COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (30/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2605 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 792 795 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 159 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (30/32)
(XXX, c’est plus simple à écrire, je parle de 30 en chiffres Romain.
J’ignore pourquoi ? mais cela m’étonnerait que ce soit le dernier chapitre de cette histoire, mais nous verrons bien.)
• Marie, as-tu déjà eu des aventures féminines, dans ton couvent par exemple, le manque de garçons doit entrainer des rapprochements entre filles ?
• Il y a quelques mois, je t’aurais dit quelle horreur, mais depuis, la panne de cette voiture m’a permis d’ouvrir les yeux sur ce qu’est le sexe, au point que je me retrouve enceinte.
J’ignore encore si c’est un bien ou un mal.
Est-ce l’esprit de Satan ou la volonté de Dieu que je connaisse à mon âge, ce dont j’ai été privé dans ma jeunesse, jusqu’à faire, comme la vierge Marie, j’apporte au monde un enfant.
• Tu avais des parents très religieux qui t’ont amené vers le couvent, ça, c’est moche comparé à la vie que j’ai eue et que j’ai…
Nous sommes dans le lit de la chambre d’hôtel que j’ai louée après nous être carapaté, presque comme des malpropres de Villedieu-sur-Indre, non loin de Châteauroux.
Ah ! Judas.
Si tu n’avais pas trahi et de plus par trois fois le Christ rédempteur, je n’aurais pas encore une fois à dire un gros mensonge et à dire simplement…
« Maman était une pute, prostituée par mon père et qui a continué jusqu’à peu de temps, avant de quitter ce monde.
Tonton Bonbons pouvant te le certifier.
Il te suffirait d’aller au musée de la mine de Carmaux, il te le confirmerait.
Si tu ouvrais le sac que tu viens de monter de ma voiture et que j’ai rangé dans l’armoire, te le montrerais, c’est tout ce qu’elle a économisé en taillant des pipes.
Ma chère Paulette, toi aussi tu tailles des pipes, demande-leur du fric, tes amants deviendront tes clients et toi la pute de Villedieu-sur-Indre.
De toute façon, tu fais ça gratuitement, mais à ce que j’ai entendu, tu es déjà considéré comme la pute de ta petite ville. »
Il va de soi que je suis plus raisonnable et que je lui mens honteusement.
• Tu sais, j’ai la chance que maman était très pieuse.
Malgré le décès de mon papa, alors que j’étais jeune, elle m’a élevé dans la foi du Christ.
Comme elle était en adoration devant sainte Thérèse de Lisieux, c’est tout naturellement que j’ai rejoint les sœurs de cette congrégation.
En proférant ce mensonge, je regarde discrètement le doigt où j’avais l’alliance envers celui que je considérais comme mon époux.
Il y a trop peu de temps que je l’ai laissé sur mon habit de nonne avec ma coiffe, la croix, pour que la blancheur de son emplacement ait entièrement disparu.
Je veux cesser les questions, où immanquablement, je serais sûre de répondre en partie par un mensonge, transgressant un peu plus la vérité.
Paulette, comme je l’ai fait avec Sophie souhaite frotter son clito avec le mien.
Nous croisons nos jambes comme Sophie m’a appris à le faire et l’excitation que nous leur apportons, nous entraine dans de bons sommets de nos plaisirs et de nos délires.
Nos bouches et nos langues s’entremêlent, pour là encore, notre plus grand plaisir.
• Paulette dis-moi, je vois que tu sais aussi y faire avec les filles, serais-tu une lesbienne refoulée ?
• Non, une lesbienne tout court.
Je t’ai dit qu’avec Éric, mon mari, nous avons eu Justin, j’avais 16 ans.
Depuis un an, j’étais amoureuse de Ludivine, une copine de classe.
Nous nous isolions pendant les récrés et rapidement nous avons été catalogués comme ce que nous étions, dans notre petite ville.
Mon père l’a appris et j’ai passé un grave quart d’heure.
J’aurais dû être forte et lui tenir tête, mais j’étais comme maman qui subissait jusqu’à ses coups et qui se taisait.
Un jour, je venais de l’annoncer à ma mère, j’avais voulu faire taire les rumeurs et je me suis retrouvée enceinte.
• Était-ce avec Éric ?
• Même pas, plus grave, le père de Ludivine m’ayant littéralement violé pour avoir dévergondé sa fille.
Il voulait me faire voir ce qu’était une vraie bite au lieu de la langue de sa fille.
Notre village a compté deux morts, le même jour, presque au même moment.
Mon père tué par maman qui cette fois s’était rebellée pour me défendre et ce gros con de père tué par Rosa, la mère de Ludivine à qui j’avais appris le viol.
Toutes les deux sont en prison pour assassinat.
Ici les rumeurs vont vite, nous avons même entendu qu’elles-mêmes étaient lesbiennes et avaient tué leurs maris pour se retrouver ensemble.
On verra la suite dans les mois prochains, elles vont sortir à quelques jours près.
Quant à moi, je lui ai donné le nom d’Éric.
Je savais qu’il bavait pour moi.
À la différence, c’est que j’ignorais son incapacité physique et la suite qui en avaient découlé.
J’avais voulu assumer mon homosexualité et je me suis retrouvée à pomper un maxi de bite qui me défonce pour que mon mari ait les enfants dont il est incapable d’assumer lui-même la paternité.
J’ai serré sur mon cœur plus fortement Paulette.
On croit bien faire lorsque l’on prend certaines décisions et on se retrouve chaque fois confronté à d’autres problèmes.
C’est pour cela que demain je vais arriver à Albi où j’ai donné rendez-vous à Magalie dans un resto proche de l’hôtel ou après avoir ramené Paulette à Villedieu-sur-Indre, je suis réparti dans l’autre sens.
Un point positif, pour Magalie, la retrouver était facile, j’ai appelé la banque dans laquelle elle m’avait reçu.
Pour Paulette, c’est sur mon portable, ce sera le premier contact que je crée avec lui.
Il faut savoir apprendre à se servir du modernisme, très peu utile pour les sœurs de sainte Thérèse de Lisieux.
Juste un point de risque entre Magalie et moi, la voiture et ses kilomètres déjà parcourus par cette vieille mécanique.
Va-t-elle me refaire le coup de la panne en me précipitant de nouveau dans un monde inconnu ?
Non, c’est sans le moindre problème, même avec une certaine fluidité que je me gare dans le parking de cet hôtel albigeois au pied de la cathédrale.
Hôtel de bonne facture, chambre spacieuse et claire et que dire de la salle de bains avec une baignoire, comme une vraie piscine, où après l’avoir rempli je me prélasse pendant de longues minutes.
Manger, j’ai bu pas mal de sperme dans la cabane des chasseurs, j’ai sauté le repas de ce midi et la fatigue aurait voulu que je m’abstienne de repas ce soir.
Heureusement, il y a un service en chambre dans cet hôtel et je peux déguster une très bonne omelette aux truffes noires du Périgord, accompagnée d’une salade de saison.
Un demi Perrier accompagnera mon repas.
J’ai assez bu d’alcool, comme l’on dit, pour tout un empire, avant que je m’écroule dans mon lit de fatigue et de douilletterie, le lit étant moelleux à souhait.
Réveille par la réception et la descente dans les rues d’Albi, je visiterais bien la cathédrale de type gothique en briques rouges, mais je préfère les rues piétonnes ou je fais ce que l’on appelle du lèche-vitrine.
Simplement, cette promenade dans les rues d’une ville sans le regard des gens pour votre tenue de bonne sœur est un bonheur pour moi les rares fois où je suis sortie de couvent.
Des regards, mais des rares hommes, certainement à cette heure au travail.
C’est pour mes boucles rousses et non pas pour ma tenue que certains se retournent sur moi, m’apportant une jouissance jusque dans mon entrecuisse.
• Bonjour madame, j’aimerais acheter et si possible que vous me montriez comment me maquiller !
Je dois être un peu lunaire au milieu de cette boutique de produits cosmétiques.
Mais c’est avec un certain plaisir que Viviane, c’est le nom de cette jeune femme.
La trentaine environ, me maquille, me vendant par là même tout ce qu’il faut pour que je puisse moi-même reproduire son travail.
Elle me montre la tête qu’elle m’a fait avec des pommades.
Du noir sur mes cils, du rouge brun pour mes pommettes et du rouge à lèvres s’harmonisant avec la couleur de mes cheveux.
J’ai payé l’autoroute avec ma carte, avant de sortir, j’ai pris quelques coupures qui vont m’être bien utiles lorsque je rejoins Magalie ou est-ce Virginie qui se présente devant moi.
• Bonjour Marie, je dois reconnaitre que ton coup de fil et ton invitation au restaurant m’ont un peu surprise, mais j’ai très vite été heureuse.
Lorsque nous nous sommes séparées dans ce café, je me suis tout de suite rendu compte que j’avais oublié de te demander ton numéro de portable afin de rester en contact.
Que nous vaut cette transformation, tu étais déjà très belle, mais là tu es radieuse, j’ai envie de te prendre dans mes bras et de t’embrasser devant tout Albi.
Nous attendons un peu, pour nous embrasser en nous prenant dans les bras comme le fond naturellement deux copines se retrouvant et ayant déjà des instants intimes en commun.
• As-tu faim ?
• Oui pour toi, j’espère que tu as un petit pied à terre, car pour moi mon mari est à la maison et je serais dans l’impossibilité de t’y conduire.
• Alors moi aussi, tout comme toi je veux te connaître autrement que par une caresse certes très précise, mais prodiguer rapidement dans ce café près de ta banque.
Je marcherais bien, main dans la main avec elle, ne sommes-nous pas déjà dans un climat très intime depuis l’épisode du café.
Alors, là encore, ses bras dessus, bras dessous, que nous rejoignons l’ascenseur de mon hôtel.
Ascenseur, premier baiser avec la langue dans ce premier moment d’intimité et mains nous caressant par-dessus nos vêtements.
Porte qui s’ouvre, n’ayant pas vu que l’ascenseur s’était arrêté un étage au-dessus où nous devions descendre.
Une mémé offusquée de voir deux femmes s’embrasser comme des amoureuses.
Elle qui a dû recevoir son dernier baiser avant la dernière guerre mondiale avec dans les bras l’un de ces vilains toutous, dit à leur mémère.
C’est en pouffant de rire que nous descendons un étage plus bas afin de rejoindre ma chambre.
Hôtel moderne, clef magnétique qui nous fait gagner du temps pour nous retrouver isolés au monde.
Lit aussi moderne et toujours aussi moelleux où je me couche, écartant mes cuisses afin que Magalie trouve mon bouton, mais avec sa langue ce coup-ci.
Ces doigts l’aident aussi, j’en sens trois plutôt que je ne les vois.
Sa tête à l’opposer de moi, qui moi aussi suce et caresse son clito.
Combien dur nos comportements libidineux, je l’ignore, mais ce que je sais c’est qu’elle me fait atteindre l’orgasme comme je lui fais atteindre le sien.
Nous embrassons étant de nouveau côte à côte.
• Ma chérie, je voulais te voir pour faire ce que nous venons de faire avec une telle intensité que j’en suis encore toute retournée, mais j’aurais un service à te demander !
• Je me doutais que ce n’était pas que pour mes beaux yeux que tu m’avais téléphoné…
J’ignore pourquoi ? mais cela m’étonnerait que ce soit le dernier chapitre de cette histoire, mais nous verrons bien.)
• Marie, as-tu déjà eu des aventures féminines, dans ton couvent par exemple, le manque de garçons doit entrainer des rapprochements entre filles ?
• Il y a quelques mois, je t’aurais dit quelle horreur, mais depuis, la panne de cette voiture m’a permis d’ouvrir les yeux sur ce qu’est le sexe, au point que je me retrouve enceinte.
J’ignore encore si c’est un bien ou un mal.
Est-ce l’esprit de Satan ou la volonté de Dieu que je connaisse à mon âge, ce dont j’ai été privé dans ma jeunesse, jusqu’à faire, comme la vierge Marie, j’apporte au monde un enfant.
• Tu avais des parents très religieux qui t’ont amené vers le couvent, ça, c’est moche comparé à la vie que j’ai eue et que j’ai…
Nous sommes dans le lit de la chambre d’hôtel que j’ai louée après nous être carapaté, presque comme des malpropres de Villedieu-sur-Indre, non loin de Châteauroux.
Ah ! Judas.
Si tu n’avais pas trahi et de plus par trois fois le Christ rédempteur, je n’aurais pas encore une fois à dire un gros mensonge et à dire simplement…
« Maman était une pute, prostituée par mon père et qui a continué jusqu’à peu de temps, avant de quitter ce monde.
Tonton Bonbons pouvant te le certifier.
Il te suffirait d’aller au musée de la mine de Carmaux, il te le confirmerait.
Si tu ouvrais le sac que tu viens de monter de ma voiture et que j’ai rangé dans l’armoire, te le montrerais, c’est tout ce qu’elle a économisé en taillant des pipes.
Ma chère Paulette, toi aussi tu tailles des pipes, demande-leur du fric, tes amants deviendront tes clients et toi la pute de Villedieu-sur-Indre.
De toute façon, tu fais ça gratuitement, mais à ce que j’ai entendu, tu es déjà considéré comme la pute de ta petite ville. »
Il va de soi que je suis plus raisonnable et que je lui mens honteusement.
• Tu sais, j’ai la chance que maman était très pieuse.
Malgré le décès de mon papa, alors que j’étais jeune, elle m’a élevé dans la foi du Christ.
Comme elle était en adoration devant sainte Thérèse de Lisieux, c’est tout naturellement que j’ai rejoint les sœurs de cette congrégation.
En proférant ce mensonge, je regarde discrètement le doigt où j’avais l’alliance envers celui que je considérais comme mon époux.
Il y a trop peu de temps que je l’ai laissé sur mon habit de nonne avec ma coiffe, la croix, pour que la blancheur de son emplacement ait entièrement disparu.
Je veux cesser les questions, où immanquablement, je serais sûre de répondre en partie par un mensonge, transgressant un peu plus la vérité.
Paulette, comme je l’ai fait avec Sophie souhaite frotter son clito avec le mien.
Nous croisons nos jambes comme Sophie m’a appris à le faire et l’excitation que nous leur apportons, nous entraine dans de bons sommets de nos plaisirs et de nos délires.
Nos bouches et nos langues s’entremêlent, pour là encore, notre plus grand plaisir.
• Paulette dis-moi, je vois que tu sais aussi y faire avec les filles, serais-tu une lesbienne refoulée ?
• Non, une lesbienne tout court.
Je t’ai dit qu’avec Éric, mon mari, nous avons eu Justin, j’avais 16 ans.
Depuis un an, j’étais amoureuse de Ludivine, une copine de classe.
Nous nous isolions pendant les récrés et rapidement nous avons été catalogués comme ce que nous étions, dans notre petite ville.
Mon père l’a appris et j’ai passé un grave quart d’heure.
J’aurais dû être forte et lui tenir tête, mais j’étais comme maman qui subissait jusqu’à ses coups et qui se taisait.
Un jour, je venais de l’annoncer à ma mère, j’avais voulu faire taire les rumeurs et je me suis retrouvée enceinte.
• Était-ce avec Éric ?
• Même pas, plus grave, le père de Ludivine m’ayant littéralement violé pour avoir dévergondé sa fille.
Il voulait me faire voir ce qu’était une vraie bite au lieu de la langue de sa fille.
Notre village a compté deux morts, le même jour, presque au même moment.
Mon père tué par maman qui cette fois s’était rebellée pour me défendre et ce gros con de père tué par Rosa, la mère de Ludivine à qui j’avais appris le viol.
Toutes les deux sont en prison pour assassinat.
Ici les rumeurs vont vite, nous avons même entendu qu’elles-mêmes étaient lesbiennes et avaient tué leurs maris pour se retrouver ensemble.
On verra la suite dans les mois prochains, elles vont sortir à quelques jours près.
Quant à moi, je lui ai donné le nom d’Éric.
Je savais qu’il bavait pour moi.
À la différence, c’est que j’ignorais son incapacité physique et la suite qui en avaient découlé.
J’avais voulu assumer mon homosexualité et je me suis retrouvée à pomper un maxi de bite qui me défonce pour que mon mari ait les enfants dont il est incapable d’assumer lui-même la paternité.
J’ai serré sur mon cœur plus fortement Paulette.
On croit bien faire lorsque l’on prend certaines décisions et on se retrouve chaque fois confronté à d’autres problèmes.
C’est pour cela que demain je vais arriver à Albi où j’ai donné rendez-vous à Magalie dans un resto proche de l’hôtel ou après avoir ramené Paulette à Villedieu-sur-Indre, je suis réparti dans l’autre sens.
Un point positif, pour Magalie, la retrouver était facile, j’ai appelé la banque dans laquelle elle m’avait reçu.
Pour Paulette, c’est sur mon portable, ce sera le premier contact que je crée avec lui.
Il faut savoir apprendre à se servir du modernisme, très peu utile pour les sœurs de sainte Thérèse de Lisieux.
Juste un point de risque entre Magalie et moi, la voiture et ses kilomètres déjà parcourus par cette vieille mécanique.
Va-t-elle me refaire le coup de la panne en me précipitant de nouveau dans un monde inconnu ?
Non, c’est sans le moindre problème, même avec une certaine fluidité que je me gare dans le parking de cet hôtel albigeois au pied de la cathédrale.
Hôtel de bonne facture, chambre spacieuse et claire et que dire de la salle de bains avec une baignoire, comme une vraie piscine, où après l’avoir rempli je me prélasse pendant de longues minutes.
Manger, j’ai bu pas mal de sperme dans la cabane des chasseurs, j’ai sauté le repas de ce midi et la fatigue aurait voulu que je m’abstienne de repas ce soir.
Heureusement, il y a un service en chambre dans cet hôtel et je peux déguster une très bonne omelette aux truffes noires du Périgord, accompagnée d’une salade de saison.
Un demi Perrier accompagnera mon repas.
J’ai assez bu d’alcool, comme l’on dit, pour tout un empire, avant que je m’écroule dans mon lit de fatigue et de douilletterie, le lit étant moelleux à souhait.
Réveille par la réception et la descente dans les rues d’Albi, je visiterais bien la cathédrale de type gothique en briques rouges, mais je préfère les rues piétonnes ou je fais ce que l’on appelle du lèche-vitrine.
Simplement, cette promenade dans les rues d’une ville sans le regard des gens pour votre tenue de bonne sœur est un bonheur pour moi les rares fois où je suis sortie de couvent.
Des regards, mais des rares hommes, certainement à cette heure au travail.
C’est pour mes boucles rousses et non pas pour ma tenue que certains se retournent sur moi, m’apportant une jouissance jusque dans mon entrecuisse.
• Bonjour madame, j’aimerais acheter et si possible que vous me montriez comment me maquiller !
Je dois être un peu lunaire au milieu de cette boutique de produits cosmétiques.
Mais c’est avec un certain plaisir que Viviane, c’est le nom de cette jeune femme.
La trentaine environ, me maquille, me vendant par là même tout ce qu’il faut pour que je puisse moi-même reproduire son travail.
Elle me montre la tête qu’elle m’a fait avec des pommades.
Du noir sur mes cils, du rouge brun pour mes pommettes et du rouge à lèvres s’harmonisant avec la couleur de mes cheveux.
J’ai payé l’autoroute avec ma carte, avant de sortir, j’ai pris quelques coupures qui vont m’être bien utiles lorsque je rejoins Magalie ou est-ce Virginie qui se présente devant moi.
• Bonjour Marie, je dois reconnaitre que ton coup de fil et ton invitation au restaurant m’ont un peu surprise, mais j’ai très vite été heureuse.
Lorsque nous nous sommes séparées dans ce café, je me suis tout de suite rendu compte que j’avais oublié de te demander ton numéro de portable afin de rester en contact.
Que nous vaut cette transformation, tu étais déjà très belle, mais là tu es radieuse, j’ai envie de te prendre dans mes bras et de t’embrasser devant tout Albi.
Nous attendons un peu, pour nous embrasser en nous prenant dans les bras comme le fond naturellement deux copines se retrouvant et ayant déjà des instants intimes en commun.
• As-tu faim ?
• Oui pour toi, j’espère que tu as un petit pied à terre, car pour moi mon mari est à la maison et je serais dans l’impossibilité de t’y conduire.
• Alors moi aussi, tout comme toi je veux te connaître autrement que par une caresse certes très précise, mais prodiguer rapidement dans ce café près de ta banque.
Je marcherais bien, main dans la main avec elle, ne sommes-nous pas déjà dans un climat très intime depuis l’épisode du café.
Alors, là encore, ses bras dessus, bras dessous, que nous rejoignons l’ascenseur de mon hôtel.
Ascenseur, premier baiser avec la langue dans ce premier moment d’intimité et mains nous caressant par-dessus nos vêtements.
Porte qui s’ouvre, n’ayant pas vu que l’ascenseur s’était arrêté un étage au-dessus où nous devions descendre.
Une mémé offusquée de voir deux femmes s’embrasser comme des amoureuses.
Elle qui a dû recevoir son dernier baiser avant la dernière guerre mondiale avec dans les bras l’un de ces vilains toutous, dit à leur mémère.
C’est en pouffant de rire que nous descendons un étage plus bas afin de rejoindre ma chambre.
Hôtel moderne, clef magnétique qui nous fait gagner du temps pour nous retrouver isolés au monde.
Lit aussi moderne et toujours aussi moelleux où je me couche, écartant mes cuisses afin que Magalie trouve mon bouton, mais avec sa langue ce coup-ci.
Ces doigts l’aident aussi, j’en sens trois plutôt que je ne les vois.
Sa tête à l’opposer de moi, qui moi aussi suce et caresse son clito.
Combien dur nos comportements libidineux, je l’ignore, mais ce que je sais c’est qu’elle me fait atteindre l’orgasme comme je lui fais atteindre le sien.
Nous embrassons étant de nouveau côte à côte.
• Ma chérie, je voulais te voir pour faire ce que nous venons de faire avec une telle intensité que j’en suis encore toute retournée, mais j’aurais un service à te demander !
• Je me doutais que ce n’était pas que pour mes beaux yeux que tu m’avais téléphoné…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

