COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (29/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (29/32)
(XX et IX, chacun de vous savent que j’avais prévu que cette histoire s’arrêterait au chapitre I.
Hélas, il est difficile de disposer du jour au lendemain de sa vie lorsque depuis des années, on est enfermé dans un couvent.)
• Paulette, tu nous connais et on te connaît plutôt bien, nous savons qu’il n’y a aucun problème pour que tu saches garder un secret.
Nous parlons souvent entre nous de qui sont tes enfants, cinq et certainement cinq pères différents.
• Je t’arrête tout de suite, Jojo, cinq enfants, mais tous de leur père, mon cher et tendre, toujours parti au boulot afin de les élever d’une façon honorable.
Je ne permets pas de douter de qui les a mis au monde, à part Yann le quatrième pour lequel il était absent, justement par son travail et que j’avais de l’avance.
C’est toujours lui qui leur a coupé le cordon.
• Oui, mais là, on a un problème, ils sont deux, Loulou et Marie qui étaient ensemble sur la plateforme, permettant de mieux surveiller leur secteur de passage du gibier.
• Et qui es-tu Marie, Jojo me dit que tu es la sœur de la nonne que Loulou encore hier à sa boutique me vantait d’avoir sauté ?
• Paulette, c’est ma sœur qui m’a parlé de la manière dont un boucher de votre ville, l’avait dépucelé après qu’elle ait risqué un accident quelques kilomètres avant sur l’autoroute !
Judas, Judas Iscariote, vous vous souvenez dans les précédents chapitres, sauf que je n’aurais pas à le confesser au père François, lui-même un infâme pécheur.
Il revient à grands pas, me tournebouler l’esprit, il semblerait que dès que je veux m’expliquer sur un fait dans ma vie, seul un flot de mensonge se trouve émis par ma bouche.
Sans plus attendre, Paulette se rapproche de nous, les fusils sont dans les râteliers et je vois Jojo déboucher une bouteille de blanc.
• Marie, aide-moi, ici on fait tout ce dont nous avons envie.
Si tu le permets, nous allons sucer Loulou, les autres attendront leur tour.
Dans un film que nous avons regardé sur mon portable dans notre lit à l’hôtel, une seule fille se faisait prendre par plusieurs garçons.
Je me souviens du titre, « Gang-bang, pour Véronique. »
Si j’avais pensé, en acceptant de venir dans cette cabane de chasseur, que je serais le gibier qui serait à chasser, je serais venue ventre à terre.
J’ai déjà expérimenté la double pénétration, j’ignorais que dès aujourd’hui, je baiserais en groupe.
J’ai la chatte bien chaude, car après avoir sucé Loulou, ce fut Robert, Albert son jumeau, Alex et pour finir Jojo.
Jojo, c’est lui qui m’a couché sur la table et qui m’a pénétré, les jambes en l’air, lui bien placé dans ma fourche.
J’avais du sperme qui coulait de partout, là encore, j’ai connu des plaisirs intenses, mais les gars aussi semblaient satisfaits de s’être vidés les couilles dans les trous de deux belles garces.
• Paulette, tu rentres en ville, pourrais-tu m’y déposer, j’aurais une course à faire et ces messieurs paraissent avoir encore du travail avec le gibier après le plaisir qu’ils ont pris grâce à nous ?
Nous quittons ce lieu de perdition, je viens un peu plus de rogner mon capital, salut de mon âme, mais je suis très contente d’avoir de nouveau découvert, sur le tard, ces facettes de l’amour débridé.
Nous roulons, les gars étant en train de dépecer les pièces de gibier qu’ils ont abattu, dont le vieux Léon et ses deux dents sortant de sa bouche.
Je repense au coup de dague que j’ai dû lui mettre à hauteur du cœur.
C’est incroyable, une fraction de seconde, j’ai cru le voir essayer de se relever.
• Marie, dis-moi, tu en es à combien de mois de grossesse ?
• Comment as-tu vu que j’étais enceinte ?
• Cinq enfants, lorsqu’ils t’ont mise à poil, je sais reconnaitre une femme enceinte.
De plus je suis comme toi, à chaque grossesse, plus mon ventre s’arrondissait, plus j’avais envie de baiser.
Et je dois le reconnaitre, je ne m’en prive pas.
• Mais ton mari, ça ne te fait rien de lui faire porter des cornes et de sembler être la coqueluche de tous ceux qui se disent ses copains ?
• Non, je vais t’avouer à mon tour quelque chose, il est à la maison qui m’attend, il adore les enfants et il est d’accord pour en avoir une ribambelle.
Or, il a eu les oreillons étant jeune adolescent et ne peut en avoir.
Je prends mon plaisir, car j’aime le cul et il prend le sien en coupant les cordons à leur naissance, sachant très bien que ce n’est pas sa graine qui a été plantée en moi.
Tout parait simple si simplement expliqué, moi, ce que je sais, c’est que Lionnel n’a jamais eu les oreillons ou très bénin, car du premier coup dans la piscine il a fait de moi une future mère.
Certes, il y a eu les autres, mais Jade m’avait fait voir comment me protéger.
Fin avril, ce que m’a dit la gynécologue ayant confirmé ma grossesse.
• Laisse-moi là, je dois aller dans cette bijouterie, j’ai un cadeau à faire à une amie pour son anniversaire.
• Tu sais, Marie, lorsque l’un de mes enfants me ment, je leur dis que leur nez bouge, le tient ne reste jamais à la même place chaque fois que tu ouvres ta jolie bouche !
• Bon, je suis démasquée, c’est vrai que je te mens, mais depuis que je me suis arrêté ici, j’ai de moins en moins l’impression de maitriser ce que je fais.
Je suis à cent mètres de mon hôtel, je vais aller chercher mes affaires, payé ma note et m’éloigner d’ici avec ma voiture !
• Et tu penses conduire dans l’état dans lequel l’alcool que tu sembles avoir ingurgité t’a mis ?
Impossible que je te laisse conduire dans cet état, allons chercher tes affaires, où pensais-tu aller !
• En venant, j’ai vu le panneau de Villedieu-sur-Indre et celui de Châteauroux à quelques kilomètres d’ici.
Là-bas, je compte prendre une autre chambre d’hôtel et attendre que je sois en état de conduire.
• C’est une riche idée, nous allons faire autrement.
D’accord pour que tu quittes Villedieu-sur-Indre, mais c’est moi qui vais prendre le volant de ta voiture.
Tu sais, je t’ai vu dans ta vieille voiture lorsque je sortais de la boucherie de Loulou, c’est quelle marque ?
J’aimerais en conduire une, un jour, je connais un bon hôtel où tu seras très bien.
Je vais à l’hôtel, Louise est là comme elle était là le jour de mon arrivée.
• Alors comme ça, vous avez décidé de nous quitter, ça s’est mal passé à la cabane, je connais mes loulous, ils sont gentils, mais un peu rustres dans leur façon d’être !
Là, on comprend que je garde pour moi la venue de Paulette, du cochon que j’ai tué et que son mari a fini par me baiser.
Pourquoi mettre le bordel dans un couple, alors qu’en m’éloignant, je règle définitivement le problème ?
Je paye, je monte chambre 4, j’enlève ma tenue de chasse, je dirais même ma tenue de chasseresse, même si j’ai tué ce qu’ils appellent un cochon qui à cette heure doit se retrouver en morceaux.
Je prends le temps de me doucher, bien qu’après toutes ces péripéties un bain serait plus recommandé.
Mais Paulette m’attend dans sa voiture derrière la mienne, je lui passe la clef de contact que j’ai récupéré dans ma chambre.
• Merde, ça sert à quoi ce machin !
• Ce machin, c’est le levier des vitesses, tu débrayes, tu tires, tu pousses, 1ère, deuxième et troisième.
• Bon je vais m’en sortir, je débraye première et…
• Un litre, c’est ce que mon moniteur me disait lorsque je calais.
Mais Paulette, est peut-être de raisonnement simple lorsqu’il s’agit de la façon d’avoir des enfants et c’est par la nationale que nous rejoignons Châteauroux.
• Tiens prend ce sac, je prends la valise, tu vas m’aider à les monter, mais maintenant comment vas-tu rentrer chez toi auprès de tes enfants ?
• J’ai envie de passer la soirée et la nuit avec toi, ça me changera de ces mecs qui se battaient presque pour baiser avec moi ?
Pour mes enfants, je vais te dire simplement que lorsque je pars en chasse comme je l’ai faite aujourd’hui, mon mari sait où je vais et ne s’inquiète pas si je ne reviens pas.
Nous avons la nuit devant nous, c’est vrai, tu n’aimes certainement pas les femmes, moi ça me repose des queues de ces messieurs !
La nuit est torride, si ces messieurs savent se servir de leurs queues, Sophie et Jade ont fait de moi, une parfaite lesbienne.
Et que dire de Magalie ma banquière, d’ailleurs lorsque je lèche la chatte de ma mère de famille, la pensée qu’il va falloir que je la voie pour m’enlever une épine du pied me traverse.
Je retrouve avec Paulette la douceur des femmes dans l’amour.
Loulou dans nos heures d’ébat, voulant toujours me montrer le mâle dominant qu’il était.
Paulette, c’est une salope, mais aussi la douceur même lorsqu’elle s’occupe de mes seins, qui comme mon ventre, commence à prendre du volume.
• Regarde Marie, tu as déjà quelques gouttes de lait, tu seras une bonne laitière, ton lait est très gras !
Se faire traire comme une vache par cette femme qui j’en crois ce qu’elle m’a dit, après sa chasse auprès des chasseurs aura, elle aussi, les seins qui donneront du lait.
Je me trompe, lorsque, la tétant à mon tour, je bois carrément son lait maternel.
Son dernier accouchement est assez proche pour que son corps produise encore du lait.
Avant d’entrer au couvent, adolescente, je me souviens avoir lu un livre dans lequel la femme se faisait régulièrement engrosser pour avoir toujours du lait.
Je me souviens d’en avoir parlé avec maman, qui m’avait répondu que pour avoir du lait, nous les mammifères devons mener la vache souvent au taureau pour qu’elle produise encore journellement du lait.
Et si le mari de Paulette, la laissait aller au taureau pour qu’elle ait tous les jours du lait à lui fournir !
Une chose est sûre lorsque le lendemain, je la ramène à son village avant de faire demi-tour, direction Albi, j’ai passé une excellente nuit, très hot, mais très récupératrice surtout côté alcool avant de reprendre ma route.
Pourquoi Albi et non pas Carmaux légèrement avant ?
Le prochain chapitre encore un, va certainement nous éclairer…
Hélas, il est difficile de disposer du jour au lendemain de sa vie lorsque depuis des années, on est enfermé dans un couvent.)
• Paulette, tu nous connais et on te connaît plutôt bien, nous savons qu’il n’y a aucun problème pour que tu saches garder un secret.
Nous parlons souvent entre nous de qui sont tes enfants, cinq et certainement cinq pères différents.
• Je t’arrête tout de suite, Jojo, cinq enfants, mais tous de leur père, mon cher et tendre, toujours parti au boulot afin de les élever d’une façon honorable.
Je ne permets pas de douter de qui les a mis au monde, à part Yann le quatrième pour lequel il était absent, justement par son travail et que j’avais de l’avance.
C’est toujours lui qui leur a coupé le cordon.
• Oui, mais là, on a un problème, ils sont deux, Loulou et Marie qui étaient ensemble sur la plateforme, permettant de mieux surveiller leur secteur de passage du gibier.
• Et qui es-tu Marie, Jojo me dit que tu es la sœur de la nonne que Loulou encore hier à sa boutique me vantait d’avoir sauté ?
• Paulette, c’est ma sœur qui m’a parlé de la manière dont un boucher de votre ville, l’avait dépucelé après qu’elle ait risqué un accident quelques kilomètres avant sur l’autoroute !
Judas, Judas Iscariote, vous vous souvenez dans les précédents chapitres, sauf que je n’aurais pas à le confesser au père François, lui-même un infâme pécheur.
Il revient à grands pas, me tournebouler l’esprit, il semblerait que dès que je veux m’expliquer sur un fait dans ma vie, seul un flot de mensonge se trouve émis par ma bouche.
Sans plus attendre, Paulette se rapproche de nous, les fusils sont dans les râteliers et je vois Jojo déboucher une bouteille de blanc.
• Marie, aide-moi, ici on fait tout ce dont nous avons envie.
Si tu le permets, nous allons sucer Loulou, les autres attendront leur tour.
Dans un film que nous avons regardé sur mon portable dans notre lit à l’hôtel, une seule fille se faisait prendre par plusieurs garçons.
Je me souviens du titre, « Gang-bang, pour Véronique. »
Si j’avais pensé, en acceptant de venir dans cette cabane de chasseur, que je serais le gibier qui serait à chasser, je serais venue ventre à terre.
J’ai déjà expérimenté la double pénétration, j’ignorais que dès aujourd’hui, je baiserais en groupe.
J’ai la chatte bien chaude, car après avoir sucé Loulou, ce fut Robert, Albert son jumeau, Alex et pour finir Jojo.
Jojo, c’est lui qui m’a couché sur la table et qui m’a pénétré, les jambes en l’air, lui bien placé dans ma fourche.
J’avais du sperme qui coulait de partout, là encore, j’ai connu des plaisirs intenses, mais les gars aussi semblaient satisfaits de s’être vidés les couilles dans les trous de deux belles garces.
• Paulette, tu rentres en ville, pourrais-tu m’y déposer, j’aurais une course à faire et ces messieurs paraissent avoir encore du travail avec le gibier après le plaisir qu’ils ont pris grâce à nous ?
Nous quittons ce lieu de perdition, je viens un peu plus de rogner mon capital, salut de mon âme, mais je suis très contente d’avoir de nouveau découvert, sur le tard, ces facettes de l’amour débridé.
Nous roulons, les gars étant en train de dépecer les pièces de gibier qu’ils ont abattu, dont le vieux Léon et ses deux dents sortant de sa bouche.
Je repense au coup de dague que j’ai dû lui mettre à hauteur du cœur.
C’est incroyable, une fraction de seconde, j’ai cru le voir essayer de se relever.
• Marie, dis-moi, tu en es à combien de mois de grossesse ?
• Comment as-tu vu que j’étais enceinte ?
• Cinq enfants, lorsqu’ils t’ont mise à poil, je sais reconnaitre une femme enceinte.
De plus je suis comme toi, à chaque grossesse, plus mon ventre s’arrondissait, plus j’avais envie de baiser.
Et je dois le reconnaitre, je ne m’en prive pas.
• Mais ton mari, ça ne te fait rien de lui faire porter des cornes et de sembler être la coqueluche de tous ceux qui se disent ses copains ?
• Non, je vais t’avouer à mon tour quelque chose, il est à la maison qui m’attend, il adore les enfants et il est d’accord pour en avoir une ribambelle.
Or, il a eu les oreillons étant jeune adolescent et ne peut en avoir.
Je prends mon plaisir, car j’aime le cul et il prend le sien en coupant les cordons à leur naissance, sachant très bien que ce n’est pas sa graine qui a été plantée en moi.
Tout parait simple si simplement expliqué, moi, ce que je sais, c’est que Lionnel n’a jamais eu les oreillons ou très bénin, car du premier coup dans la piscine il a fait de moi une future mère.
Certes, il y a eu les autres, mais Jade m’avait fait voir comment me protéger.
Fin avril, ce que m’a dit la gynécologue ayant confirmé ma grossesse.
• Laisse-moi là, je dois aller dans cette bijouterie, j’ai un cadeau à faire à une amie pour son anniversaire.
• Tu sais, Marie, lorsque l’un de mes enfants me ment, je leur dis que leur nez bouge, le tient ne reste jamais à la même place chaque fois que tu ouvres ta jolie bouche !
• Bon, je suis démasquée, c’est vrai que je te mens, mais depuis que je me suis arrêté ici, j’ai de moins en moins l’impression de maitriser ce que je fais.
Je suis à cent mètres de mon hôtel, je vais aller chercher mes affaires, payé ma note et m’éloigner d’ici avec ma voiture !
• Et tu penses conduire dans l’état dans lequel l’alcool que tu sembles avoir ingurgité t’a mis ?
Impossible que je te laisse conduire dans cet état, allons chercher tes affaires, où pensais-tu aller !
• En venant, j’ai vu le panneau de Villedieu-sur-Indre et celui de Châteauroux à quelques kilomètres d’ici.
Là-bas, je compte prendre une autre chambre d’hôtel et attendre que je sois en état de conduire.
• C’est une riche idée, nous allons faire autrement.
D’accord pour que tu quittes Villedieu-sur-Indre, mais c’est moi qui vais prendre le volant de ta voiture.
Tu sais, je t’ai vu dans ta vieille voiture lorsque je sortais de la boucherie de Loulou, c’est quelle marque ?
J’aimerais en conduire une, un jour, je connais un bon hôtel où tu seras très bien.
Je vais à l’hôtel, Louise est là comme elle était là le jour de mon arrivée.
• Alors comme ça, vous avez décidé de nous quitter, ça s’est mal passé à la cabane, je connais mes loulous, ils sont gentils, mais un peu rustres dans leur façon d’être !
Là, on comprend que je garde pour moi la venue de Paulette, du cochon que j’ai tué et que son mari a fini par me baiser.
Pourquoi mettre le bordel dans un couple, alors qu’en m’éloignant, je règle définitivement le problème ?
Je paye, je monte chambre 4, j’enlève ma tenue de chasse, je dirais même ma tenue de chasseresse, même si j’ai tué ce qu’ils appellent un cochon qui à cette heure doit se retrouver en morceaux.
Je prends le temps de me doucher, bien qu’après toutes ces péripéties un bain serait plus recommandé.
Mais Paulette m’attend dans sa voiture derrière la mienne, je lui passe la clef de contact que j’ai récupéré dans ma chambre.
• Merde, ça sert à quoi ce machin !
• Ce machin, c’est le levier des vitesses, tu débrayes, tu tires, tu pousses, 1ère, deuxième et troisième.
• Bon je vais m’en sortir, je débraye première et…
• Un litre, c’est ce que mon moniteur me disait lorsque je calais.
Mais Paulette, est peut-être de raisonnement simple lorsqu’il s’agit de la façon d’avoir des enfants et c’est par la nationale que nous rejoignons Châteauroux.
• Tiens prend ce sac, je prends la valise, tu vas m’aider à les monter, mais maintenant comment vas-tu rentrer chez toi auprès de tes enfants ?
• J’ai envie de passer la soirée et la nuit avec toi, ça me changera de ces mecs qui se battaient presque pour baiser avec moi ?
Pour mes enfants, je vais te dire simplement que lorsque je pars en chasse comme je l’ai faite aujourd’hui, mon mari sait où je vais et ne s’inquiète pas si je ne reviens pas.
Nous avons la nuit devant nous, c’est vrai, tu n’aimes certainement pas les femmes, moi ça me repose des queues de ces messieurs !
La nuit est torride, si ces messieurs savent se servir de leurs queues, Sophie et Jade ont fait de moi, une parfaite lesbienne.
Et que dire de Magalie ma banquière, d’ailleurs lorsque je lèche la chatte de ma mère de famille, la pensée qu’il va falloir que je la voie pour m’enlever une épine du pied me traverse.
Je retrouve avec Paulette la douceur des femmes dans l’amour.
Loulou dans nos heures d’ébat, voulant toujours me montrer le mâle dominant qu’il était.
Paulette, c’est une salope, mais aussi la douceur même lorsqu’elle s’occupe de mes seins, qui comme mon ventre, commence à prendre du volume.
• Regarde Marie, tu as déjà quelques gouttes de lait, tu seras une bonne laitière, ton lait est très gras !
Se faire traire comme une vache par cette femme qui j’en crois ce qu’elle m’a dit, après sa chasse auprès des chasseurs aura, elle aussi, les seins qui donneront du lait.
Je me trompe, lorsque, la tétant à mon tour, je bois carrément son lait maternel.
Son dernier accouchement est assez proche pour que son corps produise encore du lait.
Avant d’entrer au couvent, adolescente, je me souviens avoir lu un livre dans lequel la femme se faisait régulièrement engrosser pour avoir toujours du lait.
Je me souviens d’en avoir parlé avec maman, qui m’avait répondu que pour avoir du lait, nous les mammifères devons mener la vache souvent au taureau pour qu’elle produise encore journellement du lait.
Et si le mari de Paulette, la laissait aller au taureau pour qu’elle ait tous les jours du lait à lui fournir !
Une chose est sûre lorsque le lendemain, je la ramène à son village avant de faire demi-tour, direction Albi, j’ai passé une excellente nuit, très hot, mais très récupératrice surtout côté alcool avant de reprendre ma route.
Pourquoi Albi et non pas Carmaux légèrement avant ?
Le prochain chapitre encore un, va certainement nous éclairer…
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