COLLECTION LES CHIENNES. Bien joué (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES CHIENNES. Bien joué (3/4)
C’est en ayant l’impression d’humilier Alexandre quand je lui commande d’aller me chercher ce gros vase dans notre cuisine prenante conscience que je l’ai beaucoup maltraité.
Cet ordre devant celui qui va ce soir me faire l’amour afin d’arriver à endiguer les cauchemars pourrissant notre vie et surtout nos nuits étaient mal venues.
J’ai l’impression de le traiter comme mon toutou alors qu’il a le courage d’affronter notre problème en suivant les directives de Françoise, ma doctoresse.
Alexandre revient et met le bouquet dans l’eau et le pose au centre de la table.
• Messieurs, installez, vous, Alexandre à ma droite, Toussaint à ma gauche, nous avons la chance d’avoir une table ronde.
• Je te sens tendu Claire, sois décontracté, tu verras, je suis un homme très doux.
Que dire du repas, oui, je fais une tache de sauce tomate sur ma robe blanche tenue par une broche sur mon épaule ?
Toussaint vient à mon secours, faisant plus de mal que de bien, me touchant le sein au travers de la mousseline laissant apparaitre mes mamelons qui sont assez proéminents.
Je viens de boire la fin de la seule coupe de champagne qu’Alexandre m’a servi.
Je veux rester lucide pour ce que je considère comme un fantasme nocturne se passe de la meilleure des façons.
De son côté Alexandre semble vouloir s’enivrer, il vient d’ouvrir une deuxième bouteille, ayant presque intégralement vidé la première.
• Alexandre fait danser ton épouse, tout à l’heure c’est toi qui me regarderas, lui faire l’amour, je voudrais profiter de vous deux.
De façon un peu incertaine, suivant l’ordre de celui qui me fait déjà mouiller, il se lève me tient la chaise et m’aide à me lever.
Je suis bien dans ses bras en dansant ce slow langoureux, ma chatte est humide d’envie de baise et surtout de jouissance.
Alexandre est sans réaction alors que je m’attendais à ce qu’il bande.
• Vous êtes magnifique les enfants, mais nous pouvons faire mieux.
Claire j’adore ta robe qui te moule divinement, mais je veux te contempler nue, car j’ai constaté que tu étais sans petite culotte.
Si tu en portais une, une ligne disgracieuse me le confirmerait.
Alexandre dégraffe la broche sur l’épaule de Claire, afin qu’elle tombe au sol.
De son côté, Toussaint a sorti sa grosse verge noire, je tremble, mais d’envie qu’elle soit en moi.
Nue dans les bras de mon mari, ça m’est souvent arrivé simplement lors de notre nuit de noces.
Du moins après que nous ayons rejoint notre chambre et qu’avant qu’il me couche sur notre lit, nous avons dansé là encore un verre de champagne à la main.
Nous avions rigolé, car le liquide s’était répandu sur la couverture de cette chambre de ce château de princesse que nos parents nous avaient réservée.
Je dois dire, qu’au matin et les trois jours suivants, bien que j’aime profondément mon mari, j’ai été un peu frustré, de l’absence du grand frisson dont me parlaient mes amies.
Je vois Toussaint se lever et venir vers nous.
Que ce garçon est beau noir comme de l’ébène dans son smoking blanc alors que le cavalier que je quitte est blanc dans un smoking noir, sa verge faisant contraste.
Le yin et le yang étudié pendant mes études même si je les ai arrêtés rapidement dans l’attente des jumelles.
Le blanc et le noir, couleur de peau, mais avec tout de même une grande différence entre les deux.
La blanche montre Waterloo morne plaine, la noire, je la sens qui s’appuie sur ma chatte.
Nous changeons de cavalier à la fin d’un slow et au début d’une valse.
Alexandre passe prendre son verre avec la bouteille sur la table et s’affale dans mon fauteuil lorsque nous regardons la télé.
Quel bon valseur, je m’envole dans les bras de mon cavalier, je devrais être apeuré de bientôt appartenir à un autre, mais Toussaint est si prévenant que sans m’en rendre compte mes lèvres embrassent ses grosses lèvres.
J’ai conscience que dans ce qu’avec Alexandre nous avons considéré être un cauchemar, les lèvres et la langue de mon partenaire, c’était sur ma chatte que je les ressentais et non sur les miens.
Pour la première fois, les lèvres d’un autre homme remplacent celles de mon mari, ce qui me laisse toute chaude.
Chaque fois que mon regard se porte vers mon homme, je trouve qu’il se tasse de plus en plus dans mon fauteuil.
La bouteille est toujours tenue, mais touche le sol, prêt à lui échapper.
• Claire, c’est le moment fait comme tu fais dans ton rêve.
Nous allons exorciser votre problème, c’est du moins ce que tu m’as expliqué Alexandre avant de me choisir et m’inviter à baiser sa jolie épouse.
Je me baisse et j’ouvre la ceinture blanche de son smoking dégageant complètement sa verge.
Noire et longue, assez grosse sans plus, juste à mon goût, surtout quand je la mets dans ma bouche, la branlant et la masturbant de mes mains.
Encore un bon choix de celui qui bois un coup, semblant résigné.
Toussaint me prend par les oreilles, c’est lui qui rythme ma fellation.
Comme il est affalé Alexandre est assez bas pour voir ma chatte entre les jambes de ce grand garçon black.
Mon mont de Vénus recouvert de ma toison blonde et mes lèvres vaginales doivent être ouverts bayant d’envie d’être prise.
Je vois d’un œil qu’Alexandre a ouvert sa braguette et se masturbe avec deux doigts.
Toussaint quitte sa veste qui rejoint ma robe ainsi que sa chemise.
Je le suce tout en passant ma main sur ses pectoraux, ils frissonnent à mon passage, là encore une grande différence avec celui qui est déjà cocu depuis que j’ai sucé Gaspard.
• Claire, c’est le moment, place-toi comme dans ton rêve, je vais te baiser, tu m’as si bien pompé que je suis à deux doigts de décharger.
Lorsqu’il m’aide à me relever, je lui prends la main et me place sur mon canapé à quatre pattes, en parfaite levrette mes seins sur le dossier.
La levrette, c’est une position très importante pour moi qui suis principalement sautée dans la position du missionnaire.
Nous sommes à moins de trois mètres d’Alexandre, je tourne ma tête par instinct.
Si Alexandre avait marqué d’une larme ce que je vais faire risquant pour mon couple un déchirement, j’aurais pu arrêter.
Comme un bébé, il dort.
Je me sens presque trahi aussi lorsque je sens Toussaint saisir mes hanches, je me concentre sur le plaisir que je souhaite prendre.
Si mon mari doit être candaulisme, ce sera une autre fois, si autrefois il y a.
Toussaint fait aller et venir son gros bâton de ma chatte à mon anus, je manque une nouvelle fois de rire à la pensée qui me vient.
Un jour il faudra que j’essaye la sodomie avec Alexandre.
Il en a une si petite que la pénétration en sera certainement facilitée et sera une simple formalité.
• Regarde, il dort, profitons-en !
Pour en profiter, il en profite, à ma grande surprise.
La mouille que son gland a récupérée dans ma chatte, s’était pour mouiller mon anus.
Doucement il me fait ce que je pensais faire dans les jours prochains pour me faire pardonner si Alexandre en avait exprimé le désir, à ma sollicitation bien sûr.
Petit à petit sans me brusquer, il entre dans mon anus avec une simple petite douleur tellement il est prévenant.
• Ça te choque, lorsque j’ai vu ton cul, c’est là que j’ai eu envie d’y mettre ma queue.
Alexandre m’a expliqué ce qui vous a amené à vouloir ma présence ce soir.
Si ton cas est pathologique, il faudra que tu recommences ta thérapie.
J’aimerais que ce soit moi qui soit l’heureux élu et là je ferais attention à ce qu’il reste éveillé et constate son infortune.
Quand je vois le petit morceau qui sort de son pantalon, je comprends que tu veuilles rencontrer des verges plus imposantes.
Comment répondre à cette affirmation surtout qu’il passe sa main devant moi et me caresse le clito ?
Clito et vagin, j’ai la chance de pouvoir jouir par l’un ou par l’autre aussi lorsque mon anus est rempli dans tous les sens du terme, je jouis de façon plus forte qu’à mon ordinaire.
• Je vois ta piscine éclairée, aviez-vous prévu que nous allions nous baigner.
• Au départ, nous avions prévu de manger sur ses bords, tu vois il y a une table.
Nous avons renoncé la fraicheur tombant très vite.
• Allons, nous baigner !
J’ai la rosette qui me démanche, pour éviter de dire que j’ai le cul cassé, mais je récupère mes jambes et j’ouvre notre porte-fenêtre.
Il m’entraîne vers notre rectangle bleu où nous sautons en bombe.
Nous récupérons l’air libre à la nuit tombante et je me mets à nager.
Toussaint nage aussi bien qu’il baise.
Il pratique le crawl d’une manière gracieuse et efficace.
Cette nage pour moi faible femme est trop physique, je nage en pratiquant la brasse.
Comme les nageurs dans les mers chaudes, à un moment, je le sens derrière moi, comme un requin voulant avaler sa proie.
J’arrive au bout de la longueur et je m’accroche à la margelle.
Le requin est sur moi, proie tentante et déjà consentante.
Il me prend par les jambes, sa langue venant caresser ma chatte.
Je sens un veulement monter vers ma bouche, tellement l’attaque a été divine.
L’eau nous entourant baigne ma vulve, loin de la refroidir, je sens qu’elle s’embrase.
J’ai parlé de mes lèvres vaginales, il les prend l’une après l’autre dans sa bouche et pour finir sa langue entre en moi.
J’ai du mal à le reconnaitre, je sens plus la langue de Toussaint au fond de ma chatte, que la verge d’Alexandre, que comme je suis placé, je le vois arriver sa bouteille au bout du bras.
C’est d’une voix pâteuse, qu’il s’arrête au-dessus de nous.
• Je m’excuse de te déranger dans la réalisation de ton rêve chérie.
Je me suis réveillé et j’ai constaté que mon doigt était coincé dans la bouteille de champagne.
Impossible de le sortir, je dormais.
C’est la fin de nos élans à Toussaint et moi, nous sortons de la piscine pour secourir mon pauvre cocu.
C’est mon sodomite qui arrange la situation.
Je voulais tirer dessus, il est allé vers la remise, a trouvé un marteau et d’un coup précis, il a éclaté la bouteille, perdant une grande partie du champagne, mais récupérant le doigt intact.
Ça a refroidi ce que nous allions faire, et nous avons salué notre ami et sommes monter, nous coucher.
C’est dans notre baignoire que je lui fais le topo de ce qui s’est passé omettant de lui parler de la sodomie que pour une première fois j’ai appréciée.
Dans la nuit, c’est l’heure de réveiller Alexandre, avec mes cris de frayeur.
« Non, non pas ça, je vous en supplie, madame, je suis mariée et j’aime mon mari. »
• Réveille-toi Claire, c’est de ma faute, j’ai tout fait foirer, en prenant une biture, j’ai dû modifier ton rêve !
• Non, mon cauchemar a été complètement chamboulé, l’homme noir a disparu et c’était une femme avec la tête du docteur Françoise, qui m’est apparue.
Je lui suçais la chatte et elle me le rendait bien...
Cet ordre devant celui qui va ce soir me faire l’amour afin d’arriver à endiguer les cauchemars pourrissant notre vie et surtout nos nuits étaient mal venues.
J’ai l’impression de le traiter comme mon toutou alors qu’il a le courage d’affronter notre problème en suivant les directives de Françoise, ma doctoresse.
Alexandre revient et met le bouquet dans l’eau et le pose au centre de la table.
• Messieurs, installez, vous, Alexandre à ma droite, Toussaint à ma gauche, nous avons la chance d’avoir une table ronde.
• Je te sens tendu Claire, sois décontracté, tu verras, je suis un homme très doux.
Que dire du repas, oui, je fais une tache de sauce tomate sur ma robe blanche tenue par une broche sur mon épaule ?
Toussaint vient à mon secours, faisant plus de mal que de bien, me touchant le sein au travers de la mousseline laissant apparaitre mes mamelons qui sont assez proéminents.
Je viens de boire la fin de la seule coupe de champagne qu’Alexandre m’a servi.
Je veux rester lucide pour ce que je considère comme un fantasme nocturne se passe de la meilleure des façons.
De son côté Alexandre semble vouloir s’enivrer, il vient d’ouvrir une deuxième bouteille, ayant presque intégralement vidé la première.
• Alexandre fait danser ton épouse, tout à l’heure c’est toi qui me regarderas, lui faire l’amour, je voudrais profiter de vous deux.
De façon un peu incertaine, suivant l’ordre de celui qui me fait déjà mouiller, il se lève me tient la chaise et m’aide à me lever.
Je suis bien dans ses bras en dansant ce slow langoureux, ma chatte est humide d’envie de baise et surtout de jouissance.
Alexandre est sans réaction alors que je m’attendais à ce qu’il bande.
• Vous êtes magnifique les enfants, mais nous pouvons faire mieux.
Claire j’adore ta robe qui te moule divinement, mais je veux te contempler nue, car j’ai constaté que tu étais sans petite culotte.
Si tu en portais une, une ligne disgracieuse me le confirmerait.
Alexandre dégraffe la broche sur l’épaule de Claire, afin qu’elle tombe au sol.
De son côté, Toussaint a sorti sa grosse verge noire, je tremble, mais d’envie qu’elle soit en moi.
Nue dans les bras de mon mari, ça m’est souvent arrivé simplement lors de notre nuit de noces.
Du moins après que nous ayons rejoint notre chambre et qu’avant qu’il me couche sur notre lit, nous avons dansé là encore un verre de champagne à la main.
Nous avions rigolé, car le liquide s’était répandu sur la couverture de cette chambre de ce château de princesse que nos parents nous avaient réservée.
Je dois dire, qu’au matin et les trois jours suivants, bien que j’aime profondément mon mari, j’ai été un peu frustré, de l’absence du grand frisson dont me parlaient mes amies.
Je vois Toussaint se lever et venir vers nous.
Que ce garçon est beau noir comme de l’ébène dans son smoking blanc alors que le cavalier que je quitte est blanc dans un smoking noir, sa verge faisant contraste.
Le yin et le yang étudié pendant mes études même si je les ai arrêtés rapidement dans l’attente des jumelles.
Le blanc et le noir, couleur de peau, mais avec tout de même une grande différence entre les deux.
La blanche montre Waterloo morne plaine, la noire, je la sens qui s’appuie sur ma chatte.
Nous changeons de cavalier à la fin d’un slow et au début d’une valse.
Alexandre passe prendre son verre avec la bouteille sur la table et s’affale dans mon fauteuil lorsque nous regardons la télé.
Quel bon valseur, je m’envole dans les bras de mon cavalier, je devrais être apeuré de bientôt appartenir à un autre, mais Toussaint est si prévenant que sans m’en rendre compte mes lèvres embrassent ses grosses lèvres.
J’ai conscience que dans ce qu’avec Alexandre nous avons considéré être un cauchemar, les lèvres et la langue de mon partenaire, c’était sur ma chatte que je les ressentais et non sur les miens.
Pour la première fois, les lèvres d’un autre homme remplacent celles de mon mari, ce qui me laisse toute chaude.
Chaque fois que mon regard se porte vers mon homme, je trouve qu’il se tasse de plus en plus dans mon fauteuil.
La bouteille est toujours tenue, mais touche le sol, prêt à lui échapper.
• Claire, c’est le moment fait comme tu fais dans ton rêve.
Nous allons exorciser votre problème, c’est du moins ce que tu m’as expliqué Alexandre avant de me choisir et m’inviter à baiser sa jolie épouse.
Je me baisse et j’ouvre la ceinture blanche de son smoking dégageant complètement sa verge.
Noire et longue, assez grosse sans plus, juste à mon goût, surtout quand je la mets dans ma bouche, la branlant et la masturbant de mes mains.
Encore un bon choix de celui qui bois un coup, semblant résigné.
Toussaint me prend par les oreilles, c’est lui qui rythme ma fellation.
Comme il est affalé Alexandre est assez bas pour voir ma chatte entre les jambes de ce grand garçon black.
Mon mont de Vénus recouvert de ma toison blonde et mes lèvres vaginales doivent être ouverts bayant d’envie d’être prise.
Je vois d’un œil qu’Alexandre a ouvert sa braguette et se masturbe avec deux doigts.
Toussaint quitte sa veste qui rejoint ma robe ainsi que sa chemise.
Je le suce tout en passant ma main sur ses pectoraux, ils frissonnent à mon passage, là encore une grande différence avec celui qui est déjà cocu depuis que j’ai sucé Gaspard.
• Claire, c’est le moment, place-toi comme dans ton rêve, je vais te baiser, tu m’as si bien pompé que je suis à deux doigts de décharger.
Lorsqu’il m’aide à me relever, je lui prends la main et me place sur mon canapé à quatre pattes, en parfaite levrette mes seins sur le dossier.
La levrette, c’est une position très importante pour moi qui suis principalement sautée dans la position du missionnaire.
Nous sommes à moins de trois mètres d’Alexandre, je tourne ma tête par instinct.
Si Alexandre avait marqué d’une larme ce que je vais faire risquant pour mon couple un déchirement, j’aurais pu arrêter.
Comme un bébé, il dort.
Je me sens presque trahi aussi lorsque je sens Toussaint saisir mes hanches, je me concentre sur le plaisir que je souhaite prendre.
Si mon mari doit être candaulisme, ce sera une autre fois, si autrefois il y a.
Toussaint fait aller et venir son gros bâton de ma chatte à mon anus, je manque une nouvelle fois de rire à la pensée qui me vient.
Un jour il faudra que j’essaye la sodomie avec Alexandre.
Il en a une si petite que la pénétration en sera certainement facilitée et sera une simple formalité.
• Regarde, il dort, profitons-en !
Pour en profiter, il en profite, à ma grande surprise.
La mouille que son gland a récupérée dans ma chatte, s’était pour mouiller mon anus.
Doucement il me fait ce que je pensais faire dans les jours prochains pour me faire pardonner si Alexandre en avait exprimé le désir, à ma sollicitation bien sûr.
Petit à petit sans me brusquer, il entre dans mon anus avec une simple petite douleur tellement il est prévenant.
• Ça te choque, lorsque j’ai vu ton cul, c’est là que j’ai eu envie d’y mettre ma queue.
Alexandre m’a expliqué ce qui vous a amené à vouloir ma présence ce soir.
Si ton cas est pathologique, il faudra que tu recommences ta thérapie.
J’aimerais que ce soit moi qui soit l’heureux élu et là je ferais attention à ce qu’il reste éveillé et constate son infortune.
Quand je vois le petit morceau qui sort de son pantalon, je comprends que tu veuilles rencontrer des verges plus imposantes.
Comment répondre à cette affirmation surtout qu’il passe sa main devant moi et me caresse le clito ?
Clito et vagin, j’ai la chance de pouvoir jouir par l’un ou par l’autre aussi lorsque mon anus est rempli dans tous les sens du terme, je jouis de façon plus forte qu’à mon ordinaire.
• Je vois ta piscine éclairée, aviez-vous prévu que nous allions nous baigner.
• Au départ, nous avions prévu de manger sur ses bords, tu vois il y a une table.
Nous avons renoncé la fraicheur tombant très vite.
• Allons, nous baigner !
J’ai la rosette qui me démanche, pour éviter de dire que j’ai le cul cassé, mais je récupère mes jambes et j’ouvre notre porte-fenêtre.
Il m’entraîne vers notre rectangle bleu où nous sautons en bombe.
Nous récupérons l’air libre à la nuit tombante et je me mets à nager.
Toussaint nage aussi bien qu’il baise.
Il pratique le crawl d’une manière gracieuse et efficace.
Cette nage pour moi faible femme est trop physique, je nage en pratiquant la brasse.
Comme les nageurs dans les mers chaudes, à un moment, je le sens derrière moi, comme un requin voulant avaler sa proie.
J’arrive au bout de la longueur et je m’accroche à la margelle.
Le requin est sur moi, proie tentante et déjà consentante.
Il me prend par les jambes, sa langue venant caresser ma chatte.
Je sens un veulement monter vers ma bouche, tellement l’attaque a été divine.
L’eau nous entourant baigne ma vulve, loin de la refroidir, je sens qu’elle s’embrase.
J’ai parlé de mes lèvres vaginales, il les prend l’une après l’autre dans sa bouche et pour finir sa langue entre en moi.
J’ai du mal à le reconnaitre, je sens plus la langue de Toussaint au fond de ma chatte, que la verge d’Alexandre, que comme je suis placé, je le vois arriver sa bouteille au bout du bras.
C’est d’une voix pâteuse, qu’il s’arrête au-dessus de nous.
• Je m’excuse de te déranger dans la réalisation de ton rêve chérie.
Je me suis réveillé et j’ai constaté que mon doigt était coincé dans la bouteille de champagne.
Impossible de le sortir, je dormais.
C’est la fin de nos élans à Toussaint et moi, nous sortons de la piscine pour secourir mon pauvre cocu.
C’est mon sodomite qui arrange la situation.
Je voulais tirer dessus, il est allé vers la remise, a trouvé un marteau et d’un coup précis, il a éclaté la bouteille, perdant une grande partie du champagne, mais récupérant le doigt intact.
Ça a refroidi ce que nous allions faire, et nous avons salué notre ami et sommes monter, nous coucher.
C’est dans notre baignoire que je lui fais le topo de ce qui s’est passé omettant de lui parler de la sodomie que pour une première fois j’ai appréciée.
Dans la nuit, c’est l’heure de réveiller Alexandre, avec mes cris de frayeur.
« Non, non pas ça, je vous en supplie, madame, je suis mariée et j’aime mon mari. »
• Réveille-toi Claire, c’est de ma faute, j’ai tout fait foirer, en prenant une biture, j’ai dû modifier ton rêve !
• Non, mon cauchemar a été complètement chamboulé, l’homme noir a disparu et c’était une femme avec la tête du docteur Françoise, qui m’est apparue.
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