COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (10/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (10/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (10/32)
Bonsoir, je ne comprends pas ce refus sur un soit dire incestre. J'ai tout relue, il n'y en a pas seule une fois mon héroïne par de sa mère mais c("était la mère supérieure du couvent et non sa mère qui va rentrer en scène dans le prochain chapitre. Pour la compréhension de l'histoire, cette saga la remettre à sa place serait bien venue avec mes remerciements s'il vous plait. Chris71

COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (10/32)

(D’un chapitre au début dans une histoire courte, jusqu’à ce chapitre X à ce jour, le temps m’a paru court.
Lorsque le cardan de la voiture, prêté par la mère supérieure à Marie l’a lâché, aurais-je pensé qu’elle allait vivre ces aventures autant étranges que surprenantes pour une bonne sœur ?
Attaquons ce chapitre X.)


« Je chante, je chante du soir au matin… »

C’est la chanson que j’entends depuis que j’ai repris ma route ma voiture remise en état avec maestria par Franck le garagiste du village où la panne est survenue.
J’ai parcouru une dizaine de kilomètres après avoir récupéré ma 4L antédiluvienne et ma tenue de nonne.
Le plus dur, ça a été de remettre ma coiffe, je ne me reconnaissais plus lorsque je me regardais dans la glace.
J’étais dans la chambre de Létitia sa fille partie au Maroc suivre un gallant et avec Colette sa mère, pour me changer.
Je repense à mon arrivée pourtant très proche, mais assez longue pour découvrir un monde dont j’ignorais l’existence.
Lorsque je me suis changée ce jour-là, j’étais seule dans la chambre de Létitia.
Colette, la femme de Franck le garagiste, était absente.
Je lui aurais demandé de sortir, mais là, c’est de façon naturelle que je me change devant cette très jolie femme.
Ce qui est surprenant c’est que Colette est aussi rousse que moi ou comme l’était Sophie.
Je parle déjà d’elle, au passé, avec un brin de nostalgie.
Qu’est-ce qu’elle dirait si je retournais près d’elle pour lui dire que j’appelle ma mère supérieure et que je reste auprès d’elle ?
Mais que dirait Lionnel, il me serait impossible de me couper en deux, risquant de créer un malentendu entre le frère et la sœur.
Baiser dans son bungalow avec elle ou dans la piscine avec lui, c’est passé comme une lettre à la poste, mais une situation permanente serait délicate à gérer.
J’ai mis ma coiffe après avoir recouvert mon corps sans m’inquiéter de la présence de Colette et là dans la glace, je dois reconnaitre devenir une tout autre, celle que j’étais avant la panne.
Ils m’ont accompagné et après les avoir salués et remerciés, j’ai embrayé et je suis parti sans un regard derrière moi et ce qui s’était passé.
Franck a eu la mère supérieure au téléphone, elle va régler la facture, le garagiste faisant confiance à des personnes de foi.
Elle roule du tonnerre et moi j’ai envie de chanter à Tue-tête de, de, de…
Dépit pour deux choses, ce coin de France m’ayant ouvert les yeux à une forme de vie très libre de son corps et plus près de la nature et des réalités de la vie en couvent.
La deuxième, c’est ma couardise dont je devrais me confesser, même dans la ville de maman, même si dans notre ville de Carmaux les prêtres se font rares.
S’il le faut, j’attendrai mon retour pour le faire auprès du père François qui gère spirituellement notre couvent.
Le père François, un prêtre et aussi un homme, après ce que je viens de vivre, on peut dire que mes connaissances des sciences humaines ont grandement progressé.
De nouveau, avant, j’étais une oie blanche.
Certes le père François est âgé, il est même à la retraite, mais résident près de notre couvent, il s’occupe toujours de nos âmes libérant l’un de ses collègues pour le monde en ayant grandement plus besoin que nous.
Il est âgé et pourtant, c’est la première fois que je pense, la sentant même par la pensée qu’il possède une verge, là-même que toutes celles que j’allais dire, j’ai vu et quitter au camping.
Je m’arrête à un stop, je regarde à droite, puis à gauche, une pancarte de signalisation attire mes yeux.

« Camping des Montagnes bleues 8 Km »

La flèche de la pancarte va dans le sens opposé à celui où je vais.
Lorsque Franck a sonné pour venir me chercher comme nous venions de le décider par téléphone.
J’ai embrassé chastement Sophie, par chance je n’ai pas vu Lionnel et je l’ai rejoint sans qu’il n’ait à rentrer.
Lionnel que lui aurais-je dit, « t’a sauté une nonne, tu as réussi là, le fantasme de bien des hommes, d’en baiser une. »
Non, mon sac était prêt, Franck a sonné, nous avons vu par le petit écran que c’était lui.
Tapes dans le dos avec Sophie et basta je l’ai rejointe et je me suis retrouvée dans le monde me rappelant ma condition de sœur de sainte Thérèse de Lisieux.
Sainte Thérèse, j’ai l’impression que je me retranche derrière ma sainte, pour cacher le trouble que j’ai d’avoir le sentiment de m’être presque sauvé comme une voleuse.
Mais tout au plus, femme de foi ayant eu peur de m’assumer dans la route que j’ai choisie il y a quelques années.
Comme bon nombre de femmes, ce que je reste, surtout depuis que j’ai accepté la bite de Lionnel en moi, manœuvrer avec la voiture, ne m’est pas chose facile.
Mais je suis le sens de la flèche, je sais ou je me rends à la sortie du village que je viens de quitter.

• Oui, ma sœur, je veux bien vous ouvrir, mais nous avons déjà donné au denier du culte, par Internet.
• Sophie, ouvre, j’ai à te parler et surtout à t’avouer qui je suis réellement.

Heureusement, Sophie m’ouvre sans dire rien de plus, que cet étonnement, j’entre dans la réception.

• Marie, a quoi tu t’amuses, à quel jeu joues-tu ?
• Sophie, depuis que Franck t’a demandé si tu pouvais t’héberger, à de nombreux moments, je voulais te dire qui j’étais réellement.
Plus le temps avançait et plus je m’enfermais dans le déni de la sœur de Lisieux que je suis.
Cette tromperie de ma part ou au moins le non-dit, c’est la faute de la famille Boulay.
Le seul lieu disponible où je pouvais résider, n’ayant pas d’hôtel dans le village suite à la panne de ma voiture, c’était ici dans ce camping.
Avant, il avait appelé le seul gîte louant sur le secteur, une famille venait de le réserver.
Après ce qu’elle nous a avoué, Yollande, ce sont eux qui ont joué sur les deux tableaux, ici et comme elle n’était pas chaude, le gîte.
Elle est revenue sur sa décision et ils sont revenus ici.
Je sais, tu vas me dire que nous aurions pu appeler le gîte et prendre leur place, mais je me suis drapé dans mon mensonge.
Enfin, drapé, c’est un grand mot, je me suis rapidement trouvée nue et j’ai pris cela comme une épreuve que m’infligeait le très haut et j’ai continué à jouer mon jeu pervers.

C’est à ce moment que la porte de la réception s’ouvre.

• Salut frangine, tu sais que je trouve la vie belle, sais-tu où se trouve Marie ?
Bonjour ma sœur !

Ce bonjour ma sœur, me fait presque sourire, Lionnel ne m’a pas reconnu.

• La vie est belle, car je suis amoureux, pour la première fois de ma vie.
Cette nuit j’ai fait l’amour à Marie dans la piscine, c’est la femme de ma vie.
Lorsque je l’aurais trouvé, ayant mis mon adjoint au boulot, le menu est simple aujourd’hui, Burger frite à volonté, je vais lui demander d’entamer un divorce et de l’emmener à Auriac choisir une bague de fiançailles.

À cette déclaration, j’aurais pu tenter de me défiler, mais comme j’avais décidé de dire la vérité certes si possible à Sophie, je me découvre par la parole, gardant mon voile.

• Lionnel, c’est moi, Marie, je viens d’expliquer à ta sœur comment de fil en aiguille m’étant retrouvé ici, je vous ai à tous caché ma vraie personnalité.
Lorsque je suis arrivée, les vêtements que je portais, étaient à la fille de Franck.
Nous avions eu peur que vous ne me refusiez le gîte lorsque vous auriez su que je suis sœur.
• Les affaires de Létitia, ce qu’ils ignorent avec Colette sa mère, c’est que c’est ici qu’ils se sont rencontrés.

Par la fenêtre face à moi, je vois passer Yollande tenant Désiré par la main, mais aussi Mia et Gilles, eux se tenant par le cou, les choses semblant s’être arrangées.
Ils se dirigent vers la piscine, bien sûre dans le plus simple appareil.
Juste lorsqu’ils vont échapper à ma vue, je vois la main de Désiré caresser le cul nu de son épouse.
J’ignore sa réaction, car ils sont passés, mais pourrait-elle être négative après ce qu’elle nous a dit de sa fin de nuit.
Surtout qu’aucun cri de répréhension ne se fait entendre.

• Létitia venait ici, sans l’accord de son père et surtout de Viviane sa mère.
Le Marocain venait lui aussi et c’est à la piscine qu’ils se sont réellement rencontrés alors qu’ils se voyaient tous les jours au garage.
Cupidon a frappé et ils se sont enfuis persuadés que, surtout Viviane, désapprouverait leur amour.
Je vais te dire Marie et il en va de toi aussi, je t’aime comme mon frère t’aime, elle a eu raison de se sauver avec l’amour de sa vie.
Fait en autant enlève cette tenue et reste ici.

Certes, cette déclaration réglait les scrupules que j’avais eus en roulant loin d’eux, mais en quelques secondes je prends une autre décision.

• Lionnel et Sophie, je vous remercie de ces bonnes intentions, je pars, ta sœur t’expliquera comment nous nous sommes retrouvés dans cette situation.
Je te permets de te vanter que tu as fait l’amour, non, que tu as réussi à sauter une bonne sœur sortie de son couvent.
Je vous quitte, je repars vers ma mère, ma voiture ayant été réparée.
Je vais retrouver la vie qui s’est imposé à moi il y a quelques années et que j’ai finalisé couché au sol les bras en croix devant notre évêque.

Lionnel me prend dans ces bras, je suis à deux doigts de craquer comme j’ai craqué cette nuit, surtout lorsque je sens sa verge le long de ma robe de bonne sœur.

• Marie, réfléchie bien, je t’aime.
Je comprends lorsque je parlais de divorce, mais sache qu’à tout moment, ici ou à Val-d’isère ou en novembre je vais commencer la saison d’hiver, si tu me le fais savoir, je t’épouse.

Je me libère de cette brève étreinte, une sœur ne devrait pas dire ça, je sens sous ma robe allant jusqu’au sol, ma chatte mouillée.

• Adieu à tous, vous aurez été un moment unique de ma vie.

Je bats en retraite, m’enfuyant même à deux doigts de suivre son conseil et de me dénuder.
Mais c’est à ce moment que je vois la réalité de la situation !
Moi aussi, j’aime autant l’un que l’autre, si je reste avec l’un, l’autre sera malheureux.
Si je reste avec l’autre, c’est le premier qui se tordra de douleur de l’avoir trompé avec l’autre.
Toujours mon cerveau qui ne connaît qu’un plus un ou qu’une plus une.
Je suis ainsi faite, alors courage fuyons comme l’on fait Létitia et son amant en s’enfuyant vers le Maroc.
C’est le cœur gros que je tourne ma clef de contact, titine démarrant au quart de tour.
Adieu pour toujours ma vie nue, adieu mes amours abandonnés…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Ton histoire belle et bien écrite on apprécie les alternoiement de notre none rousse qui essaye de s’enfuir mais fait face et repart. Pour combien de temps? On attend la suite patiemment. Daniel

La pauvre sœur elle va retourner au monde close a près avoir sentie les regards sur son corps nue et renoncer au plaisir de chaire
Mais même au couvent il y a des chances de recevoir et donner du plaisir
Après avoir goûté au fruit de cette arbre on devien accro
Cher chris71 merci
Nadialarebelle

Histoire Libertine
Les gens ne savent pas lire d’où la critique injustifiée. 🤷‍♀️🤦‍♀️

La chipie



Texte coquin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (10/32)
Histoire sexe : Une rose rouge
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