COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Début de la saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Début de la saison III (7/9)
À la fin de la saison II Jennifer a franchi une nouvelle étape à bord du bateau croisière partie du port de Venise.
C’est elle alors qu’elle débute dans le libertinage qui se retrouve maître du jeu.
Plutôt maîtresse des jeux érotiques qui remplissent ce bateau initialement prévu pour elle et son mari être une simple croisière en Méditerranée.
Sans parler de sa fille Rose qu’elle découvre étant la maîtresse d’Alexandre, le commandant de bord.
Pour une mère découvrir ces pratiques, même si elle a élevé ses enfants de façon très cool avec leur corps, ça a de quoi surprendre.
Lors de vacances, ils allaient à Agde dans un club naturiste.
Se promenant à bord, elle aide Alex et Sandrine à consommer leur mariage, la jeune fille ayant pris peur à la vision de l’énorme bite de son mari.
La jeune fille devient enfin femme grâce à son aide.
Mère Teresa a continué et continue ses bonnes actions en emmenant Béatrice et Augustin dans sa cabine.
Elle sent le besoin de se faire pardonner de les avoir virés alors qu’ils pensaient avoir des rapports avec cette jeune fille.
• Alors Béatrice, mes hommes ont-ils été de bons étalons ?
• Et le mien, t’a-t-il satisfait, aux cris qui ont couvert les miens, prise comme jamais grâce à toi, il semble qu’il ait été à la hauteur.
• Ma femme était une libertine s’ignorant, grâce à mes enfants, j’ai réussi à lui montrer ses possibilités qu’elle refrénait en bonne bourgeoise, mère de famille.
• Jennifer, que veut dire ton mari !
• Au départ de cette croisière, j’ignorais qu’elle était libertine et vous êtes l’un des premiers couples avec qui j’ai eu des rapports, trahissant mes vœux lors de notre mariage.
• Premier couple ma chérie, mais après ton petit coup de canif que je te pardonne bien volontiers Jennifer.
• Comment sais-tu cela, j’avais tellement honte que je te l’ai caché ?
• À qui l’as-tu dit, Aliza, entre femmes, ce sont des confidences qui se font, mais c'était avant.
• Rose, je lui ai ouvert mon cœur sur ce que je t’avais fait, elle te l’a dit !
• Non, notre fille a respecté ta confidence, mais j’étais là près de la porte de la salle de bains quand tu lui as avoué m’avoir trompé.
Quand il s’est agi de te faire venir dans cette croisière que j’ai apprise par Alain notre fils, nous avons monté cette petite supercherie.
Si nous commandions une bouteille de champagne pour fêter toutes ces confidences !
• Du champagne, le voilà, je me suis baignée après une belle rencontre et j’ai demandé à William de nous en apporter, il va arriver.
Bonjours mes amies qui êtes-vous, je suis Aliza, la femme de Gilles, j’espère qu’il a été à la hauteur.
• Ma jolie, salope, trois d’un coup, il faut le faire, tu m’as étonné.
Béatrice et Augustin, un couple que j’ai rencontré à la piscine, ils se lamentaient, car ils avaient du mal à trouver chaussures à leurs pieds.
• Grâce à vos hommes, le mien a été faramineux.
• Que dire de celui qu’Augustin m’a procuré ?
Tous éclatent de rire, la croisière prend de bonnes tournures pour tous ces libertins dont je peux me targuer d’en faire partie.
• Aliza, tu as un paréo noir, tu vas te donner à tous les hommes qui voudront de toi le dernier jour.
Tu m’impressionnes, moi qui viens de me faire prendre en double pénétration.
• Ma chérie, le paréo noir, nous en avons un dans notre cabine, si nous allions le chercher.
• Si Aliza veut bien que je l’accompagne.
On frappe, Aliza près de la porte ouvre, c’est William avec la bouteille de champagne.
• Vous avez le temps mes amis, si nous nous occupions de ce beau mâle pendant que ces messieurs nous regardent en se paluchant.
Gilles adore regarder de beaux et jeunes hommes me faire l’amour.
• Je dois reconnaître que j’aime participer, mais j’aime beaucoup être candauliste surtout avec ma moitié.
• Jennifer, occupe-toi de William avec tes copines, moi aussi je rêve de te voir baiser avec ce jeune garçon.
• Je vous accompagnerai donc, moi aussi j’aime regarder surtout après que Jennifer m’ait un peu épuisé.
C’est ainsi que je franchis une nouvelle étape, actrice tout en étant mâté par nos hommes.
J’ignore combien de fois William a eu son organe dans la bouche de femme depuis le début de la croisière ?
J’espère qu’Alain mon fils est aussi performant avec les japonaises qu’il servait lors du repas avec ma fille et le commandant.
Que de pensées ignobles, mais la bouche de Béatrice rencontrée sur la verge de notre serveur, me les effacent rapidement.
C’est toutes les trois en levrette qu’il nous achève avant de reprendre son paréo et de retrouver son service.
• Je peux vous laisser belles dames, je peux reprendre mon service.
• Va William, d’autres croisiéristes t'attendent.
Trois belles salopes et trois beaux candaulistes bandants comme des taureaux.
Après cette situation un peu nouvelle pour moi je demande à tous de me laisser, la croisière est encore longue, dodo les yeux.
Aujourd’hui escale à Palerme, la journée se passe avec Aliza et nous.
La journée à flâner et à découvrir les trésors de cette ville millénaire.
Une chose a été difficile pour moi, redevenir moi-même en enfilant de nouveau petite culotte et robe mini blanche sur un chemisier blanc.
J’aime ce genre de vêtements que certains appellent décontractés.
Au moment de rejoindre Gilles parti devant, depuis longtemps il sait que lorsque je me prépare il me faut deux plombes.
Je suis satisfaite lorsque je me regarde dans la glace de notre salle de bain sauf un détail.
Mon soutien-gorge se voit sous mon chemisier, alors je l’ôte, mes aréoles sont visibles, mais même à terre, indirectement la croisière continuera.
Pendant que j’y suis, il fait chaud, ôté mon bout de tissu me paraît nécessaire.
Lorsque j’arrive sur la coursive, l’air du large vient me caresser, me montrant que mon initiative a été la bonne.
Que dire de la descente de la coupée, j’entends du bruit sous moi ?
Quelques garçons de l’équipage habillé eux aussi sont en train de charger des caisses de légumes sur une coupée plus basse que celle des passagers, ils ont une vue sur mes trésors qu’en temps normal je cache.
Espiègle, c’est drôle comme je le suis devenue en peu de temps, je m’arrête.
Je soulève mes lunettes de soleil bien nécessaire en ce beau jour.
Levant une jambe faisant mine de remettre l’arrière d’une de mes sandales, j'offre un joli panorama à ces garçons privés de sorties et travaillant pour notre plaisir.
Par chance, parmi eux, mon fils brille par son absence.
Je reprends ma descente jusqu’au plancher des vaches, très peu nombreuses dans cette ville.
Gille est là avec Aliza et Serge, elle aussi est en tenue décontractée, je suis sûr qu’il y a bien longtemps qu’elle a enlevé ses sous-vêtements.
Déjà au café place saint Marco à Venise, elle devait avoir enlevé tous ses préjugés.
Nous mangeons au restaurant dans une maison aussi vieille que le reste de la ville.
Je vois un panneau, « Catacombe Cappuccini ».
• Des catacombes, si nous allions visiter, nous y trouverions la fraîcheur !
• Quelle horreur, nous promener entouré de cadavres, même s’ils sont au frais, j’aime le monde des vivants, je crois que je vous le prouve.
C’est bizarre remettre des vêtements, ça me paraît incongru, je prends goût à cette nudité même partiellement cachée par un paréo.
Mais que dire de ma chatte et mes seins qui ont gardé cette nudité ?
Autour de nous en petits groupes de deux ou trois de beaux siciliens tournent autour de nous.
Cette salope d’Aliza semble les attirer comme des mouches, mais il faut savoir rester sage et pour trouver le frais, c’est la cathédrale que nous allons visiter.
Même là, de beaux garçons sont présents.
Vad rétro satana, ce sont des moines qui passent près de nous leurs bréviaires et leurs chapelets à la main.
Aliza leur sourit, est-ce possible que même dans une église, son charme fasse bander des hommes d’Église.
Il est vrai qu’avant d’être moine, ce sont des hommes et je viens de découvrir que les hommes ont tous des queues, alors qu’avant le départ de Venise, seul Gilles en avait une.
Oui, je sais mon amant d’un coup, tiens pour vous faire plaisir, je m’agenouille et je fais un « je vous salut Marie » comme pénitence, ça vous va.
Quoi vous désirez que je fasse pénitence pour mes amants maritimes ?
Alors là vous vous foutez le doigt dans l’œil jusqu’au trognon, ces mâles en rut, je suis étrangère à leur rencontre, demandez à mes enfants et mon mari de prier pour moi.
À sa sortie, la faim nous tenaille.
Le repas et le vin dure chacun ayant une anecdote de sa vie à raconter.
Des Arancine en apéritif avec du Palermo Amarino apéritif sans alcool, c’est préférable, vu la chaleur, nous serions bourrés très rapidement et dieu sait ce que mon amie serait capable d’inventer étant pompette.
Des sardines bien grillées que nous mangeons avec les doigts, les prenant dans le plat que le patron est fier de nous apporter.
Il nous conseille un rouge venant de vigne se trouvant sur les flancs de l’Etna.
Savoir que ce vin peut disparaitre à tout moment lors d’une éruption volcanique, en fait une saveur toute particulière.
Enfin en dessert, même si la Sicile est différente du reste de l’Italie, une bonne glace café, Vanille et fraise pour moi arrosé avec un marsala vin liquoreux à souhait.
C’est à ce moment que je vois Aliza se lever, elle va vers les toilettes.
• Tu m’accompagnes Jennifer, mes mains puent la marée malgré le rince-doigts après les sardines !
Je me lève, à la table face à nous, une famille anglaise certainement hors de notre croisière est là, tous le repas, les enfants dont la fille d’une vingtaine d’années est là.
Le père dans son complet veston même en tissus léger prend sa serviette pour se tamponner la bouche.
La vue qu’il a de moi va lui donner le cadeau de vacances qu’il va taire à sa femme, genre Margarette Thatcher.
• Sorry père, je vous quitte quelques instants.
En français dans le texte, mais elle prononce ces mots en anglais bien sûr.
J’ai l’impression que quelque chose m’échappe, mais je suis cette jeune fille au bras d’Aliza, même à terre, la croisière continue-t-elle à s’amuser ou m’apporter des surprises !...
C’est elle alors qu’elle débute dans le libertinage qui se retrouve maître du jeu.
Plutôt maîtresse des jeux érotiques qui remplissent ce bateau initialement prévu pour elle et son mari être une simple croisière en Méditerranée.
Sans parler de sa fille Rose qu’elle découvre étant la maîtresse d’Alexandre, le commandant de bord.
Pour une mère découvrir ces pratiques, même si elle a élevé ses enfants de façon très cool avec leur corps, ça a de quoi surprendre.
Lors de vacances, ils allaient à Agde dans un club naturiste.
Se promenant à bord, elle aide Alex et Sandrine à consommer leur mariage, la jeune fille ayant pris peur à la vision de l’énorme bite de son mari.
La jeune fille devient enfin femme grâce à son aide.
Mère Teresa a continué et continue ses bonnes actions en emmenant Béatrice et Augustin dans sa cabine.
Elle sent le besoin de se faire pardonner de les avoir virés alors qu’ils pensaient avoir des rapports avec cette jeune fille.
• Alors Béatrice, mes hommes ont-ils été de bons étalons ?
• Et le mien, t’a-t-il satisfait, aux cris qui ont couvert les miens, prise comme jamais grâce à toi, il semble qu’il ait été à la hauteur.
• Ma femme était une libertine s’ignorant, grâce à mes enfants, j’ai réussi à lui montrer ses possibilités qu’elle refrénait en bonne bourgeoise, mère de famille.
• Jennifer, que veut dire ton mari !
• Au départ de cette croisière, j’ignorais qu’elle était libertine et vous êtes l’un des premiers couples avec qui j’ai eu des rapports, trahissant mes vœux lors de notre mariage.
• Premier couple ma chérie, mais après ton petit coup de canif que je te pardonne bien volontiers Jennifer.
• Comment sais-tu cela, j’avais tellement honte que je te l’ai caché ?
• À qui l’as-tu dit, Aliza, entre femmes, ce sont des confidences qui se font, mais c'était avant.
• Rose, je lui ai ouvert mon cœur sur ce que je t’avais fait, elle te l’a dit !
• Non, notre fille a respecté ta confidence, mais j’étais là près de la porte de la salle de bains quand tu lui as avoué m’avoir trompé.
Quand il s’est agi de te faire venir dans cette croisière que j’ai apprise par Alain notre fils, nous avons monté cette petite supercherie.
Si nous commandions une bouteille de champagne pour fêter toutes ces confidences !
• Du champagne, le voilà, je me suis baignée après une belle rencontre et j’ai demandé à William de nous en apporter, il va arriver.
Bonjours mes amies qui êtes-vous, je suis Aliza, la femme de Gilles, j’espère qu’il a été à la hauteur.
• Ma jolie, salope, trois d’un coup, il faut le faire, tu m’as étonné.
Béatrice et Augustin, un couple que j’ai rencontré à la piscine, ils se lamentaient, car ils avaient du mal à trouver chaussures à leurs pieds.
• Grâce à vos hommes, le mien a été faramineux.
• Que dire de celui qu’Augustin m’a procuré ?
Tous éclatent de rire, la croisière prend de bonnes tournures pour tous ces libertins dont je peux me targuer d’en faire partie.
• Aliza, tu as un paréo noir, tu vas te donner à tous les hommes qui voudront de toi le dernier jour.
Tu m’impressionnes, moi qui viens de me faire prendre en double pénétration.
• Ma chérie, le paréo noir, nous en avons un dans notre cabine, si nous allions le chercher.
• Si Aliza veut bien que je l’accompagne.
On frappe, Aliza près de la porte ouvre, c’est William avec la bouteille de champagne.
• Vous avez le temps mes amis, si nous nous occupions de ce beau mâle pendant que ces messieurs nous regardent en se paluchant.
Gilles adore regarder de beaux et jeunes hommes me faire l’amour.
• Je dois reconnaître que j’aime participer, mais j’aime beaucoup être candauliste surtout avec ma moitié.
• Jennifer, occupe-toi de William avec tes copines, moi aussi je rêve de te voir baiser avec ce jeune garçon.
• Je vous accompagnerai donc, moi aussi j’aime regarder surtout après que Jennifer m’ait un peu épuisé.
C’est ainsi que je franchis une nouvelle étape, actrice tout en étant mâté par nos hommes.
J’ignore combien de fois William a eu son organe dans la bouche de femme depuis le début de la croisière ?
J’espère qu’Alain mon fils est aussi performant avec les japonaises qu’il servait lors du repas avec ma fille et le commandant.
Que de pensées ignobles, mais la bouche de Béatrice rencontrée sur la verge de notre serveur, me les effacent rapidement.
C’est toutes les trois en levrette qu’il nous achève avant de reprendre son paréo et de retrouver son service.
• Je peux vous laisser belles dames, je peux reprendre mon service.
• Va William, d’autres croisiéristes t'attendent.
Trois belles salopes et trois beaux candaulistes bandants comme des taureaux.
Après cette situation un peu nouvelle pour moi je demande à tous de me laisser, la croisière est encore longue, dodo les yeux.
Aujourd’hui escale à Palerme, la journée se passe avec Aliza et nous.
La journée à flâner et à découvrir les trésors de cette ville millénaire.
Une chose a été difficile pour moi, redevenir moi-même en enfilant de nouveau petite culotte et robe mini blanche sur un chemisier blanc.
J’aime ce genre de vêtements que certains appellent décontractés.
Au moment de rejoindre Gilles parti devant, depuis longtemps il sait que lorsque je me prépare il me faut deux plombes.
Je suis satisfaite lorsque je me regarde dans la glace de notre salle de bain sauf un détail.
Mon soutien-gorge se voit sous mon chemisier, alors je l’ôte, mes aréoles sont visibles, mais même à terre, indirectement la croisière continuera.
Pendant que j’y suis, il fait chaud, ôté mon bout de tissu me paraît nécessaire.
Lorsque j’arrive sur la coursive, l’air du large vient me caresser, me montrant que mon initiative a été la bonne.
Que dire de la descente de la coupée, j’entends du bruit sous moi ?
Quelques garçons de l’équipage habillé eux aussi sont en train de charger des caisses de légumes sur une coupée plus basse que celle des passagers, ils ont une vue sur mes trésors qu’en temps normal je cache.
Espiègle, c’est drôle comme je le suis devenue en peu de temps, je m’arrête.
Je soulève mes lunettes de soleil bien nécessaire en ce beau jour.
Levant une jambe faisant mine de remettre l’arrière d’une de mes sandales, j'offre un joli panorama à ces garçons privés de sorties et travaillant pour notre plaisir.
Par chance, parmi eux, mon fils brille par son absence.
Je reprends ma descente jusqu’au plancher des vaches, très peu nombreuses dans cette ville.
Gille est là avec Aliza et Serge, elle aussi est en tenue décontractée, je suis sûr qu’il y a bien longtemps qu’elle a enlevé ses sous-vêtements.
Déjà au café place saint Marco à Venise, elle devait avoir enlevé tous ses préjugés.
Nous mangeons au restaurant dans une maison aussi vieille que le reste de la ville.
Je vois un panneau, « Catacombe Cappuccini ».
• Des catacombes, si nous allions visiter, nous y trouverions la fraîcheur !
• Quelle horreur, nous promener entouré de cadavres, même s’ils sont au frais, j’aime le monde des vivants, je crois que je vous le prouve.
C’est bizarre remettre des vêtements, ça me paraît incongru, je prends goût à cette nudité même partiellement cachée par un paréo.
Mais que dire de ma chatte et mes seins qui ont gardé cette nudité ?
Autour de nous en petits groupes de deux ou trois de beaux siciliens tournent autour de nous.
Cette salope d’Aliza semble les attirer comme des mouches, mais il faut savoir rester sage et pour trouver le frais, c’est la cathédrale que nous allons visiter.
Même là, de beaux garçons sont présents.
Vad rétro satana, ce sont des moines qui passent près de nous leurs bréviaires et leurs chapelets à la main.
Aliza leur sourit, est-ce possible que même dans une église, son charme fasse bander des hommes d’Église.
Il est vrai qu’avant d’être moine, ce sont des hommes et je viens de découvrir que les hommes ont tous des queues, alors qu’avant le départ de Venise, seul Gilles en avait une.
Oui, je sais mon amant d’un coup, tiens pour vous faire plaisir, je m’agenouille et je fais un « je vous salut Marie » comme pénitence, ça vous va.
Quoi vous désirez que je fasse pénitence pour mes amants maritimes ?
Alors là vous vous foutez le doigt dans l’œil jusqu’au trognon, ces mâles en rut, je suis étrangère à leur rencontre, demandez à mes enfants et mon mari de prier pour moi.
À sa sortie, la faim nous tenaille.
Le repas et le vin dure chacun ayant une anecdote de sa vie à raconter.
Des Arancine en apéritif avec du Palermo Amarino apéritif sans alcool, c’est préférable, vu la chaleur, nous serions bourrés très rapidement et dieu sait ce que mon amie serait capable d’inventer étant pompette.
Des sardines bien grillées que nous mangeons avec les doigts, les prenant dans le plat que le patron est fier de nous apporter.
Il nous conseille un rouge venant de vigne se trouvant sur les flancs de l’Etna.
Savoir que ce vin peut disparaitre à tout moment lors d’une éruption volcanique, en fait une saveur toute particulière.
Enfin en dessert, même si la Sicile est différente du reste de l’Italie, une bonne glace café, Vanille et fraise pour moi arrosé avec un marsala vin liquoreux à souhait.
C’est à ce moment que je vois Aliza se lever, elle va vers les toilettes.
• Tu m’accompagnes Jennifer, mes mains puent la marée malgré le rince-doigts après les sardines !
Je me lève, à la table face à nous, une famille anglaise certainement hors de notre croisière est là, tous le repas, les enfants dont la fille d’une vingtaine d’années est là.
Le père dans son complet veston même en tissus léger prend sa serviette pour se tamponner la bouche.
La vue qu’il a de moi va lui donner le cadeau de vacances qu’il va taire à sa femme, genre Margarette Thatcher.
• Sorry père, je vous quitte quelques instants.
En français dans le texte, mais elle prononce ces mots en anglais bien sûr.
J’ai l’impression que quelque chose m’échappe, mais je suis cette jeune fille au bras d’Aliza, même à terre, la croisière continue-t-elle à s’amuser ou m’apporter des surprises !...
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