COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (14/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (14/32)
( Où va s’arrêter Marie, quand va-t-elle retourner à Lisieux afin de retrouver la quiétude de son couvent ?
Marie, va-t-elle répondre à Jade à la question qui lui est posée dans le chapitre XIII.
Attaquons le XIVème, reprenons les mots de Jade.)
• Marie, et si je te proposais de sortir ce soir, j’ai là en main de quoi te vêtir te permettant d’ôter cette tenue qui doit être insupportable par cette chaleur.
Es-tu partante ?
Nous sommes dans le logement de maman et nous venons de trier une armoire en remplissant des cartons de ses affaires.
Il est prévu que nous offrions tout cela aux petites sœurs des pauvres et de donner la totalité des meubles à Emmaüs, ils doivent venir demain, tous récupérer.
Je revenais des toilettes lorsque je l’ai vu sortir mes affaires de mon sac posé sur une chaise.
Je suis surprise de voir Jade fouiller mon sac et d’autant plus surprise qu’elle en sorte la tenue de la fille de Franck le garagiste.
Colette sa mère a dû la mettre dans mon sac pendant que je faisais autre chose après que je me sois changé et récupérer ma tenue de nonne.
Quelle qu’en soit la cause, je suis coincée, je veux éviter de repartir dans une course folle au mensonge.
Lors de notre repas, je lui ai tout dit du camping naturiste et de la découverte des rapports entre hommes et femmes avec Sophie et son demi-frère Lionnel.
Inutile de repartir dans une course comme l’a fait Judas Iscariote en reniant trois fois notre sauveur.
• Tu peux donc les remettre et nous pourrons sortir, ce petit sac de la même couleur que la tenue est chou, mais dis-moi, je ne vois pas de couverture, comment as-tu fait avec Lionnel ?
• De quoi me parles-tu, de quelle couverture parles-tu ma petite Jade ?
• Certes vous étiez dans la piscine, mais as-tu pensé au sida et à la possibilité de te retrouver dans la situation d’élever un enfant seule sans parler des maladies transmissibles ?
• Tu veux parler du sida, sœur Paule est revenue d’Afrique où elle travaillait dans un de nos dispensaires.
Nous parlions peu entre nous, mais elle nous a parlé des gens qui mouraient par dizaines de cette maladie certainement envoyés par Dieu pour punir les pécheurs que nous sommes.
Elle nous a appris que certains hommes avaient de nombreuses femmes et qu’ils étaient atteints car ils forniquaient partout et de nombreuses fois, tous finissant par être atteint et mouraient.
(Début d’un I.a.)
Quant à mes règles, là encore, l’histoire d’Adam et Ève dans le jardin d’Éden reste une parabole puissante sur la tentation et les conséquences du choix.
Ève, séduite par le serpent qui lui promet la connaissance du bien et du mal, mange le fruit défendu et en offre à Adam.
Ce geste ne marque pas seulement leur désobéissance à Dieu, mais inaugure un bouleversement profond : l’entrée du péché et de la souffrance dans le monde.
Le paradis perdu devient alors le symbole du désir humain de revenir à l’innocence première, un rêve éternel et inaccessible.
(Fin de l’I.a.)
Je ne peux pas avoir d’enfant, il y a quatre ans qu’un beau jour mes règles ont disparu comme si j’avais été absous des souffrances des femmes, car chaque jour je vénérais Dieu.
• Tu es incroyable, tiens, lorsque l’on sort surtout là où je vais t’emmener.
Tu pourrais être tenté de ressentir de nouveau ce que tu as ressenti avec Sophie ou Lionnel, je te mets trois capotes, je crois que c’est largement suffisant pour une innocente comme toi.
• Je suis d’accord de sortir en remettant les vêtements de Létitia, mais soit sans crainte, je te promets de te les rendre lorsque l’on rentrera assez tôt.
Surtout lorsque tu me parles de capote, qu’est-ce que cela ?
• Une capote petite innocente, c’est un capuchon que l’on met sur la bite de ces messieurs qui gardera en elle, le fruit de ce que tu auras déclenché en écartant tes cuisses pour te faire baiser.
Sois sans crainte, si tu leur imposes ce capuchon, contre un bon petit coup bien centré dans ton intimité, c’est d’eux même qu’ils le placeront et ainsi tu seras protégée de tous ces mots, Sida ou procréation.
Je te mets aussi une clef de chez-moi, si tu rentres seule.
Je t’ai dit que j’étais une libertine, je suis en vacances et il y a bien longtemps que je n’ai pas eu le plaisir de sentir une bonne grosse bite dans ma chatte.
Bien que les moments avec toi la nuit dernière ait été fort agréable, j’ai besoin de pénétration et là où l’on va, je suis sûr de trouver de quoi me satisfaire.
Jade à raison, je suis étonnante de méconnaissance des choses de la vie, bien que j’aie bien progressé dans toutes ses connaissances depuis la rupture de mon cardan.
Nous avons assez travaillé, tout est presque prêt, nous retournons chez elle avec les affaires qui ont beaucoup bouleversé ma vie, bien que rapidement je me sois retrouvée nue.
• Jade, j’ai honte de me promener dans ces vêtements qui mettent l’intégralité de mes attributs en valeur.
Après ma panne de voiture, je les ai mis pour tromper mon monde comme je te l’ai expliqué, mais rapidement je les ai enlevés dans ce camping naturiste.
Maintenant dans ces rues de Carmaux, j’ai l’impression de dire à chaque mâle que nous croisons, je suis une fille de pute et je suis à vous quand vous le voudrez.
• Ça ne te ferait pas de mal d’être une fille de pute, surtout que c’est le cas.
J’ai bien conscience que de t’avoir enfermée dans un couvent pour sauver son âme, ce que t’a fait ta mère était abject.
Mais vie donc un peu ma salope, hier tu étais loin de me faire autant de chichi lorsque tu me bouffais la chatte.
Nous sommes des femelles en chasse, de toute façon, c’est trop tard, nous sommes arrivées.
Nous sommes devant une devanture d’un commerce très distinctif de ses voisins.
Une façade austère, une porte avec un judas grillagé.
Un judas tout simple, non Iscariote, mais un judas tout de même.
Je suis poursuivie par ce signe du diable !
Mais après ce que vient de me dire Jade et ce que j’ai découvert de ma famille, ne suis-je pas déjà aux portes de cet enfer tant redouté par la plupart des sœurs de mon couvent ?
Pour clore, l’endroit où m’emmène Jade, il y a marqué « Club privé » et au-dessus « Red Club. »
Elle appuie sur la sonnette, trop tard pour détaler.
Surtout que les chaussures que je porte avec ses talons me donnant l’impression d’être sur des échasses, risqueraient de me faire casser la figure dans cette rue, un peu passagère.
• Bonsoir mesdames, entrées et passez une bonne soirée.
Dans notre couvent, la plupart des pièces sont froides et lugubres.
Ici, tout est en velours rouge, mais aussi peu éclairé que les cellules ou chacune de nous dormons.
Un bar avec de grands tabourets et des petites alcôves.
Certaines d’entre elles, sont occupées par des couples se serrant de près.
Dans celle que nous longeons, un couple, oui mais de femmes qui s’embrassent comme je le faisais avec Sophie et Jade.
Comment aurais-je pu penser qu’ils existaient de tels lieux, il me faut me rendre à l’évidence, j’ai beaucoup de choses à apprendre, mais dès que les affaires seront réglées, je retournerais à mes prières.
Une autre, je marque un temps d’arrêt, un couple, homme et femme et un troisième assis en face d’eux.
J’ai le temps de voir avant d’arriver au bar, que l’homme a sa main entre les cuisses de la dame et le troisième homme les regardent sans piper le moindre mot.
• Marie, ce couple, je les connais, j’ai déjà passé une soirée avec eux.
Les Dupontel, Virgine et Romain.
Virginie se fait caresser par un homme qu’elle s’est choisi alors que son mari en face d’eux, les regarde se caresser.
Si ça plait à madame, tu vas les voir se lever et partir du club.
Je sais où ils vont, Virginie se fera sauter toute la nuit et Romain la regardera sans piper le moindre mot.
Elle est bi-sexuelle, elle m’a choisi un soir, jamais deux fois et j’ai passé une soirée d’enfer avec eux dans l’hôtel voisin, lorsqu’elle baise elle est déchainée.
• Jade, te voilà, tu nous as manqué, étais-tu en vacances ?
• Oui, j’étais chez mes parents, je me tiens au courant de la vie d’ici grâce au journal où je participe et j’ai vu que ma vieille amie venait de perdre sa maman.
Je suis rentré pour la soutenir dans ce terrible moment, on aime avoir une amie près de soi lorsque cela vous arrive.
Marie, installons-nous là, Suzanne, sert nous deux cocktail maison, nous avons eu une rude journée.
Suzanne est la patronne du club et c’est elle qui sert les clients, femme la cinquantaine et outrageusement maquillée.
Lorsque je monte sur le tabouret, j’ai l’impression que tous me regardent, j’ai l’impression d’être plus nue que lorsque j’étais réellement nue au camp naturiste.
Mais nous dégustons ce cocktail qui très vite m’échauffe mes oreilles.
Dans mon dos, il a dû se passer des choses, car, j’entends que l’on nous parle.
• Jade, c’est toi, mais tu nous as amené une amie, un vrai bonbon à sucer.
Je me présente Virginie Dupontel, veux-tu venir te joindre à nous, je te présenterais mon mari.
Jade, tu as dû dire à ton amie, que je suis assez difficile sur mes partenaires, l’homme que je viens de remercier, Romain, m’a fait comprendre, qu’il fallait que je le jette.
J’ai bien compris, qu’il t’avait repéré et qu’il désire que nous finissions la soirée ensemble.
Ça ne te dérange pas si je te vole ta copine, je suis certaine te connaissant que tu vas rapidement trouver chaussure à ton pied.
• Sans problème Virginie, j’ai déjà repéré le beau brun au bout du bar, qui lui aussi semble m’avoir repéré, je vais faire un mouvement d’approche.
• Moustafa, tu as bon goût et tu seras entièrement satisfaite, nous avons passé la soirée ensemble avec lui, je peux dire qu’il m’a fait monter au rideau, plutôt deux fois qu’une.
Dans quel monde suis-je tombée, est-ce possible que tout ceci existe et que ma mère, m’est fait passer à côté de tout cela.
Des gens qui vivent nue de manière très naturelle.
Des femmes faisant l’amour avec d’autres femmes et des couples, aimant regarder son partenaire avec un ou une autre et surtout certaines qui échangent des renseignements avec qui elles ont baisé.
Virginie me prend la main, je saute de mon tabouret et je me laisse amener à la table de cet étrange couple…
Marie, va-t-elle répondre à Jade à la question qui lui est posée dans le chapitre XIII.
Attaquons le XIVème, reprenons les mots de Jade.)
• Marie, et si je te proposais de sortir ce soir, j’ai là en main de quoi te vêtir te permettant d’ôter cette tenue qui doit être insupportable par cette chaleur.
Es-tu partante ?
Nous sommes dans le logement de maman et nous venons de trier une armoire en remplissant des cartons de ses affaires.
Il est prévu que nous offrions tout cela aux petites sœurs des pauvres et de donner la totalité des meubles à Emmaüs, ils doivent venir demain, tous récupérer.
Je revenais des toilettes lorsque je l’ai vu sortir mes affaires de mon sac posé sur une chaise.
Je suis surprise de voir Jade fouiller mon sac et d’autant plus surprise qu’elle en sorte la tenue de la fille de Franck le garagiste.
Colette sa mère a dû la mettre dans mon sac pendant que je faisais autre chose après que je me sois changé et récupérer ma tenue de nonne.
Quelle qu’en soit la cause, je suis coincée, je veux éviter de repartir dans une course folle au mensonge.
Lors de notre repas, je lui ai tout dit du camping naturiste et de la découverte des rapports entre hommes et femmes avec Sophie et son demi-frère Lionnel.
Inutile de repartir dans une course comme l’a fait Judas Iscariote en reniant trois fois notre sauveur.
• Tu peux donc les remettre et nous pourrons sortir, ce petit sac de la même couleur que la tenue est chou, mais dis-moi, je ne vois pas de couverture, comment as-tu fait avec Lionnel ?
• De quoi me parles-tu, de quelle couverture parles-tu ma petite Jade ?
• Certes vous étiez dans la piscine, mais as-tu pensé au sida et à la possibilité de te retrouver dans la situation d’élever un enfant seule sans parler des maladies transmissibles ?
• Tu veux parler du sida, sœur Paule est revenue d’Afrique où elle travaillait dans un de nos dispensaires.
Nous parlions peu entre nous, mais elle nous a parlé des gens qui mouraient par dizaines de cette maladie certainement envoyés par Dieu pour punir les pécheurs que nous sommes.
Elle nous a appris que certains hommes avaient de nombreuses femmes et qu’ils étaient atteints car ils forniquaient partout et de nombreuses fois, tous finissant par être atteint et mouraient.
(Début d’un I.a.)
Quant à mes règles, là encore, l’histoire d’Adam et Ève dans le jardin d’Éden reste une parabole puissante sur la tentation et les conséquences du choix.
Ève, séduite par le serpent qui lui promet la connaissance du bien et du mal, mange le fruit défendu et en offre à Adam.
Ce geste ne marque pas seulement leur désobéissance à Dieu, mais inaugure un bouleversement profond : l’entrée du péché et de la souffrance dans le monde.
Le paradis perdu devient alors le symbole du désir humain de revenir à l’innocence première, un rêve éternel et inaccessible.
(Fin de l’I.a.)
Je ne peux pas avoir d’enfant, il y a quatre ans qu’un beau jour mes règles ont disparu comme si j’avais été absous des souffrances des femmes, car chaque jour je vénérais Dieu.
• Tu es incroyable, tiens, lorsque l’on sort surtout là où je vais t’emmener.
Tu pourrais être tenté de ressentir de nouveau ce que tu as ressenti avec Sophie ou Lionnel, je te mets trois capotes, je crois que c’est largement suffisant pour une innocente comme toi.
• Je suis d’accord de sortir en remettant les vêtements de Létitia, mais soit sans crainte, je te promets de te les rendre lorsque l’on rentrera assez tôt.
Surtout lorsque tu me parles de capote, qu’est-ce que cela ?
• Une capote petite innocente, c’est un capuchon que l’on met sur la bite de ces messieurs qui gardera en elle, le fruit de ce que tu auras déclenché en écartant tes cuisses pour te faire baiser.
Sois sans crainte, si tu leur imposes ce capuchon, contre un bon petit coup bien centré dans ton intimité, c’est d’eux même qu’ils le placeront et ainsi tu seras protégée de tous ces mots, Sida ou procréation.
Je te mets aussi une clef de chez-moi, si tu rentres seule.
Je t’ai dit que j’étais une libertine, je suis en vacances et il y a bien longtemps que je n’ai pas eu le plaisir de sentir une bonne grosse bite dans ma chatte.
Bien que les moments avec toi la nuit dernière ait été fort agréable, j’ai besoin de pénétration et là où l’on va, je suis sûr de trouver de quoi me satisfaire.
Jade à raison, je suis étonnante de méconnaissance des choses de la vie, bien que j’aie bien progressé dans toutes ses connaissances depuis la rupture de mon cardan.
Nous avons assez travaillé, tout est presque prêt, nous retournons chez elle avec les affaires qui ont beaucoup bouleversé ma vie, bien que rapidement je me sois retrouvée nue.
• Jade, j’ai honte de me promener dans ces vêtements qui mettent l’intégralité de mes attributs en valeur.
Après ma panne de voiture, je les ai mis pour tromper mon monde comme je te l’ai expliqué, mais rapidement je les ai enlevés dans ce camping naturiste.
Maintenant dans ces rues de Carmaux, j’ai l’impression de dire à chaque mâle que nous croisons, je suis une fille de pute et je suis à vous quand vous le voudrez.
• Ça ne te ferait pas de mal d’être une fille de pute, surtout que c’est le cas.
J’ai bien conscience que de t’avoir enfermée dans un couvent pour sauver son âme, ce que t’a fait ta mère était abject.
Mais vie donc un peu ma salope, hier tu étais loin de me faire autant de chichi lorsque tu me bouffais la chatte.
Nous sommes des femelles en chasse, de toute façon, c’est trop tard, nous sommes arrivées.
Nous sommes devant une devanture d’un commerce très distinctif de ses voisins.
Une façade austère, une porte avec un judas grillagé.
Un judas tout simple, non Iscariote, mais un judas tout de même.
Je suis poursuivie par ce signe du diable !
Mais après ce que vient de me dire Jade et ce que j’ai découvert de ma famille, ne suis-je pas déjà aux portes de cet enfer tant redouté par la plupart des sœurs de mon couvent ?
Pour clore, l’endroit où m’emmène Jade, il y a marqué « Club privé » et au-dessus « Red Club. »
Elle appuie sur la sonnette, trop tard pour détaler.
Surtout que les chaussures que je porte avec ses talons me donnant l’impression d’être sur des échasses, risqueraient de me faire casser la figure dans cette rue, un peu passagère.
• Bonsoir mesdames, entrées et passez une bonne soirée.
Dans notre couvent, la plupart des pièces sont froides et lugubres.
Ici, tout est en velours rouge, mais aussi peu éclairé que les cellules ou chacune de nous dormons.
Un bar avec de grands tabourets et des petites alcôves.
Certaines d’entre elles, sont occupées par des couples se serrant de près.
Dans celle que nous longeons, un couple, oui mais de femmes qui s’embrassent comme je le faisais avec Sophie et Jade.
Comment aurais-je pu penser qu’ils existaient de tels lieux, il me faut me rendre à l’évidence, j’ai beaucoup de choses à apprendre, mais dès que les affaires seront réglées, je retournerais à mes prières.
Une autre, je marque un temps d’arrêt, un couple, homme et femme et un troisième assis en face d’eux.
J’ai le temps de voir avant d’arriver au bar, que l’homme a sa main entre les cuisses de la dame et le troisième homme les regardent sans piper le moindre mot.
• Marie, ce couple, je les connais, j’ai déjà passé une soirée avec eux.
Les Dupontel, Virgine et Romain.
Virginie se fait caresser par un homme qu’elle s’est choisi alors que son mari en face d’eux, les regarde se caresser.
Si ça plait à madame, tu vas les voir se lever et partir du club.
Je sais où ils vont, Virginie se fera sauter toute la nuit et Romain la regardera sans piper le moindre mot.
Elle est bi-sexuelle, elle m’a choisi un soir, jamais deux fois et j’ai passé une soirée d’enfer avec eux dans l’hôtel voisin, lorsqu’elle baise elle est déchainée.
• Jade, te voilà, tu nous as manqué, étais-tu en vacances ?
• Oui, j’étais chez mes parents, je me tiens au courant de la vie d’ici grâce au journal où je participe et j’ai vu que ma vieille amie venait de perdre sa maman.
Je suis rentré pour la soutenir dans ce terrible moment, on aime avoir une amie près de soi lorsque cela vous arrive.
Marie, installons-nous là, Suzanne, sert nous deux cocktail maison, nous avons eu une rude journée.
Suzanne est la patronne du club et c’est elle qui sert les clients, femme la cinquantaine et outrageusement maquillée.
Lorsque je monte sur le tabouret, j’ai l’impression que tous me regardent, j’ai l’impression d’être plus nue que lorsque j’étais réellement nue au camp naturiste.
Mais nous dégustons ce cocktail qui très vite m’échauffe mes oreilles.
Dans mon dos, il a dû se passer des choses, car, j’entends que l’on nous parle.
• Jade, c’est toi, mais tu nous as amené une amie, un vrai bonbon à sucer.
Je me présente Virginie Dupontel, veux-tu venir te joindre à nous, je te présenterais mon mari.
Jade, tu as dû dire à ton amie, que je suis assez difficile sur mes partenaires, l’homme que je viens de remercier, Romain, m’a fait comprendre, qu’il fallait que je le jette.
J’ai bien compris, qu’il t’avait repéré et qu’il désire que nous finissions la soirée ensemble.
Ça ne te dérange pas si je te vole ta copine, je suis certaine te connaissant que tu vas rapidement trouver chaussure à ton pied.
• Sans problème Virginie, j’ai déjà repéré le beau brun au bout du bar, qui lui aussi semble m’avoir repéré, je vais faire un mouvement d’approche.
• Moustafa, tu as bon goût et tu seras entièrement satisfaite, nous avons passé la soirée ensemble avec lui, je peux dire qu’il m’a fait monter au rideau, plutôt deux fois qu’une.
Dans quel monde suis-je tombée, est-ce possible que tout ceci existe et que ma mère, m’est fait passer à côté de tout cela.
Des gens qui vivent nue de manière très naturelle.
Des femmes faisant l’amour avec d’autres femmes et des couples, aimant regarder son partenaire avec un ou une autre et surtout certaines qui échangent des renseignements avec qui elles ont baisé.
Virginie me prend la main, je saute de mon tabouret et je me laisse amener à la table de cet étrange couple…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Voilà cela devient très chaud pour Marie j’aime bien les petits rappels de religion. Notre none apprend et va continuer son instruction entre de bonnes mains sa copine Jade le sait. La suite devrait être chaude .Daniel

