COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (12/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (12/32)
(Pourquoi, Geneviève à la fin de ce chapitre XI, semble avoir laissé tomber le plateau du petit déjeuner, on va surement le savoir rapidement ?
Mais qu’est-ce que ce carnet mystérieux trouvé par Marie, n’oublions pas que c’est une oie blanche bien qu’elle en ait appris beaucoup après sa rupture de cardan.
Je vous fais confiance, je vous sais assez perspicace depuis que vous lisez nos histoires de cul à moi ou des autres auteurs ce que cache ce carnet.
Mais voyons tout cela à l’aube de cette journée pleine d’imprévu pour Marie.)
• Oh ! mon dieu…
Au cri et au bruit que certainement le plateau que portait Geneviève la femme venue aider maman après sa pneumonie fait, je sais qu’il vient de se passer quelque chose de terrible dans sa chambre.
Je rejoins Geneviève et dès la porte franchie, je vois maman dans la même position ou je l’ai quitté hier au soir, mais les yeux grands ouverts et la bouche semblant appeler au secours.
• Madame Marie, sœur Marie, votre mère est morte, j’appelle le docteur François Dupond pour qu’il vienne voir ce qui s’est passé, c’est lui qui jugera la situation.
Non, reculer, il faut éviter de toucher la dépouille de votre mère, il sera peut-être amené à appeler la police.
J’allais faire un geste, il est vrai vers ses yeux, ils me traumatisent dans leur fixité.
Combien de temps met le docteur pour arriver, je ne saurais le dire, toucher, de plein fouet par cette mort subite, maman a-t-elle appelé pendant l’orage sans que je ne l’entende.
Une chose est certaine, je pensais lui demander des explications dès son réveil sur ce mystérieux carnet et qu’elle en ait sa signification !
J’en suis pour mes frais, je devrais vivre jusqu’à ma mort sans avoir la moindre explication.
En attendant le docteur, je retourne à mes affaires et je remets mon voile redevenant sœur Marie.
• Mesdames, pardon, ma sœur, Colette Joufflon est décédée des suites d’une embolie pulmonaire, consécutive à son début de pneumonie.
Je vous signe le certificat de décès, vous pourrez engager les démarches de mise en terre !
Je passe ces démarche, maman ayant prévu son enterrement depuis plusieurs années, elle devait se souvenir des tracas qu’elle avait eus à la mort de mon père.
• Mes condoléances ma sœur !
Combien sont-ils à défiler devant moi, une dizaine d’hommes tous avec un casque de mineur avec une lampe sur le dessus.
Quelques-uns d’entre eux, ont à leur revers un badge de la CGT, des copains de celui censé m’avoir mis au monde.
Il y a deux femmes, trois avec moi.
Geneviève, c’est tout à fait normal et une blonde, avec lorsque je m’approche des taches de rousseur.
Mais celui qui semble retenir mon attention, c’est cet homme ayant vieilli, mais je connais bien.
• Marie, quel grand malheur, si jeune, tu me reconnais, j’étais le meilleur ami de ton père et après sa mort, j’ai toujours pris soin d’elle.
• Tonton Charles, bien sûr que je me souviens, le monsieur aux bonbons dans les poches.
Vous permettez, j’ai d’autres personnes à saluer !
• Bonjour, toutes mes condoléances, si tu as besoin de réconfort ou de service pour régler la succession de ta maman, je suis là pour t’aider !
• Je vois que l’on se connaît, puisque vous me tutoyez, ma mémoire doit me faire défaut qui êtes-vous.
• Remets les choses en place, peu années avant que tu entres au couvent, l’école primaire, puis le collège.
• Poil de carotte, au pardon, je sais que tu avais en horreur que nos copains te donnent ce surnom.
Je me souviens avoir fait le coup de poing pour toi, moi je t’appelais la crevette et là tu aimais.
• Jade Bonnot, tu comprends pourquoi je suis blonde, cheveux courts.
• Tu étais rousse comme moi avec deux tresses de chaque côté de ton visage.
Là encore, certains garçons ou filles s’amusaient à te les tirer et je faisais le coup de poing pour toi.
• Mesdames, je m’excuse de vous déranger, Marie je dois retourner au musée des houillères de Carmaux, j’en ai pris la direction quelques années après sa création et leurs fermetures après des années de chaumage.
• Tonton Charles, excuse-moi Jade, je dois poser une question à l’ami de maman.
J’ai trouvé le sac à main de maman et cherchant sa date de naissance, il y avait ce petit carnet !
Votre nom revient fréquemment la dernière fois il y a une quinzaine de jours, avec des dates et ce qui doit être des sommes, en francs et en euros, à quoi cela correspond.
• Sans aucun problème, chez nous les anciens mineurs la solidarité a toujours été de mise, même après la fermeture des mines, trahie par Mitterrand qui nous avait promis de les maintenir ouvertes.
Même au chômage, nous aidions les veuves de copains dans leur épreuve.
C’était le cas de ta maman, je vous quitte bonne continuation, bon retour à Lisieux Marie.
Je vois partir Tonton Charles comme s’il avait le feu aux fesses, ça m’étonne, mais s’il avait un rendez-vous, cela s’explique certainement.
Je me retourne vers Jade, elle a un regard étonné, mais je reprends là où nous nous étions arrêtés.
• Jade, nous avions 14 à 15 ans et d’un coup en cours d’année, tu as disparu.
Blonde maintenant, l’âge que nous avions après ton abandon, comprend que j’ai mis du temps à te reconnaitre !
• Je le comprends très bien, si je suis partie précipitamment c’est parce que maman a déménagé avec moi à l’autre bout de la ville.
Un soir, ou nous étions à table, je lui ai annoncé que j’étais amoureuse.
Elle m’a demandé comment s’appelait ce garçon, elle avait des précautions à me transmettre.
Quand j’ai dit que c’était de toi, Marie que je l’étais, dans les trois jours, elle avait trouvé notre nouvelle maison et moi un nouveau collège.
J’ai fait des études et je suis maintenant prof des écoles à deux pas d’ici.
Je regarde toujours les annonces de décès, je suis correspondante de presse pour notre journal local.
J’ai vu le nom de Colette Joufflon, je me suis souvenue de toi, Marie et je suis venue te présenter mes condoléances.
Il est déjà presque midi, regarde, ils sont tous partis, je t’invite à déjeuner dans un petit resto sympa, si tu as du temps bien sûr.
Je pourrais refuser, mais il me reste quelques formalités à accomplir demain alors je fais une dernière prière à maman et je suis Jade.
Apprendre que j’aurais ou avoir une tout autre vie, si elle était restée près de moi, surtout après l’épisode du camping naturiste et de mes amours avec Sophie.
Il est trop tôt pour me poser la question, si j’avais eu une aventure féminine avec cette belle jeune fille de mon âge, ou si comme je le sais, les femmes peuvent épouser les femmes.
Cette information, l’une des rares qui ont filtré jusqu’à nous, c’est suite à une de nos future sœur, Madeleine une novice qui a quitté notre couvent pour retrouver son amie qui venait la visiter depuis quelque temps.
C’est la mère supérieure qui l’a annoncé à la congrégation, courroucé d’une telle possibilité donnée par la loi dans notre pays.
C’est à la terrasse d’un petit resto que nous nous installons, Jade m’écoute sur ce qu’il m’est arrivé en venant voir maman depuis Lisieux.
J’ai compris que le déni est une source de soucis à long terme et ainsi je lui dis tout.
On en arrive à la découverte du carnet et à la réponse que m’a fait Tonton bonbons.
• Marie, puis-je t’emprunter ce carnet, je vois que depuis des années tu es ce que l’on dit « hors-sol » sur la sexualité.
Je ressors de la poche de ma robe le carnet, elle le feuillette et lorsqu’elle le referme le ciel me tombe sur la tête.
• Marie, ces noms, ce sont les noms et les sommes que ses clients donnaient à ta maman pour coucher avec eux.
Ton Tonton Charles ou Tonton bonbon, te les donnait, dis-moi, ils allaient dans la chambre de Colette !
Je l’ignore, ils me faisaient entrer dans ma chambre pour jouer avec ma poupée.
• Et ça se répétait chaque fois qu’un homme venait, regarde le même jour, Charles est venu, mais aussi Sylvain et surtout Jean-Baptiste.
• Oui, chaque fois.
• Est-ce que tu sais ce qu’est une péripatéticienne, Marie ?
• Oui, dans la Bible, il est suggéré que Marie-Madeleine en était une, mais notre seigneur en chemin vers son calvaire pour nous sauver, l’a absous de ses pêchers.
• Je vois là comment ta maman t’a élevé et comment elle a fait de toi une bonne sœur.
Je t’en apporte la preuve, Jean Baptiste, c’est un prénom rare, combien en connais-tu d’autres ?
• C’est vrai, aucun.
• Jean Baptiste, c’était mon papa, il était client de ta maman et ma mère l’a su.
C’était juste après qu’ils se soient séparés après que maman a tout découvert et que nous avons déménagé.
Il est revenu lui demander de lui pardonner, j’ai entendu le ton monté, j’étais moi aussi dans ma chambre.
Un coup de feu a claqué, j’ignorais que maman avait une arme, mais elle l’avait en main et elle a été mise en prison et moi en famille d’accueil.
C’est en prison qu’elle s’est pendue avec un bout de corde qu’elle avait réussi à récupérer.
J’ai fini mes études et j’ai été indépendante lorsque je suis entrée dans ma première classe.
• Si, je comprends bien, je suis une fille de pute, alors comme j’ai couché avec Lionnel à la piscine du camping naturiste, suis-je, moi aussi, Marie-Madeleine ?…
Mais qu’est-ce que ce carnet mystérieux trouvé par Marie, n’oublions pas que c’est une oie blanche bien qu’elle en ait appris beaucoup après sa rupture de cardan.
Je vous fais confiance, je vous sais assez perspicace depuis que vous lisez nos histoires de cul à moi ou des autres auteurs ce que cache ce carnet.
Mais voyons tout cela à l’aube de cette journée pleine d’imprévu pour Marie.)
• Oh ! mon dieu…
Au cri et au bruit que certainement le plateau que portait Geneviève la femme venue aider maman après sa pneumonie fait, je sais qu’il vient de se passer quelque chose de terrible dans sa chambre.
Je rejoins Geneviève et dès la porte franchie, je vois maman dans la même position ou je l’ai quitté hier au soir, mais les yeux grands ouverts et la bouche semblant appeler au secours.
• Madame Marie, sœur Marie, votre mère est morte, j’appelle le docteur François Dupond pour qu’il vienne voir ce qui s’est passé, c’est lui qui jugera la situation.
Non, reculer, il faut éviter de toucher la dépouille de votre mère, il sera peut-être amené à appeler la police.
J’allais faire un geste, il est vrai vers ses yeux, ils me traumatisent dans leur fixité.
Combien de temps met le docteur pour arriver, je ne saurais le dire, toucher, de plein fouet par cette mort subite, maman a-t-elle appelé pendant l’orage sans que je ne l’entende.
Une chose est certaine, je pensais lui demander des explications dès son réveil sur ce mystérieux carnet et qu’elle en ait sa signification !
J’en suis pour mes frais, je devrais vivre jusqu’à ma mort sans avoir la moindre explication.
En attendant le docteur, je retourne à mes affaires et je remets mon voile redevenant sœur Marie.
• Mesdames, pardon, ma sœur, Colette Joufflon est décédée des suites d’une embolie pulmonaire, consécutive à son début de pneumonie.
Je vous signe le certificat de décès, vous pourrez engager les démarches de mise en terre !
Je passe ces démarche, maman ayant prévu son enterrement depuis plusieurs années, elle devait se souvenir des tracas qu’elle avait eus à la mort de mon père.
• Mes condoléances ma sœur !
Combien sont-ils à défiler devant moi, une dizaine d’hommes tous avec un casque de mineur avec une lampe sur le dessus.
Quelques-uns d’entre eux, ont à leur revers un badge de la CGT, des copains de celui censé m’avoir mis au monde.
Il y a deux femmes, trois avec moi.
Geneviève, c’est tout à fait normal et une blonde, avec lorsque je m’approche des taches de rousseur.
Mais celui qui semble retenir mon attention, c’est cet homme ayant vieilli, mais je connais bien.
• Marie, quel grand malheur, si jeune, tu me reconnais, j’étais le meilleur ami de ton père et après sa mort, j’ai toujours pris soin d’elle.
• Tonton Charles, bien sûr que je me souviens, le monsieur aux bonbons dans les poches.
Vous permettez, j’ai d’autres personnes à saluer !
• Bonjour, toutes mes condoléances, si tu as besoin de réconfort ou de service pour régler la succession de ta maman, je suis là pour t’aider !
• Je vois que l’on se connaît, puisque vous me tutoyez, ma mémoire doit me faire défaut qui êtes-vous.
• Remets les choses en place, peu années avant que tu entres au couvent, l’école primaire, puis le collège.
• Poil de carotte, au pardon, je sais que tu avais en horreur que nos copains te donnent ce surnom.
Je me souviens avoir fait le coup de poing pour toi, moi je t’appelais la crevette et là tu aimais.
• Jade Bonnot, tu comprends pourquoi je suis blonde, cheveux courts.
• Tu étais rousse comme moi avec deux tresses de chaque côté de ton visage.
Là encore, certains garçons ou filles s’amusaient à te les tirer et je faisais le coup de poing pour toi.
• Mesdames, je m’excuse de vous déranger, Marie je dois retourner au musée des houillères de Carmaux, j’en ai pris la direction quelques années après sa création et leurs fermetures après des années de chaumage.
• Tonton Charles, excuse-moi Jade, je dois poser une question à l’ami de maman.
J’ai trouvé le sac à main de maman et cherchant sa date de naissance, il y avait ce petit carnet !
Votre nom revient fréquemment la dernière fois il y a une quinzaine de jours, avec des dates et ce qui doit être des sommes, en francs et en euros, à quoi cela correspond.
• Sans aucun problème, chez nous les anciens mineurs la solidarité a toujours été de mise, même après la fermeture des mines, trahie par Mitterrand qui nous avait promis de les maintenir ouvertes.
Même au chômage, nous aidions les veuves de copains dans leur épreuve.
C’était le cas de ta maman, je vous quitte bonne continuation, bon retour à Lisieux Marie.
Je vois partir Tonton Charles comme s’il avait le feu aux fesses, ça m’étonne, mais s’il avait un rendez-vous, cela s’explique certainement.
Je me retourne vers Jade, elle a un regard étonné, mais je reprends là où nous nous étions arrêtés.
• Jade, nous avions 14 à 15 ans et d’un coup en cours d’année, tu as disparu.
Blonde maintenant, l’âge que nous avions après ton abandon, comprend que j’ai mis du temps à te reconnaitre !
• Je le comprends très bien, si je suis partie précipitamment c’est parce que maman a déménagé avec moi à l’autre bout de la ville.
Un soir, ou nous étions à table, je lui ai annoncé que j’étais amoureuse.
Elle m’a demandé comment s’appelait ce garçon, elle avait des précautions à me transmettre.
Quand j’ai dit que c’était de toi, Marie que je l’étais, dans les trois jours, elle avait trouvé notre nouvelle maison et moi un nouveau collège.
J’ai fait des études et je suis maintenant prof des écoles à deux pas d’ici.
Je regarde toujours les annonces de décès, je suis correspondante de presse pour notre journal local.
J’ai vu le nom de Colette Joufflon, je me suis souvenue de toi, Marie et je suis venue te présenter mes condoléances.
Il est déjà presque midi, regarde, ils sont tous partis, je t’invite à déjeuner dans un petit resto sympa, si tu as du temps bien sûr.
Je pourrais refuser, mais il me reste quelques formalités à accomplir demain alors je fais une dernière prière à maman et je suis Jade.
Apprendre que j’aurais ou avoir une tout autre vie, si elle était restée près de moi, surtout après l’épisode du camping naturiste et de mes amours avec Sophie.
Il est trop tôt pour me poser la question, si j’avais eu une aventure féminine avec cette belle jeune fille de mon âge, ou si comme je le sais, les femmes peuvent épouser les femmes.
Cette information, l’une des rares qui ont filtré jusqu’à nous, c’est suite à une de nos future sœur, Madeleine une novice qui a quitté notre couvent pour retrouver son amie qui venait la visiter depuis quelque temps.
C’est la mère supérieure qui l’a annoncé à la congrégation, courroucé d’une telle possibilité donnée par la loi dans notre pays.
C’est à la terrasse d’un petit resto que nous nous installons, Jade m’écoute sur ce qu’il m’est arrivé en venant voir maman depuis Lisieux.
J’ai compris que le déni est une source de soucis à long terme et ainsi je lui dis tout.
On en arrive à la découverte du carnet et à la réponse que m’a fait Tonton bonbons.
• Marie, puis-je t’emprunter ce carnet, je vois que depuis des années tu es ce que l’on dit « hors-sol » sur la sexualité.
Je ressors de la poche de ma robe le carnet, elle le feuillette et lorsqu’elle le referme le ciel me tombe sur la tête.
• Marie, ces noms, ce sont les noms et les sommes que ses clients donnaient à ta maman pour coucher avec eux.
Ton Tonton Charles ou Tonton bonbon, te les donnait, dis-moi, ils allaient dans la chambre de Colette !
Je l’ignore, ils me faisaient entrer dans ma chambre pour jouer avec ma poupée.
• Et ça se répétait chaque fois qu’un homme venait, regarde le même jour, Charles est venu, mais aussi Sylvain et surtout Jean-Baptiste.
• Oui, chaque fois.
• Est-ce que tu sais ce qu’est une péripatéticienne, Marie ?
• Oui, dans la Bible, il est suggéré que Marie-Madeleine en était une, mais notre seigneur en chemin vers son calvaire pour nous sauver, l’a absous de ses pêchers.
• Je vois là comment ta maman t’a élevé et comment elle a fait de toi une bonne sœur.
Je t’en apporte la preuve, Jean Baptiste, c’est un prénom rare, combien en connais-tu d’autres ?
• C’est vrai, aucun.
• Jean Baptiste, c’était mon papa, il était client de ta maman et ma mère l’a su.
C’était juste après qu’ils se soient séparés après que maman a tout découvert et que nous avons déménagé.
Il est revenu lui demander de lui pardonner, j’ai entendu le ton monté, j’étais moi aussi dans ma chambre.
Un coup de feu a claqué, j’ignorais que maman avait une arme, mais elle l’avait en main et elle a été mise en prison et moi en famille d’accueil.
C’est en prison qu’elle s’est pendue avec un bout de corde qu’elle avait réussi à récupérer.
J’ai fini mes études et j’ai été indépendante lorsque je suis entrée dans ma première classe.
• Si, je comprends bien, je suis une fille de pute, alors comme j’ai couché avec Lionnel à la piscine du camping naturiste, suis-je, moi aussi, Marie-Madeleine ?…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et bien on avance la maman de notre none était en réalité une p... ey a mis sa fille au couvent sans doute pour la protéger car ses clients avaient sans doute des vues. Enfin une nouvelle rousse teinte en blonde lui avoue qu’à l’époque elle était amoureuse l’est elle toujours Marie lui ayant tout raconter y elle tenter sa chance et notre none va t elle résister comme le dit Chris les voies du seigneur sont impénétrable. Donc voyons comment es peripe que notre auteur va faire vivre à cette none rousse toujours pie blanche malgré ses aventures au camping nudiste. Daniel

