COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (11/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (11/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (11/32)
(Onze, je pense que l’histoire de Marie la nonne aurait pu s’arrêter là, mais je sens qu’il va encore lui arriver des aventures, surtout pour une nonne puisque ce chapitre s’ouvre.)


• Maman excuse mon retard, j’ai eu une panne de voiture, je vois que tu vas mieux !
• Notre dieu, je le pris tous les jours d’avoir permis de te frapper de sa grâce et de te voir dans ta tenue de fille de notre seigneur.
J’aurais voulu avoir la même vie que toi, mais lorsqu’il m’a fait rencontrer ton père, tu as changé ma vie, il fallait bien que je te nourrisse

La musique de « si je suis ce que je suis, » c’est parce qu’elle a fauté avec mon père qui nous a laissé alors que sinon elle aurait pris le voile.
Ça c’est le passé, j’en aurais même pu croire à l’opération du Saint-Esprit, est-ce pour cela qu’elle m’a appelé Marie, alors que je suis née en septembre.
Ce jour, je sais qu’elle a baisé comme moi j’ai baisé et que je suis née.
En roulant vers Carmaux, j’étais sûr qu’elle allait me dire cela, c’était la musique avant et aussi après.
Repensant à ça, je me suis posé une question, que se serait-il passé si à ma naissance elle m’avait abandonné à l’assistance publique ?
Élevée en orphelina, quelle différence avec un couvent.
Des obligations différentes et certainement des aboutissements différents.
Puis-je en dire plus, je sais qu’il existe des téléphones où l’on voit des images.
Moi depuis mon adolescence les images ce sont celles de mon missel de communion des images pieuse de Marie et de Sainte-Thérèse de Lisieux.
À la maison, nous n’avions pas la télé, je devais faire mes devoirs et après nous être agenouillées au pied de mon lit, elle me faisait croiser les mains pour de longues prières durant des heures.
C’est naturellement qu’un jour nous avons pris le train, pour que je rentre au carmel de Lisieux dédié à notre sainte chérie.
Jusqu’à ce jour, la vie de nonne, me sied très bien avec les devoirs en moins.
À 20 heures, la femme de jour qui s’occupe d’elle, la fait manger et la prépare pour la nuit.
C’est elle qui a ouvert la porte de l’appartement sans savoir ma présence.
Elle est surprise, ignorante que j’avais récupéré ma voiture, mais ma tenue lui fait comprendre à qui elle a affaire.

• Marie, votre maman semble bien se remettre, elle nous a fait peur.
Elle a failli être hospitalisée, car son début de pneumonie a failli tourner au drame.

Quel âge à maman, j’ai vécu avec elle jusqu’à ma décision, un peu aidé de rejoindre le couvent, je me rends compte que je ne le sais même pas.
J’ai 28 ans, je sais que maman a plus de 40 ans.
La rousse s’apprêtant à partir, oui Geneviève cette femme est rousse, comme Sophie et comme moi sous mon voile.
Encore avant l’épisode de ma vie dans ce camping naturiste, je n’aurais même pas jeté un cil vers elle.
Là, je me prends à regarder ses seins, lorsqu’elle se baisse vers maman pour mieux la border.
Serais-je, maintenant obligé de regarder presque avec envie les seins des femmes que je croiserais ?
Surtout lorsque j’aurais rejoint Lisieux comment me comporterais-je devant mes consoeurs ?
Est-ce pour cela que nous sommes couvertes des pieds à la tête avec notre croix portée autour de notre cou.
Ma croix, elle est sur la table basse du salon, près du fauteuil que je déplie le soir les rares fois ou je suis venue depuis que j’ai prononcé mes voeux.
Avant que je m’engage envers le fils de Dieu, nous habitions dans un trois-pièces, j’avais ma chambre.
Maman a déménagé pour faire des économies, tient, c’est vrai comment a-t-elle vécu depuis des années ?
Geneviève ayant quitté l’appartement, maman couchée, je me prends à me mettre nue.
D’un coup je me sens plus à l’aise, cette nudité me replonge lors de la nuit précédente.
Qui me manque le plus, Lionnel ou Sophie, j’ai peur de ma réponse, les deux.
La nuit est tombée, j’ai bu un bol de soupe avant de m’apprêter à me coucher, demain matin je sais qu’à 6 heures, je serais réveillée.
Au couvent, la cloche sonne à cette heure, il y a longtemps que je l’entends tinter, alors que j’ai déjà les yeux ouverts.
Il fait très chaud, l’orage monte, je me surprends à aller sur le balcon, heureusement fait de béton, les seins et ma chatte rousse à l’air.
Il fait chaud, au loin, des éclaires zèbrent le ciel, l’orage va frapper.
Sous mes pieds des personnes rentrent chez elles en se dépêchant de peur de prendre la pluie.
Moi, je l’espère, la pluie tombée du ciel, me lavant de mes pêchers, ceux que j’ai accumulés depuis ma panne de voiture et mon déni à mon serment de fidélité.
J’ai toujours aimé les orages.
Petite, nous étions aussi dans les étages et je regardais de derrière la fenêtre le ciel s’obscurcir nous plongeant, presque dans la nuit.
D’un coup après un éclair déchirant le ciel le tonnerre grondant immédiatement, l’eau et même la grêle a frappé les fenêtres.

« Marie, c’est notre seigneur qui se met en colère, qu’as-tu fait pour qu’il se déchaine contre nous ? »

C’était la litanie que j’ai en mémoire, chaque fois je regardais et chaque fois, c’était moi qui avais offensé Dieu et tous le saint ou saintes de la terre.
Après cela, comment ne pas finir bonne sœur, ne connaissant rien de la vie ou alors très peu.
Je frisonne, le vent s’est levé, la pluie tombe dru, ça me réveille de mes souvenirs, mais ai-je vraiment des souvenirs ?
La pluie tombant en biais avec le vent entre dans la salle.
Je finis par réagir, surtout que l’eau en plus de me tremper entre dans la pièce.
Je vais dans la salle de bains, je passe devant la chambre de maman, elle dort.
Je me baigne et je vais dans mon fauteuil-lit.
Qu’est-ce que je fais avec mes doigts ?
Je les plonge dans ma chatte qui sans que je n’ai fait quoi que ce soit, ruisselle ?
C’est à ce moment que je vois le sac à main de maman posé sous la table du salon.
Je repense à son âge, je sais que maman vote, elle a donc une carte d’identité.
Je la trouve, elle est née en 1980, 44 ans, mais j’ai un éclair de lucidité, 44 moins 28, maman m’a eu à 16 ans, c’est une chose que j’ignorais.
C’est à ce moment aussi que je remarque un petit carnet.
Je l’ouvre, des noms, des heures, un chiffre.
Chaque mois, un total de quatre ou cinq noms et chiffres, les premiers différents de ceux de février 2002.
J’en déduis qu’à partir de cette date, les chiffres sont des euros, avant c’était des francs.
500, 1000 mais c’est tout.
100, 150 et même 200 en euros.
Un prénom me saute aux yeux, Charles, il revient régulièrement.
Dans le carnet c’est le premier donc en Franc et il y a deux semaines, c’est le dernier qu’elle a écrit, avec 13 heures et 200, donc 200 €.
Tonton Charles, un copain de papa de la CGT avant sa mort, m’a dit un jour maman lorsque je lui ai demandé qui était Tonton Charles.
Tonton bonbon pour moi, maman m’envoyait jouer à la poupée après qu’il m’ait donné une poignée de bonbons chaque fois qu’il venait.
J’avais le droit de sortir lorsqu’il était parti, mais à aucun moment il n’a eu des mots et des paroles déplacées.
Je suis partie chez les sœurs et j’ignore pourquoi, tous ces noms et ce qui semble être des sommes d’argent.
Ça m’a coupé dans mes élans, j’espère trouver une explication avant de retourner à Lisieux maman semblant aller mieux et être entre de bonnes mains avec Geneviève la rousse comme moi.

Au matin, c’est la porte s’ouvrant qui me réveille.
Par une espèce d’habitude prise au camping, j’ai dormi nue et par cette chaleur mon drap a glissé sur le côté.
Nul doute que la femme venue lever maman a pu profiter de ma toison rousse exposée dans l’axe de la salle et en position impudique, les jambes écartées.

• Oh ! pardon ma sœur, j’ai oublié que vous étiez là.

Au camping, j’aurais attendu que Sophie, vienne me bouffer la chatte, mon Dieu que ces mots sont vilains dans la tête d’une nonne, mais comment dire autrement de la situation dont je me trouve.
Je cherche à trouver le drap, mais j’envenime la situation, car ma chatte, doit s’ouvrir sous le mouvement que je fais.
J’arrive à le récupérer du bout des doigts et de m’en couvrir, mais la femme de service a quitté la pièce allant vers la cuisine où je l’entends certainement préparer le petit déjeuner qu’elle va apporter à maman.
J’ai une pensée pour le futur proche et le retour à Lisieux.
Heureusement que la cloche sonnera, car lorsque je m’étire comme une chatte pour détendre mes muscles après cette nuit passée sur ce fauteuil inconfortable, car c’est au matin que j’ai dû pouvoir fermer l’œil.
Sur la table basse près de moi, ce sac au carnet mystérieux.
Je suis à deux doigts d’aller demander à Geneviève si elle sait que tous ces noms, toutes ces dates et toutes ce qui semble être des sommes d’argent représentent.
Je renonce, si moi j’ignore pourquoi maman a noté rapidement après la mort de celui que je renonce toujours à appeler papa, se trouve en tête et à la fin, du moins provisoire il me semble du carnet mystérieux ?
Pourquoi Geneviève en serait beaucoup plus, elle semble avoir été envoyée par un organisme pour s’occuper de maman, le cardan brisé m’ayant empêché de venir m’occuper d’elle ?
Quelle fille indigne je fais, maman m’a toujours élevé dans la foi, au point de devenir nonne et moi je me promenais le vagin à l’air dans un camping naturisme.
Certes avais-je prévu toutes ces péripéties surtout en cachant ma situation par couardise de me trouver rejeté hors des murs du camp où il est vrai, j’ai découvert des situations inédites pour la bonne sœur que je suis ?
Est-ce que je le regrette, certainement, non !
Il va seulement falloir que je me réadapte à ma vie de nonne.
Pour m’y aider la prière sera présente à tout moment de ma vie d’avant retrouvée.
Comme le dit le père François, la parole divine nourrit mieux les corps qu’un quignon de pain.
Je vais pour croiser mes mains et faire une prière à Sainte-Thérèse lorsque la bonne odeur du café vient jusqu »à moi.
Je me lève, je m’étire une nouvelle fois, dans la glace, présente dans la pièce, je vois très nettement que je suis loin d’être mal foutue.
Je passe seulement ma longue robe sur moi et je vais les pieds nus vers la cuisine.

• Marie, je me permets de vous appeler par votre prénom, c’est votre mère qui m’a confié qu’elle avait une fille qui était dans un couvent près de Lisieux.
Prenez du café, vous pouvez vous faire une tartine, beurre, confiture d’abricots.
C’est celle que votre mère prend au petit déjeuner, mais ça je pense que vous le savez mieux que moi, il y ait quelques jours que j’ai été envoyé par les services sociaux de la ville.
Je porte ce plateau à votre mère avant de la lever et de l’aider à se baigner.

Geneviève quitte la pièce où je dormais, je prends un morceau de baguette toute fraiche.
Elle devait l’avoir avec elle lorsqu’elle m’a surpris nue dans la salle.
Je suis à deux doigts d’étaler de la confiture lorsque des cris partent de la chambre de maman.

• Oh ! mon dieu !

Suivi du bruit d’un plateau tombant au sol, la porcelaine se cassant…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Waouh que de rousse dans ton histoire et notre none élevée uniquement pour être sœurs ainsi avoir connu la vvie tout çà parceque sa pauvre maman s’est retrouvée enceinte à 26 ans j’ai l’impression que notre petite none n’a pas fini de découvrir le vrai monde et sans doute la vraie vie de sa mère. En tout cas elle aime se promener nue vivre nie et se caresser. La suite sera chaotique
Daniel



Texte coquin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (11/32)
Histoire sexe : Une rose rouge
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