COLLECTION LES CHIENNES. Bien joué (1/4) - histoire érotique

« Non, non surtout pas ça, je vous en supplie, je suis mariée et j’aime mon mari. »
• Réveille-toi, Claire, je parie que c’est encore l’un de tes vilains cauchemarde ?

Alexandre a allumé la lumière, ce qui me permet de reprendre pied sur terre.

• C’est horrible, chaque fois j’ai l’impression de te tromper quand ce sexe d’homme entre dans ma bouche.
• Tu fais un blocage, Claire chérie.
C’est comme les autres fois, c’est une autre verge que la mienne qui se présente ?
• Impossible de confondre, la tienne est petite et lisse, celle de mes cauchemars est énorme avec des veines saillantes.
Impossible que je confonde entre les deux.
Si cela se reproduit j’irais consulter, il doit bien y avoir une explication à ce phénomène et j’aimerais trouver une façon que cela s’arrête.

Une fois, non deux fois de suite où je fais ce cauchemar de fellation d’une bite autre que celle de mon mari et, hélas, ça recommence.

• J’ai pris rendez-vous Alexandre, Françoise ma doctoresse me reçoit demain à 17 heures, j’aimerais que tu m’accompagnes !
• À quoi vais-je pouvoir te servir, tu me diras ce que ta doctoresse t’a dit.
• Je préfèrerais ta présence, j’espère qu’elle me donnera une bonne nouvelle !

Le lendemain au cabinet de Françoise, c’est plus qu’une amie, mais cela mon mari l’ignore.

• Alexandre, c’est la première fois que l’on se voit, j’ai déjà connu des cas semblables à celui qui frappe Claire, votre épouse et mon amie.
La solution pour que votre femme se sorte de cette fixation, c’est de faire réellement une rencontre avec un homme à grosse queue et veines saillantes.
• Vous avez raison, docteur, je pourrais, peut-être être celui à qui Claire fera cette fellation.
• C’est bien de prendre soin de Claire, mais c’est impossible, il faut une verge semblable pour que la thérapie fonctionne.
• C’est hors de question, une fellation de Claire faite à un autre, ce serait pour moi comme si je me faisais cocu volontairement.
• Même si vous assistez à la fellation !
• Cocu et candaulisme par-dessus le marché, chérie, à ce prix, je préfère que tu continues à faire tes cauchemars.

Ça fait deux jours que Françoise a fait la proposition à Alexandre, les deux nuits, je réitère mon cauchemar.
J’allais appeler Françoise pour lui dire que s’était foutu quand une proposition d’Alexandre est venue.

• Ma chérie, la situation devient impossible, je dors de moins en moins et je vais finir par avoir des ennuis à mon travail, il m’arrive de somnoler après le repas.
Si tu veux tenter la thérapie proposée par ta doctoresse, je suis d’accord, mais à une seule condition.
• Moi aussi, je suis exténuée, avoir peur chaque nuit de faire le même cauchemar, quelque soit ce que tu me proposes, j’accepte.
• Il faut que tu aies les yeux bandés lorsque tu suceras l’homme qui nous rendra ce service, mais comment le trouver ?
• Depuis que la doctoresse a émis cette hypothèse, j’ai souvent pensé, comment nous pourrions trouver un tel homme à la grosse bite noueuse.
Ta demande que j’accepte va t’obliger à chercher toi-même ce sexe sur Internet !
Sinon, je verrais celui qui m’aidera à arrêter ce phénomène étrange.
Si je comprends bien, ça sera trop pour toi.
Tu vas sur le site « rencontres insolites » et tu postes une annonce dans le sens de ce que nous cherchons.
Je suis sûr que tu auras de nombreuses réponses, ce sera toi qui feras ton choix.
• Si je comprends bien, tu es déjà allée sur ce genre de site !
• Juste dans le cadre de ma thérapie, Alexandre, juste pour la thérapie, c’est toi que j’aime.

Mon mari me prend dans ses bras et me fait l’amour divinement.
Alexandre m’a toujours fait l’amour divinement.
Je lui caresse la queue, je lui fais une fellation, hélas, sa bite est lisse et sans grande longueur.
Il vient sur moi, je le bloque au fond de ma chatte avec mes pieds derrière ses hanches et j’arrive à jouir sans atteindre l’extase.
Comme chaque fois d’ailleurs.

Ça fait trois jours qu’avec Alexandre nous avons pris notre décision, j’attendais que ce soit lui qui me reparle de cette fellation avec un autre homme que lui.

• Chérie, tu avais raison, chaque midi pendant ma pause après avoir posté une annonce de ce que je cherchais pour ma femme, je cherche l’oiseau rare.
Si tu savais le nombre de types qui sont prêts à venir pour nous rendre ce service, tu serais étonnée.
J’en ai même un qui est prêt à venir de Bordeaux à Melun pour nous offrir sa queue, c’est dommage si sa bite était réelle, c’était la moins montée.
J’ai fini après un choix difficile à contacter Gaspard, je pense que c’est un nom d’emprunt.
Il propose de nous rendre ce service des samedis soir.
J’ai acheté une cagoule dans un sexe shop avec un trou pour la bouche où l’homme pourra y placer sa verge et le sucer comme dans tes cauchemars !
Tu ouvriras ta bouche, il se masturbera dedans, il éjaculera et tu avaleras son sperme et ainsi tout sera dit, je l’espère.
• Tout ça est bien, mais à un détail près, dans mes rêves, je le masturbe et je lui bouffe ses grosses couilles avant qu’il entre dans ma bouche.
• Je voulais éviter trop de contact entre cet homme et toi, mais tu as raison, tu pourras la prendre dans tes mains et le masturber.
• Un dernier point, chaque fois, je suis nue, la doctoresse a dit...
• Là, tu m’en demande trop, toi nues devant ce type, te regardant le sucer, ce serait une trahison de notre fidélité à notre mariage.
• Pour moi aussi, ce sera un sacrifice, mais si c’est à ce prix que nos nuits doivent devenir plus sereines.
De toute façon, j’aurais les yeux bandés, lorsque je le sucerais tu pourras penser, que c’est Clara Morgane, je sais que c’est l’un de tes fantasmes !
• Une nouvelle fois, tu as raison, j’accepte de le faire entrer alors que tu seras nue.

Le samedi, nous nous préparons sans un mot entre nous, aurons-nous le courage d’aller jusqu’au bout ?
Il est 21 heures quand on sonne à la porte, je suis dans mon fauteuil, nue, avec ma cagoule sur ma tête m’obturant les yeux.

• Bonsoir, Gaspard, elle est là, elle est prête.
• Bonsoir, madame, je suis Gaspard à votre service.
J’ai de la chance, votre mari a refusé de me montrer des photos de vous, il m’avait simplement dit que vous étiez une magnifique blonde.
Votre beauté est loin en dessous de ce que j’avais fantasmé depuis que je sais que je suis l’élu.
• Gaspard, tout ceci est bien gentil, mais c’est de ma femme que vous parlez, c’est moi qui entends vos propos, même s’ils sont élogieux envers Claire.
Il est temps d’y aller, vous en avez assez vu.
Plutôt ce sera fait, plus tôt nous pourrions voir si la thérapie de la doctoresse était la bonne.
• Arrête de bousculer, monsieur Gaspard qui vient chez nous nous rendre service.
Offre-lui un verre et prend en un, moi aussi je suis tendue, tu m’en serviras un.

J’entends des verres s’entrechoquer, sans rien voir et le bruit de la glace qu’il y place.
Il me met le verre de whisky dans la main et par l’ouverture je sirote avec délice, cette boisson, je suis sereine pour la suite de la soirée.
L verre fini, Alexandre me l’enlève des mains, la fellation va pouvoir commencer.
Lorsque j’entends le bruit d’un ceinturon que l’on détache, je dois reconnaitre que je mouille, va-t-il me flageller ?

• Tient, salope, suce et avant masturbe-moi.
• Gaspard, vous êtes là pour vous faire sucer et non pour traiter ma femme de salope.
• Alexandre, il était prévu que tu regardes et que tu te taises comme dans mes cauchemars.
Gaspard à raison de me traiter de salope, ça me facilite ce que je m’apprête à faire.
• Pardon, ma chérie, Gaspard faite comme bon vous plaira, je vais boire le calice jusqu’à la lie.

Gaspard est si près au-dessus de mon fauteuil où je me tiens droite, j’entends son souffle qui s’accélère.
Un instant je me demande comment Gaspard sait que je suis blonde.
Que je suis bête, ma chatte qu’il peut voir, car j’ai les jambes écartées, montre mon abricot doré avec tous ses poils blonds, j’ai réussi à ce que je sois nue.
Lui aussi doit être tendu, une telle demande de venir se faire sucer par une femme cagoulée doit être une chose surprenante.
Je sens qu’on me prend la main et je rencontre la verge qui va me soigner.
Elle se tend rapidement et je sens les grosses veines bien saillantes comme je les voyais dans mes visions.
Je caresse les bourses qui sont à la hauteur de ce que j’espérais.
Elle est si grosse que j’ai du mal à en faire le tour.
Alexandre a fait un bon choix.
C’est con, je vais simplement lui faire une fellation.
Toutes les bonnes choses doivent se finir, je le fais entrer dans ma bouche.
Je vais jusqu’à lui faire une gorge profonde à la limite de l’étouffement.
Je le masturbe avec délice en le pompant tout aussi délicieusement.

• Je vais décharger.

Lorsque Gaspard me dit ce qu’il va faire, je lui suce le gland.
Je m’empresse de le mettre dans ma bouche, me souvenant de mon cauchemar qui se termine lorsque dans mon rêve, la queue éjacule.

• Pompe-moi à fond, boîte à foutre, si ton mari le souhaite, on reprend un verre et dans quelques minutes je te baise belle salope.
Tu serais d’accord Alexandre.
• De quel droit me tutoyez-vous ?
Remontez votre pantalon et partez, ma femme vous a bien lavé la queue, pour le reste, je suis assez grand pour m’occuper d’elle.

Deux jours se passent, je laisse dormir Alexandre du sommeil du juste après qu’il m’est fait l’amour à sa manière.
Aucune allusion à la soirée de samedi, la vie reprend son cours de façon normal.

« Non, non pas ça, je vous en supplie, je suis mariée et j’aime mon mari. »
• Réveille-toi Claire, tes cauchemars sont revenus ?...