COLLECTION LES CHIENNES. Chienne, oui, mais comment ? (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES CHIENNES. Chienne, oui, mais comment ? (2/2)
Trois, à table dans ce bon restaurant, pendant les vacances de mon mari et de mes filles.
Erreur, trois hommes dont des jumeaux blacks, je fais attention d’éviter l’erreur sur les jumeaux comme je l’ai fait en parlant de Jade et Adeline.
Des jumelles qui ont contribué à ce moment où j’ai tout fait pour changer mon image pour être sûr de trouver un mâle en rut, prêt à m’apporter le grand frisson qui m’a toujours échappé depuis mon dépucelage.
J’ai longtemps cru que ce que m’apportait mon mari au lit était la norme pour toutes les femmes.
J’ai été éduqué avec l’idée qu’une épouse était sur terre pour souffrir, j’irais même jusqu’à dire pour « en chier », mais mon éducation m’interdit d’employer de tels mots !
Internet m’a permis de comprendre mon erreur et que l’interdit était déjà le premier pas vers la découverte de ce que mon corps est capable de ressentir.
Le repas se déroule sans anicroche, si je profite des absences familiales, ces trois copains en font de même, eux, leurs femmes sont aussi avec les enfants en vacances à la mer.
Ce qui me rassure, mais qui me pose aussi problème, c’est les photos qu’ils me présentent de leurs épouses et de leurs enfants.
On est bien loin des bites, pardon de la bite que j’étais venue chercher en pénétrant dans ce club avec ma tenue affriolante.
Alim tout au long du repas mate mes cuisses, son regard me gêne presque alors qu’il m’a montré sur son portable les photos de sa femme aussi blonde que je suis brune.
Les photos me montrent leur fils joli petit métisse.
La femme de Matias est plus grande que lui et ses deux enfants presque de l’âge de mes filles sont, elles aussi très belles.
Quant à Alexandre, lui seul est célibataire, mais porte alliance, car pacsée.
La belle black qu’il me montre est sans enfants, mais elle aussi très bandante.
Le repas est appétissant et les vins après un autre whisky avec glace succulant.
Le blanc puis le rouge suivi d’une bouteille de champagne me grise un peu, même beaucoup et c’est pompette que nous quittons ce restaurant ou en gentleman ils ont partagé l’addition.
Le café et l’air extérieur me font un peu de bien mis pas suffisamment pour refuser d’aller chez Matias boire un dernier verre de champagne.
Il habite à deux pas du restaurant.
Alim m’a pris la main, ce noir est loin de moi et de mes fantasmes.
Certaines femmes flash sur les bites noires, je dois dire qu’à ce jour la couleur dans mes rêves m’est apparue toujours comme celle de Christophe, blanche.
Au moment de prendre l’ascenseur un doute m’assaille.
Ils sont trois et je suis seule, situation incongrue pour une femme manquant de sexe surtout que je suis cernée de tout côté, je sens même celle d’Alexandre s’appuyer sur mes fesses.
La seule chose me rassurant, c’est qu’ils sont trois, je respecte mon chiffre porte-bonheur.
• Installez-vous, Matias je connais la maison, je vais faire le service.
Un fauteuil me tend les bras, celui de madame ou de monsieur lorsque le couple regarde la télé.
Ce qui semble indécent, c’est que des photos de la famille à divers moments de la vie sont posées sur un guéridon près de nous.
Alexandre s’installe dans le deuxième fauteuil et Matias tire une chaise pour être non loin de moi.
Alim revient avec un plateau les coupes et la bouteille, il a dû être serveur à un moment de sa vie, car il fait cela de main de maître.
• Lève-toi que je m’assoie, tu viendras sur mes genoux !
Lorsque Alim me donne cet ordre, je devrais me révolter, mais est-ce l’alcool ingurgité tout au long de la soirée, mais j’exécute son ordre me retrouvant dans une situation un peu embarrassante.
Les trois hommes parlent de politique, les élections ayant lieu dans quelques jours.
Je suis larguée, la politique et moi ça fait deux.
Au début, Alim a posé une main sur ma cuisse, et je sens qu’elle a tendance à remonter, mais je me laisse faire, car le bas de mon ventre commence à s’échauffer.
Appartenir à trois hommes en même temps me semble atteignable.
Je voulais me faire sauter trois fois en trois jours avant de rentrer dans le giron familial, trois d’un coup, pourquoi pas.
• Les copains, la petite Rose, elle mouille, venez m’aider.
C’est bien moi qui entends ces mots, c’est la première fois que j’entends ces mots.
C’est vrai que les doigts d’Alim ont progressé et ont atteint ma chatte.
Je tourne ma tête pour voir si les mots que j’ai entendus viennent de la bouche de celui dont je sens une grosse bosse sous mes fesses.
Tout est nouveau pour moi, bien sûr, j’embrasse Christophe, mais rarement ça fait partie des griefs que je peux lui faire.
Des doigts sur ma chatte qui m’émoustille me faisant mouiller à ce qu’il dit et ma bouche s’ouvrant sur la sienne, je tombe dans un puits sans fond.
On me touche le sein droit.
Je retourne ma tête, un sexe est à hauteur de ma bouche.
Je lève les yeux, c’est Matias qui m’offre ce morceau qui entre sans problème dans ma bouche.
Je commence à sentir mon corps partir dans tous les sens, une boule monte en moi.
On m’écarte les jambes, la bite, sous moi, semble avoir encore pris du volume.
Mes oreilles enregistrent le bruit d’un morceau de tissu qui se déchire et dans la foulée une langue vient titiller mon clitoris.
Ça commence à se chambouler dans mes bas étages, est-ce l’interdit d’être avec plusieurs hommes me comportant comme une chienne qui d’un coup me fait prendre conscience que je suis en train de le faire.
Cocufier Christophe, me comporter envers mes filles comme à aucun moment, je voudrais dans le futur qu’elles se comportent.
Mais la verge sous mes fesses, la langue sur mon clito et la verge dans ma bouche balaye tous mes doutes sur la route que j’ai décidé de prendre.
Je le rappelle, comme je me donne à trois hommes, ce sera la seule soirée, dès demain, je redeviens la femme sérieuse que j’ai toujours été jusqu’à ce soir.
Les choses évoluent, Alim est frustré de s’occuper simplement de mes seins.
Fort comme un bœuf, il se lève avec moi dans les bras.
• Matias, Alexandre, suivez-nous dans la chambre d’amis, cette petite a encore plein de choses à nous offrir.
Pour offrir, j’offre, ma nudité ainsi que la leur, pour commencer.
J’offre, ma bouche, ma chatte, ma langue lorsque je fais des fellations à Matias, Alim et Alexandre.
J’offre mes seins à celui ou ceux qui ont laissé la place dans mon corps à deux des trois.
Je dois dire que...
• Oh ! oh, oh, ouiii...
Ça c’est l’un des nombreux orgasmes qui me traversent tout au long de la soirée.
Je sais enfin ce que le mot femme veut dire.
• Aïe ! aïe ! ouiii...
C’est plus délicat, c’est le moment où les jumeaux décident de me prendre en double pénétration.
De nouveau ça libère ma bouche qui va permettre à Matias une dernière fois de m’envoyer ses giclées de sperme au fond de ma gorge.
Mes trois hommes ont dû être frustrés par leurs femmes depuis un long moment vu les réserves de foutre que mon estomac ingurgite.
Toute la soirée, je mélange sperme et champagne à croire que Matias a rempli son frigo de ce nectar.
Je finis la nuit, saoule de sperme et de champagne.
Mais qu’elle nuit me font passer mes trois hommes.
Comme on dit dans mon Berry natal, tout est bon dans le cochon lorsque le charcutier, c’est travailler.
Chez Matias, tout est bon dans le sexe quand j’ai trois amants à mon service dont deux belles bites noires.
Tout débordement a une fin, le jour est là lorsque je décide de rentrer.
• Rose, je t’appelle un taxi, nous sommes tellement bourrés qu’il serait dangereux de prendre une voiture pour ton retour chez ton mari.
C’est les jambes flageolantes, j’ai tellement joui, c’est mon anus en feu, les trois m’étant passé dessus pour me sodomiser.
C’est la bouche pâteuse, l’alcool et le foutre ayant épuisé ma salive que je montre mon adresse au chauffeur sur mon portable.
• Madame, nous sommes arrivés, j’ai fini ma nuit, vous m’offrez un dernier verre !
Eh ! la tête, ça va, même s’il est beau gosse.
On pourrait croire que je veux rentrer dans le droit chemin et refuser de tromper Christophe dans sa propre maison.
Que nenni, il faut que j’aille me coucher afin de récupérer.
Les trois garçons m’ont donné de nouveau rendez-vous au restaurant ou toute notre soirée à commencer.
Bon, je sais, j’en ai eu trois d’un coup et j’ai mal au cul.
Bon, j’ai été une chienne, ce qui donne raison à Chris71 dans le choix de sa collection, ce soir j’ai dépassé le cap des fantasmes.
Mais trois hommes trois jours de suite après cette première nuit, je crois que je vais être partante.
Si je dors un peu bien sûr, je suis une faible femme.
Erreur, trois hommes dont des jumeaux blacks, je fais attention d’éviter l’erreur sur les jumeaux comme je l’ai fait en parlant de Jade et Adeline.
Des jumelles qui ont contribué à ce moment où j’ai tout fait pour changer mon image pour être sûr de trouver un mâle en rut, prêt à m’apporter le grand frisson qui m’a toujours échappé depuis mon dépucelage.
J’ai longtemps cru que ce que m’apportait mon mari au lit était la norme pour toutes les femmes.
J’ai été éduqué avec l’idée qu’une épouse était sur terre pour souffrir, j’irais même jusqu’à dire pour « en chier », mais mon éducation m’interdit d’employer de tels mots !
Internet m’a permis de comprendre mon erreur et que l’interdit était déjà le premier pas vers la découverte de ce que mon corps est capable de ressentir.
Le repas se déroule sans anicroche, si je profite des absences familiales, ces trois copains en font de même, eux, leurs femmes sont aussi avec les enfants en vacances à la mer.
Ce qui me rassure, mais qui me pose aussi problème, c’est les photos qu’ils me présentent de leurs épouses et de leurs enfants.
On est bien loin des bites, pardon de la bite que j’étais venue chercher en pénétrant dans ce club avec ma tenue affriolante.
Alim tout au long du repas mate mes cuisses, son regard me gêne presque alors qu’il m’a montré sur son portable les photos de sa femme aussi blonde que je suis brune.
Les photos me montrent leur fils joli petit métisse.
La femme de Matias est plus grande que lui et ses deux enfants presque de l’âge de mes filles sont, elles aussi très belles.
Quant à Alexandre, lui seul est célibataire, mais porte alliance, car pacsée.
La belle black qu’il me montre est sans enfants, mais elle aussi très bandante.
Le repas est appétissant et les vins après un autre whisky avec glace succulant.
Le blanc puis le rouge suivi d’une bouteille de champagne me grise un peu, même beaucoup et c’est pompette que nous quittons ce restaurant ou en gentleman ils ont partagé l’addition.
Le café et l’air extérieur me font un peu de bien mis pas suffisamment pour refuser d’aller chez Matias boire un dernier verre de champagne.
Il habite à deux pas du restaurant.
Alim m’a pris la main, ce noir est loin de moi et de mes fantasmes.
Certaines femmes flash sur les bites noires, je dois dire qu’à ce jour la couleur dans mes rêves m’est apparue toujours comme celle de Christophe, blanche.
Au moment de prendre l’ascenseur un doute m’assaille.
Ils sont trois et je suis seule, situation incongrue pour une femme manquant de sexe surtout que je suis cernée de tout côté, je sens même celle d’Alexandre s’appuyer sur mes fesses.
La seule chose me rassurant, c’est qu’ils sont trois, je respecte mon chiffre porte-bonheur.
• Installez-vous, Matias je connais la maison, je vais faire le service.
Un fauteuil me tend les bras, celui de madame ou de monsieur lorsque le couple regarde la télé.
Ce qui semble indécent, c’est que des photos de la famille à divers moments de la vie sont posées sur un guéridon près de nous.
Alexandre s’installe dans le deuxième fauteuil et Matias tire une chaise pour être non loin de moi.
Alim revient avec un plateau les coupes et la bouteille, il a dû être serveur à un moment de sa vie, car il fait cela de main de maître.
• Lève-toi que je m’assoie, tu viendras sur mes genoux !
Lorsque Alim me donne cet ordre, je devrais me révolter, mais est-ce l’alcool ingurgité tout au long de la soirée, mais j’exécute son ordre me retrouvant dans une situation un peu embarrassante.
Les trois hommes parlent de politique, les élections ayant lieu dans quelques jours.
Je suis larguée, la politique et moi ça fait deux.
Au début, Alim a posé une main sur ma cuisse, et je sens qu’elle a tendance à remonter, mais je me laisse faire, car le bas de mon ventre commence à s’échauffer.
Appartenir à trois hommes en même temps me semble atteignable.
Je voulais me faire sauter trois fois en trois jours avant de rentrer dans le giron familial, trois d’un coup, pourquoi pas.
• Les copains, la petite Rose, elle mouille, venez m’aider.
C’est bien moi qui entends ces mots, c’est la première fois que j’entends ces mots.
C’est vrai que les doigts d’Alim ont progressé et ont atteint ma chatte.
Je tourne ma tête pour voir si les mots que j’ai entendus viennent de la bouche de celui dont je sens une grosse bosse sous mes fesses.
Tout est nouveau pour moi, bien sûr, j’embrasse Christophe, mais rarement ça fait partie des griefs que je peux lui faire.
Des doigts sur ma chatte qui m’émoustille me faisant mouiller à ce qu’il dit et ma bouche s’ouvrant sur la sienne, je tombe dans un puits sans fond.
On me touche le sein droit.
Je retourne ma tête, un sexe est à hauteur de ma bouche.
Je lève les yeux, c’est Matias qui m’offre ce morceau qui entre sans problème dans ma bouche.
Je commence à sentir mon corps partir dans tous les sens, une boule monte en moi.
On m’écarte les jambes, la bite, sous moi, semble avoir encore pris du volume.
Mes oreilles enregistrent le bruit d’un morceau de tissu qui se déchire et dans la foulée une langue vient titiller mon clitoris.
Ça commence à se chambouler dans mes bas étages, est-ce l’interdit d’être avec plusieurs hommes me comportant comme une chienne qui d’un coup me fait prendre conscience que je suis en train de le faire.
Cocufier Christophe, me comporter envers mes filles comme à aucun moment, je voudrais dans le futur qu’elles se comportent.
Mais la verge sous mes fesses, la langue sur mon clito et la verge dans ma bouche balaye tous mes doutes sur la route que j’ai décidé de prendre.
Je le rappelle, comme je me donne à trois hommes, ce sera la seule soirée, dès demain, je redeviens la femme sérieuse que j’ai toujours été jusqu’à ce soir.
Les choses évoluent, Alim est frustré de s’occuper simplement de mes seins.
Fort comme un bœuf, il se lève avec moi dans les bras.
• Matias, Alexandre, suivez-nous dans la chambre d’amis, cette petite a encore plein de choses à nous offrir.
Pour offrir, j’offre, ma nudité ainsi que la leur, pour commencer.
J’offre, ma bouche, ma chatte, ma langue lorsque je fais des fellations à Matias, Alim et Alexandre.
J’offre mes seins à celui ou ceux qui ont laissé la place dans mon corps à deux des trois.
Je dois dire que...
• Oh ! oh, oh, ouiii...
Ça c’est l’un des nombreux orgasmes qui me traversent tout au long de la soirée.
Je sais enfin ce que le mot femme veut dire.
• Aïe ! aïe ! ouiii...
C’est plus délicat, c’est le moment où les jumeaux décident de me prendre en double pénétration.
De nouveau ça libère ma bouche qui va permettre à Matias une dernière fois de m’envoyer ses giclées de sperme au fond de ma gorge.
Mes trois hommes ont dû être frustrés par leurs femmes depuis un long moment vu les réserves de foutre que mon estomac ingurgite.
Toute la soirée, je mélange sperme et champagne à croire que Matias a rempli son frigo de ce nectar.
Je finis la nuit, saoule de sperme et de champagne.
Mais qu’elle nuit me font passer mes trois hommes.
Comme on dit dans mon Berry natal, tout est bon dans le cochon lorsque le charcutier, c’est travailler.
Chez Matias, tout est bon dans le sexe quand j’ai trois amants à mon service dont deux belles bites noires.
Tout débordement a une fin, le jour est là lorsque je décide de rentrer.
• Rose, je t’appelle un taxi, nous sommes tellement bourrés qu’il serait dangereux de prendre une voiture pour ton retour chez ton mari.
C’est les jambes flageolantes, j’ai tellement joui, c’est mon anus en feu, les trois m’étant passé dessus pour me sodomiser.
C’est la bouche pâteuse, l’alcool et le foutre ayant épuisé ma salive que je montre mon adresse au chauffeur sur mon portable.
• Madame, nous sommes arrivés, j’ai fini ma nuit, vous m’offrez un dernier verre !
Eh ! la tête, ça va, même s’il est beau gosse.
On pourrait croire que je veux rentrer dans le droit chemin et refuser de tromper Christophe dans sa propre maison.
Que nenni, il faut que j’aille me coucher afin de récupérer.
Les trois garçons m’ont donné de nouveau rendez-vous au restaurant ou toute notre soirée à commencer.
Bon, je sais, j’en ai eu trois d’un coup et j’ai mal au cul.
Bon, j’ai été une chienne, ce qui donne raison à Chris71 dans le choix de sa collection, ce soir j’ai dépassé le cap des fantasmes.
Mais trois hommes trois jours de suite après cette première nuit, je crois que je vais être partante.
Si je dors un peu bien sûr, je suis une faible femme.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bonjour chère chri.
si tu veux me contacter n'hésite pas.
si tu veux me contacter n'hésite pas.
bonjour, j'aime beaucoup tes récits.
bise a toi Chris.
bise a toi Chris.
D’où ma question si elle s’ennuie pourquoi elle ne communique pas avec son mari.
Les mecs éjaculent sans capotes alors qu’ils sont marie.
Bravo quel respect pour leurs épouses et elle envers son mari.
Les mecs éjaculent sans capotes alors qu’ils sont marie.
Bravo quel respect pour leurs épouses et elle envers son mari.