COLLECTION LESBIENNE. La malle de ma jeunesse (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 2410 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 033 980 visites.
Récit libertin : COLLECTION LESBIENNE. La malle de ma jeunesse (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 638 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
COLLECTION LESBIENNE. La malle de ma jeunesse (1/1)
• Jennifer, peux-tu m’aider pour vider le dessous du toit, Sylvain a fait faire un devis pour isoler les combles, laines de verre, placos, Velux, nouveau parquet, nous allons en faire une salle de jeux pour mettre le billard qu’ils veulent acheter !
Il veut que je vide toutes les choses accumulées depuis le début de notre mariage, pour le moment, l’on accède grâce à cette trappe avec son échelle repliable.
Dans les travaux, il va faire poser le magnifique escalier en bois que Doris ton mari est en train de fabriquer, tu as de la chance d’avoir un mari qui sait se servir de ses mains.
• Parce que le tien, ses mains, il ne sait pas s’en servir, pourtant depuis que j’ai été ton témoin de mariage, tu sembles épanouie !
• Je n’ai pas à me plaindre, c’est vrai, bien que nous ayons perdu notre fougue d’antan.
• Il est vrai que ce n’est pas commun de perdre son pucelage, le même jour à la même heure, même à la même seconde sur la même plage, nous tenant la main toutes les deux.
• Tu te souviens, le plus drôle, c’est que c’est Sylvain qui est entré en toi et Doris en moi, avant de nous apercevoir que nous avions fait une erreur et que nous nous soyons mariés avec l’autre.
• Je te jure, que je ne me souviens plus de l’effet de sa bite en moi, depuis tout ce temps, Doris a su me combler et être l’homme de ma vie.
• Ne fais pas semblant de croire que nos deux grossesses ne peuvent pas faire que l’une élève l’enfant de l’autre, c’est vrai que nous avions fait cela pour nous débarrasser de notre pucelage et très vite, dès le lendemain nous avions rectifié notre amour réciproque pour nos hommes était criant.
• Ce qui est certain, si nous pouvons avoir le doute pour Cantin et Huguette, nos deux premiers enfants, Susy et Louis, nous n’avons aucun doute, ils sont nés deux ans après.
• À moins que tu ais continué de coucher avec mon mari et moi le tien !
• Tu me prends pour une Marie couche-toi là, depuis mon oui, je n’ai eu que mon homme dans ma chatte, par compte toi !
• Pareil, donc ces deux-là sont bien de nos hommes, as-tu déjà pensé à des tests ADN pour nos premiers ?
• Depuis que je sais que cela existe, bien sûr, mais j’ai renoncé, que dirait-on à nos maris et nos enfants, vous nous excusez, nous avions un doute, nous avons vérifié, Jennifer, j’ai deux garçons et moi Lucette deux filles, à quinze ans, faites vos valises nous vous rendons à vos mères biologiques respectives.
• Tu as raison, je vois mal dire à ma fille que son frère devient sa sœur, de toute manière, nous sommes leurs marraines de chacun d’eux donc aussi un peu leur mère en cas de problème, assez d’extrapolation, quand veux-tu que l’on commence, demain matin, je suis huit jours en vacances.
• Tu l’es toute l’année, ma chérie, comme moi, ne sommes-nous pas fonctionnaire à la mairie de notre ville.
• Tu as toujours aimé me vanner depuis que nous nous sommes assises le premier jour de notre maternelle sur le même banc, ok pour demain.
• Il va faire chaud, tenu léger.

Le lendemain, ayant construit nos maisons sur des terrains mitoyens, elle arrive, petit short, ras la moule et chemise nouée sous les seins, depuis que je la connais, ses seins sont la seule chose ayant pris du volume avec ses grossesses.

• Pour commencer, ouvrir la fenêtre, même si nous faisons poser des Velux, c’est pour la lumière sur leur tapis, viens m’aider, je ne me souviens pas l’avoir ouverte depuis que nous avons emménagé.
• Moi si, regarde ce matelas à moitié déglingué, vous l’avez changé après dix ans de votre mariage, tu avais mal au dos, vous étiez économes en ce temps-là, vous aviez décidé de le garder.
• C’est vrai, j’oubliais, les hommes étaient à la fenêtre, nous l’avions saucissonné et nous le guidions du bas, je crois qu’il faut lui faire faire le chemin inverse.

Je m’approche du matelas, en quoi est-il fait, impossible de lui faire traverser les dix mètres qui le séparent de la fenêtre pour le faire basculer.

• Laissons-le, Sylvain m’a dit qu’ils jetterais ce que nous ne pourrions pas jeter nous-mêmes.

Pendant deux heures, nous trimons, le nombre de choses inutiles que nous avons montées ici, fait un joli tas sous la fenêtre.

• Tiens, la malle de ta mère, tu l’as gardé !
Suis-je bête, nous l’avons monté quand elle nous a quittés et que nous étions obligés de libérer la chambre qu’elle louait, elle passait juste par la trappe, sinon, il fallait aller chercher les cordes ?
J’aime les vieilles affaires, tu pourrais en virer et garder deux trois choses en souvenir.
• Je crois qu’il y a des photos quand nous étions petites, ouvrons là.

Robes, en général ce sont des vêtements, les photos doivent être au fond.

• Regarde, la tenue que nous avions pendant la mode yé-yé, la jupe à carreaux de Sheila, la blouse noire et les socquettes, il y a même les ballerines que nous portions pour lui ressembler.
• Tu sais que moi aussi, j’ai gardé la mienne, nous les mettons pour nous amuser un peu, tu te vois recevoir nos hommes dans ces tenues années 60, 70 et de nos premiers émois.
Change-toi, je vais la chercher.

Aussitôt dit, aussitôt fait, je commence à me déshabiller pendant que je vois disparaître sa tête par la trappe.

• J’ai tout amené, je me voyais mal passer dans la rue jusqu’ici dans cette tenue.

Elle se déshabille, la voir nue et après enfiler ces vêtements, me rappelle des souvenirs.

• Te souviens-tu ?
• Et comment, on était habillées comme ça quand nous avons failli basculer ?
• Pour basculer, nous étions très près de basculer, nous étions dans ta chambre, c’était le début de nos émois de jeunes filles.
• Attends, j’ai apporté des élastiques pour nous refaire nos couettes, nous recouvrerons notre jeunesse.

Dans cette soupente, j’ai monté la psyché dont je me servais avant de changer notre chambre, c’est drôle, je nous revois dans les mêmes atours avec les années marquant nos visages et un peu nos corps.

• J’ai du mal à le dire, mais te souviens-tu du geste que tu as fait, manquant de nous faire basculer.
• Et comment, j’ai regretté d’avoir reculé ma main ?

En disant ces mots, j’avance cette même main que je glisse sous sa jupette.

• Ce dont je ne me souviens plus c’est pourquoi ce geste, nous parlions de quoi au juste !
• Souviens-toi, je te disais que depuis quelque temps, ma petite chatte me démangeait et que je m’étais aperçu que ma petite culotte était mouillée le soir quand je l’enlevais.
• C’est ça, aujourd’hui, tu mouilles.

En prononçant ces mots, je finis le geste entamé et ma main touche sa chatte, sa culotte est évidemment mouillée, elle passe sa main sous la mienne et bingo, moi aussi, je mouille.
Tout naturellement, nos bouches se trouvent et bien des années après, nous franchissons le pas de devenir des adeptes de Lesbos, nos doigts entrent dans nos culottes et nos clitoris sont trouvés.
Le sien est plus développé que le mien, je la pousse en même temps qu’elle me tire vers le matelas que nous avons par change laissé à notre disposition, je profite de sa stupeur, quoique, ses jambes s’écartent et ma bouche, mais surtout ma langue peut remplacer mes doigts.
Elle se tortille rapidement, non pas pour s’échapper, mais pour que j’aille plus loin en elle, quand elle jouit, m’envoyant sa cyprine dans la figure, elle est rouge de honte, deux minutes après, elle émerge.

• Qu’est-ce que l’on a fait, qu’est-ce que tu m’as fait, mais toi mon cœur, tu es resté sur la rive de notre plaisir, vient que je te lèche à mon tour ?

Je m’allonge en ouvrant mon compas, je porte un string mini-mini, elle n’a aucun mal à la contourner et avaler mon clitoris, je coule autant qu’elle coulait, j’ai vu un film ou des lesbiennes se frottaient la chatte, l’une, l’autre.

• Viens.

Nous trouvons la bonne position, nos caresses par nos sexes sur nos clitoris produisent leur effet, nous partons les deux en même temps dans un orgasme bien supérieur à ceux que nos époux nous offrent depuis longtemps.
Le soir, ils arrivent en même temps, Sylvain étant passé à l’atelier de Boris pour voir l’avancée de l’escalier, ils montent par la trappe et nous trouvent dans nos tenues, la seule chose que nous ayons faite, c’est d’ôter nos petites culottes bien mouillées.
Après les avoir sucés en tout bien tout honneur, chacun gardant sa chacune, Jennifer se couche son mec venant entre ses jambes pour la prendre, je me place en levrette, la chatte à la disposition de Sylvain qui la pénètre rapidement.
Sous les yeux étonnés de nos mâles, je me penche sur la bouche de mon amie que j’embrasse sans aucune retenue.

Dans les jours qui suivent, les travaux avancent, l’escalier est en place, chaque fois que nous le pouvons, nous nous gouinons avec Jennifer, même sous le regard toujours aussi étonné de nos hommes.
Ils ont pris leur parti de notre amour, surtout que nous ne les expulsons pas de nos jeux.

Une dernière chose, avant de vous quitter et de retrouver une soirée torride, nous avons décidé de recommencer à nous faire baiser par nos dépuceleurs, partouzer, pourquoi pas.
J’ai reçu ce matin une lettre recommandée à mon nom, le facteur toujours aussi sympa m’a demandé si Jennifer était chez moi, elle avait elle aussi une lettre du même organisme que les miens.
Quand il est parti sonner chez elle, j’ouvre la lettre.

« Après avoir reçu vos différents échantillons d’ADN, après analyse, les échantillons A et C sont de même souche, contrairement au B qui est en concordance avec l’échantillon D ».

Je traduis, mon fils est le fils de Doris, A et C et Susy la fille de Sylvain, je pense que Jennifer a les mêmes renseignements, nous n’en avons jamais parlé, ne voulant pas mettre plus de doute dans nos couples et nos enfants.

Dernière nouvelle, nous partouzons depuis quelques semaines tous les quatre sans capote, Doris m’a rempli le vagin tout comme Sylvain celui de Jennifer, chacune de nous avons un test de grossesse positif.
Avons-nous reproduit ce qui s’est passé lors de notre dépucelage, nous avons le doute, mais comme pour la première fois nous n’en disons rien ?
Un problème, les parrains et marraines, nos deux ainés feront bien cet office, ils ont un bon métier et pourront subvenir aux besoins de leur frère ou sœur, après leur mariage.
Alors que je sortais des bras de Jennifer, nos chattes bien rassasier, je me suis demandé si ce mariage n’était pas contre nature, il m’était impossible d’en parler avec ma jolie maîtresse qui m’a fait craquer avec ses couettes.
C’était lui dire que j’avais fait faire des tests ADN et que je savais qu’elle aussi, je consulte Internet, ouf, j’ai la réponse, même d’un médecin qui surfe à ses heures perdu, aucun risque de consanguinité.

Nous pouvons vivre heureux, après avoir jeté le matelas et placé un canapé près du billard.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : COLLECTION LESBIENNE. La malle de ma jeunesse (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par CHRIS71

COLLECTION LIBERTINAGES. Mariage libertin (1/1) - Récit érotique publié le 13-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (20/20) - Récit érotique publié le 12-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (19/20) - Récit érotique publié le 11-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (18/20) - Récit érotique publié le 09-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (17/20) - Récit érotique publié le 07-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (16/20) - Récit érotique publié le 06-12-2024
COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (170) - Récit érotique publié le 05-12-2024
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Manif à Paris pour « un papa et une maman » (1/1) - Récit érotique publié le 04-12-2024
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (6/12) - Récit érotique publié le 03-12-2024
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (5/12) - Récit érotique publié le 02-12-2024