COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (27/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (27/32)
(XXVII, en chiffre romain, je ne suis pas certain que cela s’écrive de cette manière alors qu’un I majuscule aurait suffi si Marie était restée une enfant sage.)
Il s’en passe de drôle dans nos campagnes lorsqu’une ancienne nonne comme moi s’arrête sur une aire d’autoroute, accepte un petit verre, de plus en carton, et finit par être la pute du village suivant.
Loulou, a dû se vanter de m’avoir sauté, ce qu’il est sûr, c’est que sans ma coiffe et ma robe de bure, il n’a pas remarqué que j’étais à une table non loin d’eux.
Je suis à deux doigts de me lever, d’aller jusqu’à eux et de mettre une grande baffe dans la tronche de ce malotru ayant pris sa vessie pour une lanterne.
Même si je dois reconnaitre que j’ai eu des pensées salaces en pensant à la bite du boucher Loulou.
• Puisque tu es le bourreau des cœurs de notre petite ville, Loulou, regarde derrière toi la jolie rouquine qui mange seule ce soir.
Va la voir et fait nous voir comment tu t’y prends pour les séduire, elle doit être aussi appétissante, voire plus, que ta nonne.
Je pense que la situation devient intéressante, je ravale ma rancœur pour voir comment celui que j’ai du mal à appeler autrement que « mon boucher » va se sortir de la panade dans laquelle il s’est mis tout seul comme un grand.
• Bonsoir mademoiselle, excusez-moi de vous importuner pendant votre repas.
• Oui, jeune homme, vous m’importunez, surtout après le divin pâté de campagne maison que je viens de déguster.
Notamment qu’en plat de résistance, il y a des endives aux jambons du pays, sauce Béchamel dont on m’a vanté le plaisir à les déguster.
• Celui qui vous a dit ça, ne vous a pas trompé, dès notre apéro terminé avec mes copains chasseurs, nous allons, nous aussi, les déguster.
• Asseyez-vous, nous avons à parler !
• Que je m’assoie, mais j’étais seulement près de vous présenter mes hommages à votre beauté.
Loulou écarte la chaise en face de moi et s’assied.
Dans la glace, simplement la tronche des trois autres vaut son pesant de cacahouètes.
Uniquement par la tête qu’ils me montrent, mon escale à Villedieu-sur-Indre est déjà couronnée de succès.
• Loulou, dis-moi, qu’est-ce qu’un 12 corps ?
• Pardon, comment vous savez qu’ici les gens m’appellent Loulou ?
• Depuis que tu es entrée, Loulou, ils parlent en te donnant ce qui doit être un surnom.
• Oui, c’est Louis, mais ici, j’ai toujours été Loulou.
• Loulou le boucher, car pour moi, tu es « le boucher. »
Parle-moi de Paulette, c’est là chaudasse du village.
• Je parie que tu écris « 12 cors » c.o.r.p.s !
Ces « cors » c.o.r.s, comme les bois d’un cerf qui peuple notre forêt et qui pose un problème, ça nous donne environ l’âge de ce cerf.
Dimanche, nous partons faire une battue pour l’abattre et ainsi réguler le nombre des animaux présent sur notre commune.
C’est le principal travail des chasseurs, la régulation de la faune sauvage.
J’espère que tu n’es pas écolo, parce que eux sont contre cette régulation, pour eux, ça doit être les hommes qu’il faudrait réguler.
Lorsque je parle d’inculture, surtout politique, en voilà un magnifique exemple.
Au monastère, la seule contribution à l’écologie, c’était la culture de nos fruits dans notre verger qui nous servait à faire des bocaux de fruits qui nous rapportaient une grande partie de nos revenus.
• Et Paulette, c’est celle que j’ai vue dans votre boutique lorsque je suis arrivée, si tu la sautes, tu as bon goût, elle est passée près de moi, elle est bonne sous ta verge !
• Mais qui es-tu ?
Tu sembles connaitre bien des choses, tu es déjà venue à Villedieu-sur-Indre, une rousse comme toi, nous te connaitrions, à part des teintes, il n’y en a pas ici, notamment aussi jolie que toi !
• Et si je te demandais si tu as lavé tes chaussures, après que la nonne t’ait dégueulé dessus, tu recentrerais le problème !
• Tu y étais, tu m’as vu avec la bonne sœur et tu sais que je ne l’ai pas baisé, elle est partie avant que je n’aie le temps de passer aux choses sérieuses.
• Je n’ai plus faim, as-tu toujours de ta gnôle, celle que tu m’as fait boire avant que je parte, car j’avais de la route à faire.
• Jojo en a, c’est lui qui me fournit, tu veux que j’en commande ?
• Non, je monte dans ma chambre, numéro 4, rejoins-moi, tu en apprendras un peu plus.
Je me lève et je quitte la salle sous le regard des autres incrédules, nous avons parlé assez bas pour qu’ils n’entendent pas que je viens d’inviter un homme dans ma chambre.
On frappe, je me suis mise nue, je veux me venger de ce garçon disant à ses copains m’avoir baisé pendant mon absence.
• Entre Loulou, moi, c’est Marie.
• J’ai la geôle et deux verres à dégustation, c’est mieux que les gobelets en carton.
Je sais qui tu es, la sœur de ma bonne sœur, elle t’a dit ce qui s’est réellement passé et tu te moques de moi qui ai voulu passer pour le coq de notre village.
• Pense ce que tu veux, Loulou, je viens de faire de toi le héros de Villedieu-sur-Indre, après mon départ.
En attendant pose cette bouteille et sers-nous deux verres.
Il pose les verres sur la table, ouvre la bouteille et nous sert deux verres que nous buvons cul sec.
J’ai déjà bu trois à quatre fois la dose bue il y a quelques mois non loin d’ici, direction Tours avant Lisieux.
• En attendant, fais-nous voir ce que tu as à m’offrir, à oui ces vrais, je l’ai déjà vue, je devrais la connaître !
• Marie, si tu t’appelles précisément Marie, je reconnais être un moins que rien, mais lorsque j’étais enfant, tous se foutaient du gros fus.
Après bien des efforts et la reprise de la boutique de mes parents, ils m’appellent Loulou, car comme je te l’ai dit, c’est Louis.
• C’est très bien de confesser ses fautes, je le faisais moi aussi auprès du père François, celui qui sautait la supérieure de notre couvent.
C’est un peu pour ça que je l’ai quitté et que je me suis arrêtée ici.
Je me garde bien de lui dire que je suis enceinte, mon ventre peut encore passer pour un léger embonpoint.
• Attends, je nous remets deux verres !
Il les remet et nous les buvons cul sec de nouveau, je sens la biture venir, mais je veux lutter à armes égales avec « le boucher » tombeur de ces dames.
Je repose le verre sur la table, prêt pour un troisième round, mais préalablement, je défais sa ceinture de pantalon, ce dernier tombant au sol.
La bosse de son boxer semble fort intéressante, je commence à être un peu saoul, mais je le descends libérant un truc étrange.
Non pas qu’il bande, mais que sa bite a un gland immensément gros comparé à la verge qui la porte.
Rien de comparable au peu que j’en ai vu, ça ne me rebute pas, au contraire, un peu de diversité est loin de me rebuter.
Loulou me prend par l’arrière de ma tête et sans trop appuyer, me conduit au niveau de son sexe.
Sur mon prie-Dieu, anciennement chez maman, j’ai sucé Tonton bonbon, je sais ce que mon affabulateur veut de moi.
J’ouvre la bouche, je la prends dans ma main et fais entrer, avec un peu de difficulté, ce gland faramineux.
• Oui, suce belle salope, tient, bois un coup en même temps.
Il a dû prendre la bouteille et faire couler un peu de liquide sur sa verge.
Je quitte le gland pour en récupérer le maxi avec ma langue qui se promène tout au long de ce pieu ayant de plus en plus l’envie qu’il me défonce.
J’arrive à en récupérer le maximum, mais un peu de liquide tombe sur la moquette.
• Viens, ce coup-ci, même si je ne suis plus nonne, tu pourras au moins te vanter d’avoir baisé une rousse flamboyante.
Je me couche sur le lit, il me rejoint ayant posé la bouteille et commence à me lécher la chatte, comme moi, je le faisais avec sa verge.
• C’est bien, mais as-tu prévu les capotes ?
Ma copine au couvent m’a dit que nous devions toujours baiser avec capote, même si tu as l’air d’être un garçon sain et non pas saint, ceux que nous disions « tous les saints du paradis. »
• Eh ! Eh ! Loulou, il a tout prévu, il prévoit toujours tout, attend, j’en ai dans la poche de mon pantalon, il faut toujours penser qu’il va y avoir une belle…
• Dis-le, mon gros Loulou, une salope, une belle salope comme moi ou Paulette à baiser.
• Laisse Paulette, à cette heure, elle doit se faire sauter par son mari.
Paulette, elle baise avec qui veut d’elle depuis le collège, mais, je sais qu’elle aime profondément son homme.
Lui aussi, surtout avec cinq gosses à élever, le premier, elle l’a pondue à 16 ans, il l’a épousée alors que sur les cinq, il n’est pas certain qu’aucun ne soit de lui.
Il aime sa femme autant que ces gosses, je pense qu’il ferme les yeux ou qu’il est con comme un balai.
• Avant de mettre ta capote et de me baiser, sers-nous un verre !
Avant la première bite, qu’il me met, je suis passablement éméchée, mais lui se trouve en pleine forme.
Un petit verre et ça repart, droit au but, son gland écarte ma chatte bouillonnante.
Je suis chaude comme la braise, il me pilonne et me conduit au plaisir, à mon plaisir sans prendre le sien.
A-t-il compris que je suis sexuellement moi aussi, une véritable morte de faim après ces années où le sexe et moi ça faisait deux.
• Bon, je vais te laisser et aller me coucher, demain, on me livre une moitié de veau, il va falloir que je me lève de bonne heure.
Je vois ça d’un tout autre œil, nous buvons un coup, la gnôle descend dans la bouteille, mais comme lui n’a pas déchargé me montrant une forme incroyable, je me mets en levrette.
• Oui, j’adore la levrette, après, tu te mettras sur moi, j’adore lorsque la femme me chevauche, je vais plus loin en vous.
Heureusement qu’il y a la gnôle pour me maintenir en forme, je sens que Loulou va m’épuiser, mais quel doux épuisement…
Il s’en passe de drôle dans nos campagnes lorsqu’une ancienne nonne comme moi s’arrête sur une aire d’autoroute, accepte un petit verre, de plus en carton, et finit par être la pute du village suivant.
Loulou, a dû se vanter de m’avoir sauté, ce qu’il est sûr, c’est que sans ma coiffe et ma robe de bure, il n’a pas remarqué que j’étais à une table non loin d’eux.
Je suis à deux doigts de me lever, d’aller jusqu’à eux et de mettre une grande baffe dans la tronche de ce malotru ayant pris sa vessie pour une lanterne.
Même si je dois reconnaitre que j’ai eu des pensées salaces en pensant à la bite du boucher Loulou.
• Puisque tu es le bourreau des cœurs de notre petite ville, Loulou, regarde derrière toi la jolie rouquine qui mange seule ce soir.
Va la voir et fait nous voir comment tu t’y prends pour les séduire, elle doit être aussi appétissante, voire plus, que ta nonne.
Je pense que la situation devient intéressante, je ravale ma rancœur pour voir comment celui que j’ai du mal à appeler autrement que « mon boucher » va se sortir de la panade dans laquelle il s’est mis tout seul comme un grand.
• Bonsoir mademoiselle, excusez-moi de vous importuner pendant votre repas.
• Oui, jeune homme, vous m’importunez, surtout après le divin pâté de campagne maison que je viens de déguster.
Notamment qu’en plat de résistance, il y a des endives aux jambons du pays, sauce Béchamel dont on m’a vanté le plaisir à les déguster.
• Celui qui vous a dit ça, ne vous a pas trompé, dès notre apéro terminé avec mes copains chasseurs, nous allons, nous aussi, les déguster.
• Asseyez-vous, nous avons à parler !
• Que je m’assoie, mais j’étais seulement près de vous présenter mes hommages à votre beauté.
Loulou écarte la chaise en face de moi et s’assied.
Dans la glace, simplement la tronche des trois autres vaut son pesant de cacahouètes.
Uniquement par la tête qu’ils me montrent, mon escale à Villedieu-sur-Indre est déjà couronnée de succès.
• Loulou, dis-moi, qu’est-ce qu’un 12 corps ?
• Pardon, comment vous savez qu’ici les gens m’appellent Loulou ?
• Depuis que tu es entrée, Loulou, ils parlent en te donnant ce qui doit être un surnom.
• Oui, c’est Louis, mais ici, j’ai toujours été Loulou.
• Loulou le boucher, car pour moi, tu es « le boucher. »
Parle-moi de Paulette, c’est là chaudasse du village.
• Je parie que tu écris « 12 cors » c.o.r.p.s !
Ces « cors » c.o.r.s, comme les bois d’un cerf qui peuple notre forêt et qui pose un problème, ça nous donne environ l’âge de ce cerf.
Dimanche, nous partons faire une battue pour l’abattre et ainsi réguler le nombre des animaux présent sur notre commune.
C’est le principal travail des chasseurs, la régulation de la faune sauvage.
J’espère que tu n’es pas écolo, parce que eux sont contre cette régulation, pour eux, ça doit être les hommes qu’il faudrait réguler.
Lorsque je parle d’inculture, surtout politique, en voilà un magnifique exemple.
Au monastère, la seule contribution à l’écologie, c’était la culture de nos fruits dans notre verger qui nous servait à faire des bocaux de fruits qui nous rapportaient une grande partie de nos revenus.
• Et Paulette, c’est celle que j’ai vue dans votre boutique lorsque je suis arrivée, si tu la sautes, tu as bon goût, elle est passée près de moi, elle est bonne sous ta verge !
• Mais qui es-tu ?
Tu sembles connaitre bien des choses, tu es déjà venue à Villedieu-sur-Indre, une rousse comme toi, nous te connaitrions, à part des teintes, il n’y en a pas ici, notamment aussi jolie que toi !
• Et si je te demandais si tu as lavé tes chaussures, après que la nonne t’ait dégueulé dessus, tu recentrerais le problème !
• Tu y étais, tu m’as vu avec la bonne sœur et tu sais que je ne l’ai pas baisé, elle est partie avant que je n’aie le temps de passer aux choses sérieuses.
• Je n’ai plus faim, as-tu toujours de ta gnôle, celle que tu m’as fait boire avant que je parte, car j’avais de la route à faire.
• Jojo en a, c’est lui qui me fournit, tu veux que j’en commande ?
• Non, je monte dans ma chambre, numéro 4, rejoins-moi, tu en apprendras un peu plus.
Je me lève et je quitte la salle sous le regard des autres incrédules, nous avons parlé assez bas pour qu’ils n’entendent pas que je viens d’inviter un homme dans ma chambre.
On frappe, je me suis mise nue, je veux me venger de ce garçon disant à ses copains m’avoir baisé pendant mon absence.
• Entre Loulou, moi, c’est Marie.
• J’ai la geôle et deux verres à dégustation, c’est mieux que les gobelets en carton.
Je sais qui tu es, la sœur de ma bonne sœur, elle t’a dit ce qui s’est réellement passé et tu te moques de moi qui ai voulu passer pour le coq de notre village.
• Pense ce que tu veux, Loulou, je viens de faire de toi le héros de Villedieu-sur-Indre, après mon départ.
En attendant pose cette bouteille et sers-nous deux verres.
Il pose les verres sur la table, ouvre la bouteille et nous sert deux verres que nous buvons cul sec.
J’ai déjà bu trois à quatre fois la dose bue il y a quelques mois non loin d’ici, direction Tours avant Lisieux.
• En attendant, fais-nous voir ce que tu as à m’offrir, à oui ces vrais, je l’ai déjà vue, je devrais la connaître !
• Marie, si tu t’appelles précisément Marie, je reconnais être un moins que rien, mais lorsque j’étais enfant, tous se foutaient du gros fus.
Après bien des efforts et la reprise de la boutique de mes parents, ils m’appellent Loulou, car comme je te l’ai dit, c’est Louis.
• C’est très bien de confesser ses fautes, je le faisais moi aussi auprès du père François, celui qui sautait la supérieure de notre couvent.
C’est un peu pour ça que je l’ai quitté et que je me suis arrêtée ici.
Je me garde bien de lui dire que je suis enceinte, mon ventre peut encore passer pour un léger embonpoint.
• Attends, je nous remets deux verres !
Il les remet et nous les buvons cul sec de nouveau, je sens la biture venir, mais je veux lutter à armes égales avec « le boucher » tombeur de ces dames.
Je repose le verre sur la table, prêt pour un troisième round, mais préalablement, je défais sa ceinture de pantalon, ce dernier tombant au sol.
La bosse de son boxer semble fort intéressante, je commence à être un peu saoul, mais je le descends libérant un truc étrange.
Non pas qu’il bande, mais que sa bite a un gland immensément gros comparé à la verge qui la porte.
Rien de comparable au peu que j’en ai vu, ça ne me rebute pas, au contraire, un peu de diversité est loin de me rebuter.
Loulou me prend par l’arrière de ma tête et sans trop appuyer, me conduit au niveau de son sexe.
Sur mon prie-Dieu, anciennement chez maman, j’ai sucé Tonton bonbon, je sais ce que mon affabulateur veut de moi.
J’ouvre la bouche, je la prends dans ma main et fais entrer, avec un peu de difficulté, ce gland faramineux.
• Oui, suce belle salope, tient, bois un coup en même temps.
Il a dû prendre la bouteille et faire couler un peu de liquide sur sa verge.
Je quitte le gland pour en récupérer le maxi avec ma langue qui se promène tout au long de ce pieu ayant de plus en plus l’envie qu’il me défonce.
J’arrive à en récupérer le maximum, mais un peu de liquide tombe sur la moquette.
• Viens, ce coup-ci, même si je ne suis plus nonne, tu pourras au moins te vanter d’avoir baisé une rousse flamboyante.
Je me couche sur le lit, il me rejoint ayant posé la bouteille et commence à me lécher la chatte, comme moi, je le faisais avec sa verge.
• C’est bien, mais as-tu prévu les capotes ?
Ma copine au couvent m’a dit que nous devions toujours baiser avec capote, même si tu as l’air d’être un garçon sain et non pas saint, ceux que nous disions « tous les saints du paradis. »
• Eh ! Eh ! Loulou, il a tout prévu, il prévoit toujours tout, attend, j’en ai dans la poche de mon pantalon, il faut toujours penser qu’il va y avoir une belle…
• Dis-le, mon gros Loulou, une salope, une belle salope comme moi ou Paulette à baiser.
• Laisse Paulette, à cette heure, elle doit se faire sauter par son mari.
Paulette, elle baise avec qui veut d’elle depuis le collège, mais, je sais qu’elle aime profondément son homme.
Lui aussi, surtout avec cinq gosses à élever, le premier, elle l’a pondue à 16 ans, il l’a épousée alors que sur les cinq, il n’est pas certain qu’aucun ne soit de lui.
Il aime sa femme autant que ces gosses, je pense qu’il ferme les yeux ou qu’il est con comme un balai.
• Avant de mettre ta capote et de me baiser, sers-nous un verre !
Avant la première bite, qu’il me met, je suis passablement éméchée, mais lui se trouve en pleine forme.
Un petit verre et ça repart, droit au but, son gland écarte ma chatte bouillonnante.
Je suis chaude comme la braise, il me pilonne et me conduit au plaisir, à mon plaisir sans prendre le sien.
A-t-il compris que je suis sexuellement moi aussi, une véritable morte de faim après ces années où le sexe et moi ça faisait deux.
• Bon, je vais te laisser et aller me coucher, demain, on me livre une moitié de veau, il va falloir que je me lève de bonne heure.
Je vois ça d’un tout autre œil, nous buvons un coup, la gnôle descend dans la bouteille, mais comme lui n’a pas déchargé me montrant une forme incroyable, je me mets en levrette.
• Oui, j’adore la levrette, après, tu te mettras sur moi, j’adore lorsque la femme me chevauche, je vais plus loin en vous.
Heureusement qu’il y a la gnôle pour me maintenir en forme, je sens que Loulou va m’épuiser, mais quel doux épuisement…
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