COLLECTION LE MARIN. Dee de Houston (2/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Dee de Houston (2/5)
C’est assis, dans la Porche, que Dee m’emmène vers un lieu sans que j’en prenne conscience.
Dee magnifique jeune femme de 22 ans alors que j’ai 20 ans grande femme brune avec des cheveux possédant une queue-de-cheval tenue par un bandeau me conduit dans sa Porche.
Que j’aimerais conduire une telle voiture, mais aussi espérant secrètement conduire une aussi jolie plante.
Il faut que je sache si c’est vers le nirvana que je pars ou si je vais me retrouver au pied de la passerelle du Totor.
Alors qu’elle conduit d’une main, l’autre posée sur le levier de vitesses, je pause la mienne sur la sienne.
Elle me regarde et me sourit me promettant par ce regard de m’appartenir.
Dee finit par garer sa voiture devant une maison, type mixte, plutôt maison avec un bout rapporté.
Elle gare la Porche à côté d’une Chevrolet flambant neuve.
Une porte, un escalier et j’entre dans une chambre, si une fille vous emmène dans tel lieu, c’est pour baiser et non enfiler des perles.
Je la prends dans les bras et de nouveau je lui fais goûter les plaisirs d’un French Kiss sans aucune retenue de sa part, sa langue semblant aimer s’enrouler autour de la mienne.
Nous sommes tendrement enlacés lorsqu’elle brise notre étreinte se reculant.
Dans la chambre, dès que je suis entrée, j’ai vu cette cabine de douche avec une porte de verre.
Un tel modernisme, c’est ici aux Amériques que dans les années 60 nous pouvons le trouver.
Ils nous ont déjà envoyé le Formica ma mère étant très fière de sa nouvelle cuisine jaune citron.
Au moment où je relate mon escale à Houston, ils ont fait beaucoup plus dans l’horreur avec dix ans de décalage pour commencer par les grands centres commerciaux ayant tué une partie du petit commerce.
Mais revenons à Dee qui se détache de moi, sur le parking avant de me conduire chez elle.
Je lui avais expliqué être obligé de venir pointer à 7 heures au bateau avant d’être de nouveau permissionnaire à 9 heures.
Cette obligation est faite pour rechercher le plus rapidement possible des déserteurs potentiels.
Je commence à ouvrir sa robe, elle a un soutien-gorge, véritable forteresse de ces années 60.
Quand j’ai commencé à parler de Dee, j’ignorais que je me retrouverais confronté à un choc de civilisations.
Mon grand-père est mort dans ces années-là, s’il nous revenait, pourrait-il vivre dans ce monde complètement bouleversé par le modernisme.
Bref, elle m’aide et je peux faire tomber sa robe, m’apparaissant en culotte.
Elle se détache de moi, ouvre une armoire et prend un peignoir.
• Que prends-tu au petit déjeuner, thé ou café ?
• Café !
• Je reviens, je vais faire le nécessaire.
Prends ta douche en m’attendant.
Il va de soi que nous parlons en Anglais et que certains mots m’échappent, mais globalement nous nous en sortons, même si je lui parle en petit nègre.
Elle quitte la chambre par une porte voisine de la cabine de douche.
L’eau est bien chaude, je me savonne, chez nous un savon de Marseille, ici, un flacon de plastique rempli de matière visqueuse.
Rincé, Dee est toujours dans l’autre partie de la maison, je me sèche avec la serviette qu’elle a posée à la sortie de la douche.
Je m’allonge sur le lit deux places, on voit que Dee à son page a cherché son indépendance.
Je sais qu’elle a acheté une boutique dans la galerie du centre où notre ami breton m’a permis de la rencontrer.
Elle vend des disques et doit me faire visiter son univers demain après que je sois passé à mon bateau.
Tient, c’est vrai lorsqu’elle m’a dit ça et que nous sommes partis avec la voiture, le fait qu’elle me parle de demain, c’était impossible qu’elle me largue sur mon bateau.
Elle me veut et je vais lui faire voir comment un Français héritier de La Fayette sait satisfaire une de ses descendantes.
Certes, nous sommes à Houston, mais ça vaut bien l’État de Louisiane ou Lafayette même si c’est Bâton Rouge, la capitale y a laissé une ville à une cinquantaine de kilomètres l’une de l’autre.
On peut toujours se dire que dans quelques jours lorsque nous remonterons le golfe du Mexique, nous longerons à quelques nœuds marins cet état sans pour autant nous y arrêter.
Je suis nu sur le lit, un peu fébrile lorsqu’elle revient.
• Soit patient, je vais à mon tour prendre une douche, je vois que tu es impatient mon gentil Français.
Il est vrai que Dee est tellement belle, que je commence à bander sans pour autant avoir besoin de me masturber.
Elle fait tomber son peignoir, m’apparaissant une fraction de seconde nue avant d’entrer à son tour dans la douche.
On peut penser mon état, la voyant se savonner la chatte au travers de la vitre légèrement opaque, mais pas assez pour me cacher les trésors que je vais conquérir.
On peut comprendre que j’ai du mal à me contenir, aussi je saute au sol, j’ouvre la porte malgré l’eau qui coule sur le devant et je viens plaquer ma belle le long de la paroi opposée.
L’eau tombant en cascade sur mon visage, me fait perdre une seconde avant de m’habituer, mais ma main empoignant son sein m’aide à trouver mon chemin.
• Chris que fais-tu, c’est comme ça que vous honorez vos aimés en France !
Je sens votre sexe contre mes fesses.
• Dee, as-tu aimé les French Kiss, écarte tes jambes, je vais te faire connaitre le plaisir avec ma bite.
Avec le temps, j’ignore si en Anglais, j’ai pu lui dire tout cela, ce dont je me souviens c’est qu’elle a écarté sa jambe et que j’ai pu pénétrer son sexe.
Merci mesdames, mes maîtresses femmes mariées lors de mai 68 que j’ai passé en permission après mon premier tour du monde de m’avoir appris à baiser là où nous en avions envie.
Merci mesdames mes maîtresses femmes mariées de m’avoir appris à me calmer lorsque je suis dans le sexe de la belle qui se donne.
Dee tourne la tête, malgré la flotte, nos regards se croisent et c’est en prenant mon temps que je glisse en elle en ressortant, faisant attention à ce qu’un morceau de ma bite soit toujours au fond de son vagin que nous nous embrassons.
C’est dans ma bouche que je reçois ses plaintes de plaisir quand j’arrive pour la première fois à la faire éclater de plaisir.
J’arrête l’eau sortant de son tabernacle, ayant gardé ma jouissance malgré les jours de mer et ma bite en feu.
Nous sortons de cet espace restreint pour mieux nous essuyer, l’un l’autre.
Ma tension redescend, elle un peu moins, à un moment je dois la rattraper ses jambes flageolantes.
• Oh ! my good, que m’as-tu fait Chris, c’est la première fois de ma vie que mon corps éclate comme tu as su le faire éclater.
Y a-t-il d’autres choses que les Français connaissent et qu’ils font avec une femme pour les faire partir là où je me suis envolée.
Merci Magali cette femme mariée cocufiée par son mari avec la fiancée de son fils et divorcée de m’avoir appris la patience et de toujours me mettre en situation de satisfaire ma partenaire au lieu de moi-même.
Privilège des femmes plus âgées de connaître les bons et les mauvais moments des choses, Magali m’avait appris les meilleurs moments.
Une fois bien sec, nous pouvons rejoindre the bed, pardon, le lit.
Après l’épisode de la douche, j’étais certain que les partenaires de Dee puisque j’étais entré en elle d’une seule poussée, l’avaient prise à la missionnaire.
Après ce qu’elle m’a demandé de lui faire voir, une bonne branlette avec si possible une fellation est nécessaire.
Ça demande du tact, inutile de brusquer la demoiselle si demoiselle elle semble qu’elle n'ait que le nom.
La dame, elle est trop jeune.
Je commence à la prendre dans mon bras, ses longs cheveux encore un peu mouillés reposant sur mon épaule.
Elle lève les yeux, que c’est beau lorsqu’ils sont amoureux.
French Kiss, lorsque nos langues, se caressent, se cherchent, se trouvent, s'enroulent pour mieux se retrouver.
Je lui prends la main et la pose sur ma verge, lui donnant un mouvement de masturbation.
Par chance, j’ai un peu débandé et son regard dans le mien se troublant un peu, elle continue lorsque je lui lâche la main.
Mes doigts caressent sa toison.
Parlons une nouvelle fois de ces années-là, maintenant rares sont les femmes gardant leur toison, peut-être les blondes et les rousses.
Mais Dee, comme toutes mes maîtresses, avait la sienne.
• Dee, tu m’as demandé de t’apprendre l’amour à la Française », the French love.
• Qu’avez-vous inventé en France my love ?
Ce my love, c’est un peu mon Graal, surtout ici loin de chez nous.
En France, si une fille vous dit, « je vous aime, » mieux vaut se carapater le plus vite possible.
La belle-mère est prête à vous conduire devant le maire et le curé dès qu’elle le pourra.
À 20 ans, j’ai bien le temps de fonder une famille, aussi, ici, comme je le dis je joue Franco.
• Une jeune fille qui aime un garçon, pour lui plaire, le masturbe comme tu le fais, mais sa bouche le fait entrer, nous appelons ça une fellation.
• Mais c’est infâme, mettre ce morceau de chair dans ma bouche.
• Tu y as bien mis ma langue et je t’ai baisée debout dans la douche, y as-tu pris plaisir ?
Je sens que je vais gagner, du moins arriver à mes fins lorsque je vois Dee avancer sa jolie bouche.
Dans un premier temps, elle sort sa langue, et caresse mon méat.
D’un seul coup, elle ouvre en grand et la fait entrer, ma bite doit toucher sa glotte, car elle la sort précipitamment.
• Calmement Dee, tu t’es énervée sur ma bite à deux doigts de te faire vomir.
Oui, comme ça, My Love, ta langue tout le long.
Prends mes couilles en main et suce les avec ta langue, tu es la meilleure suceuse que j’ai pu connaître.
Ah ! Ah ! Aaaaaaaaah !
Merde, j’ai envoyé la purée, trois, quatre grandes giclées, comment Dee va apprécier de prendre mon sperme dans sa bouche ?
Je sais, j’ai dit que j’étais performant, mais il faut se souvenir qu’au début de notre histoire, j’étais parti avec mon pote Alain pour me satisfaire avec l’aide d’une pute.
J’ignorais que je devrais faire l’apprentissage de l’amour à une jeune fille BCBG de Houston...
Dee magnifique jeune femme de 22 ans alors que j’ai 20 ans grande femme brune avec des cheveux possédant une queue-de-cheval tenue par un bandeau me conduit dans sa Porche.
Que j’aimerais conduire une telle voiture, mais aussi espérant secrètement conduire une aussi jolie plante.
Il faut que je sache si c’est vers le nirvana que je pars ou si je vais me retrouver au pied de la passerelle du Totor.
Alors qu’elle conduit d’une main, l’autre posée sur le levier de vitesses, je pause la mienne sur la sienne.
Elle me regarde et me sourit me promettant par ce regard de m’appartenir.
Dee finit par garer sa voiture devant une maison, type mixte, plutôt maison avec un bout rapporté.
Elle gare la Porche à côté d’une Chevrolet flambant neuve.
Une porte, un escalier et j’entre dans une chambre, si une fille vous emmène dans tel lieu, c’est pour baiser et non enfiler des perles.
Je la prends dans les bras et de nouveau je lui fais goûter les plaisirs d’un French Kiss sans aucune retenue de sa part, sa langue semblant aimer s’enrouler autour de la mienne.
Nous sommes tendrement enlacés lorsqu’elle brise notre étreinte se reculant.
Dans la chambre, dès que je suis entrée, j’ai vu cette cabine de douche avec une porte de verre.
Un tel modernisme, c’est ici aux Amériques que dans les années 60 nous pouvons le trouver.
Ils nous ont déjà envoyé le Formica ma mère étant très fière de sa nouvelle cuisine jaune citron.
Au moment où je relate mon escale à Houston, ils ont fait beaucoup plus dans l’horreur avec dix ans de décalage pour commencer par les grands centres commerciaux ayant tué une partie du petit commerce.
Mais revenons à Dee qui se détache de moi, sur le parking avant de me conduire chez elle.
Je lui avais expliqué être obligé de venir pointer à 7 heures au bateau avant d’être de nouveau permissionnaire à 9 heures.
Cette obligation est faite pour rechercher le plus rapidement possible des déserteurs potentiels.
Je commence à ouvrir sa robe, elle a un soutien-gorge, véritable forteresse de ces années 60.
Quand j’ai commencé à parler de Dee, j’ignorais que je me retrouverais confronté à un choc de civilisations.
Mon grand-père est mort dans ces années-là, s’il nous revenait, pourrait-il vivre dans ce monde complètement bouleversé par le modernisme.
Bref, elle m’aide et je peux faire tomber sa robe, m’apparaissant en culotte.
Elle se détache de moi, ouvre une armoire et prend un peignoir.
• Que prends-tu au petit déjeuner, thé ou café ?
• Café !
• Je reviens, je vais faire le nécessaire.
Prends ta douche en m’attendant.
Il va de soi que nous parlons en Anglais et que certains mots m’échappent, mais globalement nous nous en sortons, même si je lui parle en petit nègre.
Elle quitte la chambre par une porte voisine de la cabine de douche.
L’eau est bien chaude, je me savonne, chez nous un savon de Marseille, ici, un flacon de plastique rempli de matière visqueuse.
Rincé, Dee est toujours dans l’autre partie de la maison, je me sèche avec la serviette qu’elle a posée à la sortie de la douche.
Je m’allonge sur le lit deux places, on voit que Dee à son page a cherché son indépendance.
Je sais qu’elle a acheté une boutique dans la galerie du centre où notre ami breton m’a permis de la rencontrer.
Elle vend des disques et doit me faire visiter son univers demain après que je sois passé à mon bateau.
Tient, c’est vrai lorsqu’elle m’a dit ça et que nous sommes partis avec la voiture, le fait qu’elle me parle de demain, c’était impossible qu’elle me largue sur mon bateau.
Elle me veut et je vais lui faire voir comment un Français héritier de La Fayette sait satisfaire une de ses descendantes.
Certes, nous sommes à Houston, mais ça vaut bien l’État de Louisiane ou Lafayette même si c’est Bâton Rouge, la capitale y a laissé une ville à une cinquantaine de kilomètres l’une de l’autre.
On peut toujours se dire que dans quelques jours lorsque nous remonterons le golfe du Mexique, nous longerons à quelques nœuds marins cet état sans pour autant nous y arrêter.
Je suis nu sur le lit, un peu fébrile lorsqu’elle revient.
• Soit patient, je vais à mon tour prendre une douche, je vois que tu es impatient mon gentil Français.
Il est vrai que Dee est tellement belle, que je commence à bander sans pour autant avoir besoin de me masturber.
Elle fait tomber son peignoir, m’apparaissant une fraction de seconde nue avant d’entrer à son tour dans la douche.
On peut penser mon état, la voyant se savonner la chatte au travers de la vitre légèrement opaque, mais pas assez pour me cacher les trésors que je vais conquérir.
On peut comprendre que j’ai du mal à me contenir, aussi je saute au sol, j’ouvre la porte malgré l’eau qui coule sur le devant et je viens plaquer ma belle le long de la paroi opposée.
L’eau tombant en cascade sur mon visage, me fait perdre une seconde avant de m’habituer, mais ma main empoignant son sein m’aide à trouver mon chemin.
• Chris que fais-tu, c’est comme ça que vous honorez vos aimés en France !
Je sens votre sexe contre mes fesses.
• Dee, as-tu aimé les French Kiss, écarte tes jambes, je vais te faire connaitre le plaisir avec ma bite.
Avec le temps, j’ignore si en Anglais, j’ai pu lui dire tout cela, ce dont je me souviens c’est qu’elle a écarté sa jambe et que j’ai pu pénétrer son sexe.
Merci mesdames, mes maîtresses femmes mariées lors de mai 68 que j’ai passé en permission après mon premier tour du monde de m’avoir appris à baiser là où nous en avions envie.
Merci mesdames mes maîtresses femmes mariées de m’avoir appris à me calmer lorsque je suis dans le sexe de la belle qui se donne.
Dee tourne la tête, malgré la flotte, nos regards se croisent et c’est en prenant mon temps que je glisse en elle en ressortant, faisant attention à ce qu’un morceau de ma bite soit toujours au fond de son vagin que nous nous embrassons.
C’est dans ma bouche que je reçois ses plaintes de plaisir quand j’arrive pour la première fois à la faire éclater de plaisir.
J’arrête l’eau sortant de son tabernacle, ayant gardé ma jouissance malgré les jours de mer et ma bite en feu.
Nous sortons de cet espace restreint pour mieux nous essuyer, l’un l’autre.
Ma tension redescend, elle un peu moins, à un moment je dois la rattraper ses jambes flageolantes.
• Oh ! my good, que m’as-tu fait Chris, c’est la première fois de ma vie que mon corps éclate comme tu as su le faire éclater.
Y a-t-il d’autres choses que les Français connaissent et qu’ils font avec une femme pour les faire partir là où je me suis envolée.
Merci Magali cette femme mariée cocufiée par son mari avec la fiancée de son fils et divorcée de m’avoir appris la patience et de toujours me mettre en situation de satisfaire ma partenaire au lieu de moi-même.
Privilège des femmes plus âgées de connaître les bons et les mauvais moments des choses, Magali m’avait appris les meilleurs moments.
Une fois bien sec, nous pouvons rejoindre the bed, pardon, le lit.
Après l’épisode de la douche, j’étais certain que les partenaires de Dee puisque j’étais entré en elle d’une seule poussée, l’avaient prise à la missionnaire.
Après ce qu’elle m’a demandé de lui faire voir, une bonne branlette avec si possible une fellation est nécessaire.
Ça demande du tact, inutile de brusquer la demoiselle si demoiselle elle semble qu’elle n'ait que le nom.
La dame, elle est trop jeune.
Je commence à la prendre dans mon bras, ses longs cheveux encore un peu mouillés reposant sur mon épaule.
Elle lève les yeux, que c’est beau lorsqu’ils sont amoureux.
French Kiss, lorsque nos langues, se caressent, se cherchent, se trouvent, s'enroulent pour mieux se retrouver.
Je lui prends la main et la pose sur ma verge, lui donnant un mouvement de masturbation.
Par chance, j’ai un peu débandé et son regard dans le mien se troublant un peu, elle continue lorsque je lui lâche la main.
Mes doigts caressent sa toison.
Parlons une nouvelle fois de ces années-là, maintenant rares sont les femmes gardant leur toison, peut-être les blondes et les rousses.
Mais Dee, comme toutes mes maîtresses, avait la sienne.
• Dee, tu m’as demandé de t’apprendre l’amour à la Française », the French love.
• Qu’avez-vous inventé en France my love ?
Ce my love, c’est un peu mon Graal, surtout ici loin de chez nous.
En France, si une fille vous dit, « je vous aime, » mieux vaut se carapater le plus vite possible.
La belle-mère est prête à vous conduire devant le maire et le curé dès qu’elle le pourra.
À 20 ans, j’ai bien le temps de fonder une famille, aussi, ici, comme je le dis je joue Franco.
• Une jeune fille qui aime un garçon, pour lui plaire, le masturbe comme tu le fais, mais sa bouche le fait entrer, nous appelons ça une fellation.
• Mais c’est infâme, mettre ce morceau de chair dans ma bouche.
• Tu y as bien mis ma langue et je t’ai baisée debout dans la douche, y as-tu pris plaisir ?
Je sens que je vais gagner, du moins arriver à mes fins lorsque je vois Dee avancer sa jolie bouche.
Dans un premier temps, elle sort sa langue, et caresse mon méat.
D’un seul coup, elle ouvre en grand et la fait entrer, ma bite doit toucher sa glotte, car elle la sort précipitamment.
• Calmement Dee, tu t’es énervée sur ma bite à deux doigts de te faire vomir.
Oui, comme ça, My Love, ta langue tout le long.
Prends mes couilles en main et suce les avec ta langue, tu es la meilleure suceuse que j’ai pu connaître.
Ah ! Ah ! Aaaaaaaaah !
Merde, j’ai envoyé la purée, trois, quatre grandes giclées, comment Dee va apprécier de prendre mon sperme dans sa bouche ?
Je sais, j’ai dit que j’étais performant, mais il faut se souvenir qu’au début de notre histoire, j’étais parti avec mon pote Alain pour me satisfaire avec l’aide d’une pute.
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