COLLECTION LESBIENNES. Gladys (4/6) - histoire érotique

Ce texte est un cadeau de Noël et de fin d’année pour mon amie Florence27 la reine des textes lesbiens et Olga T qui nous régale avec ses textes du passé.


Notre vie s’accélère depuis que nous sommes venues à Bordeaux, pour preuve, Gladys, la patronne de Clément, mon mari vient de m’offrir la jouissance d’une voiture et me pose sa main sur ma cuisse.

• J’ai rêvé de toi depuis que tu m’as quitté mon cœur.

Pas moi enlève ta main, gougnotte, je vais te mettre une tarte au milieu de ta figure salope.
C’est la phrase que j’aurais dû lui dire, j’essaye de me réfugier dans les risques que nous avons de nous retrouver de nouveau comme des SDF, mais c’est faux, je lâche l’une des mains de mon volant et j’appuie sur la sienne.
Miens, je la fais remonter pour qu’elle touche ma petite chatte.

• Je dois reconnaître que je l’oublie très souvent, j’adore me promener la chatte dénudée, j’aime regarder les femmes, droits dans les yeux et me dire que la salope que je fixe quand nous nous croisons regarde mon cul et voit qu’aucune trace de sous-vêtement n’est présente.
Ne crains rien, j’ai un short dans mon sac quand nous allons jouer et une tenue pour toi.

Nous arrivons, j’ai l’impression que c’est la princesse du club de tennis qui vient d’entrer, que je te bise à droite, que je te bise à gauche, Ophélie, Mana alors je bise, moi aussi, cette jeune femme.
Nous nous dirigeons vers un lieu fléché vestiaire.

• Monique, je te présente Ophélie, son mari est l’employé de Lucien, comment vas-tu, il y a longtemps que tu n’es pas venue !
• Je vois, bonjour Ophélie, tu as du courage de supporter cette jolie peste, mais tu sais, on l’aime bien quand même.

Une deux trois femmes croisées et chacune semblent regarder ma future partenaire bizarrement, plutôt, j’ai l’impression qu’elles sont pressées de nous quitter.

• Salut Gladys, Lucien a toujours la même patience avec toi, pardon, présente-moi cette jolie femme.
• Laisse tomber Lucas, tu finis par être lourd avec tes insinuations.

Nous arrivons près d’un vestiaire portant le numéro 3.

• Les mecs, ils abusent, parce que l’on refuse de se faire sauter, ils se croient autorisés à faire des réflexions.
Entre et ferme à clef, nous sortirons de l’autre côté directement en face du court que j’ai réservé, nous ne sommes pas obligées d’emmener toutes nos valeurs avec nous.
Enfin seule.

Je tourne le loquet, nous isolant, quand elle me prend dans ses bras et m’embrasse aussi intensément que dans la piscine.

• Caresse-moi, samedi, tu as été la seule à avoir du plaisir sous mes doigts, j’en rêve depuis que tu m’as quitté.
Hier, j’ai passé mon après-midi à m’enfoncer des godes, j’ai eu du plaisir, mais je suis restée insatisfaite, je sentais mes doigts qui t’ont touché, mais ton odeur avait disparu.
Je te choque !
• Non, bien que je n’aie pas de godes, mais Lucien en revenant de son jogging ne t’a pas fait l’amour !
• Ma pauvre chérie, crois-tu, lorsqu’il va faire son jogging, qu’il fait du jogging, demande à notre femme de service, elle n’a jamais lavé le moindre pantalon de course.
Si tu vas dans son sac, tu trouveras une paire de chaussures digne d’un autre âge, il ne s’en est jamais servi.
• Où va-t-il ?
• Voir son amant, il est homo.
• Pourquoi restes-tu avec lui ?
• J’ai fait l’erreur de me marier avec un contrat qu’il m’a imposé, si nous divorçons, je perds tout, dès le soir de nos noces, il a refusé de coucher avec moi, je lui sers de potiche, je suis sa poupée Barbie qui l’aide à paraître un bon hétéro.
Je n’ai jamais travaillé et n’ai aucun diplôme, tu comprends pourquoi j’aime les filles, nous sommes plus sincères.

Je suis au bord des larmes, naturellement la main vient, en contact avec sa chatte et mes doigts à son tour la pénètre, elle dégouline, je nage dans sa cyprine, elle se pame dans mes bras jouissant à son tour.

• Merci ma grande vient, je vais te mettre une taule, voilà tes affaires.

6 – 2, 6 – 4, 6 – 0.

• Je n’étais pas en forme, mais dis-moi, tu m’avais dit avoir joué, tu aurais pu être championne.
• Je suis championne de mes filles, j’ai beaucoup de plaisir à les aider à grandir.
• Cela risque d’être dur avec ta fille Lucie.
• Pourquoi ?
• Parce qu’elle grandit, j’ai toujours entendu dire, petit enfant petit souci, grand enfant grands soucis, mais tu sais, les enfants, je n’en ai pas et je n’en aurais jamais.
À la douche championne.

Pourquoi ai-je, un moment, l’impression qu’elle veut me transmettre un message, mais semble se rattraper aux branches au dernier moment.
Nous nous dénudons, ces vestiaires sont prévus pour quatre personnes et les quatre douches sont communes, elle a récupéré son gant de toilette et me nettoie en commençant par mes seins, j’en fais de même avec les siens, elle me rince et prend mon téton droit dans sa bouche.
La douceur qu’elle met pour me donner du plaisir est bien différente de celui que me donne Clément, quand il s’occupe du même sein, plus rude de sa part, à la limite de vouloir me l’arracher.
Encore ruisselante, elle m’emmène dans la pièce.

• L’endroit est exigu, mais je veux te faire voir ce qu’une femme est capable de faire à une autre pour lui donner du plaisir, je souhaite à ce que tu sois convaincu que la queue de ton mec est inutile.
• Mais j’aime faire l’amour avec lui.

Elle me place les fesses au bord du banc au centre du vestiaire, elle se place dans ma fourche et avance sa bouche, plutôt sa langue qui vient câliner mon clitoris.
Elle se sert de ses mains pour écarter mes lèvres vaginales et plonger au plus profond de mon être, j’ai la chance une nouvelle fois de pouvoir comparer ce que m’apporte mon mari et ce que Gladys peut m’apporter.
Je comprends après ce qu’elle m’a dit concernant son mari, pourquoi elle a choisi de se tourner vers les femmes plutôt que les hommes, je ne comprends que si elle avait trompé son mari avec un homme, il l’aurait répudié alors que d’avoir des amitiés féminines semble ne pas lui poser problème.

• Oui, pourrais-tu me donner ta chatte Gladys, je veux te rendre le plaisir apporté.

Est-ce bien moi qui viens de prononcer ces mots, moi l’honorable mère de famille qui élevait du mieux qu’elle pouvait ses enfants à Paris, le destin a-t-il voulu me jouer un tour en faisant perdre son emploi à Clément pour mieux me propulser dans les pattes de cette mante religieuse.
Elle pivote et passant sa jambe au-dessus du banc et de moi, dans une pose que si elle avait été filmée, devait être très disgracieuse, pour venir la reposer, mettant en contact ma bouche et sa chatte.
Si elle est peu faite pour le tennis, elle a une musculature à toute épreuve, car elle reste en contact, sans pour autant m’écraser et m’empêchée de respirer.
Ma langue trouve son chemin, mais comme elle l’a fait pour moi, mes mains écartent ses lèvres intimes me faisant gagner de la profondeur.
Elle jouit et un flot de liquide me tombe sur la figure, elle pousse un cri de chienne en chaleur avant de s’affaler sur moi, cassant net le plaisir qui montait en moi.
J’avais joui dans la piscine, je suis à la limite d’être étouffé, elle doit le sentir, car elle se laisse tomber sur le côté, la caméra qui filmait tout à l’heure dans ma pensée, nous montrerait, moi couché sur le banc, elle sur les fesses sur le carrelage.

• Viens me rejoindre, le sol est frais avec la chaleur qu’il fait aujourd’hui, je pense que ma défaite lui est due, tu verras quand le temps sera plus frais.
• En es-tu sur, je pense te mettre trois sept à zéro.

Elle se pousse, j’ai envie de tomber, mais nous sommes tête-bêche aussi, je me relève et me laisse tomber à son côté, nous éclatons de rire.

• Ma chérie, mon petit bébé, tu m’as fait jouir comme jamais, il y a des lustres que ma chatte n’avait pas expulsé tout le liquide qui goutte encore sur ta figure.

Disant cela, elle me passe la langue sur le visage récupérant le maximum du liquide que sa chatte y a déposé.
J’ignore si l’on s’est endormi, crevée du match et de nos ébats, tout ce qui est sûr, c’est que quand j’émerge, nos bouches se retrouvent.

• À la douche, ma petite chérie, je suis morte pour aujourd’hui, je vais voir les disponibilités d’Olga pour te la renvoyer, je ne regrette pas de t’avoir offert, pardon prêté ma petite voiture, tu l’as amplement mérité.

Pourquoi faut-il qu’elle ramène toujours tout au fric, j’ai plutôt l’impression qu’elle aime humilier ses amies, pardon ses amantes, elle semble adorer me faire voir qu’elle a les moyens de me faire des cadeaux, si je suis gentille avec elle.
Pourtant à quelques mois près nous avons le même âge, même s’il est vrai que je suis loin d’avoir le pognon qu’elle possède.

De retour à la maison, je retrouve mes enfants, sauf ma grande qui est toujours absente, je redeviens la maman que je n’aurai jamais dû abandonner, même si je sais au fond de moi qu’au moment où Gladys me sifflera, je galoperais comme la bonne petite chienne qu’elle a faite de moi.
Au matin, elle m’appelle…