COLLECTION LES CHIENNES. Jusqu’à la déchéance (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LES CHIENNES. Jusqu’à la déchéance (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LES CHIENNES. Jusqu’à la déchéance (1/2)
• Angela, j’ai besoin de tes services !
• Que veux-tu Jack, tu sais que je serais toujours là si tu as besoin de moi ?
• J’envisage de me présenter avec le Parti Libéral à la députation dans notre circonscription !
• Mais c’est Lucien Dumas qui a ce siège, il est indéboulonnable à ce poste !
• Avant oui, mais la nouvelle loi sur le cumul des mandats, fait que cette année, il lui est impossible de se représenter.
• Dans ces cas, ce sera Lucile Brun sa suppléante qui le remplacera à ce poste.
• Ce devrait être comme cela, mais j’ai appris que Lucile avait un gros caillou dans sa chaussure pour que Lucien lui propose de postuler.
• Et ce caillou, qu’est-elle t’il ?
• Malvina, la femme de Lucien ?
• Comment cette bimbo peut-elle influencer la décision de son mari ?
• Il est connu que Malvina est une adepte de Lesbos et Lucile a refusé ses avances.
• Ce qui veut dire ?
Je m’appelle Angela, je porte ce nom, car mes parents avaient entendu parler d’Angela Davis aux Usa qui étaient une militante de la cause communiste.
J’ai eu le plaisir de rencontrer Jack, à la fête de l’humanité.
C’était un des loups sortis de l’ENA en cinquième position et il intervenait pour le Parti libéral dans un face à face avec le premier secrétaire du parti.
Alors que moi, j’étais avec mon père, l’un des membres éminant du parti communiste et ceci depuis plusieurs générations.
Au plus loin que je me souvienne, l’un de mes arrière-grands-pères avait rejoint la France Libre pendant la guerre, son père avait été à deux doigts de diriger le parti.
Mon père en bonne position pour rentrer au soviet suprême français lui aussi des dirigeants du parti de la place du colonel Fabien.
J’ai été élevé en vendant l’Huma à la sortie des bouches du métro et le dimanche sur le marché de notre ville.
Ce jour-là à la fête, mon père était chargé de recevoir les invités.
Il m’avait demandé de l’accompagner en disant qu’une femme près de lui, ça faciliterait la communication avec ces personnes venues d’un autre monde.
J’avais remasqué ce grand garçon sans pour autant m’intéresser plus que cela à lui.
La différence de niveau d’étude et surtout nos pensées politiques étaient tellement disproportionnées ce qui m’interdisait de penser que je lui avais tapé dans l’œil.
J’ignore qui lui a donné mon numéro de portable, mais le lendemain alors qu’il avait été copieusement sifflé, il m’a demandé de dîner avec lui.
J’ai accepté pensant qu’il voulait approfondir les idées de son parti et du mien.
Pour approfondir, il a approfondi, mais c’était ma chatte qui intéressait sa bite.
Rapidement de mon côté j’ai trouvé un grand intérêt à son sexe gros et noueux que j’ai sucé avant qu’il me dépucelle.
J’étais certaine que seul mon cul l’intéressait et qu’un cul qu’il soit de gauche ou un cul de droite, pour lui le principal, s’était de me sauter.
J’ai été surprise quelques semaines après qu’il s’agenouille et qu’il me demande de l’épouser.
J’ai rencontré ses parents fachos de la plus belle espèce, mais Jack a su leur faire comprendre que son amour pour moi dépassait tous les tabous et les clivages politiques.
Voilà qui je suis et voilà pourquoi je lui demande ce que ces mots veulent dire surtout si Malvina est lesbienne.

• Ce que je souhaite, c’est que tu te rapproches d’elle, tous les jours à 16 heures elle prend un thé à deux pas de chez eux, rue de Rivoli.
Tu y va, vous vous êtes déjà rencontré et tu joues la surprise de la voir et tu t’en fais une amie.
Je sais qu’elle influence Lucien et que si tu la mets dans ta poche, il me choisira pour lui succéder.

En femme aimante, j’ai écouté mon mari et dès mon entrée, Malvina m’a reconnu et c’est elle qui a engagé la conversation.

• Est-il vrai que vous venez d’une famille communiste avant d’épouser ce cher Jack ?

Elle m’avait fait m’installer à sa table et à la fin de nos thés, nous étions les meilleures amies du monde.
Au moment de nous séparer, c’est elle qui a voulu que je vienne manger chez elle dès le lendemain.
Fleurs et petit gâteau sec de chez Fauchon lorsque je sonne et qu’une bonne vient m’ouvrir.
Dire que cette bonne aurait pu être moi si par chance Jack était allé à l’université d’été des radicaux comme il m’a avoué avoir été invité.
Fille d’ouvriers, j’étais destinée à devenir bonne ou mère au foyer refusant le monde dans des réunions du parti toujours revenant au point de départ.

• Madame est légèrement en retard, elle m’a demandé de vous faire entrer au salon, donnez-moi ces fleurs, je vais les mettre dans un vase.

Assise les jambes croisées comme j’ai vu ces grandes dames le faire, je suis dans le salon attenant à la salle à manger où je vois que deux couverts ont été installés.
En grande dame, elle arrive recouverte d’un peignoir en soie.

• Angela, je suis indécrottable, j’adore trainer au lit et souvent comme ce matin, ça a été le cas.
Il faut dire qu’avec Lucien nous étions invités chez Lucile et Grégoire pour parler de la succession de mon mari à l’assemblée.
Si cette peste croit que je vais la laisser s’installer dans le fauteuil de mon cher et tendre, elle se fiche le doigt dans l’œil, mais malgré ça, ils ont discuté et nous nous sommes couchés à point d’heure.
Mais nous sommes entre amie et je te reçois sortant de mon bain.

Disant cela, elle est venue s’assoir auprès de moi et les pans de son peignoir ont glissé me montrant le début de sa touffe blonde.
Sachant ce que m’avait dit Jack sur les mœurs de la dame, j’ai été moyennement étonné pensant que c’était une tactique pour me tester si de mon côté une possibilité de rapprochement était possible.
Je me souvenais de ce que m’avait dit mon mari et j’ai su que cette tenue était préméditée lorsque Radia la bonne marocaine nous apporta du whisky et du Porto.
Si Malvina venait de ce lever même après un bain sauf si elle est alcoolique un café ou un thé aurait été de rigueur.
Que devais-je faire, l’attaquer ou lui montrer que ses charges et moeurs lesbiennes étaient loin de me déplaire, j’opte pour la première ?

• Malvina, je me demandais si tu étais une vraie blonde, le peu de vision que je vois de ta toison me donne ma réponse !

Sans plus de manière, elle a écarté ses cuisses me montrant que si elle était blonde, sa toison était parfaitement entretenue.
C’était la première fois que je voyais une touffe féminine si bien entretenue.
Dans ma jeunesse avec le parti je faisais du basket avec douche obligatoire après les entrainements ou matchs, mais les filles comme moi nous avions des touffes énormes de toutes les couleurs.

• Et toi Angela, vas-tu chez l’esthéticienne te faire faire le tablier ?
• Si tu me connais, tu sais que je suis une fille du peuple et c’est moi qui me rase intégralement dans mon bain.
• Une chatte rasée, tu permets que je regarde, j’adore les rapports féminins et surtout celles qui se rasent.

J’avais choisi d’être direct et ça payait, elle m’a fait me lever fait tomber ma jupe puis descendre ma petite culotte.
Elle aurait pu en rester là, mais étant baisser pour la descendre et l’ôter de mes pieds, sa bouche est directement venue me faire un cunnilingus.
J’aime que Jack me broute le minou et lorsque je tombe les fesses sur le canapé, pour la première fois, j’ai des rapports féminins.
Jack est plus direct alors que Malvina prend le temps de lécher l’intérieur de mes cuisses déclenchant en moi une vague de frisson.

• Viens dans ma chambre, nous serons plus à l’aise.

L’appartement semblant assez vaste, c’est par un couloir que nous avons rejoint ses appartements.
Dans sa chambre, j’ai bien vu que malgré le grand lit une seule personne vivait là, la présence d’un seul oreiller sur le lit déjà fait en était la preuve.
Ça concrétisait mon idée que le coup du peignoir était un test pour voir si je lui avais tapé dans l’œil en acceptant ces pratiques sexuelles.
J’étais novice, mais rapidement je me suis prise au jeu et c’est tête-bêche moi dessous que nous nous sommes donné du plaisir.
J’ai joui jusqu’à l’orgasme sous les coups de langue de celle que je pouvais appeler ma maîtresse réussissant à la faire jouir.
J’étais satisfaite de la pierre que j’apportais à l’édifice envisagé par mon mari.
C’est à ce moment qu’on a frappé et qu’elle a dit « entrer »...

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