COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (26/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (26/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (26/32)
(XXVI peut être la fin !)

Un instant, je me dis que les voix du seigneur sont impénétrables.
Dire que sur l’autoroute, j’hésitais à faire demi-tour.
Pendant quelques jours après que la gynécologue que notre mère supérieure m’a emmenée voir ayant confirmé que la soirée dans la piscine avait eu les conséquences que notre mère supérieure avait décelées suite à mes fréquents vomissements.
J’ai appris que certaines femmes pensantes ne plus avoir de règle avaient tout de même des ovulations les rendant aptes à procréer, c’est ce qui devait être mon cas.

À l’intérieur du couvent, les amours entre nonnes vont toujours bon train, surtout dans la cellule voisine, celle de Marguerite des Anges et sœur Hortense de l’enfant Jésus.
Enfin cellule de la première rejointe presque toutes les nuits par la seconde et qui maintenant que j’ai découvert bien des choses assure que je ne me trompe pas en parlant de lesbiennes.
Après ce que j’aie fait avec Sophie et aussi Jade, je suis à deux doigts d’aller frapper à leur porte et de participer à leurs jeux.
Mais je vais être mère et surtout j’étais certaine que je voulais le garder.
Je l’ai déjà dit, les voies du seigneur sont impénétrables et ce serait aller contre sa volonté que de pratiquer une interruption volontaire de grossesse.

• Marie, il est temps de partir, ton ventre s’arrondit en cette fin du mois d’octobre, il va être temps que tu prennes ton envol, nous étions d’accord de cacher aux autres sœurs, ton état !
Tu vas pouvoir prendre la 4L qui ne sert plus au couvent, j’ai parlé à nos instances, le nécessaire sera fait au niveau de la carte grise.
Ça, c’est pour la partie matérielle des choses, je voudrais te remercier, car lors de nos discussions ces temps derniers, tu m’as montré deux choses.
La première, c’est qu’il est dommage que tu partes, parce que tu aurais été nommé mère supérieure de ce couvent, notre évêque t’avait mise en tête de liste.
Dommage, parce que la deuxième chose, c’est que le père François lui a donné sa démission et vivra en défroquer avec moi qui ai démissionné aussi.
L’église nous fait cadeau d’un vieux presbytère en Bourgogne où nous pourrons finir nos jours ensemble, dommage que j’ignore où est notre fils, nous aurions pu finir nos jours en famille.
• Et qui va vous remplacer ma mère, puisque moi comme vous vous partez.
• Je sais que tu garderas le secret ma fille, c’est sœur Marguerite des Anges qui va prendre ma place.
Je sais que c’est une lesbienne qui se retrouve tous les soirs dans les bras d’Hortense de l’enfant Jésus.
À part toi avant ton voyage avec comme conséquence la mort de ta maman et ce que tu nous as ramenés.
Si je te disais toutes les turpitudes que tu peux découvrir au fil du temps de cette fonction, tu serais étonnée de ce que je sais.
Il en va de même avec le père François qui bien souvent me raconte ce que vous lui confiiez en confession.
• Je croyais que le secret de la confession s’était sacré pour les prêtes !
• Et de baiser la mère supérieure d’un couvent crois-tu que c’est mieux pour notre âme ?
François et moi savons que nous finirons dans les flammes de l’enfer, mais depuis que nous nous sommes retrouvés, du moment que nous sommes ensemble, nous nous fichons qu’elles viennent nous brûler.
Ça ne se fait pas entre sœurs, mais j’aimerais si tu es d’accord te serrer dans mes bras et t’embrasser.

Nous nous étreignons, il est tôt ce matin lorsque ayant remplacé mes vêtements de nonne en vêtements civils, ceux que j’avais achetés avec Jade, du moins dans sa ville de Carmaux, je tourne la clef de contact.
À moi une nouvelle vie, qui va être facilitée par les billets qui sont dans mon sac, justement à la place de ces affaires, n’est-ce pas là la partie principale de mon héritage ?
Mon prie-Dieu, je l’ai offert à ma mère supérieure, même si dans peu de temps, elle aussi va quitter notre couvent.
Je laisse mon voile, ma robe de nonne et tout ce qui va avec comme mon alliance au fils de Dieu.
Je garde simplement ma croix au bout de sa corde de pendu, seul souvenir physique de toutes ces années de couvent.

• Bonjour, madame, ce serait pour un changement de coiffure, je démarre une nouvelle vie et je voudrais que ma tête change aussi.

Une place devant ce salon de coiffure, me donne l’idée de ce changement de tête, c’est une nouvelle Marie qui en sort avec toujours ma crinière rouge, mais coupée moderne.
Au couvent notre voile nous cachant nos cheveux la coquetterie et nous ça faisait deux.

• Bonjour monsieur, je voudrais acheter un portable, qu’avez-vous à me proposer ?
• Quel budget disposez-vous, il y en a à tous les prix.

Je repars avec un portable, je peux même regarder la télé, j’ignorais que cela existait et un contrat avec des millions de, je ne sais pas quoi !

• Bonjour madame, je voudrais une valise à roulette, j’aime le rouge…

Je ressors avec une valise que je mets sur le siège arrière.

• Bonjour mademoiselle, je suis passée dans votre vitrine et j’ai vu des sous-vêtements affriolants, surtout des soutiens-gorge montrant une partie des seins…

Soutiens-gorge, petites culottes et paires de bas avec porte-jarretelles, j’ai eu envie de devenir encore plus femme.

• Bonjour madame, je voudrais refaire ma garde-robe, qu’avez-vous à me proposer…

Là encore, j’en ressors habillée avec trois robes dont une petite moulante que j’ai gardée sur moi, mais aussi un manteau, car fin octobre, je commençais à me cailler.

• Bonjour monsieur…

Ah non, là, je suis à la station d’essence, pour faire le plein, personne pour me servir.
Bref tout en liquide, j’ai bien une idée pour mettre mon argent sur le compte que j’ai ouvert auprès de Magalie à la mort de maman.
La route du sud, mais directement par l’autoroute, c’est ça lorsque l’on a les moyens.
Je fais très attention dans cet après-midi d’automne de la circulation et des risques d’accidents comme ce fut le cas il y a quelques semaines lorsque je suis rentrée de Carmaux.
Je découvre la France et surtout les forêts que je traverse, flamboyante de toutes les couleurs de l’automne.
« Châteauroux 25 »
« Villedieu-sur-Indre 12 »
Ce sont les panneaux que je vois, ça me rappelle que c’est dans cette ville de Villedieu-sur-Indre, c’est là qu’habite le boucher avec qui j’ai bu un fond de gnole après avoir évité un carambolage.
Il est impossible que je fasse un direct Carmaux, surtout que la nuit va tomber très vite et que la conduite de nuit, je crains.
À Villedieu-sur-Indre je quitte l’autoroute et je rejoins le village.
« Boucherie Sanso. »
Je vois mon boucher ayant remis son tablier attaché sur l’épaule qui aiguise un grand couteau avant de trancher de la viande posée sur une table de bois.
Une femme est avec lui, la trentaine et il est en train de lui tailler une bavette dans ce grand morceau de ce qui doit être du bœuf.
Il pèse, met la viande dans un paquet, se rapproche de la femme et lui met le paquet dans son cabas.
Elle paye et elle sort, je la vois passer, elle me regarde et poursuis son chemin.
Par chance à côté, il y a ce que je cherche.
« Hôtel - Café-Restaurant chez Jojo »
Je descends, j’entre, là ou pour l’hôte, est marqué « Réception. »
Une femme me donne la clef de la chambre 4 donnant sur l’arrière je serais au calme.
Repas 20 heures dans la salle près de cette réception.
Je monte mes bagages, il est 17 heures 30 lorsque je m’installe sur mon lit.
Je prends mon portable, modèle avec écran, chose nouvelle pour moi.
Je découvre la portée de cet engin, j’arrive même à mettre le code wi-fi de l’hôtel que la dame m’a donné avec ma clef.
Il est rapidement 20 heures, je fais un brin de toilette, il va falloir que j’achète du maquillage, j’aurais dû y penser lors de mes diverses emplettes.
Chose bien nouvelle pour moi, je prends mon sac à main, mouvement de femme classique, mais bien différente pour moi.
J’entre dans la salle, la dame de la réception est là, la cinquantaine.

• Louise, place mademoiselle à la 3, elle pourra regarder la télé !

La 3 je veux bien, même si je viens, sans le vouloir, de quitter une institution ou bien des choses nous échappaient, même si nous n’étions pas intégralement coupés du monde.
Il faut dire, que personnellement, j’ai été peu intéressé par la politique comme bon nombre de bons français.
Je compte sur ma nouvelle liberté surtout sur les horaires et mon portable pour trouver des réponses à des questions que je serais amenée à me poser.
Au bar, trois hommes avec certainement Jojo le patron, son au petit blanc et parle de la prochaine chasse qu’ils vont mener dimanche.
J’entends 75 à 80 % de leurs propos, il semblerait qu’un 12 cors pose des problèmes dans la région de la petite faille.
Un exemple de mon incurie, « un, 12 corps » j’ignore de quoi ces jeunes hommes parlent !
Certes d’un animal sauvage, mais qu’est-ce que son corps à voir là-dedans.

• Salue les gars, ouf la journée est terminée, Jojo met nous une tournée, quatre blancs, j’ai une soif.
• Tu as l’air bien joyeux, Paulette est passée !
• Arrêtez les mecs, ça pourrait revenir aux oreilles de Lucien que sa femme a la cuisse légère.
• Lucien, à l’autre bout de l’Europe dans son 40 tonnes, depuis qu’il est cocu, on peut penser qu’il est sourd.
Oh ! pardon…

Dans une grande glace, je vois Jojo faire à signe au boucher que je suis là, en entrant il n’avait pas dû me voir.
Ils se mettent à boire, un ton trop bas, mais les verres aident, de nouveau, malgré la télé, je me remets à entendre.

• Loulou, Paulette, elle te kiffe depuis qu’elle sait que tu as sauté une bonne sœur sur l’aire de repos de la Gloriette en revenant du marché de Châteauroux.
Elle renifle le mâle dominant comme notre 12 cors que nous allons traquer dimanche.
Allez, c’est ma tournée…
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