COLLECTION LE MARIN. Les mûres et ma fille (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Les mûres et ma fille (2/2)
Que peut-il y avoir comme liens entre des mûres et ma fille ?
Je suis à deux doigts de vous l’expliquer.
Mon aventure a commencé en 1968.
Je sais, ça fait un bail, mais c’est une partie de ma vie que je pensais loin derrière moi.
J’avais 18 ans et je venais de m’acheter une Fiat 850 lorsque, en allant nous promener à Carnac avec Alain et Henri deux copains nous nous sommes arrêtés pour que nous pissions un coup.
Il y avait des mûres que nous dégustions quand un homme est venu me dire que nous étions sur une propriété privée et que nous mangions les fruits sauvages que sa femme devait transformer en confiture le lendemain.
De fil en aiguille, je devais découvrir que cet homme en civil était un second-maître sous-marinier de la base de Lorient.
Encore de fil en aiguille, je baisais sa femme blonde, mais tout ceci est dans le chapitre I de mon histoire.
De retour dans la région, sur un coup de tête, avec ma femme épousée 12 ans plus tôt, je reconnais la haie et je m’y arrête.
Pourtant, nous sommes à la même période que mon aventure avec Gaëlle, il y a peu de fruits, mais des branches cassées me font penser qu’ils ont été cueillis.
C’est à ce moment que du chemin menant à la maison, une voiture sort du chemin l’y menant.
À son volant une jeune femme blonde que j’ai l’impression d’avoir déjà vu.
Elle ouvre sa vitre.
• Vous cherchez quelque chose ou quelqu’un monsieur.
• Oui, Gaëlle ou Loïc, j’ai connu ces personnes certainement avant votre naissance, habitent-ils toujours ici ?
• Oui, mon père est en mer et maman fait des confitures de mûres, insistez si elle met du temps à ouvrir, elle est un peu sourde.
Un peu sourde, moi qui avais laissé une jeune femme pimpante sur sa moto.
Elle tourne et s’éloigne, j’ai vraiment l’impression de l’avoir vu quelque part.
Je remonte l’allée comme la deuxième fois, la première nous étions restés dans le chemin où nous avions pissé.
À sa place, un portail et une maison construite où sur la terrasse un couple de personnes âgées regardent qui je peux être.
La maison en style breton avec des pavés de granit autour de la porte et des fenêtres avec des tuiles en ardoises, mais construites dans ces années-ci.
Je frappe, aucune réponse.
Heureusement, que la jeune fille m’a dit qu’elle était sourde, car je serais reparti.
• Monsieur que me vaut le plaisir !
Gaëlle, avec un tablier et des lunettes, les cheveux blancs, quel âge a-t-elle ?
Un rapide calcul, merde, j’ai 36 ans, 37 le 9 février et elle doit en avoir près de 50.
Malgré cette transformation physique due à l’âge, elle est très belle.
• Oh ! mon dieu, Christian, j’ai eu du mal à te reconnaître.
• 18 ans, mes tablettes de chocolat ont légèrement disparu.
• Que me vaut cette visite, c’est drôle, je pensais à toi tout à l’heure.
• En montant sur ta moto !
• Ma moto, c’est vrai, je me souviens du plaisir que tu m’as donné.
Non, hier Christine, c’est ma fille, elle vient de repartir pour Nantes où elle fait des études de médecine, a cueilli les mûres et je suis en train de faire de la confiture.
Viens à la cuisine, il faut tourner, ça va m’aider.
Je me retrouve bien plus jeune, comme je l’ai dit, chez ma grand-mère, je l’aidais pour les confitures.
Gaëlle, comme elle, avait une marmite à confiture en cuivre.
• Tu me parlais de ma moto, j’ai arrêté lorsque je suis tombée enceinte, Loïc a voulu que je la vende et depuis je roule en voiture.
• Tu parles de Loïc, ou est-il ?
• Sous les mers, il est maître principal, sur un sous-marin atomique lanceur d’engins.
Ils ont des bombes atomiques à bord, ce qui est loin de me rassurer.
Il est parti il y a 22 jours pour environ 70.
Attention, tu me parles et tu fais des bêtises, tu mets de la mûre partout.
Il est vrai que j’ai fait un faux mouvement et que du jus rouge se retrouve sur elle et sur moi.
Par chance, ni l’un ni l’autre n'est brûlé, c’est à ce moment que l’on sonne à la porte d’entrée.
Gaëlle me laisse mettre les mûres dans les bocaux.
• Bonsoir, Jean-François, tu as vu...
Elle a dû fermer la porte, j’ignore ce qu’elle lui dit, elle a dû sortir avant de revenir.
• C’était Jean-François, mon gentil voisin, avec Hélène, sa femme ils viennent de la région parisienne pour leur retraite.
Claire leur fille est venue, elle aussi s’installer comme médecin dans un village voisin avec son mari qui travaille pour une société en télétravail.
Quand Loïc est en mer, ils prennent soin de moi, ils savent que ta fille Christine est retournée à Nantes et ils s’inquiétaient.
J’aurais dû relever le « ta fille », mais étant concentré sur ce que je faisais, j’ai laissé passer, une bêtise ça suffit.
• Dix pots, ce sera pour cet hiver, tu en as mis partout, arrête de lécher la cuillère et la bassine en cuivre, viens dans la salle de bains.
Enlève tes vêtements, fais-moi voir ce ventre bien rond ma foi, tu dois aimer la bibine comme dit Loïc.
Plus il prend du grade, plus ils l’appellent « Petit fût ».
Je me déshabille, et je vois qu’elle en fait autant, me montrant sa chatte blanche.
• Tu regardes mes poils blancs, nous avons eu un accident grave de voiture il y a deux ans.
J’ai vu l’accident arrivé et ma peur a été telle que je me suis mis à blanchir.
Loïc a fait une douche à l’Italienne, démarre l’eau.
Elle prend nos affaires et les mets dans la machine étant dans cette pièce.
Elle vient me rejoindre, il y a de la place largement pour deux.
• Malgré ton âge, es-tu toujours un si bon coup ?
Malgré les années, Gaëlle est toujours avide de sexe, il est vrai qu’il y a 22 jours que sa chatte reste seule, à moi que son voisin venait voir si son petit coup entre voisin allait bien.
Ils m’avaient vu lorsque je me suis garé à mon arrivée, je suis là par chance et je vais repartir rapidement m’occuper de nos vaches et de nos tracteurs.
Il en va de soi que c’est elle qui me savonne pendant que derrière le hublot de la machine je vois mon slip tourné avec sa robe et son tablier.
Sa petite culotte trop fragile, je l’ai vu mettre dans un panier à côté comme le fait ma femme.
Je bande, je bande pour la première fois pour une autre que mon épouse, car depuis mon mariage, je suis fidèle.
Elle me rince, je la rince, ses seins sont un peu tombés et je sens que pour l’instant ce sera la seule chose dont j’aurai droit.
Nous sortons, je débande et nous nous séchons, se serait-elle acheté une conduite ?
Elle ouvre une armoire.
• Mets ce peignoir, Loïc l’a piqué dans un hôtel lors du seul voyage que nous avions fait sur la Côte d’Azur.
Nous allons aller dîner, tes affaires seront prêtes demain, tu es obligé de rester ici cette nuit.
Nous sommes dans la salle, elle m’a servi un whisky breton avant de partir, elle aussi en peignoir vers la cuisine.
Rapidement ça sent bon les crêpes avant qu’elle revienne près de moi.
Une assiette de crêpes, sur un plateau avec deux bolés et une bouteille de cidre breton.
Elle pose le tout devant moi alors que je suis sur le canapé.
J’en ai dégusté deux avec du sucre, beurre salé, lorsque je remarque une photo de bébé sur le meuble de la salle à nos côtés.
• Dis-moi, c’est une photo de Christine bébé ?
• Oui, pourquoi ?
• J’ai les deux mêmes à la maison, je devrais dire trois, mon fils, ma fille et la mienne en noir et blanc.
Je mettrais la photo de Christine à côté, elles seraient toutes les mêmes.
Quel âge à Christine aujourd’hui et je prends conscience que tu as dit « ta fille » tout à l’heure quand tu as parlé d’elle.
Merde la capote.
• Oui, lorsque tu m’as quittée un peu précipitamment, il est vrai, après l’épisode de la capote, rapidement j’ai compris que j’étais enceinte.
Avec Loïc, nous essayons d’avoir un enfant, mais sans y arriver.
Par chance Loïc était en mer 7 jours au maximum en ce temps-là, maintenant avec leur mission de 70 dix jours, ce que j’ai fait serait impossible.
J’ai redoublé d’ardeur avec Loïc au lit et dès que j’ai pensé que le moment sur la moto et ma grossesse était assez loin, je lui ai annoncé qu’il allait être père.
Il était fou de joie et à aucun moment, surtout depuis qu’elle grandit et que son visage est proche du tien, les doutes l’ont assaillie.
J’avais eu l’impression que je connaissais cette jeune femme dans sa voiture lorsque je suis arrivé, c’était ma fille.
J’étais abasourdi, j’étais père trois fois dans ma vie !
Elle est allée étendre la machine et de retour elle s’est agenouillée pour me sucer la queue.
Elle avait la cinquantaine, mais toujours actif côté sexe, j’ai passé une nuit me rappelant de nombreux souvenirs sans les positions telles que la scène de la moto.
Il y a 18 ans, elle aimait les positions un peu spéciales, dans le lit familial, j’ai vite vu que la levrette était sa position favorite.
Au matin, je l’ai embrassée et j’ai repris ma voiture démarrant sous l’œil du voisin.
• Part transquille, j’ai eu des problèmes après mon accouchement et Christine sera ta seule fille que j’aurai eu la chance d’avoir.
J’étais fière d’avoir permis à ce couple d’avoir une fille, avant de partir, nous avions convenu de rester en contact sans que ni Loïc ni ma compagne soit au courant.
18 ans après la naissance de Christine, seuls les téléphones fixes existaient.
C’est à Carnac, poste restante et elle dans la banlieue de Dijon que nous postions nos lettres.
Depuis, j’entends sa voix, car les portables sont là.
Entre-temps, Gaëlle m’a appris son mariage.
J’ai prétexté une visite au salon de l’agriculture pour être là en Bretagne incognito sauf Gaëlle qui m’a vu être présent à son mariage.
J’étais au fond de l’église lorsque petit fût, que j’aurais tendance à appeler le cocu magnifique à commencer à remonter l’église ma fille à son bras.
Extraordinaire mariée que si les choses avaient évolué en ma faveur serait à mon bras autour de cette foule en joie.
J’ai failli louper ce moment où elle a dit oui à ce grand dadais légèrement boutonneux à cause de Michel, mon beau-père.
Il s’était mis en tête de venir avec moi.
Il s’était mis en tête que ma femme et mes enfants s’occuperaient de la traite et de donner à manger aux bêtes pendant ces deux jours où je serais parti.
C’est grâce à Victor un agriculteur voisin et ami, que j’ai pu aller en Bretagne.
Il a demandé à Michel de venir s’occuper de sa ferme, en plus de la nôtre.
Officiellement il devait aller signer un contrat dans le sud de la France, il est le responsable du groupe folklorique ou nous sommes des danseurs pour l’été prochain.
Chacun y a trouvé son compte, lorsque je lui ai demandé de m’aider.
Je savais qu’il devait voir une jeune femme d’un autre groupe folklorique venue à la même fête que nous.
Il y a peu, Gaëlle m’a appris que ma fille et son mari venaient de reprendre la clientèle d’un médecin de Dijon partant à la retraite.
Si Michel avait failli me faire louper son mariage, aujourd’hui c’est grâce à lui que je suis dans le cabinet de ma fille, car en travaillant ce matin, il a ressenti un grand mal de dos.
Bien sûr, je l’ai conduit dans le cabinet de Christine, c’était la première fois qu’il allait chez un médecin.
Ma fille est devant moi, aurais-je un jour le courage de lui dire qu’elle a deux pères, un qui l’a élevé et l’autre biologique ?
À oui, une dernière chose, je suis allée avec mon épouse à une brocante des écoles dans notre village.
Une femme vendait la marmite en cuivre de sa maman et l’a achetée, nous avons une ferme donc des haies sauvages et donc des mûres.
Elle s’est mise en tête de me faire des confitures avec ces fruits qu’elle ira cueillir avec nos enfants à la fin de l’été prochain.
J’ai dans l’idée de l’aider pour sucer la cuillère et d’en subtiliser quelques pots pour les faire livrer secrètement à ma fille à Dijon.
Les confitures de mûres, c’est mieux que la moutarde de Dijon
Je suis à deux doigts de vous l’expliquer.
Mon aventure a commencé en 1968.
Je sais, ça fait un bail, mais c’est une partie de ma vie que je pensais loin derrière moi.
J’avais 18 ans et je venais de m’acheter une Fiat 850 lorsque, en allant nous promener à Carnac avec Alain et Henri deux copains nous nous sommes arrêtés pour que nous pissions un coup.
Il y avait des mûres que nous dégustions quand un homme est venu me dire que nous étions sur une propriété privée et que nous mangions les fruits sauvages que sa femme devait transformer en confiture le lendemain.
De fil en aiguille, je devais découvrir que cet homme en civil était un second-maître sous-marinier de la base de Lorient.
Encore de fil en aiguille, je baisais sa femme blonde, mais tout ceci est dans le chapitre I de mon histoire.
De retour dans la région, sur un coup de tête, avec ma femme épousée 12 ans plus tôt, je reconnais la haie et je m’y arrête.
Pourtant, nous sommes à la même période que mon aventure avec Gaëlle, il y a peu de fruits, mais des branches cassées me font penser qu’ils ont été cueillis.
C’est à ce moment que du chemin menant à la maison, une voiture sort du chemin l’y menant.
À son volant une jeune femme blonde que j’ai l’impression d’avoir déjà vu.
Elle ouvre sa vitre.
• Vous cherchez quelque chose ou quelqu’un monsieur.
• Oui, Gaëlle ou Loïc, j’ai connu ces personnes certainement avant votre naissance, habitent-ils toujours ici ?
• Oui, mon père est en mer et maman fait des confitures de mûres, insistez si elle met du temps à ouvrir, elle est un peu sourde.
Un peu sourde, moi qui avais laissé une jeune femme pimpante sur sa moto.
Elle tourne et s’éloigne, j’ai vraiment l’impression de l’avoir vu quelque part.
Je remonte l’allée comme la deuxième fois, la première nous étions restés dans le chemin où nous avions pissé.
À sa place, un portail et une maison construite où sur la terrasse un couple de personnes âgées regardent qui je peux être.
La maison en style breton avec des pavés de granit autour de la porte et des fenêtres avec des tuiles en ardoises, mais construites dans ces années-ci.
Je frappe, aucune réponse.
Heureusement, que la jeune fille m’a dit qu’elle était sourde, car je serais reparti.
• Monsieur que me vaut le plaisir !
Gaëlle, avec un tablier et des lunettes, les cheveux blancs, quel âge a-t-elle ?
Un rapide calcul, merde, j’ai 36 ans, 37 le 9 février et elle doit en avoir près de 50.
Malgré cette transformation physique due à l’âge, elle est très belle.
• Oh ! mon dieu, Christian, j’ai eu du mal à te reconnaître.
• 18 ans, mes tablettes de chocolat ont légèrement disparu.
• Que me vaut cette visite, c’est drôle, je pensais à toi tout à l’heure.
• En montant sur ta moto !
• Ma moto, c’est vrai, je me souviens du plaisir que tu m’as donné.
Non, hier Christine, c’est ma fille, elle vient de repartir pour Nantes où elle fait des études de médecine, a cueilli les mûres et je suis en train de faire de la confiture.
Viens à la cuisine, il faut tourner, ça va m’aider.
Je me retrouve bien plus jeune, comme je l’ai dit, chez ma grand-mère, je l’aidais pour les confitures.
Gaëlle, comme elle, avait une marmite à confiture en cuivre.
• Tu me parlais de ma moto, j’ai arrêté lorsque je suis tombée enceinte, Loïc a voulu que je la vende et depuis je roule en voiture.
• Tu parles de Loïc, ou est-il ?
• Sous les mers, il est maître principal, sur un sous-marin atomique lanceur d’engins.
Ils ont des bombes atomiques à bord, ce qui est loin de me rassurer.
Il est parti il y a 22 jours pour environ 70.
Attention, tu me parles et tu fais des bêtises, tu mets de la mûre partout.
Il est vrai que j’ai fait un faux mouvement et que du jus rouge se retrouve sur elle et sur moi.
Par chance, ni l’un ni l’autre n'est brûlé, c’est à ce moment que l’on sonne à la porte d’entrée.
Gaëlle me laisse mettre les mûres dans les bocaux.
• Bonsoir, Jean-François, tu as vu...
Elle a dû fermer la porte, j’ignore ce qu’elle lui dit, elle a dû sortir avant de revenir.
• C’était Jean-François, mon gentil voisin, avec Hélène, sa femme ils viennent de la région parisienne pour leur retraite.
Claire leur fille est venue, elle aussi s’installer comme médecin dans un village voisin avec son mari qui travaille pour une société en télétravail.
Quand Loïc est en mer, ils prennent soin de moi, ils savent que ta fille Christine est retournée à Nantes et ils s’inquiétaient.
J’aurais dû relever le « ta fille », mais étant concentré sur ce que je faisais, j’ai laissé passer, une bêtise ça suffit.
• Dix pots, ce sera pour cet hiver, tu en as mis partout, arrête de lécher la cuillère et la bassine en cuivre, viens dans la salle de bains.
Enlève tes vêtements, fais-moi voir ce ventre bien rond ma foi, tu dois aimer la bibine comme dit Loïc.
Plus il prend du grade, plus ils l’appellent « Petit fût ».
Je me déshabille, et je vois qu’elle en fait autant, me montrant sa chatte blanche.
• Tu regardes mes poils blancs, nous avons eu un accident grave de voiture il y a deux ans.
J’ai vu l’accident arrivé et ma peur a été telle que je me suis mis à blanchir.
Loïc a fait une douche à l’Italienne, démarre l’eau.
Elle prend nos affaires et les mets dans la machine étant dans cette pièce.
Elle vient me rejoindre, il y a de la place largement pour deux.
• Malgré ton âge, es-tu toujours un si bon coup ?
Malgré les années, Gaëlle est toujours avide de sexe, il est vrai qu’il y a 22 jours que sa chatte reste seule, à moi que son voisin venait voir si son petit coup entre voisin allait bien.
Ils m’avaient vu lorsque je me suis garé à mon arrivée, je suis là par chance et je vais repartir rapidement m’occuper de nos vaches et de nos tracteurs.
Il en va de soi que c’est elle qui me savonne pendant que derrière le hublot de la machine je vois mon slip tourné avec sa robe et son tablier.
Sa petite culotte trop fragile, je l’ai vu mettre dans un panier à côté comme le fait ma femme.
Je bande, je bande pour la première fois pour une autre que mon épouse, car depuis mon mariage, je suis fidèle.
Elle me rince, je la rince, ses seins sont un peu tombés et je sens que pour l’instant ce sera la seule chose dont j’aurai droit.
Nous sortons, je débande et nous nous séchons, se serait-elle acheté une conduite ?
Elle ouvre une armoire.
• Mets ce peignoir, Loïc l’a piqué dans un hôtel lors du seul voyage que nous avions fait sur la Côte d’Azur.
Nous allons aller dîner, tes affaires seront prêtes demain, tu es obligé de rester ici cette nuit.
Nous sommes dans la salle, elle m’a servi un whisky breton avant de partir, elle aussi en peignoir vers la cuisine.
Rapidement ça sent bon les crêpes avant qu’elle revienne près de moi.
Une assiette de crêpes, sur un plateau avec deux bolés et une bouteille de cidre breton.
Elle pose le tout devant moi alors que je suis sur le canapé.
J’en ai dégusté deux avec du sucre, beurre salé, lorsque je remarque une photo de bébé sur le meuble de la salle à nos côtés.
• Dis-moi, c’est une photo de Christine bébé ?
• Oui, pourquoi ?
• J’ai les deux mêmes à la maison, je devrais dire trois, mon fils, ma fille et la mienne en noir et blanc.
Je mettrais la photo de Christine à côté, elles seraient toutes les mêmes.
Quel âge à Christine aujourd’hui et je prends conscience que tu as dit « ta fille » tout à l’heure quand tu as parlé d’elle.
Merde la capote.
• Oui, lorsque tu m’as quittée un peu précipitamment, il est vrai, après l’épisode de la capote, rapidement j’ai compris que j’étais enceinte.
Avec Loïc, nous essayons d’avoir un enfant, mais sans y arriver.
Par chance Loïc était en mer 7 jours au maximum en ce temps-là, maintenant avec leur mission de 70 dix jours, ce que j’ai fait serait impossible.
J’ai redoublé d’ardeur avec Loïc au lit et dès que j’ai pensé que le moment sur la moto et ma grossesse était assez loin, je lui ai annoncé qu’il allait être père.
Il était fou de joie et à aucun moment, surtout depuis qu’elle grandit et que son visage est proche du tien, les doutes l’ont assaillie.
J’avais eu l’impression que je connaissais cette jeune femme dans sa voiture lorsque je suis arrivé, c’était ma fille.
J’étais abasourdi, j’étais père trois fois dans ma vie !
Elle est allée étendre la machine et de retour elle s’est agenouillée pour me sucer la queue.
Elle avait la cinquantaine, mais toujours actif côté sexe, j’ai passé une nuit me rappelant de nombreux souvenirs sans les positions telles que la scène de la moto.
Il y a 18 ans, elle aimait les positions un peu spéciales, dans le lit familial, j’ai vite vu que la levrette était sa position favorite.
Au matin, je l’ai embrassée et j’ai repris ma voiture démarrant sous l’œil du voisin.
• Part transquille, j’ai eu des problèmes après mon accouchement et Christine sera ta seule fille que j’aurai eu la chance d’avoir.
J’étais fière d’avoir permis à ce couple d’avoir une fille, avant de partir, nous avions convenu de rester en contact sans que ni Loïc ni ma compagne soit au courant.
18 ans après la naissance de Christine, seuls les téléphones fixes existaient.
C’est à Carnac, poste restante et elle dans la banlieue de Dijon que nous postions nos lettres.
Depuis, j’entends sa voix, car les portables sont là.
Entre-temps, Gaëlle m’a appris son mariage.
J’ai prétexté une visite au salon de l’agriculture pour être là en Bretagne incognito sauf Gaëlle qui m’a vu être présent à son mariage.
J’étais au fond de l’église lorsque petit fût, que j’aurais tendance à appeler le cocu magnifique à commencer à remonter l’église ma fille à son bras.
Extraordinaire mariée que si les choses avaient évolué en ma faveur serait à mon bras autour de cette foule en joie.
J’ai failli louper ce moment où elle a dit oui à ce grand dadais légèrement boutonneux à cause de Michel, mon beau-père.
Il s’était mis en tête de venir avec moi.
Il s’était mis en tête que ma femme et mes enfants s’occuperaient de la traite et de donner à manger aux bêtes pendant ces deux jours où je serais parti.
C’est grâce à Victor un agriculteur voisin et ami, que j’ai pu aller en Bretagne.
Il a demandé à Michel de venir s’occuper de sa ferme, en plus de la nôtre.
Officiellement il devait aller signer un contrat dans le sud de la France, il est le responsable du groupe folklorique ou nous sommes des danseurs pour l’été prochain.
Chacun y a trouvé son compte, lorsque je lui ai demandé de m’aider.
Je savais qu’il devait voir une jeune femme d’un autre groupe folklorique venue à la même fête que nous.
Il y a peu, Gaëlle m’a appris que ma fille et son mari venaient de reprendre la clientèle d’un médecin de Dijon partant à la retraite.
Si Michel avait failli me faire louper son mariage, aujourd’hui c’est grâce à lui que je suis dans le cabinet de ma fille, car en travaillant ce matin, il a ressenti un grand mal de dos.
Bien sûr, je l’ai conduit dans le cabinet de Christine, c’était la première fois qu’il allait chez un médecin.
Ma fille est devant moi, aurais-je un jour le courage de lui dire qu’elle a deux pères, un qui l’a élevé et l’autre biologique ?
À oui, une dernière chose, je suis allée avec mon épouse à une brocante des écoles dans notre village.
Une femme vendait la marmite en cuivre de sa maman et l’a achetée, nous avons une ferme donc des haies sauvages et donc des mûres.
Elle s’est mise en tête de me faire des confitures avec ces fruits qu’elle ira cueillir avec nos enfants à la fin de l’été prochain.
J’ai dans l’idée de l’aider pour sucer la cuillère et d’en subtiliser quelques pots pour les faire livrer secrètement à ma fille à Dijon.
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