COLLECTION LES CHIENNES. Bien joué (2/4) - histoire érotique

« Non, non pas ça, je vous en supplie, je suis mariée et j’aime mon mari. »
• Réveille-toi Claire, tes cauchemars sont revenus ?

Je suis catastrophée.

• Oui, mais de façon différente Alexandre.
• Comment ça, de façon différente ?
• Je suçais bien un homme différent de toi, mais j’ai été jusqu’au bout et il m’a littéralement baisée.
Je me suis réveillée au moment où un orgasme m’a traversé et que j’ai crié !
• Ce doit être lié à la proposition que t’a faite Gaspard de te faire l’amour quand tu as fini de lui faire la fellation.
On verra si ça continue.
• Oui, si ça recommence, nous retournerons consulter le docteur Françoise, elle sait ce qu’il se passe dans mon subconscient, elle a fait des études !
Je t’aime mon amour, je m’excuse que tu aies des soucis avec moi et ces cauchemars !

Deux jours, depuis que j’ai pratiqué une fellation à Gaspard allant même jusqu’à avaler son sperme.
La nuit dernière, une nouvelle fois, nous avons fait l’amour et j’ai dormi comme un bébé.
Au matin, j’étais satisfaite, plus le moindre cauchemar, mais cette nuit rebelotent avec en points d’orgue pénétration et orgasme.
Le soir, je viens nue dans notre lit au moment où Alexandre lit un de ses livres sur la philosophie.
Je suis nue, il a mis son boxer de nuit.
Je peux admirer sa musculature qu’il entretient même chez nous dans une salle de sport qu’il s’est aménagée au sous-sol.
Je me love près de lui passant ma tête dans son bras.

• Chéri, si nous faisions l’amour, regarde, avant-hier nous l’avons faite et nous avons pu dormir comme des bébés.
C’est peut-être le secret pour que ces cauchemars disparaissent.
• Tu es terrible Claire, à vingt ans, j’arrivais à te faire l’amour chaque nuit, à quarante et deux enfants, c’est un tout autre programme.
• À vingt ans, quand tu as aménagé ta salle avec tes filles, je te voyais soulever des charges bien moins lourdes que celle que tu as soulevée hier au soir.

Je glisse ma main dans l’élastique, il est vrai que c’est flasque, mais ça bouge.

• Tu vois sa vie encore, je suis sûr que si je te faisais une fellation comme à Gaspard, nous pourrions refaire un petit parcours avant de nous endormir.
• Me reparler de Gaspard, c’est le plus sur moyen pour que ma queue reste inerte, mais je veux bien faire un effort.

Je sors la queue de mon mari et avec la bouche experte que j’ai acquise sur la grosse queue de Gaspard, j’arrive à le faire bander.

• Que fais-tu, pourquoi passer ta jambe sur moi ?
Tu sais que j’aime l’amour comme nous l’avons toujours fait.

Une nouvelle fois, il me pénètre à la missionnaire en se couchant sur moi.
Nous finissons par nous endormir.

« Non, non pas ça, je vous en supplie, je suis mariée et j’aime mon mari. »
• Réveille-toi Claire, ton cauchemar est une nouvelle fois de retour ?
• Oui, mais c’est pire, j’ai vu clairement la queue de l’homme encore bien monté.
• Et alors ?
• Elle était noire !
• Quoi, bien sûr, je suis loin d’être raciste, mais avec un noir...
• C’est sûr, quelque chose a dû clocher, essayons de nous rendormir, j’appèlerais le docteur Françoise demain.

Nous finissons la nuit sans problème, j’appelle Françoise.
Pardon, le docteur Françoise.
Nous sommes à l’heure à la consultation.

• Alors, que vous arrivent-ils depuis mon conseil.
• Docteur, mes cauchemars sont revenus en pire.
• Expliquez-moi, vous avez fait comme je vous avais conseillé de faire !
• Oui, l’homme est venu et Claire lui a fait une fellation jusqu’à avaler son sperme.
Gaspard, il s’appelait Gaspard, mais il lui a proposé de remettre le couvert en la baisant carrément.
Je pense que ma femme a dû fantasmer sur cette proposition, car ça fait deux fois que les cauchemars sont revenus.
• Mais avec en plus un cocufiage complet puisque j’ai un orgasme et cette nuit il avait la queue noire.
• Monsieur Alexandre, vous voulez que les cauchemars de votre femme disparaissent !
Il va falloir accepter de les effacer après que vous ayez trouvé un partenaire noir à votre femme.
• Je veux bien y penser, mais à la condition que comme pour la fellation elle est sa cagoule sur sa tête.
• Pardon, vous avez fait mettre une cagoule à Claire au moment de la fellation !
• Oui, j’ai accepté qu’elle le suce, mais sans le voir.
J’aurais eu l’impression d’être cocu si j’avais vu ses yeux lorsqu’elle le suçait, j’avais peur qu’ils se révulsent, ils le font toujours lorsque nous faisons l’amour.
• C’est donc là le problème, la cagoule, vous l’aviez dans votre cauchemar Claire.
• Non, je voyais ce que je faisais.
• Mes pauvres amis, mon pauvre Alexandre, vous avez tout faux, j’ai déjà eu un cas identique.
Ils s’en sont sortie, après cette erreur, en faisant à la lettre ce que Claire vous a décrit un sexe noir, gros et qui doit la conduire à jusqu’à l’orgasme.
• Et sans cagoule ?
• Sans cagoule Claire, c’est primordial.
• Doc, vous venez de dire que je devrais accepter que Claire fasse l’amour avec un noir et si nous demandions à Gaspard de revenir et que Claire recommence la fellation sans cagoule !
• C’est sans succès, en changeant l’ordre des choses, vous avez déclenché une étape nouvelle de sa maladie.
Dans le cas dont je vous ai parlé, mes autres clients ont essayé votre proposition de revenir en arrière, hélas, sans succès.
Alexandre, je suis dans le regret de dire qu’il faut passer à cette nouvelle étape si vous voulez retrouver des nuits calmes et tranquilles.

Nous payons la doctoresse et nous reprenons le chemin de notre maison, je sens Alexandre tendu.
Qu’est-ce qui le travaille, son cocufiage, la bite noire ou les deux sans la cagoule ?
La nuit suivante, je me mets à crier de nouveau me réveillant en sursaut.

• Encore noire et grosse, Alexandre, comment va-t-on faire, je t’aime tellement, je suis très sincère, tu le sais.
Si j’avais eu comme simple envie de baiser avec un noir, je l’aurais fait dans ton dos sans que tu le saches et ainsi assumer un fantasme de queue noire.
• Je dois dire que dans la voiture, j’ai un moment eu l’impression que vous étiez de connivence avec ta gynéco et que vous vous foutiez de ma gueule.
• Quelle horreur bébé, moi te faire un petit dans le dos !

C’est deux jours plus tard qu’Alexandre m’annonce la décision qu’il a prise.

• Vendredi soir, tu mettras le couvert pour trois dans notre salle à manger.
J’ai trouvé sur ton site un homme correspondant à ton fantasme.
• Lorsque tu parles de fantasme, tu dois dire mon cauchemar mon chéri.
• Je veux faire les choses bien, les hommes nous seront en smoking.
Tu mettras la robe du soir que nous allons acheter ensemble demain après mon travail.
Cocu, c’est bien, mais déclaré en faillite ce serait un peu dommage, c’est ce qui va arriver si je recommence à manquer de sommeil.

C’est vrai depuis le début de mes cauchemars, j’ai omis de dire qu’Alexandre est chef d’entreprise et que sa société de composant électronique bat des records, d’année en année.
Nous avons des jumelles avec des étuis, c’est une blague d’Alexandre depuis qu’elles se sont mariées avec des jumeaux.
Comme moi la première fois qu’il l’a sorti à des amis, pour ceux qui auraient du mal à comprendre, les étuis , ce sont les chattes de nos jumelles.

Le vendredi j’ai tout préparé, repas simple et fin, arrosé de champagne, la cave d’Alexandre contenant ce qu’il faut pour faire de bons repas.
J’ai pris mon temps pour me préparer après un bain où j’avais mis des essences rendant mon corps odorant.
Pour les essences, c’est aussi par habitude, car j’aime être la plus désirable possible pour mon mari.
Lorsque l’on sonne, Alexandre va vers la porte, j’allume les bougies sur la table et la chaîne stéréo ou j’ai placé un Cd de musique douce.

• Bonsoir, Claire, tu es une très belle femme.
Alexandre m’a expliqué le problème qui te tracasse.
• Qui nous tracasse, car mon souci est aussi le souci de mon mari.
J’espère qu’il vous a dit l’amour que je lui porte et que tout ceci est thérapeutique.
• Ça, je l’ai compris, mais je tutoie déjà ton mari depuis que, nous conversons et je te propose d’en faire de même, ça facilitera les choses.
J’ignore si ton mari te l’a dit, ma maman m’a appelé Toussaint, ma famille est d’origine martiniquaise.

J’ai failli éclater de rire, Toussaint fête catho alors que nous sommes athées.

• Je suis né à la date de cette fête, c’est de tradition chez nous comme Noël ici pour vous en France de donner ce nom aux enfants ce jour-là.

Dès que je vois Toussaint, je me félicite du choix d’Alexandre.
La trentaine, cheveux rasés, carrure d’athlète sans être trop baraqué.
C’est certainement l’amant que de nombreuses femmes la quarantaine comme moi souhaitent avoir un jour.
Et en plus galand, ce qui est pour me plaire, se baissant devant moi pour me faire un baisemainPrenant ma main après l’avoir retourné, je reçois ses grosses lèvres d’homme noir, à l’endroit où notre peau est très fine, je suis à deux doigts de me pâmer.
Gaspard était plus fruste, seule sa verge a été en contact avec ma main et ma bouche.
Là, avec Toussaint je sens que je vais passer un moment agréable tout en espérant faire disparaître mes cauchemars.

• Je me suis permis de t’amener quelques roses, hélas, la fleuriste non loin de chez toi était un peu démunie.

Qu’est-ce que cela aurait été si elle en avait eu plus, le bouquet qu’il tient dans son bras doit au bas mot contenir autant de jolies fleurs que j’ai d’années ?
Elles sont orange, signe de l’amour charnel, j’ai appris le langage des fleurs surtout des roses.

• Lorsque Alexandre m’a monté des photos de toi Claire, de suite j’ai senti que ce serait la couleur qui correspondrait le mieux à ta beauté et à ce que nous allons faire ensemble ce soir.
• Alexandre va dans le placard de la cuisine et rapporte nous le gros vase qui est là depuis des années, il est ranger Toussaint, personne pour m’offrir un si beau bouquet.

Quand Alexandre va chercher le vase, la tête un peu base, je prends conscience que je viens de dire à mon mari, que depuis nos débuts, il est loin d’avoir été à la hauteur par ses bouquets de fleurs.
Il est dur de concilier thérapie et amour que je porte à l’homme que je le veuille ou non, c’est tout de même lui qui m’apporte la stabilité sur cette terre.
Il faut que je fasse attention, d’éviter d’humilier ce pauvre homme.
Je dois reconnaitre qu’il fait du mieux avec le peu qu’il a à m’offrir au niveau de son sexe.
Il fait du mieux qu’il peut pour que je sois une femme comblée...