus.
Anh.
Je prends mon temps savourant mon dépucelage.
Anh, Anh.
C’est fait ma bite est entièrement entré, j’ai fini d’être vierge surtout que je suis capricorne.
Q
And, c’est fait mon bâton dans sa grotte la mère de ma meilleure amie m’a fait homme.
Dans les jours qui ont suivi et tout l’été je suis venu jouer avec sa grotte.
Nous le faisions à l’abri des regards de Noelle, de vrais amants incestueux.
Hélas, tous amours surtout celles pour la simple baise ont une fin.
Sabine, sans travail a déménagé dans le nord-ouest de Paris après avoir trouvé un emploi à l’autre bout d’où nous habitions.
Noelle, elle, a rejoint son père à Bordeaux, me privant de sa personne alors que sa voix je l’entends tous les jours, mais au téléphone pendant 5 ans.
- Noelle veux-tu prendre Noelle comme époux ?
- Oui, je le veux.
- Noël et toi ?
- Oui, je le veux.
Voilà, je viens de convoler en justes noces, j’ai souvent entendu dire qu’il fallait
Demander sa promise en mariage de façon la plus insolite possible.
C’est un genou à terre mon téléphone posé sur mon lit que je l’ai demandé en mariage.
Je lui avais envoyé un cadeau que je savais être reçu.
Je lui ai dit les mots qu’elle voulait entendre depuis quelques semaines que je lui ai dit.
- Noelle, veux-tu m’épouser.
- Oui Noël, je passe à mon doigt cet anneau, gage de notre amour.
Aujourd’hui, nous nous sommes bien sûr retrouvés pour convoler.
C’est à Bordeaux que la cérémonie a lieu.
Dans un coin de ma tête, je crains le moment ou je vais retrouver Sabine la mère de la mariée et l’amante de son futur gendre.
Aucune crainte, c’est en me demandant de danser avec elle, que nos corps ont effectué un nouveau rapprochement.
- Je vois que tu bandes toujours aussi facilement !
Aucun souci, tu sais l’orientation que j’ai donnée à ma vie.
Rends ma fille heureuse et faite nous de beaux petits enfants avec Noelle.
On vous attend pour nos noces dans trois mois.
L’orientation et ses noces je la vois quand ma mère vient récupérer sa future femme.
Devant le père de Noelle, le mien ayant refusé de venir.
Sabine entame un slow avec Gladys.
J’en fais de même avec la mariée.
À un détour de piste, je l’embrasse alors que Gladys et Solange en font de même.
Lorsque je porte ma femme afin de passer la chambre de l’hôtel ou je suis descendu, notre chambre, la 103.
Les deux femmes ont la 101 et mon beau-père la 105.
Dans la 101, deux femmes qui se sont trouvées continuent à se découvrir dans l’amour lesbien.
Dans la 105, mon beau-père s'astique la verge pour se soulager, hélas seul.
Et dans la 103.
Anh !
Anh !
Anh, Anh.
Je suis au fond de la grotte de ma femme, je viens de la dépuceler.
Un denier point, c’est dans un petit village près de Limoges, à égale distance de Paris et Bordeaux, que nous faisons épanouir notre amour.
Nous sommes prof des écoles tous les deux et nous assurerons l’éducation de tous les enfants du village.
Il est hors de question, que mon fils que nous attendons pour Noël puisse entendre sa mère parler de ses amours incestueuses.
Fidèle jusqu’à la fin de nos jours.
Noëlle est née le même jour à la même heure dans la même clinique et c’est pour cela que je m’appelle Noël.
Nos mères sont des copines et je me suis toujours demandé si l’une avait téléphoné à l’autre le moment où elles se sont fait sauter par leur mari pour qu’ils leur déversent du sperme au même moment dans leurs chattes.
Petit, c’était au bois de Vincennes que nous nous rencontrions.
J’adorais lui tirer les nattes jusqu’au moment où elle allait se plaindre à nos mères qui papotaient entre elles.
Bien sûr, depuis l’âge de trois ans, nous étions dans la même classe en maternel.
Tout a continué en CP à l’âge de six ans.
Nous avions dix ans et nous venions toujours jouer à la balançoire et tourner sur les chevaux de bois où il fallait attraper des anneaux.
Nos mères étaient assises sur un banc et continuaient à papoter entre elles.
Alors que Noëlle poussait son landau, je suis venu prendre dans un sac mes soldats de plomb, je l’ai fait sans que nos mères me voient, tellement attentionnées à ce qu’elles se disaient.
Malgré mon âge, c’est ce jour-là que j’apprends qu’il est très bon pour une femme mariée de se faire défoncer par le facteur pour l’une et le fils des voisins pour l’autre.
J’ignorais comment on pouvait défoncer une femme.
J’avais entendu à la télévision qu’un camion de quarante tonnes avait défoncé une maison, mais lorsque je les regardais, il m’était difficile de voir un quarante tonnes les défoncer.
J’hésitais dans mon choix, car comme je l’ai dit, j’étais trop petit pour comprendre la portée des mots prononcés.
- Sabine, pourquoi cocufies-tu ton mari ?
La réponse a fusé.
- Mon mari me baise mal.
Que « cocufier » voulait dire dans leur conversation !
Pourquoi ma mère parlait de baiser alors que dès qu’elle était avec mon père, ils s’embrassaient ?
- Pour le mien, Gladys tout était parfait, mais lorsque j’ai vu le bâton de ce jeune garçon, je l’ai voulu tout de suite dans ma grotte.
Les adultes sont compliqués, j’ai un bâton dans notre jardin mais où y a-t-il une grotte où le ranger ?
La conversation dure pendant de nombreuses minutes arrivant à comprendre un mot sur dix.
Ma mère d’un coup m’a cherché et quand elle a vu que j’étais derrière elle, la conversation est devenue plus conventionnelle.
La vie a duré comme cela jusqu’aux jours où j’ai eu dix-sept ans.
Depuis l’âge de douze ans le bois de Vincennes nous emmerdait et j’avais l’habitude d’aller chez Noëlle regarder Dorothé.
Je venais d’avoir dix-sept ans donc, un mercredi je suis allé voir mon amie presque ma sœur.
Sa mère m’a dit que son père l’avait emmenée pour une semaine de vacances de ski, ça s’était décidé au dernier moment et c’est pour cela que je l’ignorais.
J’étais au courant que ses parents avaient divorcé quelques mois plus tôt.
Son père avait surpris sa mère se faisant sauter par le mari de la voisine qui était le père du fils qui se servait de son bâton dans sa grotte quelques années plus tôt.
Bien sûr, depuis mes quatorze ans, j’avais mis des images sur tous ces mots entendus derrière leur dos alors qu’elles parlaient sur leur banc.
La copine, trompait son mari et papa était cocu.
À 15 ans, j’aurais pu éviter ce divorce en lui disant au mari l’avoir vu sauter ma propre mère chez nous sur la table du salon !
J’étais rentré plus tôt, car les profs avaient déclenché une grève préventive au collège.
J’avais préféré me taire, car ils ne faisaient peut-être pas de mal et plusieurs mots comme sodomise-moi, ou prends-moi à fond risquaient de faire du mal à mon propre père.
Ce matin, donc, lorsque je rentre dans la cuisine, la mère de Noëlle faisait la vaisselle revêtue seulement d’une petite culotte rose les seins nus.
Ses seins, je les connaissais déjà, les ayant souvent vus l’été.
Noëlle et sa mère bronzaient les seins nus sur des transats.
Ma copine avait des œufs sur le plat alors que sa mère avait de vrais obus.
Ce que j’avais tu, c’est que depuis l’âge de 14 ans, je savais avoir une verge et que depuis quelque temps quand je me remémorais ce que j’avais vu dans la journée, elle devenait toute dure.
Un soir, j’ignorais pourquoi, je l’ai tenu fortement et j’ai senti qu’en bougeant ma main rapidement, j’arrivais à la faire cracher du liquide qui giclait dans tous les sens en me donnant de longs frissons dans le dos.
Là encore, je venais de découvrir la masturbation.
C’était agréable et pendant les mois qui ont suivi, je le faisais chaque fois que j’étais seul surtout dans mon lit.
Pour la première fois, la vision de cette femme nue dans sa cuisine m’a fait relever la verge.
Je me suis approché et lorsqu’elle a senti la dureté de ma bite, elle s’est retournée.
Je m’attendais à prendre une baffe, mais elle a réagi différemment.
- Je suis contente que tu deviennes entreprenant, je vais bien m’occuper de ton bâton dans ma petite chatte.
Avant de m’embrasser, premier baisé de puceau, nos bouches séparées, c’est en faisant glisser son slip qu’elle m’a fait descendre à l’étage inférieur.
- Ma grotte, est à toi, broute là.
Les mots incompréhensifs de ma jeunesse sont remontés à la surface.
Bâton et grotte prenait corps, ma langue ayant trouvé son clitoris.
Corps, car comme je l’ai dit, je m’éveillais à la sexualité, je connaissais tout sans avoir pratiqué.
- Sabine, je vais te baiser, je vais prendre ta grotte avec mon bâton.
- Avant, bouffe-moi la chatte, depuis mon divorce, chaque fois que je te vois, je mouille comme une salope.
Je découvrais la chatte rasée d’une femme en même temps que je découvrais les mots crus qu’elle aimait employer.
Je mettais en phase comme dans un puzzle les mots et les gestes que je faisais pour la première fois.
- C’est ignoble de me faire baiser par le copain de ma fille, tu es si jeune, mais j’ai tellement envie de ta queue.
Oui bouffe-moi le clito.
Lorsque j’ai pris le premier jet d’urine dans ma figue malgré mes débuts de connaissance, sans pratique comme je l’ai dit, j’ai cru à de la pisse.
Pourtant la pisse, je connaissais, celle de Noëlle sa fille.
Ça peut paraître étrange surtout que comme je l’ai dit nous étions comme frère et sœur.
Depuis le premier jour de notre rencontre jusqu’à ce jour, pas la moindre pensée lubrique c’est normal avec une sœur.
C’est lors de notre bizutage à l’entrée du lycée que ceux de terminale nous ont fait pisser dans des gobelets.
On m’a imposé de boire la pisse de Noëlle et elle, la mienne.
Le bizutage était interdit et nous savions malgré cela, que si nous refusions, c’était l’assurance d’avoir une vie infernale dans ce lycée Prévert jusqu’au bac.
Le goût, plus fort état différent de ce goût un peu fade.
- Oui, bois ma cyprine, putain je gicle comme une fontaine.
Exact, elle sort ses mots dont certains me sont inconnus, mais ça me confirmait, alors que je reçois une nouvelle giclée, que ce qu’elle appelle cyprine, est tout autre chose.
- Tient essuie-toi et baise-moi.
Attends avant je vais te sucer.
Alors que je remonte prenant le torchon au passage, Sabine descendant à l’étage inférieur.
Ma bite est au meilleur de sa forme et rapidement, j’ai senti sa langue parcourir ma verge.
Sabine me suçait et même mon gland.
Je suis à deux doigts de lui donner le torchon pour qu’elle essuie mes jets de sperme quand elle remonte sentant certainement la pression qui monte en moi.
Un nouveau passage par nos bouches et nos langues et elle met son pied sur le plan de travail s’ouvrant à ma pénétration.
Anh.
Je rentre un peu, Sabine me regarde les yeux embués de désir.
Anh.
Je rentre un peu plus.
Anh.
Je prends mon temps savourant mon dépucelage.
Anh, Anh.
C’est fait ma bite est entièrement entré, j’ai fini d’être vierge surtout que je suis capricorne.
Q
And, c’est fait mon bâton dans sa grotte la mère de ma meilleure amie m’a fait homme.
Dans les jours qui ont suivi et tout l’été je suis venu jouer avec sa grotte.
Nous le faisions à l’abri des regards de Noelle, de vrais amants incestueux.
Hélas, tous amours surtout celles pour la simple baise ont une fin.
Sabine, sans travail a déménagé dans le nord-ouest de Paris après avoir trouvé un emploi à l’autre bout d’où nous habitions.
Noelle, elle, a rejoint son père à Bordeaux, me privant de sa personne alors que sa voix je l’entends tous les jours, mais au téléphone pendant 5 ans.
- Noelle veux-tu prendre Noelle comme époux ?
- Oui, je le veux.
- Noël et toi ?
- Oui, je le veux.
Voilà, je viens de convoler en justes noces, j’ai souvent entendu dire qu’il fallait
Demander sa promise en mariage de façon la plus insolite possible.
C’est un genou à terre mon téléphone posé sur mon lit que je l’ai demandé en mariage.
Je lui avais envoyé un cadeau que je savais être reçu.
Je lui ai dit les mots qu’elle voulait entendre depuis quelques semaines que je lui ai dit.
- Noelle, veux-tu m’épouser.
- Oui Noël, je passe à mon doigt cet anneau, gage de notre amour.
Aujourd’hui, nous nous sommes bien sûr retrouvés pour convoler.
C’est à Bordeaux que la cérémonie a lieu.
Dans un coin de ma tête, je crains le moment ou je vais retrouver Sabine la mère de la mariée et l’amante de son futur gendre.
Aucune crainte, c’est en me demandant de danser avec elle, que nos corps ont effectué un nouveau rapprochement.
- Je vois que tu bandes toujours aussi facilement !
Aucun souci, tu sais l’orientation que j’ai donnée à ma vie.
Rends ma fille heureuse et faite nous de beaux petits enfants avec Noelle.
On vous attend pour nos noces dans trois mois.
L’orientation et ses noces je la vois quand ma mère vient récupérer sa future femme.
Devant le père de Noelle, le mien ayant refusé de venir.
Sabine entame un slow avec Gladys.
J’en fais de même avec la mariée.
À un détour de piste, je l’embrasse alors que Gladys et Solange en font de même.
Lorsque je porte ma femme afin de passer la chambre de l’hôtel ou je suis descendu, notre chambre, la 103.
Les deux femmes ont la 101 et mon beau-père la 105.
Dans la 101, deux femmes qui se sont trouvées continuent à se découvrir dans l’amour lesbien.
Dans la 105, mon beau-père s'astique la verge pour se soulager, hélas seul.
Et dans la 103.
Anh !
Anh !
Anh, Anh.
Je suis au fond de la grotte de ma femme, je viens de la dépuceler.
Un denier point, c’est dans un petit village près de Limoges, à égale distance de Paris et Bordeaux, que nous faisons épanouir notre amour.
Nous sommes prof des écoles tous les deux et nous assurerons l’éducation de tous les enfants du village.
Il est hors de question, que mon fils que nous attendons pour Noël puisse entendre sa mère parler de ses amours incestueuses.
Fidèle jusqu’à la fin de nos jours.
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