COLLECTION JEUNES – VIEUX. Voyage de noces (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNES – VIEUX. Voyage de noces (5/5)
Ça y est, nous sommes de retour à l’aéroport pour reprendre notre avion pour Paris après notre semaine pour notre voyage de noces.
La famille de ma femme et surtout sa mère était loin des étapes que nous venons de franchir en quelques jours.
Comment belle-maman va accepter ces changements de notre couple et surtout de sa fille ayant bousculé tous les totems de sa famille ?
Belle-maman cul serré et cul béni va-t-elle supporter notre transformation car la nuit dernière Michel et Michelle nous ont fait une offre que nous avons saisie à deux mains, pardon à quatre.
Nous embarquons, notre complicité va jusque dans nos places sur les sièges.
Je m’installe vers le hublot suivi par Michelle qui s’assoie à côté de moi.
Michel en fait de même et c’est ma femme qui prend place à ses côtés.
C’est à ce moment que je me rends compte que nous sommes dans le même avion que lorsque nous sommes venues.
- Je vois que vous avez passé une bonne semaine.
Un peu ironique l’hôtesse une magnifique noire ayant tout ce qu’il faut là où il faut nous interpelle.
C’est le même avion mais aussi le même personnel de bord.
Du moins dans la cabine.
Si elle était withe, j’étais tellement à regarder Claudine qu'elle serait passée inaperçue.
Pourtant j’ai dit que j’aimais les seins et des seins elle en a et des très beaux dans son costume d’hôtesse.
- Voulez-vous du champagne dès que nous aurons décollé ?
- Oh ! oui, amenez même la bouteille.
- La compagnie offre un verre, si vous voulez un bar haut de gamme, il faut prendre une autre compagnie.
- Certainement mais ce serait sans vous et ça ce serait dur à supporter.
- Flatteur avec ça, je pense que vous allez avoir besoin de couverture, il fait froid à Paris, il semble que vous ayez oublié en étant en tong et bermuda.
Coquine l’hôtesse, il est vrai que nous avons oublié ce détail.
À l’aller c’est moi qui avais les ongles de Claudine dans la paume de ma main, là c’est Michel.
Michelle a l’habitude de l’avion après la coupe de champagne, elle s’endort sur mon épaule.
Je comprends mieux les couvertures, quand je me penche je vois la couverture sur les genoux de ma femme et de notre ami bouger à un rythme sans aucune équivoque.
Claudine masturbe Michel.
J’aime regarder la couverture bougée voyant dans ma tête la petite main sur la verge de son amant.
Si on m’avait dit ça à l’aller, j’aurais sans problème dit que j’avais affaire à un fou.
Si j’en doutais encore, quand Michel sort sa main qui devait elle aussi traîner quelque part vers l’intimité de mon amour.
Mon amour celle qui m’avait dit oui me promettant de me chérir jusqu’à ce que la mort nous chérisse.
Il prend un mouchoir en papier qui plonge de nouveau sous la couverture.
L’explosion est proche…
« Mesdames et messieurs, c’est votre commandant de bord qui vous parle.
Le vol a été calme, nous nous poserons à Orly dans dix minutes.
Veuillez attacher vos ceintures. »
- Laisse-moi passer, il faut que j’aille aux toilettes.
- Excuse Claude, j’ai été plus bas que terre surtout avec cette couverture.
Dans les avions quand nous avons décollé je dors.
Tu regardais trop Claudine à l’aller, ça déjà été le cas.
Je me lève, je vais vers les toilettes près du petit local des hôtesses.
Quand je sors, l’hôtesse black aux beaux seins me fait signe de la rejoindre.
- Avec Noah, nous sommes échangistes, voici notre numéro de téléphone, si ça vous dit avec vos amis nous serions heureux de vous accueillir.
Nous avons notre maison dans la vallée de Chevreuse.
Tu m’excuses il faut que nous nous asseyions.
- Je vois avec nos amis et ma femme, j’espère beaucoup te revoir.
Noah et Noamie, c’est le nom qu’elle a sur sa veste d’hôtesse.
N et N, on est poursuivi.
Je mets le numéro de téléphone inscrit sur un petit morceau de papier et je regagne ma place.
Je passe devant Michelle qui en grande coquine qu’elle est me met ses mains aux fesses.
De leur côté Michel subit les ongles de Claudine.
- Que te disait la jeune hôtesse ?
- Regarde, c’est son téléphone, ils sont échangistes avec son mari.
Elle souhaiterait que nous passions une soirée ensemble.
- Tu me permets, donne le papier je sais comment prendre ce genre de contact.
Lui as-tu demandé comment est son mari.
- Et si elle a la chatte rasée.
Nous éclatons de rire au moment où les roues se posent notre fou rire nous empêchent de stresser.
Nous applaudissons comme tous et nous débarquons.
- À bientôt.
- À bientôt.
Nous prenons la passerelle nous menant dans le hall de l’aéroport.
Claudine est à mon bras revenu aux sources.
- Pourquoi as-tu dit à bientôt à cette jolie hôtesse.
- Ce sera une surprise.
Mais dit moi, as-tu aimé branler Michel.
- Ça t’a déplu ?
- Tu verras la surprise.
Nous passons les formalités et nous récupérons nos valises, nous les ouvrons et nous récupérons nos vêtements d’hiver.
Je vois Michel se marrer, maintenant je le connais, ça fait trente ans qu’ils vont au Maroc en février, nous faire rentrer en tenue légère s’étaient nous faire passer pour des cons et il en est fier.
Voilà nous avons quitté nos amis rentrant chez eux.
Nous arrivons chez mes beaux-parents c’est le dimanche.
Louise est chez sa maman.
Quand nous entrons, qu’elle surprises.
Paul a le pantalon au bas des pieds baisant la technicienne de surface.
C’est une grosse femme aux gros seins mais à ce jour, sans me rebuter, je me vois mal être à sa place.
Ils se rajustent et partent chacun de son côté.
Belle-maman est de retour.
Dans la semaine, nous émigrons dans le logement que nos amis nous rétrocèdent gratuitement jusqu’à la fin de nos études pour que nous devenions avocat comme eux.
Cet appartement de quatre pièces s’est une aubaine surtout à Paris et surtout avec un emploi à la clef à Paris.
Nos amis sont propriétaires de leur petit immeuble et l’étude est au rez-de-chaussée.
Michelle a pris contact avec Noamie, qui était à Tunis, elles doivent voir que les trois couples peuvent caler une date où nous pourrons nous retrouver ensemble pour étendre notre nouvelle passion sexuelle.
Surtout quand j’ai le souvenir de Noamie.
Ma belle-mère a semblé soulagé que nous nous assumions même si chaque mois elle continuera à nous faire parvenir la somme du plan d’étude assez important qu’ils avaient fait pour leur fille.
De mon côté je suis mes cours mais je dégrossis déjà des dossiers dès que j’ai du temps.
Quelquefois dans la semaine nous passons la soirée ensemble, j’aime de plus en plus voir Claudine se faire prendre en levrette par Michel pendant qu’elle suce la chatte de la maîtresse de maison.
C’est le jeudi, trois semaines plus tard que Michel nous annonce une surprise pour le lendemain soir.
Nous prenons l’autoroute, les femmes sont habillées en tenue sexy.
Nous sortons à Tours où nous mangeons dans un resto de grande qualité.
Nos amis semblent connus.
La nuit est tombée quand ayant repris leur grosse Audi qu’il s’arrête devant une grosse maison ou il est inscrit « Club privé. »Boîte échangiste fort sympa quand on est à l’intérieur.
Au bar comme il sait le faire Michel commande du champagne.
Deux hommes s’approchent connaissant nos amis.
- On vous emmène mesdames.
- Es-tu partante Claudine, Jacques et John sont des amies, tu verras la cage est sympa ?
Claudine me regarde, comment lui refuser.
Nous les suivons à quelques pas avec Michel.
Il s’installe sur des poufs libres.
Je vois le grand black et son compère aussi bien bâti faire tomber les barrières vestimentaires de nos femmes et entrez dans une cage en barreaux.
Michelle s’accroche aux barres sortant son cul.
Le white vient derrière elle et frotte sa queue qui rapidement prend du volume.
Claudine est plus directe elle est sur ses genoux et la verge noire se retrouve dans sa bouche.
Les mateurs s’agglutinent me cachant rapidement la petite salope qui se révèle lors de notre voyage de noces.
- Louise, que fais-tu là.
- Claude, si ma fille savait que tu vas dans des clubs échangistes.
Belle-maman est en string les seins à l’air.
- Ta fille Louise, si tu écartes tous ces mateurs, tu la verrais se faire prendre par Jacques le black que tu dois connaître.
- Louise, c’est ta belle-maman, à nous elle nous a dit s’appeler Maryse.
Claude sort ta verge, tu verras elle pompe super-bien.
Voilà, ma belle-mère me suce pendant que mon beau-père doit sauter la bonne.
Quand les mateurs se reculent, je vois ma femme prise en double pénétration dans la cage, se fait-elle enculer ou sa chatte est devenue assez large pour recevoir ces deux mâles.
C’est le moment que choisit Michel pour prendre lui aussi ma belle-mère en levrette.
- Claude quand tu me parlais de Louise ta belle-mère une serré du cul, j’ignorais que c’était cette salope de Maryse, regarde, elle aime sucer et aussi se faire enculer.
Je rentre comme dans une motte de beurre, un vrai régal.
Hein ma poule, tu aimes la bite ?
Putain ma belle-mère fait oui de la tête.
Les jours, les semaines prochaines me promettent une existence heureuse.
Louis-Maryse, Michelle, bientôt Noamie et certainement quelques petites salopes que je vois ici fort appétissantes pendant que Claudine se fera baiser par les nombreux beaux gosses de cette boîte échangiste.
Je pense à Paul qui sait que je sais qu’il baise la femme de service avec son gros cul.
Tout pour que je sois le plus heureux des hommes.
À oui, j’oubliais la petite Wafia qui je le pense au regard qu’elle me jetait fera rapidement porter des cornes à son Rod qui semble se croire irrésistible.
Je vais tout faire pour faire venir le couple à Paris.
Si j’en parle à Michel, connaissant le baiseur qu’il est il m’aidera et au lieu que ce soit les deux bellâtres qui prennent ma Claudine en double pénétration, ce sera lui et moi.
Elle est belle la vie surtout en faisant son voyage de noces au Maroc.
La famille de ma femme et surtout sa mère était loin des étapes que nous venons de franchir en quelques jours.
Comment belle-maman va accepter ces changements de notre couple et surtout de sa fille ayant bousculé tous les totems de sa famille ?
Belle-maman cul serré et cul béni va-t-elle supporter notre transformation car la nuit dernière Michel et Michelle nous ont fait une offre que nous avons saisie à deux mains, pardon à quatre.
Nous embarquons, notre complicité va jusque dans nos places sur les sièges.
Je m’installe vers le hublot suivi par Michelle qui s’assoie à côté de moi.
Michel en fait de même et c’est ma femme qui prend place à ses côtés.
C’est à ce moment que je me rends compte que nous sommes dans le même avion que lorsque nous sommes venues.
- Je vois que vous avez passé une bonne semaine.
Un peu ironique l’hôtesse une magnifique noire ayant tout ce qu’il faut là où il faut nous interpelle.
C’est le même avion mais aussi le même personnel de bord.
Du moins dans la cabine.
Si elle était withe, j’étais tellement à regarder Claudine qu'elle serait passée inaperçue.
Pourtant j’ai dit que j’aimais les seins et des seins elle en a et des très beaux dans son costume d’hôtesse.
- Voulez-vous du champagne dès que nous aurons décollé ?
- Oh ! oui, amenez même la bouteille.
- La compagnie offre un verre, si vous voulez un bar haut de gamme, il faut prendre une autre compagnie.
- Certainement mais ce serait sans vous et ça ce serait dur à supporter.
- Flatteur avec ça, je pense que vous allez avoir besoin de couverture, il fait froid à Paris, il semble que vous ayez oublié en étant en tong et bermuda.
Coquine l’hôtesse, il est vrai que nous avons oublié ce détail.
À l’aller c’est moi qui avais les ongles de Claudine dans la paume de ma main, là c’est Michel.
Michelle a l’habitude de l’avion après la coupe de champagne, elle s’endort sur mon épaule.
Je comprends mieux les couvertures, quand je me penche je vois la couverture sur les genoux de ma femme et de notre ami bouger à un rythme sans aucune équivoque.
Claudine masturbe Michel.
J’aime regarder la couverture bougée voyant dans ma tête la petite main sur la verge de son amant.
Si on m’avait dit ça à l’aller, j’aurais sans problème dit que j’avais affaire à un fou.
Si j’en doutais encore, quand Michel sort sa main qui devait elle aussi traîner quelque part vers l’intimité de mon amour.
Mon amour celle qui m’avait dit oui me promettant de me chérir jusqu’à ce que la mort nous chérisse.
Il prend un mouchoir en papier qui plonge de nouveau sous la couverture.
L’explosion est proche…
« Mesdames et messieurs, c’est votre commandant de bord qui vous parle.
Le vol a été calme, nous nous poserons à Orly dans dix minutes.
Veuillez attacher vos ceintures. »
- Laisse-moi passer, il faut que j’aille aux toilettes.
- Excuse Claude, j’ai été plus bas que terre surtout avec cette couverture.
Dans les avions quand nous avons décollé je dors.
Tu regardais trop Claudine à l’aller, ça déjà été le cas.
Je me lève, je vais vers les toilettes près du petit local des hôtesses.
Quand je sors, l’hôtesse black aux beaux seins me fait signe de la rejoindre.
- Avec Noah, nous sommes échangistes, voici notre numéro de téléphone, si ça vous dit avec vos amis nous serions heureux de vous accueillir.
Nous avons notre maison dans la vallée de Chevreuse.
Tu m’excuses il faut que nous nous asseyions.
- Je vois avec nos amis et ma femme, j’espère beaucoup te revoir.
Noah et Noamie, c’est le nom qu’elle a sur sa veste d’hôtesse.
N et N, on est poursuivi.
Je mets le numéro de téléphone inscrit sur un petit morceau de papier et je regagne ma place.
Je passe devant Michelle qui en grande coquine qu’elle est me met ses mains aux fesses.
De leur côté Michel subit les ongles de Claudine.
- Que te disait la jeune hôtesse ?
- Regarde, c’est son téléphone, ils sont échangistes avec son mari.
Elle souhaiterait que nous passions une soirée ensemble.
- Tu me permets, donne le papier je sais comment prendre ce genre de contact.
Lui as-tu demandé comment est son mari.
- Et si elle a la chatte rasée.
Nous éclatons de rire au moment où les roues se posent notre fou rire nous empêchent de stresser.
Nous applaudissons comme tous et nous débarquons.
- À bientôt.
- À bientôt.
Nous prenons la passerelle nous menant dans le hall de l’aéroport.
Claudine est à mon bras revenu aux sources.
- Pourquoi as-tu dit à bientôt à cette jolie hôtesse.
- Ce sera une surprise.
Mais dit moi, as-tu aimé branler Michel.
- Ça t’a déplu ?
- Tu verras la surprise.
Nous passons les formalités et nous récupérons nos valises, nous les ouvrons et nous récupérons nos vêtements d’hiver.
Je vois Michel se marrer, maintenant je le connais, ça fait trente ans qu’ils vont au Maroc en février, nous faire rentrer en tenue légère s’étaient nous faire passer pour des cons et il en est fier.
Voilà nous avons quitté nos amis rentrant chez eux.
Nous arrivons chez mes beaux-parents c’est le dimanche.
Louise est chez sa maman.
Quand nous entrons, qu’elle surprises.
Paul a le pantalon au bas des pieds baisant la technicienne de surface.
C’est une grosse femme aux gros seins mais à ce jour, sans me rebuter, je me vois mal être à sa place.
Ils se rajustent et partent chacun de son côté.
Belle-maman est de retour.
Dans la semaine, nous émigrons dans le logement que nos amis nous rétrocèdent gratuitement jusqu’à la fin de nos études pour que nous devenions avocat comme eux.
Cet appartement de quatre pièces s’est une aubaine surtout à Paris et surtout avec un emploi à la clef à Paris.
Nos amis sont propriétaires de leur petit immeuble et l’étude est au rez-de-chaussée.
Michelle a pris contact avec Noamie, qui était à Tunis, elles doivent voir que les trois couples peuvent caler une date où nous pourrons nous retrouver ensemble pour étendre notre nouvelle passion sexuelle.
Surtout quand j’ai le souvenir de Noamie.
Ma belle-mère a semblé soulagé que nous nous assumions même si chaque mois elle continuera à nous faire parvenir la somme du plan d’étude assez important qu’ils avaient fait pour leur fille.
De mon côté je suis mes cours mais je dégrossis déjà des dossiers dès que j’ai du temps.
Quelquefois dans la semaine nous passons la soirée ensemble, j’aime de plus en plus voir Claudine se faire prendre en levrette par Michel pendant qu’elle suce la chatte de la maîtresse de maison.
C’est le jeudi, trois semaines plus tard que Michel nous annonce une surprise pour le lendemain soir.
Nous prenons l’autoroute, les femmes sont habillées en tenue sexy.
Nous sortons à Tours où nous mangeons dans un resto de grande qualité.
Nos amis semblent connus.
La nuit est tombée quand ayant repris leur grosse Audi qu’il s’arrête devant une grosse maison ou il est inscrit « Club privé. »Boîte échangiste fort sympa quand on est à l’intérieur.
Au bar comme il sait le faire Michel commande du champagne.
Deux hommes s’approchent connaissant nos amis.
- On vous emmène mesdames.
- Es-tu partante Claudine, Jacques et John sont des amies, tu verras la cage est sympa ?
Claudine me regarde, comment lui refuser.
Nous les suivons à quelques pas avec Michel.
Il s’installe sur des poufs libres.
Je vois le grand black et son compère aussi bien bâti faire tomber les barrières vestimentaires de nos femmes et entrez dans une cage en barreaux.
Michelle s’accroche aux barres sortant son cul.
Le white vient derrière elle et frotte sa queue qui rapidement prend du volume.
Claudine est plus directe elle est sur ses genoux et la verge noire se retrouve dans sa bouche.
Les mateurs s’agglutinent me cachant rapidement la petite salope qui se révèle lors de notre voyage de noces.
- Louise, que fais-tu là.
- Claude, si ma fille savait que tu vas dans des clubs échangistes.
Belle-maman est en string les seins à l’air.
- Ta fille Louise, si tu écartes tous ces mateurs, tu la verrais se faire prendre par Jacques le black que tu dois connaître.
- Louise, c’est ta belle-maman, à nous elle nous a dit s’appeler Maryse.
Claude sort ta verge, tu verras elle pompe super-bien.
Voilà, ma belle-mère me suce pendant que mon beau-père doit sauter la bonne.
Quand les mateurs se reculent, je vois ma femme prise en double pénétration dans la cage, se fait-elle enculer ou sa chatte est devenue assez large pour recevoir ces deux mâles.
C’est le moment que choisit Michel pour prendre lui aussi ma belle-mère en levrette.
- Claude quand tu me parlais de Louise ta belle-mère une serré du cul, j’ignorais que c’était cette salope de Maryse, regarde, elle aime sucer et aussi se faire enculer.
Je rentre comme dans une motte de beurre, un vrai régal.
Hein ma poule, tu aimes la bite ?
Putain ma belle-mère fait oui de la tête.
Les jours, les semaines prochaines me promettent une existence heureuse.
Louis-Maryse, Michelle, bientôt Noamie et certainement quelques petites salopes que je vois ici fort appétissantes pendant que Claudine se fera baiser par les nombreux beaux gosses de cette boîte échangiste.
Je pense à Paul qui sait que je sais qu’il baise la femme de service avec son gros cul.
Tout pour que je sois le plus heureux des hommes.
À oui, j’oubliais la petite Wafia qui je le pense au regard qu’elle me jetait fera rapidement porter des cornes à son Rod qui semble se croire irrésistible.
Je vais tout faire pour faire venir le couple à Paris.
Si j’en parle à Michel, connaissant le baiseur qu’il est il m’aidera et au lieu que ce soit les deux bellâtres qui prennent ma Claudine en double pénétration, ce sera lui et moi.
Elle est belle la vie surtout en faisant son voyage de noces au Maroc.
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