COLLECTION LES CHIENNES. Bien joué (4/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LES CHIENNES. Bien joué (4/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES CHIENNES. Bien joué (4/4)
« Non, pas ça, je vous en supplie, madame, je suis mariée et j’aime mon mari. »
• Réveille-toi Claire, c’est de ma faute, j’ai tout foiré, en prenant une biture, j’ai dû modifier ton rêve !
• Non, mon cauchemar a été complètement chamboulé, l’homme noir a disparu et c’était une femme avec la tête du docteur Françoise, qui m’est apparue.
Je lui suçais la chatte et elle me le rendait bien.

Plus c’est gros, plus ça passe, j’arrive au bout du parcours que nous avons élaboré avec Françoise.
C’est bien ma gynéco, mais depuis les quelques années ou elle s’occupe de moi, nous avons ressenti du sentiment l’une pour l’autre.
Lorsque nous avons du temps, je vais chez elle qui est célibataire après une séparation.
Elle et moi, rapidement nous sommes devenues très intimes.
J’ai appris grâce à elle à aimer jouir par les caresses d’une femme.
Françoise voulait que je me sépare d’Alexandre pour vivre avec elle.
J’aurais pu le faire, mais au fond de moi lorsque je dis que j’aime mon mari, je suis sincère.
En simulant un rêve d’acte sexuel avec une autre femme, j’arrive au bout du parcours élaboré avec Françoise.
Au début, le coup du rêve nous réveillant était une bonne idée et je voulais arriver directement à une relation féminine.
Françoise, m’en a dissuadé et c’est elle qui a proposé les diverses étapes que nous avons fait franchir à Alexandre.
On va penser qu’elle était loin de tenir à elle en acceptant de me donner à d’autres hommes, nous l’avons envisagé, mais je savais que c’était fichu d’avance.
Je lui ai dit que je les aimais tous les deux et qu’il était hors de question que je quitte le père de mes filles, mais que je la voulais, elle aussi.
Je lui ai parlé de la petite bite de mon mari et qu’avec elle, mes jouissances étaient décuplées par la douceur qu’elle m’apportait.
Chaque soir où je devais me réveiller en panique du rêve que j’avais fait, je plaçais mon portable en mode vibreur sous mon oreiller.
Lorsqu’il se déclenchait ça me réveillait et je jouais la partition que nous avions prévu.

• Mon chéri, mon rêve était encore plus précis, tu me baisais, tu m’enculais même pendant que Françoise me donnait sa chatte à sucer.
• En as-tu vu plus ?
• Non, je me suis réveillé au moment où tous les trois nous avons joui.
Toi dans mon anus, moi grâce à toi, car même si c’était la première fois, tu me prenais avec tant de douceur, que j’appréciais jusqu’à la jouissance.
En même temps Françoise sous mes coups de langue sur sa chatte sans le moindre poils, elle s’épile, jouissait aussi.

En une seule fois, je viens de poser des jalons sur ce que j’avais un jour à demander à Alexandre de me faire.
La sodomie déjà effectué avec Toussaint sans qu’il le sache, même si dans nos plans les plus fous élaborés avec Françoise je devais être prise par la chatte et non l’anus.
Et deuxièmement prendre un avantage sur lui en parlant de sa chatte épilée.
Je l’ai assez souvent léché, sucé, caressé ou frotté sexe contre sexe pour savoir qu’elle se fait faire là totale à son institut de beauté.

• Mes amis, je suis étonné que vous ayez toujours des soucis avec ces cauchemars.
Claire, vous me dite que c’est avec moi, que dans votre rêve vous avez un rapport.
Alexandre, je m’excuse si ta femme fantasme sur moi.
Il s’avère que je suis lesbienne et que je veux bien qu’avec ta femme nous trouvions le chemin de sa guérison.
• J’ai une question à poser et suivant ta réponse je croirais en toutes ces prémonitions.

Je constate que sans que ce soit moi qui ai commencé, mon mari et ma maîtresse se sont mis à se tutoyer comme s’ils étaient de vieux amis.

• Comment est ton vagin ?
• Quelle question, c’est surprenant, qu’entant-tu par là ?
• As-tu ta touffe ou te fais-tu épiler.
• Quelle horreur, ma touffe, toutes les semaines, je vais dans mon institut de beauté où je me fais épiler et revenir juste avant que je devienne une adolescence.
J’envisage même de le faire au laser et me débarrasser définitivement de ces poils disgracieux !
Veux-tu que je te montre ?

Bien joué Alexandre est tombé dans le piège que je lui avais tendu en l’évoquant dans mon rêve.

• Inutile, je verrais cela samedi lorsque tu viendras chez nous passer la soirée en dinant aux chandelles au bord de notre piscine.
J’ai regardé la météo, ils annoncent une nuit étoilée, nous pourrons admirer les étoiles.

Un regard de connivence avec celle que j’aime autant que celui que je viens de berner et il nous faut attendre trois jours avant de concrétiser notre amour à trois.
Ce qu’Alexandre ignore, c’est que Françoise est bisexuelle comme je le suis devenue grâce à elle et qu’il est prévu qu’elle commence à sucer Alexandre au cours de nos échanges.

• Bien venue Françoise, j’allais dire docteur, tu es divine, avec Claire, vous êtes les deux seules beautés de ce monde.
Je te promets qu’au cours de notre soirée, je saurais comment me tenir.
Je veux éviter de faire tout foirer une nouvelle fois et apporter la guérison à ma femme.
• D’étend toi Alexandre, je suis certaine que cela va très bien se passer, regarde comme notre petite Claire est divine ce soir.
J’aurais envie de me rafraîchir avant de nous assoir autour de cette belle table forte appétissante.

Pour cette soirée, nous avions prévu d’improviser, il fallait surtout qu’il tombe amoureux de l’une et de l’autre afin qu’il accepte notre vie à trois.
C’est pourquoi de retour de ses ablutions, je vois Françoise faire tomber sa robe, me montrant ce corps nu que j’aime surtout grâce à ce qu’il m’apporte.
Alexandre en fait de même et alors que je détache mon chemisier, je les vois courir et sauter dans l’eau comme je l’avais faite avec Toussaint.
Je les rejoins et lorsque nous avons assez nagé, nous nous reposons sur les marches par lesquelles nous aurions du passé alors que nous avons sauté.
J’allais dire mon mari, je dois plutôt dire notre homme repose entre nous deux.
C’est moi qui prends la main de Françoise pour la poser sur sa queue.

• Enfin, vous vous dévoilez, c’est toi Françoise qui trahit le fantasme de Claire en me prenant la queue.
Il y a longtemps que je sais que tu te gouines avec Claire.
Claire, j’ai très vite remarqué que ma petite queue était loin de te satisfaire, j’ai cru à un amant tel que Gaspard ou Toussaint.
Lorsque j’ai vu que ma rivale était une femme et qu’une nuit, tu m’as réveillé en sursot, je me suis demandé quels jeux tu jouais.
Lorsque tu m’as proposé de venir rencontrer ta maîtresse, j’ai voulu savoir ce que vous aviez prévu, car au début j’ai pensé que tu voulais m’abandonner ma chérie.
Je dois reconnaitre que le fait que tu veuilles faire passer tes cauchemars en voulant sucer une verge, ça m’a un peu désarçonné.
La deuxième fois avec Toussaint aussi.
Je savais tes cauchemars simulés, je me demandais comment tu faisais pour être réveillé les nuits de tes simulations.
Toute notre vie, tu as un sommeil de plomb dès que tu es allongée.
L’autre soir lorsque tu étais dans la salle de bains, j’ai récupéré ton portable que tu avais caché sous ton oreiller.
Trois heures de matin, il devait vibrer, j’ai su que tu avais vu juste.
Bien joué, vous avez détourné mon attention en évitant d’être trop directe dans les soins à apporter au mal de ta femme Françoise.
Il me manquait une pièce à mon puzzle, alliez-vous me rejeter ou alors trouver le moyen de me faire participer à vos jeux.
Quand tu m’as mis ta main sur ma queue, Françoise, j’ai su que j’allais participer.
Sortons de l’eau mes belles, il commence à faire frais le cul dans l’eau.

Alexandre s’est relevé, nous aidant à en faire de même.
Il nous conduit vers la table, c’est lui qui a préparé notre soirée pendant que je me préparais dans notre chambre.
Je constate que sur la table, il a mis cinq assiettes.
Pourquoi cinq nous sommes trois ?
Il prend son portable laissé là et appel.

• Vous pouvez venir.

Qui va arriver, contournant le coin de notre villa, je vois arriver Gaspard et Toussaint.

• Ma chérie, avec mes deux amis, tu m’as posé un problème, Gaspard, aucune difficulté lorsque je lui ai fait comprendre ce que tu voulais me faire croire.
Je l’ai appelé, je savais qu’il serait partant malgré que tu sois ma femme.
Ta demande d’un homme noir, lors de ton deuxième cauchemar ma déboussolé, mais j’en ai parlé à Gaspard qui avait par chance cet ami noir qui a été partant pour jouer le rôle.
Ma chérie, à ce stade de mes confidences deux choses, c’est moi qui lui ai demandé de t’enculer, je voulais le faire depuis longtemps, mais j’avais peur que tu prennes ombrage et que je te perde.
La deuxième, c’est mon doigt coincé dans le goulot de la bouteille.
Je simulais un homme ivre s’endormant avec la bouteille au bout de ma main.
C’est d’une façon imprévue que je me suis coincé le doigt et que je suis venu demander de m’aider.

Gaspard et Toussaint se sont dénudés pour se mettre à notre niveau et se sont approchés.
Il est vrai que la comparaison entre eux et moi sommes significatives, mais que voulez-vous nous naissons comme l’on naît, il faut faire avec.

Je prends Françoise dans mes bras et je lui force à me faire une fellation.
Lui force, c’est un grand mot, ma bite se retrouve dans sa bouche sans que j’aie besoin de beaucoup la forcer.
Pendant ce temps, le trio que forme ma femme avec laquelle je me suis servi pour qu’il réalise ses fantasmes, sait y faire.
Gaspard se couche au sol et Claire vient directement s’empaler.
Au moment où bandant au maximum je fais comprendre à ma partenaire que je veux la prendre en levrette, Toussaint vient derrière elle et la pénètre dans une double pénétration.
Je pourrais poser la question à ma partenaire si je peux l’enculer, mais je veux rester maitre de cette transformation de ma vie et de notre couple.
Lorsque les deux femmes hurlent leur plaisir, je suis au fond de sa gouine préférée.
Nous éjaculons, transformant ces deux garces en chienne humaine.

Plus tard après avoir mangé, nous nous retrouvons dans la piscine où je prends Claire dans mes bras.

• Merci mon chéri, je suis la femme la plus heureuse au monde.
J’ai à ma disposition toute la gamme des jeux sexuels à laquelle j’aspirais et que je refrénais à cause de nos filles.

Au moment où la soulevant pour qu’elle s’empale sur mon petit morceau, je m’aperçois que je suis en même temps candauliste, sodomite, échangiste donc tous ce qui se termine en « ite » ou « iste » dans le domaine sexuel.
Revenue sur la terre ferme, avec mes copains, nous regardons nos petites femmes se donner du plaisir en se broutant le minou.
Elles ont voulu jouer, mais à la fin c’est moi qui suis gagnant malgré mon petit morceau.

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