COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (13/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (13/32)
( Marie, nonne et fille de pute, pardon de prostituée, qui pouvait simplement le penser à la fin du chapitre XI ?
Nous passons au chapitre XIII.
Qu’est-ce que Marie va encore nous réserver comme surprise ?
Attaquons-le !)
Si je dis « mon Dieu, » je serai assis entre deux chaises.
On va croire que c’est impossible, à 28 ans étant depuis de nombreuses années pensionnaire d’un couvent de découvrir que des femmes font l’amour pour de l’argent.
Maman semble en avoir fait partie après la mort de papa d’une cirrhose du foie par abus du vin rouge.
Ça m’interpelle, car j’ai moi aussi fait l’amour dans la piscine du camping naturiste, en faisant cela suis-je devenue une pute ?
Une Marie-Madeleine comme il est dit dans la Bible.
• Marie, tu te trompes, tu n’es pas une pute, tu es, simplement une jeune femme qui, tardivement, découvre le plaisir que l’on peut prendre entre hommes ou femmes ou encore avec les deux.
C’est surprenant à notre siècle avec les moyens modernes mis à notre disposition !
Je pense en moi-même qu’en se focalisant sur la religion et plus particulièrement sainte Thérèse de Lisieux, maman a voulu m’éloigner de ce que la vie avait fait d’elle.
• Toi aussi, Jade, tu fais l’amour alors que je ne vois nulle d’alliance à ton annulaire !
• Une alliance, quelle horreur, je suis ce que l’on appelle une libertine, trois ans après que nous ayons été séparés par ma mère.
Après plusieurs années où j’ai baisé chaque fois que je le pouvais.
Je me suis rendu compte que c’était pour punir ma mère que j’amenais chez nous toutes sortes d’hommes ou de femmes tous plus déjantés les uns ou une que les autres.
Je trainais dans des bars mal fréquentés, voyant que je faisais mouche chaque fois.
Étais-je une pute pour autant, bien sûr, non ?
Ton carnet en apporte la preuve, ta mère se faisait payer pour des actes sexuels, moi pas du tout, juste un bon coup à boire, ça ne compte pas !
Il fait chaud, tu dois bouillir sous cette robe, veux-tu venir chez moi ?
J’ai eu moi aussi tellement chaud l’été dernier que cette année je me suis offert un Jacuzzi et nous pourrons en profiter.
Nous reprenons ma voiture, après un bon café, si je reste bien plus longtemps ici, je vais prendre du poids, moi qui suis habitué à des repas frugaux.
La maison, c’est plutôt un petit pavillon de province bien agréable surtout que contre toute attente, j’enlève de nouveau mes habits de nonne et je me retrouve avec mes sous-vêtements peu sexy devant ma nouvelle et vielle amie Jade.
Sur la terrasse à l’ombre d’une tenture déployée, une sorte de petite piscine carrée, plus petite que la piscine du camping, mais bien assez grand avec son eau bouillonnante.
Jade a prétexté une envie pressante pour retourner dans la maison.
Pour ma part, l’abus de vin de la région, là de nouveau n’ayant pas l’habitude de boire, c’est au restaurant que j’ai rejoint les toilettes.
Je suis assise dans l’eau profitant déjà de sa fraicheur lorsque sortant de la salle, Jade l’apparait nue elle aussi.
J’avais un instant peur qu’elle revienne avec un maillot de bain, qui m’aurait mise mal à l’aise.
Mais sa tenue me permet de me relever et d’ôter ces horreurs que nous portons sous nos tenues cachant nos féminités.
Cheveux blonds, chatte rousse, je retrouve de plus en plus poil de carotte.
Prestement elle enjambe le rebord comme je l’ai fait et j’ai le temps de voir qu’elle est différente de la chatte de Sophie.
Au lieu de s’assoir à mes côtés, elle vient s’assoir sur mes genoux, me prend la tête et m’embrasse à langue déployée.
Sans Sophie, ais-ce que je saurais comment aimer les femmes, moi qui n’ai jamais eu au couvent de pulsion pour la moindre de mes congénères.
Jade m’entour de ses bras autour de mon cou, mes mains me sont bien inutiles, aussi l’un de mes bras entoure sa taille.
L’autre naturellement se pose sur sa cuisse.
Au mouvement qu’elle fait avec sa cuisse, je sens qu’elle désire que je la fasse glisser vers sa fourche.
Un peu gauche, je remonte ma main jusqu’à sa toison et, et, et…
• Oui, caresse-moi le clito, il est hypersensible, ma chérie tu vas me faire jouir.
Jade a quitté ma bouche sans pour autant s’éloigner de trop et de reprendre son baiser.
Mes doigts glissant sur sa cuisse sont étonnés de ce qu’ils sentent mais que j’avais eu le temps de voir la fraction de seconde ou sa chatte s’est ouverte.
Lionnel m’a fait caresser sa bite, je trouve là aussi comme une petite bite qui frémit dès que je le trouve et que je le caresse.
Nouvelle découverte, bien que je ne me sois jamais intéressé au mien, ignorant même que j’en avais un.
• Continue, pince le même avec deux de tes doigts, il adore être caressé fortement.
Oui comme ça conti…
C’est dans un souffle reprenant ma bouche une nouvelle fois que j’étouffe son cri de plaisir, mes doigts venant de faire jouir Jade.
C’est un peu avec du regret qu’elle se laisse glisser dans l’eau s’immergeant complètement.
Elle y restant suffisamment longtemps pour que je prenne peur, sa jouissance aurait-elle été si intense qu’elle en ait tourné de l’œil et de se noyer ?
Je plonge ma main sans savoir ce que j’attrape, c’est son sein que je saisis en premier et que je tire à moi.
Elle arrive à se rétablir, mais j’entends plus que je ne vois qu’elle a dû boire de l’eau car, elle crache ce qu’elle vient de boire.
• J’ai cru que tu te noyais, j’ai voulu te rattraper excuse moi Jade !
Jade finit par reprendre son souffle et se met à me regarder avec des yeux qui auraient tendance à me faire craquer.
• Mon amour, tu m’as tellement fait jouir avec tes doigts que je reprenais mon souffle, lorsque ta main a saisi mon sein et que surprise, j’ai ouvert ma bouche buvant une tasse.
Nous éclatons de rire, nous nous assayons chacune en face de l’autre et nous profitons de la fin de journée en écoutant les grillons fêter la chaleur du soleil.
Nous finissons par sortir nous essuyant l’une l’autre profitant le plus possible du corps de celle que l’on frotte sans pour autant lui faire trop de mal.
Cette nuit-là, j’ignore à quel moment, la nuit est venue.
Nous sommes dans son lit, Jade me fait découvrir une autre phase des amours lesbiens.
Elle nous fait croiser nos jambes et sa petite bite, s’aidant de ses doigts, elle les rentre au bord de ma chatte comme l’a fait Lionnel certes avec un plus grand morceau.
Nous nous frottons énergiquement et le clito, bite, m’envoie au septième ciel.
Nous sommes de nouveau en eau, l’orage qui a vu la mort de maman sans que je ne l’entende, n’a rien rafraichi, il fait toujours chaud.
Nous nous levons et c’est au jour se levant que nous retournons dormir après avoir quitté le Jacuzzi et son eau divinement rafraichissante.
Pute, salope, à un moment ma chérie m’a appelé sa salope au moment où la bouche et ma langue l’ont propulsée une énième fois dans la jouissance de son corps.
Une salope, non, deux salopes aimant se donner du plaisir.
Je dois retourner chez maman, j’ai rendez-vous avec sa propriétaire avant de rencontrer son banquier pour clore ses comptes.
Simplement les chlores, maman vivante comme elle a toujours vécu, je peux le dire chichement.
Je suis chez elle, lorsque mon portable me rappelle à l’ordre, je n’ai aucune expérience de ce technique moderne.
Jade m’ayant accompagné fait ce qu’il faut pour que je puisse répondre.
• Oui ma mère, la mise en terre a eu lieu, oui je vais bien, j’ai une amie d’enfance près de moi, Jade.
Elle est prof des écoles en vacances en ce moment et elle connaît beaucoup de choses et de lieux utiles pour les démarches que j’ai à entreprendre.
Vous avez prié avec toutes les sœurs pour l’âme de ma maman, vous les remercierez.
Oui, il va de soi que comme toute mortelle, elle a dû avoir des moments de doute dans sa foi, même si vous saviez qu’elle était très proche de sainte Thérèse de Lisieux qu’elle avait dit prier tous les jours.
Vous avez raison, ma mère, elle était une parfaite chrétienne.
J’avais bien pris garde de parler du camping naturiste, la fois dernière où je l’ai appelé.
Il en va de même des rapports découverts avec Sophie et son demi-frère Lionnel, dans le bungalow de la réception et de la piscine.
Et que dire du plaisir prise grâce à Jade et son clitoris surdéveloppé.
Encore moins de la découverte de ce que ma mère faisait pour vivre et certainement me faire vivre jusqu’à ce que je rentre au couvent.
À cette époque, j’étais novice et elle simple sœur chargée du linge à laver et à remettre à chacune d’entre nous.
• Je vous appelais surtout pour la voiture car je m’inquiète !
L’une d’entre vous peut en avoir besoin et le temps que je vais passer ici, elle peut vous manquer !
Vous me dite que je ne m’en fasse pas, que j’ai tout mon temps.
Vous avez parlé de la panne de cardan à notre évêque et il a pris sur les réserver du diocèse la somme nécessaire pour que notre carmel achète une Zoé électrique presque neuve.
Elle a 50 000 kilomètres au compteur.
J’ignore ce qu’est une Zoé même électrique, autant que j’étais très peu renseigné sur le sexe entre filles ou même garçons.
Et que dire de la prostitution, nous parlons peu entre nonnes dans notre couvent, la prière étant la principale occupation avec les taches qui nous sont assignées pour que le couvent fonctionne.
Je raccroche, je suis rassurée, notre mère m’a rassuré et je peux finir les démarches sans le moindre souci.
Je vois Jade, ranger le sac de mes affaires qui était resté sur une chaise.
• Marie, et si je te proposais de sortir ce soir, j’ai là en main de quoi te vêtir te permettant d’ôter cette tenue qui doit être chaude par cette chaleur.
Es-tu partante ?...
Nous passons au chapitre XIII.
Qu’est-ce que Marie va encore nous réserver comme surprise ?
Attaquons-le !)
Si je dis « mon Dieu, » je serai assis entre deux chaises.
On va croire que c’est impossible, à 28 ans étant depuis de nombreuses années pensionnaire d’un couvent de découvrir que des femmes font l’amour pour de l’argent.
Maman semble en avoir fait partie après la mort de papa d’une cirrhose du foie par abus du vin rouge.
Ça m’interpelle, car j’ai moi aussi fait l’amour dans la piscine du camping naturiste, en faisant cela suis-je devenue une pute ?
Une Marie-Madeleine comme il est dit dans la Bible.
• Marie, tu te trompes, tu n’es pas une pute, tu es, simplement une jeune femme qui, tardivement, découvre le plaisir que l’on peut prendre entre hommes ou femmes ou encore avec les deux.
C’est surprenant à notre siècle avec les moyens modernes mis à notre disposition !
Je pense en moi-même qu’en se focalisant sur la religion et plus particulièrement sainte Thérèse de Lisieux, maman a voulu m’éloigner de ce que la vie avait fait d’elle.
• Toi aussi, Jade, tu fais l’amour alors que je ne vois nulle d’alliance à ton annulaire !
• Une alliance, quelle horreur, je suis ce que l’on appelle une libertine, trois ans après que nous ayons été séparés par ma mère.
Après plusieurs années où j’ai baisé chaque fois que je le pouvais.
Je me suis rendu compte que c’était pour punir ma mère que j’amenais chez nous toutes sortes d’hommes ou de femmes tous plus déjantés les uns ou une que les autres.
Je trainais dans des bars mal fréquentés, voyant que je faisais mouche chaque fois.
Étais-je une pute pour autant, bien sûr, non ?
Ton carnet en apporte la preuve, ta mère se faisait payer pour des actes sexuels, moi pas du tout, juste un bon coup à boire, ça ne compte pas !
Il fait chaud, tu dois bouillir sous cette robe, veux-tu venir chez moi ?
J’ai eu moi aussi tellement chaud l’été dernier que cette année je me suis offert un Jacuzzi et nous pourrons en profiter.
Nous reprenons ma voiture, après un bon café, si je reste bien plus longtemps ici, je vais prendre du poids, moi qui suis habitué à des repas frugaux.
La maison, c’est plutôt un petit pavillon de province bien agréable surtout que contre toute attente, j’enlève de nouveau mes habits de nonne et je me retrouve avec mes sous-vêtements peu sexy devant ma nouvelle et vielle amie Jade.
Sur la terrasse à l’ombre d’une tenture déployée, une sorte de petite piscine carrée, plus petite que la piscine du camping, mais bien assez grand avec son eau bouillonnante.
Jade a prétexté une envie pressante pour retourner dans la maison.
Pour ma part, l’abus de vin de la région, là de nouveau n’ayant pas l’habitude de boire, c’est au restaurant que j’ai rejoint les toilettes.
Je suis assise dans l’eau profitant déjà de sa fraicheur lorsque sortant de la salle, Jade l’apparait nue elle aussi.
J’avais un instant peur qu’elle revienne avec un maillot de bain, qui m’aurait mise mal à l’aise.
Mais sa tenue me permet de me relever et d’ôter ces horreurs que nous portons sous nos tenues cachant nos féminités.
Cheveux blonds, chatte rousse, je retrouve de plus en plus poil de carotte.
Prestement elle enjambe le rebord comme je l’ai fait et j’ai le temps de voir qu’elle est différente de la chatte de Sophie.
Au lieu de s’assoir à mes côtés, elle vient s’assoir sur mes genoux, me prend la tête et m’embrasse à langue déployée.
Sans Sophie, ais-ce que je saurais comment aimer les femmes, moi qui n’ai jamais eu au couvent de pulsion pour la moindre de mes congénères.
Jade m’entour de ses bras autour de mon cou, mes mains me sont bien inutiles, aussi l’un de mes bras entoure sa taille.
L’autre naturellement se pose sur sa cuisse.
Au mouvement qu’elle fait avec sa cuisse, je sens qu’elle désire que je la fasse glisser vers sa fourche.
Un peu gauche, je remonte ma main jusqu’à sa toison et, et, et…
• Oui, caresse-moi le clito, il est hypersensible, ma chérie tu vas me faire jouir.
Jade a quitté ma bouche sans pour autant s’éloigner de trop et de reprendre son baiser.
Mes doigts glissant sur sa cuisse sont étonnés de ce qu’ils sentent mais que j’avais eu le temps de voir la fraction de seconde ou sa chatte s’est ouverte.
Lionnel m’a fait caresser sa bite, je trouve là aussi comme une petite bite qui frémit dès que je le trouve et que je le caresse.
Nouvelle découverte, bien que je ne me sois jamais intéressé au mien, ignorant même que j’en avais un.
• Continue, pince le même avec deux de tes doigts, il adore être caressé fortement.
Oui comme ça conti…
C’est dans un souffle reprenant ma bouche une nouvelle fois que j’étouffe son cri de plaisir, mes doigts venant de faire jouir Jade.
C’est un peu avec du regret qu’elle se laisse glisser dans l’eau s’immergeant complètement.
Elle y restant suffisamment longtemps pour que je prenne peur, sa jouissance aurait-elle été si intense qu’elle en ait tourné de l’œil et de se noyer ?
Je plonge ma main sans savoir ce que j’attrape, c’est son sein que je saisis en premier et que je tire à moi.
Elle arrive à se rétablir, mais j’entends plus que je ne vois qu’elle a dû boire de l’eau car, elle crache ce qu’elle vient de boire.
• J’ai cru que tu te noyais, j’ai voulu te rattraper excuse moi Jade !
Jade finit par reprendre son souffle et se met à me regarder avec des yeux qui auraient tendance à me faire craquer.
• Mon amour, tu m’as tellement fait jouir avec tes doigts que je reprenais mon souffle, lorsque ta main a saisi mon sein et que surprise, j’ai ouvert ma bouche buvant une tasse.
Nous éclatons de rire, nous nous assayons chacune en face de l’autre et nous profitons de la fin de journée en écoutant les grillons fêter la chaleur du soleil.
Nous finissons par sortir nous essuyant l’une l’autre profitant le plus possible du corps de celle que l’on frotte sans pour autant lui faire trop de mal.
Cette nuit-là, j’ignore à quel moment, la nuit est venue.
Nous sommes dans son lit, Jade me fait découvrir une autre phase des amours lesbiens.
Elle nous fait croiser nos jambes et sa petite bite, s’aidant de ses doigts, elle les rentre au bord de ma chatte comme l’a fait Lionnel certes avec un plus grand morceau.
Nous nous frottons énergiquement et le clito, bite, m’envoie au septième ciel.
Nous sommes de nouveau en eau, l’orage qui a vu la mort de maman sans que je ne l’entende, n’a rien rafraichi, il fait toujours chaud.
Nous nous levons et c’est au jour se levant que nous retournons dormir après avoir quitté le Jacuzzi et son eau divinement rafraichissante.
Pute, salope, à un moment ma chérie m’a appelé sa salope au moment où la bouche et ma langue l’ont propulsée une énième fois dans la jouissance de son corps.
Une salope, non, deux salopes aimant se donner du plaisir.
Je dois retourner chez maman, j’ai rendez-vous avec sa propriétaire avant de rencontrer son banquier pour clore ses comptes.
Simplement les chlores, maman vivante comme elle a toujours vécu, je peux le dire chichement.
Je suis chez elle, lorsque mon portable me rappelle à l’ordre, je n’ai aucune expérience de ce technique moderne.
Jade m’ayant accompagné fait ce qu’il faut pour que je puisse répondre.
• Oui ma mère, la mise en terre a eu lieu, oui je vais bien, j’ai une amie d’enfance près de moi, Jade.
Elle est prof des écoles en vacances en ce moment et elle connaît beaucoup de choses et de lieux utiles pour les démarches que j’ai à entreprendre.
Vous avez prié avec toutes les sœurs pour l’âme de ma maman, vous les remercierez.
Oui, il va de soi que comme toute mortelle, elle a dû avoir des moments de doute dans sa foi, même si vous saviez qu’elle était très proche de sainte Thérèse de Lisieux qu’elle avait dit prier tous les jours.
Vous avez raison, ma mère, elle était une parfaite chrétienne.
J’avais bien pris garde de parler du camping naturiste, la fois dernière où je l’ai appelé.
Il en va de même des rapports découverts avec Sophie et son demi-frère Lionnel, dans le bungalow de la réception et de la piscine.
Et que dire du plaisir prise grâce à Jade et son clitoris surdéveloppé.
Encore moins de la découverte de ce que ma mère faisait pour vivre et certainement me faire vivre jusqu’à ce que je rentre au couvent.
À cette époque, j’étais novice et elle simple sœur chargée du linge à laver et à remettre à chacune d’entre nous.
• Je vous appelais surtout pour la voiture car je m’inquiète !
L’une d’entre vous peut en avoir besoin et le temps que je vais passer ici, elle peut vous manquer !
Vous me dite que je ne m’en fasse pas, que j’ai tout mon temps.
Vous avez parlé de la panne de cardan à notre évêque et il a pris sur les réserver du diocèse la somme nécessaire pour que notre carmel achète une Zoé électrique presque neuve.
Elle a 50 000 kilomètres au compteur.
J’ignore ce qu’est une Zoé même électrique, autant que j’étais très peu renseigné sur le sexe entre filles ou même garçons.
Et que dire de la prostitution, nous parlons peu entre nonnes dans notre couvent, la prière étant la principale occupation avec les taches qui nous sont assignées pour que le couvent fonctionne.
Je raccroche, je suis rassurée, notre mère m’a rassuré et je peux finir les démarches sans le moindre souci.
Je vois Jade, ranger le sac de mes affaires qui était resté sur une chaise.
• Marie, et si je te proposais de sortir ce soir, j’ai là en main de quoi te vêtir te permettant d’ôter cette tenue qui doit être chaude par cette chaleur.
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