COLLECTION LESBIENNE. Découverte de notre sexualité (2/2) - histoire érotique

• Céline, je peux te demander quelque chose !

Ayant accepté, c’est ainsi que je me retrouve sur les bras avec mon amie, pensant qu’elle est lesbienne, car je lui ai fait voir comment une jeune fille doit savoir se masturber.
Il est vrai, qu’emportée par mes élans sexuels, je lui ai fait un cunnilingus arrive à la faire jouir.
Mais revenons à Paul mon beau-père, c’est lui qui est venu derrière moi et qui m’a fait sentir sa verge, première que je sentais sans la voir encore.
Comme je l’ai dit la masturbation, j’en avais fait le tour et bien que je sache que c’était le mec de ma mère j’ai voulu voir une vraie bite.
J’ai donc accepté de me retourner et de m’agenouiller pour sortir sa verge de sa protection.
Je viens de faire un peu de même avec le clito de Laure que j’ai fait sortir de sous son capuchon, la propulsant dans le monde des filles sachant jouir.
Elle était bien là, la bite de mes rêves, attention la bite, pas celui qui la détenait, ça aurait été un autre à ce moment là, ça aurait été pareil, je l’aurais gobé en un seul morceau.
Lorsqu’il m’avait mis sa main sur mon sein, j’avais senti qu’eux aussi aimaient être saisis, mes pointes s’érigeant.
J’avais été conçu pour le sexe et c’est tout naturellement que l’autre mon suborneur m’a porté jusqu’à la table j’ai cocufié maman lorsque sa bite m’a dépucelé.
Depuis régulièrement nous baisons ensemble jusqu’à ce samedi où j’ai un rendez-vous dont je vais faire profiter Laure pour qu’elle se détache de moi.

• Bonjour Laure, entre, je vais te surprendre, j’ai quelqu’un à te présenter.
• Mais je pensais être seule avec toi !
Je t’aime et je veux te le prouver, j’aimerais te sucer ton si grand clito et te faire jouir en voyant la femme fontaine que tu m’as dit être.
• Entre, voici Jeremy, le connais-tu ?
• Non, est-il dans notre lycée ?
• Oui, mais déjà en fac de droit, Jeremy lorsque tu m’as demandé si tu pouvais venir cette après-midi, j’ai tout de suite compris que tu étais puceau.
Ça se voyait comme ton nez regardant péter les anges à la rougeur sur ton visage.
J’ai été honoré que tu aies le courage de perdre ta timidité et me demander de coucher avec toi, car je pense que ce serait comme cela que les choses se seraient passé !
• Je dois le reconnaître, ça fait des mois que je kiff pour toi.
• Et si pour le prix d’une tu en avais deux à ta disposition, ce serait un bel exploit pour un puceau de ton âge.
Tu pourrais t’en vanter auprès de tes copains et enfin passer pour le balaise que tu aspires à être !
• Oh non, je suis l’homme d’une seule femme, si nous faisons l’amour je te demanderais en mariage.

La première fois, j’ai dit « mince », quand Laure m’a avoué son amour, là je dis « Merde ».
Je pensais régler l’amour subit découvert par Laure pour moi, mais je me retrouve avec son pendant mâle espérant me baiser puis m’épouser.

• Jeremy, comment trouves-tu mon amie Laure ?
• Très jolie fille !
• J’aime le « très », elle pourrait être celle qui te dépucelle ?
• Céline, comment peux-tu me jeter dans les bras de ce beau gosse.
• J’aime ce « beau gosse », si tu dois être une lesbienne, je te croirais lorsque tu auras été dépucelé ce « beau gosse comme tu dis et que lui en aura fait de même en t’enlevant ton hymen.

Je voulais que Jeremy dépucelle Laure, j’espérais que j’en serais débarrassée.
Nous sommes au bord de la piscine de mes parents partis au ski pour le week-end au-dessus de Nice là où il y a encore de la neige.

• Aller, pas de temps à perdre, je vous propose de nous déshabiller et de plonger une tête.

La piscine est petite et creusée par Paul, il m’a baisé dans la cuisine, mais je suppute qu’il envisageait de le faire dès les beaux jours la température étant en train de monter.
Je me mets en tenue d’Ève.

• J’ai dit à poil, je vois bien que l’un et l’autre sont en simples sous-vêtements.
Vous allez repartir la chatte à l’air pour toi Laure et la queue à même ton futal Jeremy !
Laure fait voir à Jeremy ta chatte que je t’ai rasée mercredi dans ton lit.

Ils s’exécutent l’un comme l’autre plaçant leurs mains ou leur bras sur seins, chatte et verge, ils sont à se tordre alors que je suis parfaitement à l’aise.
Nous sautons dans l’eau et nous nageons.
Je m’arrête.

• Laure fait semblant de te noyer, Jeremy va te sauver et lorsque tu seras dans ses bras, le reste viendra naturellement.

Un peu conne la copine, elle coule et se met à battre des mains, quelle conne, car je me rends compte qu’elle se noie réellement.
Jeremy bien musclé voit la situation et la sauve en la remontant sur l’herbe bien rasée par Paul pour la première fois de l’année.
Perfide, je lâche.

• Fais-lui du bouche-à-bouche, ça va l’aider à respirer.

Il le fait et s’est moi qui l’aide à lui mettre sa verge dans sa chatte après quelques petites manipulations manuelles l’aidant à bander assez dur pour entrer.

Voilà, ça fait dix-huit mois que Jeremy a dépucelé Laure, je me suis débarrassé des deux d’un coup et ils sont devant monsieur le maire avant de retrouver le curé.
Je suis la demoiselle d’honneur, avec à mes côtés un jeune puceau, Julien le frère de Jeremy.
Laure a dépucelé Jeremy, je vais m’occuper du frère.
Il aura de la chance, au tarif que je prends que je lui enlève sa rondelle à l’œil.
Oui, après l’après-midi à la piscine, c’est Paul qui me prenait sur un transt lorsque maman a débarqué.
C’était un voisin, qui nous avait vus depuis son grenier seul endroit où il pouvait nous voir, vu l’isolement de la piscine.
Il l’avait appelé et elle était venue pour constater la salope que j’étais.
Elle nous a virée tous les deux, j’ai su plus tard à qui le crime avait servi à ce voisin qui maintenant profite du cul de ma mère et de la piscine de Paul.
Les premiers jours, j’ai vécu à l’hôtel avec Paul.
Bien sûr, Laure a eu son bac, moi pas et a rejoint Jeremy en fac de droit.
Je venais d’avoir les résultats lorsque je sirotais une menthe à l’eau au bar lorsqu’un homme m’a abordé.

• 300 !

C’est ce que je lui ai demandé croyant que j’étais une pute.
Sans dire que j’ai aimé me faire prendre par ce type comme Paul me prenait, l’argent facile a fait de moi une pute.
Pardon, une escorte grâce aux photos fournies à un site d’escorte que l’on trouve sur Internet.
Gratuit donc pour ce puceau alors que mes tarifs sont plutôt dans les 1 000 à 1 500 voire 20 000 comme dans deux jours ou ayant récupéré mon passeport et mon visa, je pars pour New York.
New York emmené par Michel, Chirurgien dentiste qui m’emmène pour un congrès dans sa spécialité, l’orthodontie, sa femme refuse de prendre l’avion.
Il y a peu, j’ai été à un congrès de responsable d’une société ayant son siège à Brest.
J’ai vite fait le tour de la ville et le premier jour j’ai attendu mon client qui l’a défoncé dès qu’il a été libéré avant de m’emmener dans un club avec plusieurs de ses copains.
5 000 € pour les trois jours à me faire baiser, mais aussi faire la potiche, car ces mecs aiment avoir de belles filles pour les exhiber.
Le deuxième jour, je suis allée en ville et j’ai levé un jeune marin de passage à Brest.
Un jeune officier élève qui se promenait.
Nous sommes allés dans l’hôtel, chambre payée par l’autre client et je me suis fait 1 000 € de gratte sur son compte.
6 000 pour trois jours, trouvez mieux !
Je sais baiser pour de l’argent pour certains où certaines c’est immoral, mais j’ai mon indépendance, mes clients me payent, me baisent, m’exhibent et basta je suis libre de ma vie.
Avec mes économies de mes nombreuses passes précédentes, je vais pouvoir donner la première traite de l’appartement près du centre Pompidou ou je vais recevoir mes clients.

Laure venant de dire oui, va réaliser son rêve de jeune fille d’épouser le prince charmant, Jeremy pour sa part aura trouvé la seule femme de sa vie comme il espérait que je serais celle-là.
Dans quelques semaines, ils m’apprendront que Laure attend un enfant et me demanderons d’être la marraine.
Julien , s’est fait, le soir du mariage de son frère, je l’ai sucé puis il a perdu sa rondelle d’une seule poussée.
Pourquoi vous dire ou ?
Peu importe, la porte était fermée et j’ai entendu son père venir pisser un coup.
Je l’ai reconnu à sa voix, vieux beau, j’en ferais bien un de mes clients, je sais qu’il a le fric pour.

Mais pour moi, mon envie de voyage commence par New York et après où mon travail voudra me faire découvrir je me laisserais porter sans que mon cœur batte pour quiconque sauf pour mon dieu pognon.