COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (24/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (24/32)
(I, un non XXIV chapitres pour une histoire courte.)
Les sept péchés capitaux !
Lors de ce voyage m’ayant fait découvrir la vérité sûre qui était réellement Colette ma maman, je me rends compte qu’en plus du reniement comme l’avait fait Judas Iscariote, je suis en plein dans certains péchés capitaux.
En suivant Tonton bonbons et Claude son fils, dans la chambre de Jade, ce n’est pas par appât du gain que je les suis.
Certes Charles m’a donné une enveloppe pour service rendu envers Claude son fils et pour me baiser alors que la première fois, l’intervention des gars d’Emmaüs ont dû le faire se contenter d’une simple fellation.
Cette enveloppe, je l’ai laissée sur la table sur laquelle nous avons mangé avant de rejoindre Claude et cette chambre.
L’envie, certainement, mais pour la dernière fois, l’envie de sexe avant mon voyage de retour ayant sauvé mon prie-Dieu, car les dés étaient pipés lorsque je l’ai parié avec Jade.
L’envie, mais surtout la luxure, me mettre nue devant deux hommes, Claude, c’était moi qui hier l’est fait devenir homme en baisant avec lui.
La luxure, parce que, eux aussi, se sont dénudés et c’est Tonton bonbons qui mène notre trio.
• Marie, allonge-toi et écarte tes cuisses.
Toi Claude, vient lui bouffer la chatte, apprend, il faut donner du plaisir aux femmes avant de prendre ton propre plaisir.
Je pourrais me rebeller, leur rappelé ma condition de nonne.
Mais la luxure me tient, me bannissant du paradis à jamais, puisque j’exécute l’ordre reçu en montrant ma toison rousse à ce jeune et ce vieux qui vont me baiser.
L’envie et la luxure, car je sens ma chatte couler d’envie lorsque je vois ces deux sexes disproportionnés, l’un par rapport à l’autre.
Est-ce possible qu’ils soient père et fils, certainement, la nature est ainsi faite que nul ne choisit d’être grand ou petit même au niveau de leurs bites.
• Mon fils, je dois te faire un aveu, nous voyants nus tous les deux.
Je ne suis pas ton père biologiste, il y a des années que je voulais te l’avouer, mais le courage m’en a manqué !
• Qui est-il, si tu le sais bien sûr !
• Oui, nous venions de nous mettre ensemble avec ta mère lorsque nous avons été faire les vendanges.
Il y avait parmi les vendangeurs un beau Marocain, ta mère a baisé avec, il a mis en elle sa semence sans protection et tu es né.
Elle m’a quitté te laissant avec moi, alors je t’ai élevé.
Tu le vois à une certaine différence.
• Tu seras toujours mon père, surtout si ma mère a été une salope.
Occupons-nous de Marie, je vois qu’elle mouille en attendant que nous la baisions.
Que cela est joliment dit, à partir de ce moment, je ne m’appartiens plus à croire que le fait d’apprendre qu’ils n’ont rien de commun entre eux décuple leur envie de luxure.
La gourmandise, pourquoi s’en priver, mais une gourmandise de sexes petits ou grands.
Gourmande lorsque je les suce indifféremment l’un dans ma bouche l’autre me léchant le clitoris.
L’autre à son tour dans ma bouche, une langue plus grosse du certainement à l’âge me broutant la minette.
• Tu baises en premier où j’y vais avant ?
Gourmande, je veux les deux, Claude hier m’a enculé, Jade m’a parlé de doubles pénétrations, puisque c’est la dernière, pourquoi ne pas essayer.
• Oui, comme ça tous les deux, vous êtes des saligauds, mais allez-y, défoncé moi.
Qui suis-je, une nonne venue voir sa maman, hélas, enterré emplie de vice et de luxure.
Je brûle, mais d’un feu intérieur dû à ces deux bites qui me fouillent avec envie, aussi bien eux que moi.
« Si tu as l’occasion de te faire enculer, essaye de te faire sauter par deux mecs en même temps.
On appelle ça, une double pénétration, tu verras, ça te fera jouir comme jamais, je te le promets. »
Je me souviens il y a peu des propos de Jade sur la double pénétration et deux bites protégées par des capotes.
J’en ai deux à ma disposition, j’allais dire « j’essaye, » je devrais dire, je le fais en tirant un plaisir extraordinaire.
Un moment de lucidité, depuis que Lionnel m’a dépucelé, lui seul l’a fait sans protection, depuis, j’ai appris qu’il fallait se protéger.
Sentir deux bites coulisser dans mes deux trous entièrement à leur disposition.
Combien de fois, je hurle mon plaisir sous leur assaut, pas de problème, il faut que dès demain matin, je prenne une décision radicale et rentrer à Lisieux.
Terminé les moments de perte de tête, moi qui l’ai toujours eu bien posé au-dessus de mes épaules.
Est-il possible que la position allongée trouble mon libre arbitre ou simplement le sexe et la luxure que le diable m’apprend à aimer et rechercher ?
• Jade, tu es en vacances, peux-tu t’occuper de rendre les clefs de chez maman à l’agence, j’ai reçu un message de ma mère supérieure, ils ont besoin de la 4l et elle me demande de rentrer !
• Tu vas me manquer, crois-tu que tu dois retourner te cloitrer dans ton couvent surtout après qu’avec Suzanne, nous avons entendu le plaisir que tu prenais avec nos deux amis.
Les deux amis, qui m’ont quitté après un dernier baisé après le plaisir qu’ils m’ont donné.
• Marie, tu avais oublié ton enveloppe sur la table, je l’ai mis dans ton sac à main.
Cupidité, est-ce un péché capital ?
Non, mais oui, lorsque je range mon sac à main dans mon sac dans lequel se trouvent mes affaires.
J’ai retrouvé mes vêtements de nonne notamment ma coiffe et ma croix, je redeviens sœur sainte Marie de la Trinité et je tourne ma clef de contact.
En calant mon rétroviseur après avoir mis ma ceinture de sécurité comme appris à l’auto-école, je vois mon visage sous lequel le roux de mes cheveux a disparu.
Je suis descendu par les nationales me conduisant à me confronter avec le diable pas plus tard que la nuit dernière.
Mon corps frissonne encore du plaisir pris alors, je récupère l’enveloppe, cet argent va me permettre de retrouver plus vite la quiétude de notre couvent en rentrant sur l’autoroute.
J’ai mis la radio, la route va être longue, surtout que j’en suis sûr à certains moments l’envie de faire demi-tour va me traverser l’esprit.
Vie de nonne ou vie de salope, comme certains pourraient le dire, entre les deux, c’est un sacré grand écart que je m’apprête à vivre.
France culture et la musique classique, j’aime beaucoup, principalement Beethoven.
« Ta, ta, ta, ta. »
« Ta, ta, ta, ta. »
La 5ᵉ de Beethoven, un chef-d’œuvre, j’en arrive même à chanter.
• Ta, ta, ta, ta. »
« Putain de merde ! »
C’est trois mots, je les pense, sans les dire, debout sur les pédales de ma voiture.
Dois-je invoquer un miracle lorsque j’arrive à m’arrêter, touchant l’arrière d’une camionnette sans la taper.
À droite, je suis à la hauteur de la roue arrière d’une voiture et à gauche carrément à hauteur de la portière arrière.
J’ai en vision, la vue aérienne d’une maison sur les lieux d’un tremblement de terre étant enfant.
Tout était détruit autour d’elle, elle ayant miraculeusement échappé au tremblement.
Je dois être dans la même situation m’étant faufilé dans un trou de souris.
Je dois reconnaitre la chance miraculeuse que j’ai eu surtout de taper en fin de course la camionnette qui étant un frigo a une porte à l’arrière et donc n’a pas de coffre.
Une voiture normale, j’aurais tout emporté et peut-être que lorsque la circulation reprend très lentement, je passe près de deux voitures ayant moins eu de chance.
Un signe de croix lorsque je passe à côté d’une personne que les secours ont sortie d’une des voitures accidentées et misent sur un brancard.
Nul doute que le drap recouvrant certainement un homme, son pied dépassant, n’a pas survécu à cet accident.
Quelques kilomètres, une aire de repos, dans le coup de frein, l’accoudoir de mon prie-Dieu, c’est ouvert, un papier est tombé au sol.
Un accident ça suffit notamment avec ce mort, je m’arrête pour reprendre un peu mes esprits et je l’avoue, faire une prière pour le repos de son âme même si je ne le connais pas.
Mais aussi, pour descendre ouvrir l’autre portière et ramasser le papier.
De suite, déroulant ce message venu de nulle part, je reconnais la jolie écriture de maman comme pour la lettre à la banque.
« Si une personne autre que ma fille sœur Marie de la Sainte Trinité, découvre ce message, faite là porter au couvent de sainte Thérèse de Lisieux avec le prie-Dieu où je l’ai caché.
Sous le coussin, elle y trouvera ce que j’ai gagné pendant cette vie de misère que j’ai été obligé de vivre.
J’espère que cet argent lui permettra de repartir dans la vie sur une base plus saine que la mienne.
Je t’aime ma fille, j’ai toujours fait ce qu’il fallait pour t’éviter les vicissitudes de la vie que j’ai été dans l’obligation de vivre après la trahison de son père.
Avec cet argent fait faire des messes pour mon âme afin que j’aie une petite chance de me retrouver au paradis.
Ta maman qui t’aime. »
Derrière moi, la camionnette que j’ai été à deux doigts d’emplafonner rejoignant maman au purgatoire, vient, elle aussi, de s’arrêter.
Un homme avec un tablier de boucher en descend, il doit rentrer d’un marché, car des traces de sang sont apparentes.
• Ma sœur, on est passé très près, je vous ai vu dans mes rétros, venez dans ma camionnette, j’ai une bouteille de gnôle, on va se remettre de nos émotions…
Les sept péchés capitaux !
Lors de ce voyage m’ayant fait découvrir la vérité sûre qui était réellement Colette ma maman, je me rends compte qu’en plus du reniement comme l’avait fait Judas Iscariote, je suis en plein dans certains péchés capitaux.
En suivant Tonton bonbons et Claude son fils, dans la chambre de Jade, ce n’est pas par appât du gain que je les suis.
Certes Charles m’a donné une enveloppe pour service rendu envers Claude son fils et pour me baiser alors que la première fois, l’intervention des gars d’Emmaüs ont dû le faire se contenter d’une simple fellation.
Cette enveloppe, je l’ai laissée sur la table sur laquelle nous avons mangé avant de rejoindre Claude et cette chambre.
L’envie, certainement, mais pour la dernière fois, l’envie de sexe avant mon voyage de retour ayant sauvé mon prie-Dieu, car les dés étaient pipés lorsque je l’ai parié avec Jade.
L’envie, mais surtout la luxure, me mettre nue devant deux hommes, Claude, c’était moi qui hier l’est fait devenir homme en baisant avec lui.
La luxure, parce que, eux aussi, se sont dénudés et c’est Tonton bonbons qui mène notre trio.
• Marie, allonge-toi et écarte tes cuisses.
Toi Claude, vient lui bouffer la chatte, apprend, il faut donner du plaisir aux femmes avant de prendre ton propre plaisir.
Je pourrais me rebeller, leur rappelé ma condition de nonne.
Mais la luxure me tient, me bannissant du paradis à jamais, puisque j’exécute l’ordre reçu en montrant ma toison rousse à ce jeune et ce vieux qui vont me baiser.
L’envie et la luxure, car je sens ma chatte couler d’envie lorsque je vois ces deux sexes disproportionnés, l’un par rapport à l’autre.
Est-ce possible qu’ils soient père et fils, certainement, la nature est ainsi faite que nul ne choisit d’être grand ou petit même au niveau de leurs bites.
• Mon fils, je dois te faire un aveu, nous voyants nus tous les deux.
Je ne suis pas ton père biologiste, il y a des années que je voulais te l’avouer, mais le courage m’en a manqué !
• Qui est-il, si tu le sais bien sûr !
• Oui, nous venions de nous mettre ensemble avec ta mère lorsque nous avons été faire les vendanges.
Il y avait parmi les vendangeurs un beau Marocain, ta mère a baisé avec, il a mis en elle sa semence sans protection et tu es né.
Elle m’a quitté te laissant avec moi, alors je t’ai élevé.
Tu le vois à une certaine différence.
• Tu seras toujours mon père, surtout si ma mère a été une salope.
Occupons-nous de Marie, je vois qu’elle mouille en attendant que nous la baisions.
Que cela est joliment dit, à partir de ce moment, je ne m’appartiens plus à croire que le fait d’apprendre qu’ils n’ont rien de commun entre eux décuple leur envie de luxure.
La gourmandise, pourquoi s’en priver, mais une gourmandise de sexes petits ou grands.
Gourmande lorsque je les suce indifféremment l’un dans ma bouche l’autre me léchant le clitoris.
L’autre à son tour dans ma bouche, une langue plus grosse du certainement à l’âge me broutant la minette.
• Tu baises en premier où j’y vais avant ?
Gourmande, je veux les deux, Claude hier m’a enculé, Jade m’a parlé de doubles pénétrations, puisque c’est la dernière, pourquoi ne pas essayer.
• Oui, comme ça tous les deux, vous êtes des saligauds, mais allez-y, défoncé moi.
Qui suis-je, une nonne venue voir sa maman, hélas, enterré emplie de vice et de luxure.
Je brûle, mais d’un feu intérieur dû à ces deux bites qui me fouillent avec envie, aussi bien eux que moi.
« Si tu as l’occasion de te faire enculer, essaye de te faire sauter par deux mecs en même temps.
On appelle ça, une double pénétration, tu verras, ça te fera jouir comme jamais, je te le promets. »
Je me souviens il y a peu des propos de Jade sur la double pénétration et deux bites protégées par des capotes.
J’en ai deux à ma disposition, j’allais dire « j’essaye, » je devrais dire, je le fais en tirant un plaisir extraordinaire.
Un moment de lucidité, depuis que Lionnel m’a dépucelé, lui seul l’a fait sans protection, depuis, j’ai appris qu’il fallait se protéger.
Sentir deux bites coulisser dans mes deux trous entièrement à leur disposition.
Combien de fois, je hurle mon plaisir sous leur assaut, pas de problème, il faut que dès demain matin, je prenne une décision radicale et rentrer à Lisieux.
Terminé les moments de perte de tête, moi qui l’ai toujours eu bien posé au-dessus de mes épaules.
Est-il possible que la position allongée trouble mon libre arbitre ou simplement le sexe et la luxure que le diable m’apprend à aimer et rechercher ?
• Jade, tu es en vacances, peux-tu t’occuper de rendre les clefs de chez maman à l’agence, j’ai reçu un message de ma mère supérieure, ils ont besoin de la 4l et elle me demande de rentrer !
• Tu vas me manquer, crois-tu que tu dois retourner te cloitrer dans ton couvent surtout après qu’avec Suzanne, nous avons entendu le plaisir que tu prenais avec nos deux amis.
Les deux amis, qui m’ont quitté après un dernier baisé après le plaisir qu’ils m’ont donné.
• Marie, tu avais oublié ton enveloppe sur la table, je l’ai mis dans ton sac à main.
Cupidité, est-ce un péché capital ?
Non, mais oui, lorsque je range mon sac à main dans mon sac dans lequel se trouvent mes affaires.
J’ai retrouvé mes vêtements de nonne notamment ma coiffe et ma croix, je redeviens sœur sainte Marie de la Trinité et je tourne ma clef de contact.
En calant mon rétroviseur après avoir mis ma ceinture de sécurité comme appris à l’auto-école, je vois mon visage sous lequel le roux de mes cheveux a disparu.
Je suis descendu par les nationales me conduisant à me confronter avec le diable pas plus tard que la nuit dernière.
Mon corps frissonne encore du plaisir pris alors, je récupère l’enveloppe, cet argent va me permettre de retrouver plus vite la quiétude de notre couvent en rentrant sur l’autoroute.
J’ai mis la radio, la route va être longue, surtout que j’en suis sûr à certains moments l’envie de faire demi-tour va me traverser l’esprit.
Vie de nonne ou vie de salope, comme certains pourraient le dire, entre les deux, c’est un sacré grand écart que je m’apprête à vivre.
France culture et la musique classique, j’aime beaucoup, principalement Beethoven.
« Ta, ta, ta, ta. »
« Ta, ta, ta, ta. »
La 5ᵉ de Beethoven, un chef-d’œuvre, j’en arrive même à chanter.
• Ta, ta, ta, ta. »
« Putain de merde ! »
C’est trois mots, je les pense, sans les dire, debout sur les pédales de ma voiture.
Dois-je invoquer un miracle lorsque j’arrive à m’arrêter, touchant l’arrière d’une camionnette sans la taper.
À droite, je suis à la hauteur de la roue arrière d’une voiture et à gauche carrément à hauteur de la portière arrière.
J’ai en vision, la vue aérienne d’une maison sur les lieux d’un tremblement de terre étant enfant.
Tout était détruit autour d’elle, elle ayant miraculeusement échappé au tremblement.
Je dois être dans la même situation m’étant faufilé dans un trou de souris.
Je dois reconnaitre la chance miraculeuse que j’ai eu surtout de taper en fin de course la camionnette qui étant un frigo a une porte à l’arrière et donc n’a pas de coffre.
Une voiture normale, j’aurais tout emporté et peut-être que lorsque la circulation reprend très lentement, je passe près de deux voitures ayant moins eu de chance.
Un signe de croix lorsque je passe à côté d’une personne que les secours ont sortie d’une des voitures accidentées et misent sur un brancard.
Nul doute que le drap recouvrant certainement un homme, son pied dépassant, n’a pas survécu à cet accident.
Quelques kilomètres, une aire de repos, dans le coup de frein, l’accoudoir de mon prie-Dieu, c’est ouvert, un papier est tombé au sol.
Un accident ça suffit notamment avec ce mort, je m’arrête pour reprendre un peu mes esprits et je l’avoue, faire une prière pour le repos de son âme même si je ne le connais pas.
Mais aussi, pour descendre ouvrir l’autre portière et ramasser le papier.
De suite, déroulant ce message venu de nulle part, je reconnais la jolie écriture de maman comme pour la lettre à la banque.
« Si une personne autre que ma fille sœur Marie de la Sainte Trinité, découvre ce message, faite là porter au couvent de sainte Thérèse de Lisieux avec le prie-Dieu où je l’ai caché.
Sous le coussin, elle y trouvera ce que j’ai gagné pendant cette vie de misère que j’ai été obligé de vivre.
J’espère que cet argent lui permettra de repartir dans la vie sur une base plus saine que la mienne.
Je t’aime ma fille, j’ai toujours fait ce qu’il fallait pour t’éviter les vicissitudes de la vie que j’ai été dans l’obligation de vivre après la trahison de son père.
Avec cet argent fait faire des messes pour mon âme afin que j’aie une petite chance de me retrouver au paradis.
Ta maman qui t’aime. »
Derrière moi, la camionnette que j’ai été à deux doigts d’emplafonner rejoignant maman au purgatoire, vient, elle aussi, de s’arrêter.
Un homme avec un tablier de boucher en descend, il doit rentrer d’un marché, car des traces de sang sont apparentes.
• Ma sœur, on est passé très près, je vous ai vu dans mes rétros, venez dans ma camionnette, j’ai une bouteille de gnôle, on va se remettre de nos émotions…
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