COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (15/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (15/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (15/32)
(C’est incroyable, qui m’aurait dit que Marie serait toujours aussi active en découvrant la vie à 28 ans, tout cela pour un simple cardan.
Voyons ce qui va lui arriver dans le chapitre XV ?)

Ce jour avec l’aide de Jade mon amie d’enfance venue à la cérémonie d’enterrement de maman, j’ai débarrassé et préparé le départ d’un maximum de meubles que maman possédait.
Nous avons trouvé des choses surprenantes, statue de Sainte-Thérèse de Lisieux enfermé dans son armoire par exemple.
Elle devait prier la sainte agenouillée sur un prie-dieu qu’elle plaçait devant l’armoire et devait lui demander d’être absous après ce qu’elle acceptait de faire pour au départ m’élever.
Au départ seulement car depuis que je suis partie au couvent, elle aurait pu trouver un travail stable et non porté sur le sexe.

Pour ma part, c’est un chemin différent que je prends, mais pas si éloigné que ça l’une de l’autre, l’argent en moins.
L’anneau à mon doigt sans me peser, me fait taire celle que je suis.
Je parle de moi et non pas de celle que je suis jusqu’à sa table m’assayant dans cette alcôve, lieu de plaisir sans l’argent entre nous.
Maman prenait de l’argent, le carnet que j’ai dans mon petit sac en atteste, c’est bien des clients et les sommes qu’ils lui rapportaient qui sont inscrits dessus.
Ici, lorsque Virginie me prend par la tête entre ses mains et que sa bouche trouve la mienne, je sais maintenant qu’il ne s’agit que de sexe, de plaisirs certainement un peu malsains.

• Romain, elle te plait cette salope, tu te la baiserais bien, mais c’est bien moi qui en profiterai pendant que tu nous regarderas.

Ça fait plus d’une demi-heure que nous sommes ensemble lorsque Virginie prononce ces mots.
Elle m’a caressé pendant que je la caressais et ces mots semblent être ceux du départ, certainement vers cet hôtel dont a parlé Jade et où elle-même a passé un moment somme tout agréable.

• Avant de rejoindre notre hôtel tu dois savoir comme ça a été le cas avec ton amie Jade que toi et moi devant lui, ce sera la seule fois.
Mon mari est candaulisme, nous venons d’ailleurs, nous repartirons ailleurs demain matin et nous aurons assouvi toutes nos envies.
Moi des partenaires différents, et lui la vision de deux femmes se donnant tout le plaisir possible avant de nous séparer bons amis.

Candaulisme, quel mot étrange, bien sûr jamais entendue du fond de mon couvent.
Je verrais avec Jade lorsque l’on se retrouvera demain.
Je l’ai vu partir avec son beau mâle, j’ai ce qu’il faut pour rentrer, j’ai mis un coup de couteau dans mon contrat avec qui vous savez dans le camping naturiste.
J’ai poursuivi avec Jade dans son Jacuzzi puis dans son lit apprenant des choses nouvelles avec elle.
Un jour lorsque je rentrerais ayant fini mes démarches je reprendrais ma vie de nonne avec quelques connaissances de l’extérieur bien différent que lorsque j’en suis partie.
Prier, prier et prier encore, je suis sûr que mon époux me pardonnera de l’avoir trompé.
Je n’irais pas jusqu’à dire que lui le fait déjà.
Combien de ses servantes à travers le monde portent-elles la bague que nous recevons lorsque nous prononçons nos vœux définitifs, mais ceci est blasphémé, restons plus simple.
J’ai appris à aimer le sexe alors j’en profite comme Romain à sa manière profite de la vision de nos deux corps entièrement nue sur le lit, lui dans son fauteuil de la suite où je les ai suivis.
Je découvre une autre chose, lorsque ma langue monte du haut en bas de son corps très bien dessiné.
Virginie a deux enfants, c’est du moins ce qu’elle m’avoue, je savais, je suis inculte sur bien des choses mais ça je connaissais.
Ma langue l’ayant vue sur la cicatrice de ses césariennes très bien faite, mais lorsqu’ils lui ont ouvert le ventre, cette trace est restée.
Ça semble sa croix à elle qui se fait baiser par celui ou celle que son mari choisi.
Hélas la maternité, même par césarienne, m’est à jamais impossible, maman m’a surnommé Marie, mais je ne suis pas la Sainte Vierge.

Dans la nuit je les quitte, Romain me raccompagnant dans une grosse voiture de sport jusque chez Jade.
Dans le club, dans la chambre d’hôtel et maintenant dans la voiture pas la moindre parole ne sort de sa bouche.
À croire qu’il est muet ou qu’il a fait voeu de silence comme le font certains religieux dans leur congrégation ayant fait voeu de silence à tout jamais.
À Lisieux, nous parlons, mais principalement des choses primordiales nécessaires à la bonne marche du couvent.
On sait que je suis entrée comme novice de bonne heure par rapport à mon âge, nous ne connaissons que peu de choses de la vie.
L’une de nos vieilles sœurs, s’appelant sœur Marie des Anges, à 89 ans.
Sa vie s’est arrêtée à ses 18 ans, elle a fauté ce sont ses parents qui ont cru la sauver en l’obligeant à rentrer dans un couvent et sa vie revient irrémédiablement à la naissance de sa fille.
C’est pour cela que je connais les naissances par césarienne, ils l’ont pratiqué sur elle avant de confier sa fille à l’assistance publique pour adoption.
Elle parle de sa si jolie petite fille, mais c’est ce qu’elle s’est mis en tête, elle dormait lorsqu’ils ont sorti l’enfant, sans jamais lui dire si c’était un garçon ou une fille.
Le reste du temps ce sont nos chants et nos prières que nous pouvons entendre.
Depuis que Virginie est venue me chercher au bar.
Quelle m’a fait asseoir à leur table, le temps passé dans la chambre avec elle à lui sucer le clitoris que j’ai trouvé, un peu comme le mien caché derrière son capuchon.
Nous avons pris bien du plaisir, sans la partie sentiment que j’aie ressentie avec Sophie et Lionnel, puis avec Jade que je pourrais aimer d’un amour bien plus profond que du simple plaisir.
Mais je suis, hélas, nonne et je dois penser à l’après ces divertissements.
Quand je parle de divertissement, c’est pour mieux me convaincre que ma vie au monastère était au moins aussi captivante que la vie de luxure que j’ai découverte, par suite de ma panne de voiture.
Une fois la porte ouverte, je retrouve la quiétude de la maison de Jade, aussitôt la porte passée je me dévêts retrouvant la nudité qui me plait temps.
J’avais pensé dans la voiture et le silence de Romain profiter de l’absence de Jade pour renouer avec la prière avant de me coucher et de m’endormir du sommeil d’une journée bien rempli.
Le Jacuzzi m’attire, Jade l’a programmé pour que la température de l’eau soit divine.
C’est naturellement que j’enjambe le bord et que je me prélasse sur l’un des sièges ou hier avec Jade nous avons commencé à faire l’amour.
Je veux me laver la chatte, bien que je me sois douchée avec Virginie avant de quitter leur chambre.
Nous étions toutes les deux sous le jet tiède, la salle de bains possédait une baignoire et une sorte de vasque ou l’eau s’écoulait après nous être tombée dessus.
Une douche à l’Italienne !
Mon inculture des choses de la vie et mon obligation de silence sur ce que je suis réellement, m’obligent à reconnaitre que si j’en parle c’est que c’est Virginie qui me donne ce nom.
J’aurais simplement dit douche.
Nous étions collées, l’une à l’autre alors qu’il y avait largement de la place.
Une nouvelle fois nous nous embrassions et sa main se promenait sur mon arrière-train.
D’un coup une claque est partie, j’ai été surprise, mais la deuxième a suivi.
Virginie ma prise par le peu de cheveux roux que j’ai et m’ai retournés.
J’étais le nez sur le verre de la cloison lorsque j’ai vu Romain appuyé sur le chambranle de la porter et qui sa main dans sa poche nous regardait baiser.
Dans cette position, mon arrière-train était entièrement à sa disposition et j’ai ramassé la fessée de ma vie.
Au plus loin de mes souvenirs, ceux qui remontent à Tonton bonbons, mes fesses ont ressenti de l’humiliation.
Cette fois, c’est si lointain que le motif m’échappe, mais que quelqu’un m’a pris sur ses genoux et que j’ai été fessée.
Je me souviens de larmes alors que là, très vite la douleur s’est transformée plaisir.
Étais-je en train de découvrir, ola douleur se transformant en plaisir après une certaine dose de ce traitement ?
Lorsqu’elle rentrera, je demanderais bien à Jade si je venais de découvrir une nouvelle facette de ce que le sexe apporte entre deux adultes majeurs, mais comme moi lion d’être vacciné.
J’avais tellement hâte de me tremper dans l’eau froide que j’aurais dû me rendre dans sa salle de bains.
Il y a une grande glace où j’aurais pu constater si elles étaient rouges rubicons tellement les coups se sont abattus sur moi comme l’eau du pommeau de douche.
C’est certainement de fatigue qu’elle a arrêtée, mais mon dieu, il faut que je vous prie.
Pourtant à toutes ces évocations d’un moment hors du commun.
Tout c’est terminé par sa langue dans ma chatte agenouiller devant moi, manquant de me faire chuter lorsque mon ventre a éclaté en des myriades d’étoiles de toutes les couleurs.
Qui a fermé l’eau, qui lui a donné une serviette pour m’essuyer, j’ai repris conscience complètement, j’avais revêtu ma tenue de débauche et j’embrassais Virginie comme ma nouvelle maîtresse, Romain me conduisant jusqu’ici.
Il avait dû en faire de même avec Jade, car il m’a déposé sans un mot, je l’ai déjà dit, mais sans que moi je n’aie besoin de lui en donner la route.
Prier, mon Dieu, je veux vous prier et non pas à toutes ses évocations ma main glisse sous l’eau.
Pour nous les femmes n’est-ce pas nos clitoris qui gèrent notre débauche ?
Cette partie de nos corps gère-t-elle nos émotions ?
N’est-ce pas lui dirige le monde, demandons à l’I.a, elle a peut-être la réponse ?

Dans les méandres de l'histoire, l'éden trône comme le théâtre des premières blessures.
L'image de la pomme croquée par Ève n'est pas seulement celle de la curiosité et du péché, mais aussi l'écho du fardeau des femmes, marqué dans leur chair et dans leur âme.
Cette morsure allégorique, en quête de savoir et de liberté, a pourtant engendré un héritage de douleur.
Pour Ève, cette pomme représentait un éveil, une ouverture vers l'inconnu, mais aussi une condamnation à porter.
Elle devint le symbole d'une curiosité punie mais nécessaire, un acte de déchaînement, un pas vers l'autodétermination.
Les femmes, héritières de cette première rébellion, ressentent parfois cette douleur ancestrale dans les moments où le corps se heurte aux limites imposées par l'histoire, la société, ou simplement par l'existence elle-même.
Et si cette douleur était, en quelque sorte, le reflet d'une force, d'une capacité à transcender, tout comme Ève l'a faite en acceptant le poids de son choix !
Cette douleur devient alors non un châtiment, mais une mémoire vive.
Le serpent, l'arbre, et la pomme/
Tous liés à la genèse, continuent de hanter les récits et les âmes, rappelant aux femmes qu'elles ne sont pas seulement gardiennes, mais aussi créatrices, révoltées et capables de renaître de la douleur. (Fin de l’I.a)

C’est bien ce que j’ai appris toute au long de ma vie de nonne, mais alors pourquoi le très haut nous a donné un clitoris ?
Pour moi jusqu’à ce jour, ignorant son existence, ces mots étaient ceux que l’on m’avait enseignés.
Maintenant lorsque je le stimule avec mon doigt, je pense qu’ayant été trop loin dans sa punition pour la pomme il l’a mis là pour se faire un peu pardonner.
C’est à ce moment que je dois me réveiller, dans la salle à manger, non loin de moi le téléphone se met à sonner…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Encore un superbe texte avec de beaux rappel de la genèse j’aime bien la comparaison à peine voilée de la pomme d’Eve et du clitoris d’une part ainsi que la jouissance produite par une bonne fessée. Notre chère none apprend et se remplie la tête de merveilleux souvenirs. Daniel



Texte coquin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (15/32)
Histoire sexe : Une rose rouge
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