COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Début de la saison V (13/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Début de la saison V (13/15)
Qui aurait dit lorsque j’ai commencé à écrire le souvenir de la croisière surprise offert par nos enfants Rose et Alain pour nos 40 ans et 20 ans de notre union avec Gilles que je vivrais ce que je suis en train de vivre ?
À la porte de cette 5e saison, 12 chapitres alors qu’au bout de deux je pensais que tous seraient terminés que je serais obligée de publier avec l’aide de Chris71 sur ce site d’histoire porno en tout genre.
Il est vrai que j’ai découvert qu’il était possible de faire l’amour avec divers partenaires et l’accord de Gilles, mon mari, jusqu’à me faire baiser par un prêtre à Rome.
Un prêtre, Pierre, est-ce le point d’orgue de cette croisière me réservant plein de surprises, mais loin d’être celles que j’imaginais au départ de Venise.
La Basilique de Saint-Pierre de Rome, c’est là que des moines en procession m’éloignent de mes amis.
Dans cette basilique, je retrouve Yoko, jeune Japonaise en croisière elle aussi et ayant perdu ses amis tout comme moi à cause de cette procession.
Père Pierre se trouve là de façon fortuite, et c’est chez lui qui nous emmène après nous avoir montrés l’arrière de cette grande église.
Il nous fait voir les jardins où le pape François peut se promener et méditer.
Hélas, il est à Castel Gandolfo lieu de vacances des papes.
Sans être pour autant catho, bien que dans l’adversité je le sois un peu, j’aurais aimé saluer ce vieux monsieur qui semble tellement aimer les gens.
C’est du moins l’impression qu’il me donne les rares fois où je le vois aux infos à la télé.
C’est un mal pour un bien, dans l’état où cette croisière m’a placé, un fils de l’église, sachant baiser nous est largement suffisant.
Après cette partie de jambes en l’air, nous allons tout de même visiter les ruines romaines et les arènes.
Je vois Gilles, ma fille et Aliza sans oublier Serge, l'un de ceux qui m’ont connue intimement dans cette croisière plus sexuelle que surprise.
Je les vois, mais de manière très lointaine et c’est dans un taxi que Pierre nous raccompagne jusqu’au bateau.
En chemin nous doublons des cars, dont celui qui nous avait amenés jusqu’au Vatican.
Heureusement, que nous avons évité de les chercher à la sortie des ruines romaines, nous aurions loupé l’heure de l’appareillage.
Après quelques effusions et la promesse de nous revoir en France, je monte à bord, j’embrasse Yoko sur la bouche ayant retrouvé les bonnes habitudes de la croisière.
Je rejoins ma cabine et je vais prendre une douche.
La chaleur moite de cette fin d’après-midi me fait du bien quand de grands cris viennent troubler ma main qui me lavait la chatte.
Qui resterait insensible à des cris, quelqu’un se serait-il blessé et appellerait à l’aide ?
Je prends une serviette de bain que je noue sous mes seins avant d’aller voir.
Je connais une amie ayant habité Toulon avec son jeune mari officier qui alors qu’ils étaient en train de faire l’amour ai entendu des coups de feu.
C’était deux étages plus bas devant le porche de son immeuble, qu’ayant ouvert ses volets, elle a vu un homme au sol avec une femme qui était à ses pieds.
Elle est descendue recouverte d’un peignoir pour voir ce qui se passait.
C’était un macro qui rentrait avec sa pute des bas quartiers de la ville s’était fait abattre certainement par le milieu de Marseille.
Je lui faisais remarquer que les tireurs auraient pu revenir achever leur œuvre et la tuer, elle aussi.
Mais sa réponse a été simple, « elle aurait eu son nom dans les journaux.»
Belle connerie, alors pourquoi j’ouvre la porte de la cabine.
Un ouragan me balaye et cherchant dans tous les sens.
C’est très difficile de se cacher dans une cabine de bateau même si celle que nous ont choisie nos enfants est très spacieuse.
• Hide, Hide, Hide please.
Je comprends qu’il veut que je le cache, mon côté bon âme me reprend, je lui montre la salle de bain.
J’ai eu le temps de voir un jeune homme noir simplement revêtu d’un short éculé et d’une paire de tongs.
C’est au moment où je referme la porte que l’on frappe à la porte.
Une nouvelle fois j’ouvre, c’est Alain, mon fils.
• Maman as-tu vu un grand noir simplement revêtu d’un short ?
• Pourquoi il est dangereux ?
• C’est un clandestin qui a profité de la livraison de vivre pour se glisser dans l’équipe de chargement.
Nous l’avons vu et l’alarme nous a été donnée, nous le recherchons.
• Je sors de la douche et j’allais profiter des derniers rayons du soleil sur la terrasse en attendant le retour de ton père, je suis rentrée en taxi lui en car.
Serais-je si décontractée si un tel homme était venu ?
• Tu as raison maman, laisse bien ta porte fermée même si ça tambourine, tu es en sécurité dans ta cabine en attendant le retour de papa.
Mon fils me quitte, que vais-je faire de ce passager clandestin ?
Je viens une nouvelle fois de me mettre dans la merde.
• Merci madame, je suis africain, je m’appelle Moussa, j’ai traversé la mer sur un boat-people où j’ai cru mourir dix fois jusqu’à une plage d’Italie où on m’a tout volé sauf ce short.
J’ai su que votre prochaine escale était Monte-Carlo, je débarquerais là-bas et je reprendrai ma route vers Calais.
J’ai entendu votre fils vous parler en français, je le parle un peu, je viens du Tchad de Goudjoui sur les bords du lac Tchad.
Je veux aller en Angleterre pour faire des études et je sais que je trouverai du travail.
Je me dis en moi-même que si je reste les bras ballants, s’il a réussi à traverser la Méditerranée sans trop de dégâts, la Manche pourrait être son tombeau.
J’ai vu ce reportage sur ces pauvres gens qui se sont noyés avant que des bateaux interviennent.
• Tu sembles avoir faim !
• J’ai mangé une pomme depuis deux jours que je suis arrivé sur le port de Rome.
J’ai honte de dire que je l’ai volé, un jour je reviendrai en Italie et j’irai payer cette pomme à ce commerçant qui m’a vu, mais m’a laissé la prendre sans appeler les gendarmes.
• Je vais voir ce que je peux faire.
Il faut reconnaître qu’une nouvelle fois, la situation me rattrape.
Est-ce moi qui ai fait une erreur en ouvrant la porte de notre cabine.
Au bord de la piscine, en aidant Sandrine et son mari Alex, sans oublier Kessy, la jeune anglaise que j’ai remplacée dans son service me permettant de rencontrer Yoko, je l’ai faite en connaissance de cause.
Là, c’est mon côté bon cœur, j’en ai vu de nombreuses d’entre elles avant de rencontrer Pierre dans la basilique qui a dû me faire mentir à mon fils.
Je fais appel au service, espérant voir Kessy ayant remplacé William parti pour d’autres cieux, chacun sa vie, on le voit après que j’ai accepté le style de la croisière que nous sommes en train de faire.
C’est ce garçon qui m’importe, mais en attendant le temps nécessaire à celui ou celle qui va arriver pour voir nos besoins.
Que se serait-il passé si lorsque j’ai découvert que la croisière dite « surprise » était du genre « libertine ».
Je l’ai su, nous étions déjà en mer, serais-je restée enfermée dans notre cabine jusqu’à l’escale de Palerme ?
Et qu’aurais-je fait si Gilles avait voulu continuer me faisant cocu dans ce genre de circonstance.
Je dois constater que cette situation a dû se trouver en phase avec un état d’âme, mais aussi très bien orchestré par la famille et surtout Aliza, maîtresse de nos jeux dès notre rencontre sur la place San Marco.
On frappe, j’ouvre, ouf c’est Kessy.
• Je suis contente que ce soit toi étant là Kessy, tu es restée à bord pour cette escale !
• J’ai découvert le fonctionnement du bateau, je serai de sortie à Monaco.
• Es-tu au courant qu’un clandestin s’est introduit dans le bateau ?
• Oui, Jennifer, il est dangereux, ce sont les hommes de services qui le traquent dans tout le bord, ils vont le retrouver.
J’espère qu’ils vont le trouver, lorsque tu as fait appel, j’ai eu peur de venir jusqu’à toi.
• Es-tu sûr qu’il est dangereux, je vais te dire, il est dans notre salle de bains, j’ai plutôt eu l’impression que c’est un garçon qui crève de peur ?
J’ouvre la porte en sors.
• Merci, madame Jennifer, j’ai entendu que c’est comme cela que madame Kessy vous a appelé.
C’est vrai, j’ai peur d’être attrapé remis aux autorités et renvoyé dans mon pays.
Ma vie serait mise en danger, c’est pour ça que je veux rejoindre l’Angleterre.
• Tu vois Kessy, as-tu un loup ou un agneau devant toi, il est mort de faim.
Je pense savoir quoi faire à Monté Carlos pour le faire traverser la France, jusque-là pense que nous t’avons aidé à émanciper envers tes parents.
Peux-tu t’occuper de nourrir Moussa ?
• Bien sûr, Jennifer, excuse-moi, d’avoir eu peur, je vais lui chercher un plateau, es-tu musulman ?
• Oui, mais non, pratiquant, mais j’évite de manger du porc.
Kessy nous quitte dans son paréo orange.
J’ai vu les yeux de mon réfugié, tourner dans ses orbites, lorsqu’il regardait la petite, s’il est à jeun alimentairement, il semble que, sexuellement il le soit aussi.
• Moussa, tu vas avoir à manger, en attendant, lave-toi, jette ce short par le hublot dans la douche, je vais te donner un paréo bleu clair comme celui des hommes sur ce bateau.
Je sens le garçon gêné, est-ce le fait que j’ai retrouvé l’ambiance de la croisière, je dénoue ma serviette laissant pantois mon invité insolite.
Je vois Moussa hésiter, je m’approche et je baisse le short faisant apparaitre son sexe noir, merde...
À la porte de cette 5e saison, 12 chapitres alors qu’au bout de deux je pensais que tous seraient terminés que je serais obligée de publier avec l’aide de Chris71 sur ce site d’histoire porno en tout genre.
Il est vrai que j’ai découvert qu’il était possible de faire l’amour avec divers partenaires et l’accord de Gilles, mon mari, jusqu’à me faire baiser par un prêtre à Rome.
Un prêtre, Pierre, est-ce le point d’orgue de cette croisière me réservant plein de surprises, mais loin d’être celles que j’imaginais au départ de Venise.
La Basilique de Saint-Pierre de Rome, c’est là que des moines en procession m’éloignent de mes amis.
Dans cette basilique, je retrouve Yoko, jeune Japonaise en croisière elle aussi et ayant perdu ses amis tout comme moi à cause de cette procession.
Père Pierre se trouve là de façon fortuite, et c’est chez lui qui nous emmène après nous avoir montrés l’arrière de cette grande église.
Il nous fait voir les jardins où le pape François peut se promener et méditer.
Hélas, il est à Castel Gandolfo lieu de vacances des papes.
Sans être pour autant catho, bien que dans l’adversité je le sois un peu, j’aurais aimé saluer ce vieux monsieur qui semble tellement aimer les gens.
C’est du moins l’impression qu’il me donne les rares fois où je le vois aux infos à la télé.
C’est un mal pour un bien, dans l’état où cette croisière m’a placé, un fils de l’église, sachant baiser nous est largement suffisant.
Après cette partie de jambes en l’air, nous allons tout de même visiter les ruines romaines et les arènes.
Je vois Gilles, ma fille et Aliza sans oublier Serge, l'un de ceux qui m’ont connue intimement dans cette croisière plus sexuelle que surprise.
Je les vois, mais de manière très lointaine et c’est dans un taxi que Pierre nous raccompagne jusqu’au bateau.
En chemin nous doublons des cars, dont celui qui nous avait amenés jusqu’au Vatican.
Heureusement, que nous avons évité de les chercher à la sortie des ruines romaines, nous aurions loupé l’heure de l’appareillage.
Après quelques effusions et la promesse de nous revoir en France, je monte à bord, j’embrasse Yoko sur la bouche ayant retrouvé les bonnes habitudes de la croisière.
Je rejoins ma cabine et je vais prendre une douche.
La chaleur moite de cette fin d’après-midi me fait du bien quand de grands cris viennent troubler ma main qui me lavait la chatte.
Qui resterait insensible à des cris, quelqu’un se serait-il blessé et appellerait à l’aide ?
Je prends une serviette de bain que je noue sous mes seins avant d’aller voir.
Je connais une amie ayant habité Toulon avec son jeune mari officier qui alors qu’ils étaient en train de faire l’amour ai entendu des coups de feu.
C’était deux étages plus bas devant le porche de son immeuble, qu’ayant ouvert ses volets, elle a vu un homme au sol avec une femme qui était à ses pieds.
Elle est descendue recouverte d’un peignoir pour voir ce qui se passait.
C’était un macro qui rentrait avec sa pute des bas quartiers de la ville s’était fait abattre certainement par le milieu de Marseille.
Je lui faisais remarquer que les tireurs auraient pu revenir achever leur œuvre et la tuer, elle aussi.
Mais sa réponse a été simple, « elle aurait eu son nom dans les journaux.»
Belle connerie, alors pourquoi j’ouvre la porte de la cabine.
Un ouragan me balaye et cherchant dans tous les sens.
C’est très difficile de se cacher dans une cabine de bateau même si celle que nous ont choisie nos enfants est très spacieuse.
• Hide, Hide, Hide please.
Je comprends qu’il veut que je le cache, mon côté bon âme me reprend, je lui montre la salle de bain.
J’ai eu le temps de voir un jeune homme noir simplement revêtu d’un short éculé et d’une paire de tongs.
C’est au moment où je referme la porte que l’on frappe à la porte.
Une nouvelle fois j’ouvre, c’est Alain, mon fils.
• Maman as-tu vu un grand noir simplement revêtu d’un short ?
• Pourquoi il est dangereux ?
• C’est un clandestin qui a profité de la livraison de vivre pour se glisser dans l’équipe de chargement.
Nous l’avons vu et l’alarme nous a été donnée, nous le recherchons.
• Je sors de la douche et j’allais profiter des derniers rayons du soleil sur la terrasse en attendant le retour de ton père, je suis rentrée en taxi lui en car.
Serais-je si décontractée si un tel homme était venu ?
• Tu as raison maman, laisse bien ta porte fermée même si ça tambourine, tu es en sécurité dans ta cabine en attendant le retour de papa.
Mon fils me quitte, que vais-je faire de ce passager clandestin ?
Je viens une nouvelle fois de me mettre dans la merde.
• Merci madame, je suis africain, je m’appelle Moussa, j’ai traversé la mer sur un boat-people où j’ai cru mourir dix fois jusqu’à une plage d’Italie où on m’a tout volé sauf ce short.
J’ai su que votre prochaine escale était Monte-Carlo, je débarquerais là-bas et je reprendrai ma route vers Calais.
J’ai entendu votre fils vous parler en français, je le parle un peu, je viens du Tchad de Goudjoui sur les bords du lac Tchad.
Je veux aller en Angleterre pour faire des études et je sais que je trouverai du travail.
Je me dis en moi-même que si je reste les bras ballants, s’il a réussi à traverser la Méditerranée sans trop de dégâts, la Manche pourrait être son tombeau.
J’ai vu ce reportage sur ces pauvres gens qui se sont noyés avant que des bateaux interviennent.
• Tu sembles avoir faim !
• J’ai mangé une pomme depuis deux jours que je suis arrivé sur le port de Rome.
J’ai honte de dire que je l’ai volé, un jour je reviendrai en Italie et j’irai payer cette pomme à ce commerçant qui m’a vu, mais m’a laissé la prendre sans appeler les gendarmes.
• Je vais voir ce que je peux faire.
Il faut reconnaître qu’une nouvelle fois, la situation me rattrape.
Est-ce moi qui ai fait une erreur en ouvrant la porte de notre cabine.
Au bord de la piscine, en aidant Sandrine et son mari Alex, sans oublier Kessy, la jeune anglaise que j’ai remplacée dans son service me permettant de rencontrer Yoko, je l’ai faite en connaissance de cause.
Là, c’est mon côté bon cœur, j’en ai vu de nombreuses d’entre elles avant de rencontrer Pierre dans la basilique qui a dû me faire mentir à mon fils.
Je fais appel au service, espérant voir Kessy ayant remplacé William parti pour d’autres cieux, chacun sa vie, on le voit après que j’ai accepté le style de la croisière que nous sommes en train de faire.
C’est ce garçon qui m’importe, mais en attendant le temps nécessaire à celui ou celle qui va arriver pour voir nos besoins.
Que se serait-il passé si lorsque j’ai découvert que la croisière dite « surprise » était du genre « libertine ».
Je l’ai su, nous étions déjà en mer, serais-je restée enfermée dans notre cabine jusqu’à l’escale de Palerme ?
Et qu’aurais-je fait si Gilles avait voulu continuer me faisant cocu dans ce genre de circonstance.
Je dois constater que cette situation a dû se trouver en phase avec un état d’âme, mais aussi très bien orchestré par la famille et surtout Aliza, maîtresse de nos jeux dès notre rencontre sur la place San Marco.
On frappe, j’ouvre, ouf c’est Kessy.
• Je suis contente que ce soit toi étant là Kessy, tu es restée à bord pour cette escale !
• J’ai découvert le fonctionnement du bateau, je serai de sortie à Monaco.
• Es-tu au courant qu’un clandestin s’est introduit dans le bateau ?
• Oui, Jennifer, il est dangereux, ce sont les hommes de services qui le traquent dans tout le bord, ils vont le retrouver.
J’espère qu’ils vont le trouver, lorsque tu as fait appel, j’ai eu peur de venir jusqu’à toi.
• Es-tu sûr qu’il est dangereux, je vais te dire, il est dans notre salle de bains, j’ai plutôt eu l’impression que c’est un garçon qui crève de peur ?
J’ouvre la porte en sors.
• Merci, madame Jennifer, j’ai entendu que c’est comme cela que madame Kessy vous a appelé.
C’est vrai, j’ai peur d’être attrapé remis aux autorités et renvoyé dans mon pays.
Ma vie serait mise en danger, c’est pour ça que je veux rejoindre l’Angleterre.
• Tu vois Kessy, as-tu un loup ou un agneau devant toi, il est mort de faim.
Je pense savoir quoi faire à Monté Carlos pour le faire traverser la France, jusque-là pense que nous t’avons aidé à émanciper envers tes parents.
Peux-tu t’occuper de nourrir Moussa ?
• Bien sûr, Jennifer, excuse-moi, d’avoir eu peur, je vais lui chercher un plateau, es-tu musulman ?
• Oui, mais non, pratiquant, mais j’évite de manger du porc.
Kessy nous quitte dans son paréo orange.
J’ai vu les yeux de mon réfugié, tourner dans ses orbites, lorsqu’il regardait la petite, s’il est à jeun alimentairement, il semble que, sexuellement il le soit aussi.
• Moussa, tu vas avoir à manger, en attendant, lave-toi, jette ce short par le hublot dans la douche, je vais te donner un paréo bleu clair comme celui des hommes sur ce bateau.
Je sens le garçon gêné, est-ce le fait que j’ai retrouvé l’ambiance de la croisière, je dénoue ma serviette laissant pantois mon invité insolite.
Je vois Moussa hésiter, je m’approche et je baisse le short faisant apparaitre son sexe noir, merde...
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