COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (9/9)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (9/9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (9/9)
(Jusqu’à où Marie la none va-t-elle descendre vers les enfers, si faire l’amour entre les hommes, et les femmes conduisent irrémédiablement vers les enfers.
Le chapitre IX, peut-être, allons-nous voir ça tout de suite.)

L’odeur d’un bon café me vient aux narines, mais qu’est-ce que je fais dans ce lit, mais oui, je descendais vers les enfers, j’en suis donc remontée.
À oui, la chatte rousse de Sophie, ou est-elle, il est surement une heure assez avancée, il fait déjà très chaud.
Une bonne odeur de café emplit la chambre.
Que dire de ceux que j’ai pris au couvent avec mes sœurs ?
Me lever comme je le veux, là-bas, mon dieu, que ces mots sont lourds de sens, là-bas !
Là-bas, donc, dès le lever avant de penser à nous restaurer le corps, il nous faut penser à notre esprit et ce sont des chants liturgiques et des lectures souvent écrites par les apôtres qui nous animent.
Je me souviens lorsque j’étais novice avant de prendre définitivement le voile, ces moments ont été les plus dures à vivre.
Je suis une campagnarde et à aucun moment, je partais à l’école le ventre vide.
Au couvent, il nous fallait presque souvent jeuner car c’était nos cerveaux que nous devions fortifier.
Les laitages étaient proscrits, trop riches en matières grasses.
Du thé, c’est avec l’eau les deux liquides qui nous sont proposés avec aucune restriction.
Le café de mémoire, je n’en ai jamais vu sur notre table.
Je suis à deux doigts de m’agenouiller au pied du lit, qui a été témoin de ma trahison envers mon serment de fidélité à mon anneau.
Il y a même grandement participé en me permettant de me vautrer dans le stup et la luxure, l’un des péchés capitaux, me ramenant vers les enfers.
Surtout lorsque Sophie m’a sucé la chatte avant que je ne rejoigne Lionnel qui, lui, m’a divinement baisé.
Suprême trahison, suprême péché de chair, mais est-ce que je le regrette vraiment.
M’agenouiller, croiser mes mains et faire mes prières, mais que dirais-je à Sophie, si elle entre inopportunément dans sa chambre, car même si elle me loge, c’est chez elle.
J’ai trop tardé à lui dire la vérité, maintenant il serait trop tard.
Il est plus simple dès que ma voiture sera réparé de reprendre ma route, me rendre chez maman et de faire retour après avoir constaté son état de santé.
Alors lorsque je me sers une tasse et que je rejoins Sophie à la réception, les voix que j’entends ne me sont pas inconnues.

• Marie, te voilà, je suis venue pour deux choses, la première, c’est pour te remercier de tes conseils, certainement grâce à de grandes connaissances de la psychologie masculine.

Je suis à deux doigts de lui rétorquer que la psychologie masculine, je l’ai découverte cette nuit en faisant l’amour avec un homme pour la première fois.

• J’ai suivi ton conseil lorsque Désiré est rentré de la salle où se tenait le karaoké.
Je l’ai entendu aller dans la salle de bain et y rester un temps infini.
Tu vas rire, il sifflait ce qu’il ne faisait jamais certainement satisfait de m’avoir tenu tête pour la première fois depuis notre mariage.
J’ai failli m’endormir ce qui aurait mis ton plan parterre, mais j’ai fini par le sentir à mon côté.
J’ai attendu quelques minutes et j’ai passé ma main, j’ai touché la sienne, il était en train de se caresser.
Avant votre rencontre et tes conseils Marie, très éclairés, je dois dire, j’aurais explosé en lui hurlant dessus le traitant de tous les noms.
Vous savez, j’employais souvent les mots de conard, grosse fiote, résidu d’excrément de, de, de…
Bref, j’aurais fait un scandale, là je lui ai pris sa main et comme tu me l’as dit je l’ai amené découvrir la nouveauté dont il m’avait si souvent parlé surtout au début de notre mariage.
Il est devenu comme fou, mais une folie constructive.
Il a repoussé le drap et agile d’une manière dont je le croyais incapable, il m’a, je dois l’avouer, même si c’est cru, il m’a littéralement bouffé la chatte.
J’ai carrément hurlé de plaisir.
J’avais entendu les enfants rentrer après lui, je n’en avais rien à faire qu’ils m’entendent et qu’ils pensent que leur mère était une grosse salope.
Grâce à vous, je suis une grosse salope qui s’assume, regardez, je promène mon gros cul et j’en suis fière ce matin.

Il est vrai que prise par les confidences de Yollande et commençant à très bien m’accommoder de voir des culs et des chattes, sans parler des verges, même au repos, la nudité est loin de me déplaire.
Nu, on voit mieux l’âme des gens, qui souvent se cachent derrière des bouts de tissu.
« Regarde, comme elle est mal fagotée. »
« Elle ose sortir dans cette tenue obscène plus près de celle que portent les putes que les honorables mères de famille. »
J’en passe et des meilleurs, mais Yollande continue les confidences de sa nuit qui aurait dû être comme celle-ci l’a été si avec Désiré si elle avait été pleine d’initiative.

• Une fois que j’ai eu une première jouissance, il est venu en moi et, et, et…
• Tu as eu un orgasme.

Là ce mot orgasme, c’est Sophie qui le prononce, j’avais entendu parler de ce que des femmes ressentent lorsqu’un homme était en elles.
J’en avais fait l’agréable expérience avec Lionnel dans la piscine, avant d’en faire de même avec ma jolie maîtresse rousse.
Pour cacher mon trouble, je me suis réfugié derrière ma tasse de café, écoutant la suite de la nuit qui semblerait être de folie de Yollande et de Désiré.

• Un orgasme oui, jusqu’à tomber d’épuisement.
Tout à l’heure, lorsque nous nous sommes réveillés, il a remis ça.
Il a voulu me prendre à quatre pattes.
• Il t’a pris en levrette comme il se dit.

De nouveau, c’est Sophie qui prononce ces mots, levrette, moi aussi j’ai joui en levrette avec Lionnel.
Ma tasse est vide, mais pour cacher les rougeurs que je sens monter, je fais celle qui boit.

• Là encore dans l’ancien temps j’aurais rué dans les brancards.
J’ai accepté de me retourner, il a de nouveau aspiré et sucé ma chatte, et, et, et.
• Ne me dit pas qu’il t’a sodomisé !
• Si, mais je vous embête avec mes histoires de famille, vous avez peut-être d’autre chose à faire.
• Continue Yollande, je suis satisfaite que tu aies suivi les conseils de Marie, je dirais même les bons conseils de Marie.
• Oui, il m’a mis par-derrière, j’ai eu un peu mal, mais par amour pour celui que j’avais retrouvé, j’ai tout accepté même le sperme dans mon anus.
Bon, j’ai dit que je voulais parler de deux choses, la suite de vos bons conseils, mais aussi de la disparition de Mia.
Une fois ce que je viens de vous dire terminé, je me suis levée pour préparer le petit déjeuner aux enfants alors que semblant satisfait en homme comblé, Désiré s’est rendormi.
Je les avais entendus dans la nuit, mais le chocolat de Mia refroidissait, je suis allé dans sa chambre, le lit était nickel.
J’ai été voir son frère qui finissait de se raser.
Il était rentré seul, il m’a expliqué que sa sœur étant avec quelques jeunes copains, j’ai peur qu’elle n’ait disparu avec l’un d’eux.

Nous rassurons Yollande, un point que j’ai oublié de mentionner.
Yollande nous a tenu ce discours aussi nue que je suis nue moi-même.
Il semblerait qu’en une nuit et sur ce qu’elle croit des conseils éclairés par la lumière du très haut, elle ait perdu toute inhibition lorsque sa chatter a été rasé.
Quant à la disparition de Mia, je suis à deux doigts de lui dire d’aller à la rivière, les cris de plaisir d’une femme dans la nuit étant certainement sortie de la bouche de celle qu’elle doit considérer comme une enfant.
Le deuxième endroit où elle devrait chercher s’ils ont quitté l’herbe fraîche, c’est devant le bungalow 17.
Hier lors de notre tourné avec Sophie, elle m’a montré et dit le nom de ses clients.
Les Pinard, un bungalow et une tente à l’extérieur pour le fils.
Les Duchemin, couple naturiste venant chaque année, bungalow 12 et ainsi de suite.
La tente où Mia a terminé certainement sa nuit, il suffit d’y aller voir, mais mieux attendre qu’elle en sorte et rejoigne sa famille, inutile de me mêler plus longuement de la vie de cette dernière.
Je parle de la Famille Boulay.
C’est à ce moment que le téléphone sonne.

• Réponds Marie, je vais chercher une autre tasse de café, Marie, en veux-tu ?

À mon signe de tête, elle récupère ma tasse, que je viens de poser sur le comptoir, je la regarde se diriger vers la cuisine tortillant son joli cul.
Dire que dans peu de temps, je vais devoir retourner vers la morne vie de mon couvent, même si c’est celui de sainte Thérèse de Lisieux.

• Je vous laisse, moi aussi, encore merci, pour ce que vous avez fait pour mon couple, je vais chercher Mia.

Yollande nous quitte, Sophie, me quitte.

• Oui, Franck, j’ai reconnu votre voix !
Oui, j’aide Sophie à l’accueil du camping.

Je vais pour prononcé les mots de « camping naturiste » lorsque je prends conscience que c’est la première fois que je parle à quelqu’un au téléphone dans le plus simple appareil.
Franck mon garagiste a-t-il lui aussi conscience qu’il parle à une bonne sœur elle-même dans le plus simple appareil et que je dois l’avoué, j’aime ça.
Je me réfugie derrière les mots, ce sont eux qui m’habile le temps de ce coup de fil.

• Que me dite-vous ma voiture est prête !
Vous avez reçu le cardan hier au soir et vous avez travaillé toute une partie de la nuit pour le remonter.

Là, je coupe les répétitions de ce qu’il me dit, Sophie revient, me tend ma tasse de café tout chaud et me parle de ma condition de none.
Il a tout fait pour qu’une sœur, puisse aller voir sa mère le plus tôt possible.

• Ta voiture est prête, tout à une fin !

C’est l’ultime moment de lui dire toute la vérité, rien que la vérité…

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