COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (28/32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (28/32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (28/32)
(XXVIII et c’est tout.)

Des heures, des heures que nous sommes enfermés dans cette chambre d’un hôtel de Villedieu-sur-Indre.
Une nuit, la journée suivante, Loulou le boucher tient la confiance que j’ai en lui, à peine m’a-t-il fait jouir, qu’il entame une nouvelle chevauchée fantastique.
Baiser, ça rattrape le retard que j’ai pris en étant nonne au couvent de Lisieux, mais il faut aussi nourrir nos corps.
Baiser en regardant, après la découverte qu’il m’a montré de ce que peut m’apporter pour parfait mon éducation le portable et la formule Internet que j’ai souscrits.
Des films pornographiques et des histoires salaces, une vraie mine à la portée de nos mains.

• Regarde celle-là, tu vois dans le moteur de recherche, j’ai tapé « porno » et « rouquine. »
On dirait un peu toi, sauf qu’elle a une queue de cheval.
Regarde, ce black la prend en levrette, la baise à fond en lui tirant sa queue.
La sienne doit entrer plus profondément.
Merde, il en a une bien plus grosse que la mienne, les Africains sont souvent bien membrés, il y a de nombreuses blanches qui aiment les noirs.
La troisième de Paulette, elle est un peu noire de peau.
Tu sais qu’un homme de couleur a travaillé à la commune avant d’être renvoyé dans son pays, la Somalie.
Je n’y ai jamais pensé, excepté si c’est avec lui qu’elle l’a conçu.

Paulette semble une chaude, comme moi, je suis en train de le devenir, rester enfermé dans une chambre sans en sortir et baiser à fond, c’est sur elle et moi nous sommes des salopes.
Certes, la gnôle que nous buvons, nous laissant toujours aux trois quarts saouls, nous aide à tenir, mais Louise, la patronne, nous remplit l’estomac en nous montant le plat du jour.

• Louise, fais-tu toujours tes choux à la chantilly que j’aime tant ?
• J’en fais cette après-midi, je vous en monterais !

Chose promise, chose due, elle nous apporte une assiette avec six beaux choux.

• Marie, écarte tes cuisses, les choux de Louise, je vais te montrer comment j’aime toujours les manger !

Une énième fois, j’écarte mes cuisses sans aucune pudeur et Loulou me fourre le premier bien au fond de mon vagin.
C’est avec ses dents qu’il lèche, mord à pleines dents, foutant de la chantilly partout.
Trois choux passent de ma chatte à son estomac pendant que, calée dans les oreillers, je mords moi aussi ces succulents choux à la crème chantilly.
La chantilly, j’en mets sur sa queue, il me présente sa verge et je la nettoie, relançant notre envie de baiser.
On bouffe plus que l’on ne mange, on baise plus que de raison, dans toutes des positions, m’apprenant à vitesse grand V ce que baiser veut dire.
Son gland disproportionné me défonce, même l’anus, me faisant partir dans des délires profonds, la jouissance de nombreuses fois me rattrapant.
Attention, on mange, on baise, on boit de la gnôle, mais gardant une certaine lucidité sur la vie active et ce que nous disons.

• Louis, tu n’avais pas un demi-veau à réceptionner ce matin et tu n’ouvres pas ta boucherie ce matin !
• Sois sans crainte, ma belle, Léon, le livreur des abattoirs, a la clef de ma porte d’entrée à l’arrière de ma boucherie.
Il va le mettre dans ma chambre froide ainsi qu’un demi-bœuf.
Lundi, je les découperai et mardi à l’ouverture mes clientes auront de la viande fraiche.
Quant à l’ouverture, elles feront à leur mari des petits pois où des carottes, le gouvernement a suggéré qu’il fallait manger cinq fruits et légumes chaque jour.
Marie, demain, tous les plaisirs ont une fin et si tu venais à la chasse avec moi, je suis sûr que tu me porteras chance !
• Mais, ça fait deux jours que nous passons notre temps dans cette chambre et cette salle de bains comme en ce moment, il va falloir que je reprenne ma route.
Tu ne crois pas que je vais tenir la caisse de ta boucherie, mon gros nounours.

Oui, Loulou, Nounours, c’est tout au long de nos rapports que je me suis permis de susurrer ces petits noms.
Mais de là à rester ici à jamais, j’aurais l’impression de me retrouver dans mon couvent.
C’est la première fois à ce moment que je me souviens être enceinte, surtout si ça va commencer à se voir.

• Louise, as-tu toujours tes tenues de chasse, même si depuis que tu as épousé Jojo, tu as rangé ton fusil au râtelier ?
• Oui, elles sont dans un carton à la cave, près des fûts de bière, pourquoi.

C’est en tenue de chasseresse, sans le fusil, que je quitte l’hôtel après un bon café. Même dans les bottes fourrées, je suis à l’aise, Louise chausse du 38, moi du 37.
J’ai même un gilet comme celui que la mère supérieure m’a montré dans la voiture, obligatoire à porter en cas de crevaison, mais il est orange.
Lui, c’est pour la sécurité des chasseurs, une balle perdue, c’est vite arrivé.
Nous prenons son Hillux extra cab, légende sport, année 2019.
Sur l’arrière, il y a une cage avec quatre Nivernaises magnifiques, me faisant la fête lorsqu’ils me voient.
La forêt, une cabane de chasse, un poêle à bois où ils ont allumé un feu nous réchauffant, même si l’alcool bu me chauffe encore de sang.
Je comprends pourquoi Louise a rangé le fusil, Jojo est président de leur société de chasse et répartit les postes sur lesquels nous devrons attendre l’arrivée du gibier, principalement un 12 cors.
Nous atterrissons au poste 5.
3 pour la table, 4 pour la chambre, poste 5 pour l’attente du gibier, c’est sur une espèce de plateforme en bois où nous grimpons pendant que les chiens que nous avons lâchés, sont partis courir dans les sous-bois.

• Tu vois, nos chiens sont éduqués pour traquer le gros gibier et le rabattre vers nous, écoute comme ils sont heureux.
Il faut savoir que presque toute l’année, ils vivent dans le chenil dans lequel nous sommes allés les chercher avant de venir ici en forêt.

Ça fait plus de deux heures que nous sommes là, Loulou sort une topette et me fait boire un coup, ça réchauffe.

• As-tu déjà tiré un coup, Marie ?
• Tu me dis cela après les deux jours que nous venons de passer enfermés dans ma chambre !
• Je te parle d’un coup de fusil !
Tu aurais pu aller faire du ball-trap, ce sont souvent les mêmes fusils, bien que là, je sois chargé en balles réelles et non en chevrotines !

Loulou me fait épauler et me montre comment viser, bien sûr en faisant attention de ne pas avoir le poste suivant dans l’alignement.

• La chasse se rapproche, ça va sortir.

Dans la ligne de mire, je vois une forme sortir du fourré.
J’ignore pourquoi, j’appuie sur la détente sans me poser plus de question.
Je vois la grosse forme noire rouler et rester immobile sur la terre de la trouée sans arbres où nous nous trouvons sur nos postes.

• Merde, Marie, tu as eu le vieux Léon.
Ça fait des années que nous rêvons de descendre ce gros cochon et personne à ce jour n’y était arrivé.

Nous attendons, j’ignore pourquoi, à si plusieurs coups de feu un peu plus loin et une trompe raisonne.

• C’est la fin de la chasse, viens, on va daguer ton cochon.

Les chiens sont là autour de ce que Loulou a appelé « mon cochon. »
Ils viennent le renifler, certains lèchent le sang à l’endroit où la balle a dû entrer.

• Putain Loulou, la bonne sœur, madame depuis deux jours et aujourd’hui le vieux Léon et avec une balle en pleine tête, tu vas être le futur maire de Villedieu-sur-Indre.
Benoît refuse de se représenter, certains voudraient que je sois candidat, mais entre ma femme, l’hôtel resto et la société de chasse locale et régionale, être candidat, ce serait risquer de péter un plomb.
• Surtout avec ta femme, elle t’a déjà interdit la picole.
Elle a raison, avec ce que tu buvais lorsque tu l’as demandé en mariage, tu aurais vidé le bar de ton bar.

Tous éclatent de rire, je comprends mieux pourquoi Louise a arrêté la chasse.
Boire et tirer un coup ça semble la façon dont ces hommes comprennent la façon de vivre.
C’est à moment que nous entendons arriver une Mobylette qui s’arrête devant la cabane de chasse.
Les hommes paraissent avoir oublié ma présence, je comprends pourquoi, ils attribuent à Loulou l’exploit d’avoir tiré le vieux Léon.
Sans permis de chasse, ils étaient tous dans la merde si un garde-chasse était dans les parages et apprenait que l’on m’avait laissé prendre une arme en main, une arme chargée qui plus est avec des balles.
N’importe qui aurait pu sortir des fourrés et ils se seraient retrouvés avec un homicide involontaire à gérer avec la police.
Ça aurait pu être un chercheur de champignons qui seraient sortis du fourré et je me serais retrouvé entre deux gendarmes avec les menottes.
Je vois déjà la presse de demain.

« Accident de chasse sur la commune de Villedieu-sur-Indre près de Châteauroux, une nonne en vacances tire un coup et abat un gentil cueilleur de champignons décédant d’une balle dans la tête. »


Jojo a raison, il vaut mieux attribuer ce nouveau mérite à Loulou qui en tirera un certain avantage lors des prochaines élections.

• Paulette, tu sais que nous étions là, ton mari t’a quitté !
• Oui, son patron est venu le chercher pour le conduire à Bordeaux.
Il va remonter un camion dont le chauffeur a été hospitalisé pour une crise d’appendicite aiguë.
Dehors, j’ai vu le 12 cors que vous deviez tirer, mais aussi le vieux Léon, la langue pendante, à qui je dois sucer la bite ?
Un jour, il a failli me tuer en me fonçant dessus, j’avais promis de baiser avec celui qui aurait la peau de ce vieux salopard.
• C’est Marie, tu ne la connais pas, c’est la sœur de la nonne que Loulou se vante d’avoir sauté sur le parking de l’autoroute.

Paulette, Marie, la vie est ainsi faite que, malgré moi, je sois propulsé dans les bras de Paulette.
À la seule différence, ce n’est pas moi qui ferais le sixième à cette femme.
Comme je l’ai dit lorsqu’elle sortait de la boucherie de Loulou, elle est plutôt gironde pour une femme ayant mis au monde cinq enfants…

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Texte coquin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (28/32)
Histoire sexe : Une rose rouge
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