COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (25/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (25/32)
(XXV Oh ! Mon Dieu !)
• Ma sœur, on est passé très près, je vous ai vu dans mes rétros.
Venez dans ma camionnette, j’ai une bouteille de gnôle, on va se remettre de nos émotions.
J’en étais là de mon voyage de retour, venant d’éviter miraculeusement une mort possible si toutes les voitures s’étant arrêtées en urgence ayant toutes cartonnées.
Comme, hélas, les premières, là où j’ai vu un homme, qui, je le pense, est décédé.
Sur l'aire suivante, je m’arrête, l’accoudoir de mon prie-Dieu dans le freinage, ayant lâché un papier ayant roulé sous le tableau de bord.
Je contourne ma voiture, je lis la lettre, c’est maman qui me fait savoir qu’elle a caché de l’argent là où l’on repose les genoux.
Les économies de toute sa vie de putain, lorsqu’elle satisfaisait les désirs des hommes.
Je suis sœur Marie, grâce à ce voile, mais je suis aussi une putain à cause de l’enveloppe que Jade a mise dans mon sac à main, m’ayant servie lorsque je sortais en femme fatale dans Carmaux.
La camionnette, celle que le très haut m’a fait éviter, la camionnette d’où un homme descend le tablier, certainement de boucher maculé de taches de sang.
• Ma sœur, cette proposition est parfaitement honnête, je vois que vous êtes toute pâle, vous n’allez pas…
Je suis à deux doigts de tourner de l’œil, mais c’est mon estomac qui se vide, une fusée partant sur les chaussures du boucher.
• Venez, j’avais raison, n’ayez pas de craintes pour mes chaussures, je vais aller en changer, j’en ai dans l’arrière de la camionnette et enlever ce tablier.
Je suis parti précipitamment du marché de Châteauroux pour rentrer à Villedieu-sur-Indre où j’ai mon laboratoire et ma boutique.
Il me conduit à l’avant de sa camionnette et continue sur l’arrière.
Je l’entends avant de revenir en pantalon et en chemise, avec des chaussures propres aux pieds.
Il a dans la main une bouteille et deux gobelets en carton.
Ma main se porte comme par magie sur sa braguette…
Vous aimeriez bien que sœur Marie, malgré sa coiffe, redevienne Marie la salope !
Bien que je doive reconnaitre que je regarde la bosse de son pantalon au niveau de son sexe, je reste celle que j’aurais toujours dû être.
• Ma sœur, j’ai bien travaillé aujourd’hui à votre regard, je sens la pute en vous, 50 € pour me sucer la queue, je sens que vous êtes une gourmande.
Encore gouré, c’est ce que là encore, je pense, mon cerveau semblant mélanger sainteté et prostitution scabreuse.
Le boucher, je ne connais même pas son nom, verse deux rasades de gnôle et repose la bouteille à ses pieds.
C’est raide, mais ça parait me remettre les idées en place.
• Oui, vas-y, réalise ton fantasme de baiser une bonne sœur, tous les hommes ont ce fantasme, je trouve ça normal et jouissif.
Oui, la robe de nonne, dommage qu’elle ne s’ouvre pas sur le devant, je t’aurais montré mes seins.
Oui, une nonne a une chatte, des seins et même un cul que Claude, mon puceau et Charles, son père, ont allègrement bourré.
Là encore, malgré le peu d’alcool aidant, je me remémore les moments où j’étais une véritable chienne.
Hélas, trois fois, hélas, c’est difficile de revivre ce que l’on a vécu, surtout lorsque l’on a décidé de redevenir une sainte femme fidèle au fils de Dieu qu’elle vénère.
• Une autre petite lichette, reconnais que ça fait du bien.
• Bien sûr, une autre petite lichette, dis-moi le boucher, es-tu marié ?
Oui, tu veux que je bouffe la chatte de ta femelle.
On m’a dit que j’étais la meilleure religieuse de France, voire plus pour bouffer les culs des nanas.
J’énumère mes fantasmes sans bien entendu pouvoir les réaliser.
Tout est dans ma tête, seulement dans ma tête.
À mon côté, le gars, ni trop beau ni trop laid, s’il savait à quoi je pense, me saute dessus jusqu’au point où j’aimerais qu’il me viole.
Et dire que je retourne m’enfermer dans mon couvent.
• Je vous laisse et je vous remercie pour cet alcool bu avec modération.
Je vais continuer ma route, j’ai encore de nombreux kilomètres à parcourir.
Rater, côté sexe, même pour une dernière avant mon enfermement.
Je reprends le volant et me voilà repartie.
Au moment où je redémarre, dans mon rétro, je vois le boucher se resservir une énième rasade d’alcool.
Certainement, le prochain mort sur cette autoroute, même si je vois rapidement la sortie à laquelle il doit habiter, l’alcool, c’est aussi avec modération qu’il faut savoir en boire.
On va croire que je vais conduire bourrée, on se trompe, à part la première rasade, les suivantes comme mes pensées étaient virtuelles.
• Bonsoir ma fille, avez-vous mangé ?
J'ai fait laisser une casserole de soupe pour vous, après m'avoir téléphoné que vous étiez sur la route de votre retour !
Sœur Marie de la Sainte Trinité, au nom de notre couvent, je vous présente toutes mes condoléances pour le décès de votre mère.
• Merci pour ces condoléances, ma mère, et merci aussi pour ce repas, mais je me suis arrêtée pour remplir le réservoir et j’ai mangé un sandwich.
Je vais rejoindre ma cellule et prier avant de dormir, la route m’ayant fatigué.
• Je vous ai vu par ma fenêtre à votre arrivée, vous avez déchargé un prie-Dieu avec le sac de vos affaires !
Vous l’avez récupéré chez votre maman, paix à son âme, elle devait être très pieuse !
• Oui, c’est l’héritage que maman m’a laissé, je vais en prendre soin.
Il m’attend, je dois trouver comment marche le mécanisme qui doit être du même type que celui de l’accoudoir que j’ai refermé après avoir récupéré la lettre testamentaire de maman.
Seule, cinq minutes me suffisent pour voir apparaitre un bon nombre de billets, principalement de 100 et 200 €.
C’est sur mon lit que je compte un à un les billets.
Bien aligné, il y en a pour 382 400 €, autant dire une vraie fortune pour quelqu’un comme moi n’ayant jamais eu d’argent personnel, surtout avec le peu de dépenses que j’ai ici en vie commune.
Mais une somme bien désuète pour celle qui s’est servie de son corps pour amasser cet argent.
Combien de bites, a-t-elle pu voir ?
Combien de bites, a-t-elle été obligée de sucer, lorsqu’elle leur faisait des fellations, comme moi, je l’ai faite à Tonton Bonbon ?
Combien d’entre elles sont entrées dans son corps pour satisfaire ses clients et combien d’entre elles à celui qui se disait mon père ?
Par chance, il a crevé !
Sinon, je pense que ce qui est dit, « tu ne tueras point. »
Je suis sûr que, connaissant tout ce qu’elle a dû endurer, de ma cellule de couvent, je passerais dans une cellule de centre pénitentiaire.
Je pourrais en parler à la mère supérieure, mais j’ignore pourquoi, je remets tout en place et me servant de mon prie-Dieu, je fais mes prières du soir avant de me coucher sagement.
Sagement, c'est un grand mot, le cerveau, lui, semble ne jamais se reposer.
Je cours nue dans une piscine, non vers une piscine, mais chaque fois que je l’atteins il n’y a pas d’eau et je reviens à mon point de départ.
Je me réveille, du moins je somnole, étant en eau, comme si tout mon corps avait absorbé l’eau de cette piscine.
C’est la cloche du réveil qui me fait reprendre pied sur terre.
Je dois me réhabituer aux rites et coutumes de notre couvent.
Pendant la prière du matin, j’ai des nausées que j’arrive à contenir, je dois reconnaitre que je m’interroge, surtout que je suis à jeun, nous allons déjeuner après.
• Ma fille, je vous ai fait appeler, car je vous ai observé.
Prenez ce stylo, allez dans mes toilettes et pissez dessus.
• Pardon ma mère, je dois pisser, comme vous dites sur ce stylo, pouvez-vous m’expliquer ?
• Vous urinez et je vous dirai pourquoi.
Éviter de contredire mes ordres, je crois la situation déjà assez préoccupante !
Lorsque la mère supérieure vous donne un ordre, même s’il vous parait stupide, vous vous exécutez et vous revenez pour voir pourquoi vous avez pissé sur ce stylo.
Elle le prend en main, semble atteindre un certain temps qui me parait une éternité.
• Sœur Marie de la Sainte Trinité, vous êtes enceinte, regardez deux barres sur ce petit lecteur.
• Enceinte, c’est impossible, il y a quelques années que je n’ai pu mes règles, du peu que j’en sais, c’est impossible que je sois comme vous dite enceinte, c’est de simples nausées.
Ma mère, pourquoi pensez-vous que j’attendrais un enfant, vous avez été mère ?
• Je vais vous surprendre, mais oui !
Il y a des années, j'ai mis au monde un garçon.
Pour ma famille, c'était une catastrophe, la fille du comte et de la comtesse ayant été engrossée par un vulgaire jardinier au service de mes parents.
J’ai dû abandonner mes espoirs de grand mariage, car j’ai accouché, ils m’ont enlevé mon fils sans que je le voie et direction le couvent, sans que j’aie mon mot à dire.
• Et le beau jardinier, vous savez ce qu’il est devenu !
• Je vous fais confiance, ma fille, je le vois régulièrement, vous le voyez régulièrement et vous lui racontez toutes vos turpitudes en confession.
• Ma mère, de qui pouvez-vous parler ?
Du vieux curé François, celui qui me confesse chaque semaine ?
C’est incroyable et vous continuez à faire l’amour avec lui !
• Ma fille, vous êtes jeune, lui est vieux
À cette heure, vous verrez avec le temps qu’un homme, même s’il continue à vous aimer, a bien du mal à tendre ce que vous avez dû accepter en vous sans protection.
J’ai pris la pilule quelques années avant de prendre quelques jours pour redevenir Gisèle Duroc, mon nom avant de devenir sœur Michèle et pouvoir me faire poser un stérilet.
Sous mon nom de jeune fille, ça a évité les surprises du genre de celle que je viens de découvrir pour vous, ma fille.
Et d’éviter que le praticien ne s’interroge pourquoi une nonne venait se faire poser un stérilet.
Soit, vous gardez l’enfant, nous vous isolons jusqu’à sa naissance et il sera confié à l’assistance publique.
Une femme l’adoptera et l’élèvera comme si c’était le sien.
Où vous quittez notre couvent avant que cette future naissance soit impossible à cacher.
J’espère pour vous, une chose simple, vous savez avec quel garçon vous l’avez conçu et qu’il accepte de l’élever avec vous en vous épousant.
Votre mère est, hélas, décédée alors qu’elle était très pieuse, contrairement à moi qui n’ai pas eu le choix, vous pouvez choisir la suite de votre vie.
J’en parle à l’évêque et vous retournerez vivre votre vie, séparée définitivement de notre seigneur, du moins en restant dans notre couvent.
Je n’ai pas de conseil à vous donner, mais ça fait une vingtaine d’années qu’avec notre bon curé, nous regrettons de ne pas avoir dit les cinq lettres à mes parents.
Vous avez quelques jours, je vais vous conduire à Lisieux pour faire une échographie pour confirmer votre grossesse et après, vous me direz quelle situation vous envisagez.
Un instant, je me dis que les voix du seigneur sont impénétrables.
Dire que sur l’autoroute, j’hésitais à faire demi-tour…
• Ma sœur, on est passé très près, je vous ai vu dans mes rétros.
Venez dans ma camionnette, j’ai une bouteille de gnôle, on va se remettre de nos émotions.
J’en étais là de mon voyage de retour, venant d’éviter miraculeusement une mort possible si toutes les voitures s’étant arrêtées en urgence ayant toutes cartonnées.
Comme, hélas, les premières, là où j’ai vu un homme, qui, je le pense, est décédé.
Sur l'aire suivante, je m’arrête, l’accoudoir de mon prie-Dieu dans le freinage, ayant lâché un papier ayant roulé sous le tableau de bord.
Je contourne ma voiture, je lis la lettre, c’est maman qui me fait savoir qu’elle a caché de l’argent là où l’on repose les genoux.
Les économies de toute sa vie de putain, lorsqu’elle satisfaisait les désirs des hommes.
Je suis sœur Marie, grâce à ce voile, mais je suis aussi une putain à cause de l’enveloppe que Jade a mise dans mon sac à main, m’ayant servie lorsque je sortais en femme fatale dans Carmaux.
La camionnette, celle que le très haut m’a fait éviter, la camionnette d’où un homme descend le tablier, certainement de boucher maculé de taches de sang.
• Ma sœur, cette proposition est parfaitement honnête, je vois que vous êtes toute pâle, vous n’allez pas…
Je suis à deux doigts de tourner de l’œil, mais c’est mon estomac qui se vide, une fusée partant sur les chaussures du boucher.
• Venez, j’avais raison, n’ayez pas de craintes pour mes chaussures, je vais aller en changer, j’en ai dans l’arrière de la camionnette et enlever ce tablier.
Je suis parti précipitamment du marché de Châteauroux pour rentrer à Villedieu-sur-Indre où j’ai mon laboratoire et ma boutique.
Il me conduit à l’avant de sa camionnette et continue sur l’arrière.
Je l’entends avant de revenir en pantalon et en chemise, avec des chaussures propres aux pieds.
Il a dans la main une bouteille et deux gobelets en carton.
Ma main se porte comme par magie sur sa braguette…
Vous aimeriez bien que sœur Marie, malgré sa coiffe, redevienne Marie la salope !
Bien que je doive reconnaitre que je regarde la bosse de son pantalon au niveau de son sexe, je reste celle que j’aurais toujours dû être.
• Ma sœur, j’ai bien travaillé aujourd’hui à votre regard, je sens la pute en vous, 50 € pour me sucer la queue, je sens que vous êtes une gourmande.
Encore gouré, c’est ce que là encore, je pense, mon cerveau semblant mélanger sainteté et prostitution scabreuse.
Le boucher, je ne connais même pas son nom, verse deux rasades de gnôle et repose la bouteille à ses pieds.
C’est raide, mais ça parait me remettre les idées en place.
• Oui, vas-y, réalise ton fantasme de baiser une bonne sœur, tous les hommes ont ce fantasme, je trouve ça normal et jouissif.
Oui, la robe de nonne, dommage qu’elle ne s’ouvre pas sur le devant, je t’aurais montré mes seins.
Oui, une nonne a une chatte, des seins et même un cul que Claude, mon puceau et Charles, son père, ont allègrement bourré.
Là encore, malgré le peu d’alcool aidant, je me remémore les moments où j’étais une véritable chienne.
Hélas, trois fois, hélas, c’est difficile de revivre ce que l’on a vécu, surtout lorsque l’on a décidé de redevenir une sainte femme fidèle au fils de Dieu qu’elle vénère.
• Une autre petite lichette, reconnais que ça fait du bien.
• Bien sûr, une autre petite lichette, dis-moi le boucher, es-tu marié ?
Oui, tu veux que je bouffe la chatte de ta femelle.
On m’a dit que j’étais la meilleure religieuse de France, voire plus pour bouffer les culs des nanas.
J’énumère mes fantasmes sans bien entendu pouvoir les réaliser.
Tout est dans ma tête, seulement dans ma tête.
À mon côté, le gars, ni trop beau ni trop laid, s’il savait à quoi je pense, me saute dessus jusqu’au point où j’aimerais qu’il me viole.
Et dire que je retourne m’enfermer dans mon couvent.
• Je vous laisse et je vous remercie pour cet alcool bu avec modération.
Je vais continuer ma route, j’ai encore de nombreux kilomètres à parcourir.
Rater, côté sexe, même pour une dernière avant mon enfermement.
Je reprends le volant et me voilà repartie.
Au moment où je redémarre, dans mon rétro, je vois le boucher se resservir une énième rasade d’alcool.
Certainement, le prochain mort sur cette autoroute, même si je vois rapidement la sortie à laquelle il doit habiter, l’alcool, c’est aussi avec modération qu’il faut savoir en boire.
On va croire que je vais conduire bourrée, on se trompe, à part la première rasade, les suivantes comme mes pensées étaient virtuelles.
• Bonsoir ma fille, avez-vous mangé ?
J'ai fait laisser une casserole de soupe pour vous, après m'avoir téléphoné que vous étiez sur la route de votre retour !
Sœur Marie de la Sainte Trinité, au nom de notre couvent, je vous présente toutes mes condoléances pour le décès de votre mère.
• Merci pour ces condoléances, ma mère, et merci aussi pour ce repas, mais je me suis arrêtée pour remplir le réservoir et j’ai mangé un sandwich.
Je vais rejoindre ma cellule et prier avant de dormir, la route m’ayant fatigué.
• Je vous ai vu par ma fenêtre à votre arrivée, vous avez déchargé un prie-Dieu avec le sac de vos affaires !
Vous l’avez récupéré chez votre maman, paix à son âme, elle devait être très pieuse !
• Oui, c’est l’héritage que maman m’a laissé, je vais en prendre soin.
Il m’attend, je dois trouver comment marche le mécanisme qui doit être du même type que celui de l’accoudoir que j’ai refermé après avoir récupéré la lettre testamentaire de maman.
Seule, cinq minutes me suffisent pour voir apparaitre un bon nombre de billets, principalement de 100 et 200 €.
C’est sur mon lit que je compte un à un les billets.
Bien aligné, il y en a pour 382 400 €, autant dire une vraie fortune pour quelqu’un comme moi n’ayant jamais eu d’argent personnel, surtout avec le peu de dépenses que j’ai ici en vie commune.
Mais une somme bien désuète pour celle qui s’est servie de son corps pour amasser cet argent.
Combien de bites, a-t-elle pu voir ?
Combien de bites, a-t-elle été obligée de sucer, lorsqu’elle leur faisait des fellations, comme moi, je l’ai faite à Tonton Bonbon ?
Combien d’entre elles sont entrées dans son corps pour satisfaire ses clients et combien d’entre elles à celui qui se disait mon père ?
Par chance, il a crevé !
Sinon, je pense que ce qui est dit, « tu ne tueras point. »
Je suis sûr que, connaissant tout ce qu’elle a dû endurer, de ma cellule de couvent, je passerais dans une cellule de centre pénitentiaire.
Je pourrais en parler à la mère supérieure, mais j’ignore pourquoi, je remets tout en place et me servant de mon prie-Dieu, je fais mes prières du soir avant de me coucher sagement.
Sagement, c'est un grand mot, le cerveau, lui, semble ne jamais se reposer.
Je cours nue dans une piscine, non vers une piscine, mais chaque fois que je l’atteins il n’y a pas d’eau et je reviens à mon point de départ.
Je me réveille, du moins je somnole, étant en eau, comme si tout mon corps avait absorbé l’eau de cette piscine.
C’est la cloche du réveil qui me fait reprendre pied sur terre.
Je dois me réhabituer aux rites et coutumes de notre couvent.
Pendant la prière du matin, j’ai des nausées que j’arrive à contenir, je dois reconnaitre que je m’interroge, surtout que je suis à jeun, nous allons déjeuner après.
• Ma fille, je vous ai fait appeler, car je vous ai observé.
Prenez ce stylo, allez dans mes toilettes et pissez dessus.
• Pardon ma mère, je dois pisser, comme vous dites sur ce stylo, pouvez-vous m’expliquer ?
• Vous urinez et je vous dirai pourquoi.
Éviter de contredire mes ordres, je crois la situation déjà assez préoccupante !
Lorsque la mère supérieure vous donne un ordre, même s’il vous parait stupide, vous vous exécutez et vous revenez pour voir pourquoi vous avez pissé sur ce stylo.
Elle le prend en main, semble atteindre un certain temps qui me parait une éternité.
• Sœur Marie de la Sainte Trinité, vous êtes enceinte, regardez deux barres sur ce petit lecteur.
• Enceinte, c’est impossible, il y a quelques années que je n’ai pu mes règles, du peu que j’en sais, c’est impossible que je sois comme vous dite enceinte, c’est de simples nausées.
Ma mère, pourquoi pensez-vous que j’attendrais un enfant, vous avez été mère ?
• Je vais vous surprendre, mais oui !
Il y a des années, j'ai mis au monde un garçon.
Pour ma famille, c'était une catastrophe, la fille du comte et de la comtesse ayant été engrossée par un vulgaire jardinier au service de mes parents.
J’ai dû abandonner mes espoirs de grand mariage, car j’ai accouché, ils m’ont enlevé mon fils sans que je le voie et direction le couvent, sans que j’aie mon mot à dire.
• Et le beau jardinier, vous savez ce qu’il est devenu !
• Je vous fais confiance, ma fille, je le vois régulièrement, vous le voyez régulièrement et vous lui racontez toutes vos turpitudes en confession.
• Ma mère, de qui pouvez-vous parler ?
Du vieux curé François, celui qui me confesse chaque semaine ?
C’est incroyable et vous continuez à faire l’amour avec lui !
• Ma fille, vous êtes jeune, lui est vieux
À cette heure, vous verrez avec le temps qu’un homme, même s’il continue à vous aimer, a bien du mal à tendre ce que vous avez dû accepter en vous sans protection.
J’ai pris la pilule quelques années avant de prendre quelques jours pour redevenir Gisèle Duroc, mon nom avant de devenir sœur Michèle et pouvoir me faire poser un stérilet.
Sous mon nom de jeune fille, ça a évité les surprises du genre de celle que je viens de découvrir pour vous, ma fille.
Et d’éviter que le praticien ne s’interroge pourquoi une nonne venait se faire poser un stérilet.
Soit, vous gardez l’enfant, nous vous isolons jusqu’à sa naissance et il sera confié à l’assistance publique.
Une femme l’adoptera et l’élèvera comme si c’était le sien.
Où vous quittez notre couvent avant que cette future naissance soit impossible à cacher.
J’espère pour vous, une chose simple, vous savez avec quel garçon vous l’avez conçu et qu’il accepte de l’élever avec vous en vous épousant.
Votre mère est, hélas, décédée alors qu’elle était très pieuse, contrairement à moi qui n’ai pas eu le choix, vous pouvez choisir la suite de votre vie.
J’en parle à l’évêque et vous retournerez vivre votre vie, séparée définitivement de notre seigneur, du moins en restant dans notre couvent.
Je n’ai pas de conseil à vous donner, mais ça fait une vingtaine d’années qu’avec notre bon curé, nous regrettons de ne pas avoir dit les cinq lettres à mes parents.
Vous avez quelques jours, je vais vous conduire à Lisieux pour faire une échographie pour confirmer votre grossesse et après, vous me direz quelle situation vous envisagez.
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