COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (7/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (7/8)
Noël est passé depuis plus de quatre mois.
Que peut-on dire de cette période ?
Je suis toujours une femme pour femme, je continue à me prostituer avec des femmes de la haute société parisienne.
Le soir de Noël, il m’est arrivé deux aventures.
La première à la messe de minuit, ayant lieu à 22 heures dans l’église voisine de l’hôtel particulier de Charlotte de V, V car il vaut mieux éviter de donner trop de détails aux maris qui pourraient lire mes lignes.
Ces maris qui apprendraient que leur argent sert à rétribuer une pute par leurs femmes refusant de leur dire qu’elles étaient lesbiennes et qu’elles s’étaient mariées pour garder leur lignée.
C’est différent pour Charlotte qui a mis au monde Marie, ma concubine après s’être fait injecter du sperme venant d’un académicien ayant apporté sa grande culture à celle que j’aime et qui m’aime.
C’est le soir, à la fin du réveillon, que j’ai suivi Marie chez elle, à deux pas de la résidence de sa mère avenue Foch à Paris.
Elle m’a déshabillée, je l’ai déshabillée et après nous être caressées, nous avons fait l’amour de la meilleure des façons que nous pouvions le faire entre filles.
Nous avons joui simultanément, nos doigts nous occupant de nos clitoris respectifs.
Quand ma bouche s'est approchée de celui de mon amie, j’ai constaté que j’avais devant mes yeux, le clito le plus développé vu de ma jeune vie.
Il nous a permis deux choses, la première le sucer comme les putes, femmes pour hommes, doivent savoir le faire avec des bites.
Ma langue puis ma bouche l’ont léché puis aspiré.
Quand ma bouche a aspiré son excroissance, comme je le faisais petite avec des roudoudous, elle a hurlé de plaisir.
J’ai eu peur qu’elle n'ameute les voisins, mais je m’en fichais seul son plaisir comptais.
La deuxième, cette petite bite dès ce soir-là, a pu entrer dans ma chatte quand face à face nos sexes se sont rejoints.
Des clitos caressant mon clito, j’en ai souvent caressé dans cette position, mais des me pénétrant, c’était la première fois.
Il est bien connu qu’en amour tout ce qui est nouveau est jouissif et après l’avoir fait jouir, j’ai joui à mon tour.
Là une nouvelle fois les voisins ont dû crier au viol.
Nous avons vécu en vase clos pendant quatre jours, le cinquième, Marie ayant par chance pris quelques jours de congé, devait retourner à son cabinet d’avocats fiscalistes.
J’avais refusé de répondre à tous les appels sur mon portable que j’avais carrément éteint.
- Viviane, tu peux rallumer ton portable et aller voir tes clientes.
- Tu me chasses, alors que j’ai abandonné papa depuis Noël.
- Je sais, mais tu as appelé l’institut sur ton deuxième portable tous les jours.
Tu sais ton portable contenant tes numéros personnels.
Pour tout te dire, je suis fâchée, le mien brille par son absence.
- Je vais le mettre tout de suite, mais si je démarre l’autre, je vais recevoir des appels et comment prendras-tu le fait que je me prostitue après les doux moments que nous avons passés ensemble.
- J’ai pour habitude d’éviter de mélanger plaisir et travail.
Aujourd’hui, je retourne au cabinet que je compte diriger rapidement, j’ai déjà grâce à mon père 40 % des parts.
Je vais faire travailler mon cerveau pour permettre à des personnes plus riches que moi de contourner le fisc.
Je me prostitue donc par l’intermédiaire de ce cerveau pour rester riche voire devenir plus riche.
Toi ma chérie, tu te prostitues avec des chattes étant devenue une femme pour femme, pour que ton papa puisse finir ses jours dignement.
Qui est la plus grande des putains toi ou moi ?
Alors va faire ta fortune avec ta chatte et surtout ta langue, elle est divine.
Si tu le veux, va chercher toutes tes affaires, je veux que nous vivions ensemble.
Ça été le plus beau jour de ma vie, à partir de ce moment j’ai vécu jusqu’à ce jour de mai où débutent les beaux jours et où ma vie va être bousculée une nouvelle fois.
Mais, continuons à rapporter ce qui est arrivé après Noël.
Lors du repas de réveillon, après avoir bien fini dans les bras de Marie, j’ai fait la connaissance de Yolande, gouine se prenant pour un homme, la queue en moins.
Cette femme, si c’en est une, a séduit la maman de Marie mon amour.
Je l’ai vu caresser Lise la servante pendant qu’elle servait le café, sa main passant sous les jupes de la petite.
Puis quelques minutes plus tard, grâce à une glace en dansant, frottant ma chatte pour la première fois avec la chatte de ma conquête, je l’ai vu caresser dans la cuisine, les seins de cette petite qui semblait refuser ses attouchements.
Ayant repris la tournée de mes clientes, quelques jours après, nous sommes allées voir Charlotte pour lui présenter nos vœux.
D’entrée j’ai vu le changement, Yolande brillait par son absence.
Je me suis bien gardée de poser la moindre question, c’est Charlotte qui a évoqué son départ et la nouvelle amie de sa vie.
À la suite de mes révélations à Marie sur le comportement de la maîtresse de sa mère et qu’elle l’ait appelé depuis le hall de son immeuble, Charlotte s'est intéressée de très près à certains faits qui l’avaient traversé mais comme à son âge, elle avait peur de se retrouver seule elle n’y avait pas plus tenu attention que cela.
Un des faits, c’était l’autorisation de faire des chèques sur ses comptes, sous couvert de rendre service dans les choses courantes de la vie.
C'est plusieurs milliers d’euros qu’elle avait sortis.
Charlotte est propriétaire de nombreux logements dans Paris, elle encaissait les loyers et les mettait dans sa poche au lieu de les porter chez le comptable.
Elle avait dit à ce dernier que son amie avait un autre chargé d’affaires et que c'est lui qui reprenait la gestion de ces logements.
Ça avait fait partie d’un de ses doutes, elle l’avait vu un jour sans comprendre ce qu’il lui disait, mais en femme un peu frivole, elle s’était arrêtée là.
Deux solutions s’offraient à elle, soit aller à la police et porter plainte, mais c’est la deuxième solution, sur le conseil de Marie qu’elle avait suivie.
Reconnaissance de ses malversations, je peux même dire de ses vols au bureau de Marie dans sa chambre forte.
Restitution de tout ce qu’il y avait sur son compte, grande partie de ce qu’elle avait détourné.
Le reste, c’est son mac à qui elle avait tout donné.
Elle avait fait croire à Charlotte qu’elle était une lesbienne mâle alors qu’elle était bisexuelle et avait un souteneur.
Tout réglé, cette salope, nous l’avions envoyé se faire pendre ailleurs.
Reste Charlotte se trouvant seul, avec Marie, nous sommes venues parler à Lise qui avait confirmé que Yolande la pourchassait de ses assiduités depuis plusieurs semaines.
Elles avaient même couché ensemble dans son lit un jour où elle était en soin à son institut de beauté.
J’ai bien vu qu’elle était plus gênée qu’elle aurait dû l’être.
Elle a fini par nous avouer que Polo le mac de Yolande était venu un après-midi et que le couple l’avait obligé à coucher avec eux.
Elle voulait le dire à Charlotte, mais il avait sorti un flingue qu’il lui avait mis sur la tempe, lui disant que si elle parlait il ferait sauter le caisson à sa patronne.
Tour à tour, elle s’était fait baiser par le gars et aussi par Yolande qui avait sorti d’un tiroir le gode ceinture de la maman de ma petite amie.
Le gode a fini au vide-ordure, Charlotte voyait mal continuer à s’en servir, car la petite lui a avoué que la Yolande, elle avait enculé avec, le Polo qui en redemandait.
Quant à Lise, Charlotte l’a promue comme sa dame de compagnie.
Quand on a les moyens, on peut embaucher.
Une nouvelle femme de service est venue la remplacer.
Pour éviter les risques Lucette vient de pôle emploi, elle a 52 ans mais cuisine divinement bien.
Pour Pâques avec Marie, nous avons offert aux deux amantes un nouveau gode ceinture qu’elles se sont empressées d’aller essayer.
De temps en temps, nous allions dans la chambre de jeune fille de Marie, c’est ce que nous avons fait même si le lit à une place était exigu, pour se brouter les chattes il nous faut peu d’espace.
D’un côté à l’autre du couloir, c’était à celle qui hurlerait le plus fort de plaisir.
Quand nous nous sommes retrouvées dans la salle après avoir largement profité de nos sexes, Lucette avait fait des crêpes sucrées, étant bretonne.
Nous nous connaissant mieux, c’est le cas de le dire, j’ai fini par poser la question de son père à Marie.
Je me souvenais que Charlotte m’avait dit qu’elle ignorait qui était son père s’étant fait inséminer.
J’ai enfin décidé à lui poser la question.
- Dis-moi ma chérie, ta maman m’avait dit que tu ignorais qui était ton père or tu m’as dit que tu avais hérité de cet immeuble où nous habitons au dernier étage avec une vue sur Paris de la terrasse devant la salle à manger ?
- C’est facile, un jour j’étais dans ma chambre à faire mes devoirs, j’avais un examen important.
Ma porte de chambre était mal fermée, je me suis levée pour la fermer.
J’ai entendu mère parler à une amie.
Elles devaient penser qu’il m’était impossible de l’entendre, mais j’ai clairement compris qu’il s’agissait de moi et de ma naissance.
J’ai entendu simplement « comment lui dire que mon copain Jean académicien m’a aidé à avoir un enfant sans que nous fassions l’amour ensemble ».
- Depuis elle te l’a dit !
- Toujours pas, depuis que je suis en âge de comprendre, je lui avais posé la question de qui m’avait conçu.
Sa réponse était dans un grand éclat de rire que j’étais née de l’opération du Saint-Esprit.
- Elle se prenait pour la Sainte Vierge.
- C’est tout comme, j’avais perdu l’habitude de lui demander, persuadée qu’elle me donnerait toujours la même réponse.
- Et tu as enquêté à l’Académie française qui pouvait être ce Jean ?
- C’est ça, 40 hommes, 40 têtes et une seule qui était obligée de me renier.
- Es-tu allée le rencontrer ?
- Ça a été difficile, il était lui-même marié, un jour j’étais dans un café près de chez lui.
Il m’a vu et il est venu vers moi.
Il s’est présenté, ce que mère ignore c’est que toute ma jeunesse, il avait suivi ma scolarité et savait même que j’étais porté vers les femmes comme ma mère.
- C’est incroyable.
Ce jour-là nous avons fini sur notre lit, aussi nues l’une que l’autre.
J’ai interrompu son histoire, sachant qu’elle continuerait à tout me dire après ces moments de plaisir.
Sa chatte a accueilli ma main, je la connais par cœur, je sais comment faire pour qu’elle démarre.
J’ai même fait mieux, mes doigts puis ma main sont entrés au plus loin que j’ai pu.
De son côté sa main en a fait de même, nous fistant simultanément.
Tout ça a continué jusqu’aux premiers beaux jours de mai…
Que peut-on dire de cette période ?
Je suis toujours une femme pour femme, je continue à me prostituer avec des femmes de la haute société parisienne.
Le soir de Noël, il m’est arrivé deux aventures.
La première à la messe de minuit, ayant lieu à 22 heures dans l’église voisine de l’hôtel particulier de Charlotte de V, V car il vaut mieux éviter de donner trop de détails aux maris qui pourraient lire mes lignes.
Ces maris qui apprendraient que leur argent sert à rétribuer une pute par leurs femmes refusant de leur dire qu’elles étaient lesbiennes et qu’elles s’étaient mariées pour garder leur lignée.
C’est différent pour Charlotte qui a mis au monde Marie, ma concubine après s’être fait injecter du sperme venant d’un académicien ayant apporté sa grande culture à celle que j’aime et qui m’aime.
C’est le soir, à la fin du réveillon, que j’ai suivi Marie chez elle, à deux pas de la résidence de sa mère avenue Foch à Paris.
Elle m’a déshabillée, je l’ai déshabillée et après nous être caressées, nous avons fait l’amour de la meilleure des façons que nous pouvions le faire entre filles.
Nous avons joui simultanément, nos doigts nous occupant de nos clitoris respectifs.
Quand ma bouche s'est approchée de celui de mon amie, j’ai constaté que j’avais devant mes yeux, le clito le plus développé vu de ma jeune vie.
Il nous a permis deux choses, la première le sucer comme les putes, femmes pour hommes, doivent savoir le faire avec des bites.
Ma langue puis ma bouche l’ont léché puis aspiré.
Quand ma bouche a aspiré son excroissance, comme je le faisais petite avec des roudoudous, elle a hurlé de plaisir.
J’ai eu peur qu’elle n'ameute les voisins, mais je m’en fichais seul son plaisir comptais.
La deuxième, cette petite bite dès ce soir-là, a pu entrer dans ma chatte quand face à face nos sexes se sont rejoints.
Des clitos caressant mon clito, j’en ai souvent caressé dans cette position, mais des me pénétrant, c’était la première fois.
Il est bien connu qu’en amour tout ce qui est nouveau est jouissif et après l’avoir fait jouir, j’ai joui à mon tour.
Là une nouvelle fois les voisins ont dû crier au viol.
Nous avons vécu en vase clos pendant quatre jours, le cinquième, Marie ayant par chance pris quelques jours de congé, devait retourner à son cabinet d’avocats fiscalistes.
J’avais refusé de répondre à tous les appels sur mon portable que j’avais carrément éteint.
- Viviane, tu peux rallumer ton portable et aller voir tes clientes.
- Tu me chasses, alors que j’ai abandonné papa depuis Noël.
- Je sais, mais tu as appelé l’institut sur ton deuxième portable tous les jours.
Tu sais ton portable contenant tes numéros personnels.
Pour tout te dire, je suis fâchée, le mien brille par son absence.
- Je vais le mettre tout de suite, mais si je démarre l’autre, je vais recevoir des appels et comment prendras-tu le fait que je me prostitue après les doux moments que nous avons passés ensemble.
- J’ai pour habitude d’éviter de mélanger plaisir et travail.
Aujourd’hui, je retourne au cabinet que je compte diriger rapidement, j’ai déjà grâce à mon père 40 % des parts.
Je vais faire travailler mon cerveau pour permettre à des personnes plus riches que moi de contourner le fisc.
Je me prostitue donc par l’intermédiaire de ce cerveau pour rester riche voire devenir plus riche.
Toi ma chérie, tu te prostitues avec des chattes étant devenue une femme pour femme, pour que ton papa puisse finir ses jours dignement.
Qui est la plus grande des putains toi ou moi ?
Alors va faire ta fortune avec ta chatte et surtout ta langue, elle est divine.
Si tu le veux, va chercher toutes tes affaires, je veux que nous vivions ensemble.
Ça été le plus beau jour de ma vie, à partir de ce moment j’ai vécu jusqu’à ce jour de mai où débutent les beaux jours et où ma vie va être bousculée une nouvelle fois.
Mais, continuons à rapporter ce qui est arrivé après Noël.
Lors du repas de réveillon, après avoir bien fini dans les bras de Marie, j’ai fait la connaissance de Yolande, gouine se prenant pour un homme, la queue en moins.
Cette femme, si c’en est une, a séduit la maman de Marie mon amour.
Je l’ai vu caresser Lise la servante pendant qu’elle servait le café, sa main passant sous les jupes de la petite.
Puis quelques minutes plus tard, grâce à une glace en dansant, frottant ma chatte pour la première fois avec la chatte de ma conquête, je l’ai vu caresser dans la cuisine, les seins de cette petite qui semblait refuser ses attouchements.
Ayant repris la tournée de mes clientes, quelques jours après, nous sommes allées voir Charlotte pour lui présenter nos vœux.
D’entrée j’ai vu le changement, Yolande brillait par son absence.
Je me suis bien gardée de poser la moindre question, c’est Charlotte qui a évoqué son départ et la nouvelle amie de sa vie.
À la suite de mes révélations à Marie sur le comportement de la maîtresse de sa mère et qu’elle l’ait appelé depuis le hall de son immeuble, Charlotte s'est intéressée de très près à certains faits qui l’avaient traversé mais comme à son âge, elle avait peur de se retrouver seule elle n’y avait pas plus tenu attention que cela.
Un des faits, c’était l’autorisation de faire des chèques sur ses comptes, sous couvert de rendre service dans les choses courantes de la vie.
C'est plusieurs milliers d’euros qu’elle avait sortis.
Charlotte est propriétaire de nombreux logements dans Paris, elle encaissait les loyers et les mettait dans sa poche au lieu de les porter chez le comptable.
Elle avait dit à ce dernier que son amie avait un autre chargé d’affaires et que c'est lui qui reprenait la gestion de ces logements.
Ça avait fait partie d’un de ses doutes, elle l’avait vu un jour sans comprendre ce qu’il lui disait, mais en femme un peu frivole, elle s’était arrêtée là.
Deux solutions s’offraient à elle, soit aller à la police et porter plainte, mais c’est la deuxième solution, sur le conseil de Marie qu’elle avait suivie.
Reconnaissance de ses malversations, je peux même dire de ses vols au bureau de Marie dans sa chambre forte.
Restitution de tout ce qu’il y avait sur son compte, grande partie de ce qu’elle avait détourné.
Le reste, c’est son mac à qui elle avait tout donné.
Elle avait fait croire à Charlotte qu’elle était une lesbienne mâle alors qu’elle était bisexuelle et avait un souteneur.
Tout réglé, cette salope, nous l’avions envoyé se faire pendre ailleurs.
Reste Charlotte se trouvant seul, avec Marie, nous sommes venues parler à Lise qui avait confirmé que Yolande la pourchassait de ses assiduités depuis plusieurs semaines.
Elles avaient même couché ensemble dans son lit un jour où elle était en soin à son institut de beauté.
J’ai bien vu qu’elle était plus gênée qu’elle aurait dû l’être.
Elle a fini par nous avouer que Polo le mac de Yolande était venu un après-midi et que le couple l’avait obligé à coucher avec eux.
Elle voulait le dire à Charlotte, mais il avait sorti un flingue qu’il lui avait mis sur la tempe, lui disant que si elle parlait il ferait sauter le caisson à sa patronne.
Tour à tour, elle s’était fait baiser par le gars et aussi par Yolande qui avait sorti d’un tiroir le gode ceinture de la maman de ma petite amie.
Le gode a fini au vide-ordure, Charlotte voyait mal continuer à s’en servir, car la petite lui a avoué que la Yolande, elle avait enculé avec, le Polo qui en redemandait.
Quant à Lise, Charlotte l’a promue comme sa dame de compagnie.
Quand on a les moyens, on peut embaucher.
Une nouvelle femme de service est venue la remplacer.
Pour éviter les risques Lucette vient de pôle emploi, elle a 52 ans mais cuisine divinement bien.
Pour Pâques avec Marie, nous avons offert aux deux amantes un nouveau gode ceinture qu’elles se sont empressées d’aller essayer.
De temps en temps, nous allions dans la chambre de jeune fille de Marie, c’est ce que nous avons fait même si le lit à une place était exigu, pour se brouter les chattes il nous faut peu d’espace.
D’un côté à l’autre du couloir, c’était à celle qui hurlerait le plus fort de plaisir.
Quand nous nous sommes retrouvées dans la salle après avoir largement profité de nos sexes, Lucette avait fait des crêpes sucrées, étant bretonne.
Nous nous connaissant mieux, c’est le cas de le dire, j’ai fini par poser la question de son père à Marie.
Je me souvenais que Charlotte m’avait dit qu’elle ignorait qui était son père s’étant fait inséminer.
J’ai enfin décidé à lui poser la question.
- Dis-moi ma chérie, ta maman m’avait dit que tu ignorais qui était ton père or tu m’as dit que tu avais hérité de cet immeuble où nous habitons au dernier étage avec une vue sur Paris de la terrasse devant la salle à manger ?
- C’est facile, un jour j’étais dans ma chambre à faire mes devoirs, j’avais un examen important.
Ma porte de chambre était mal fermée, je me suis levée pour la fermer.
J’ai entendu mère parler à une amie.
Elles devaient penser qu’il m’était impossible de l’entendre, mais j’ai clairement compris qu’il s’agissait de moi et de ma naissance.
J’ai entendu simplement « comment lui dire que mon copain Jean académicien m’a aidé à avoir un enfant sans que nous fassions l’amour ensemble ».
- Depuis elle te l’a dit !
- Toujours pas, depuis que je suis en âge de comprendre, je lui avais posé la question de qui m’avait conçu.
Sa réponse était dans un grand éclat de rire que j’étais née de l’opération du Saint-Esprit.
- Elle se prenait pour la Sainte Vierge.
- C’est tout comme, j’avais perdu l’habitude de lui demander, persuadée qu’elle me donnerait toujours la même réponse.
- Et tu as enquêté à l’Académie française qui pouvait être ce Jean ?
- C’est ça, 40 hommes, 40 têtes et une seule qui était obligée de me renier.
- Es-tu allée le rencontrer ?
- Ça a été difficile, il était lui-même marié, un jour j’étais dans un café près de chez lui.
Il m’a vu et il est venu vers moi.
Il s’est présenté, ce que mère ignore c’est que toute ma jeunesse, il avait suivi ma scolarité et savait même que j’étais porté vers les femmes comme ma mère.
- C’est incroyable.
Ce jour-là nous avons fini sur notre lit, aussi nues l’une que l’autre.
J’ai interrompu son histoire, sachant qu’elle continuerait à tout me dire après ces moments de plaisir.
Sa chatte a accueilli ma main, je la connais par cœur, je sais comment faire pour qu’elle démarre.
J’ai même fait mieux, mes doigts puis ma main sont entrés au plus loin que j’ai pu.
De son côté sa main en a fait de même, nous fistant simultanément.
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