COLLECTION LIBERTINAGES. Enfin, je quitte ma femme (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Enfin, je quitte ma femme (2/3)
Non, d’un chien que c’est bon, quelle salope surtout quand elle me lèche les couilles…
J’en étais resté là après que ma femme m’ait rappelé après trois jours où j’ai pris mes quartiers chez Martin, mon comptable et ami d’enfance.
En me réfugiant chez lui, ça me permet de me cacher aux yeux des curieux qui pourraient trouver bizarre que je sois venu habiter à l’hôtel de notre petite ville.
Ça c'était il y a quelques semaines.
Depuis Janine a appris à être décoincé du cul comme je l’espérais.
Il est fréquent que de retour de notre entreprise je la trouve seulement revêtue de sa guêpière la chatte offerte pour mon plus grand plaisir.
Ce soir c’est mon anniversaire 51 ans.
Janine m’a demandé si je pouvais prendre mon temps afin qu’elle ait le temps de tout préparer.
Quand j’arrive, les chandelles sont allumées sur la table préparée avec amour.
Elle a revêtu sa guêpière rouge que j’aime énormément, car elle est promesse de débauche tant espéré avant mon coup de force.
Je sens que je vais passer un bon moment alors quand l’ordre tombe je m’exécute sans penser à ce qui va arriver.
• Mon chéri prend place dans ton fauteuil, je pense que tu vas aimer la salope que je suis devenue.
Là je prends des risques, la soirée que je vais passer sera décisive pour l’avenir de notre couple.
Soit j’arrive à l’attacher à son fauteuil me permettant de passer à la phase deux de mon plan.
Il s’assoit, je saisis la première menotte fixée au bout d’une corde que j’ai fait courir dessous.
Il est surpris et avant qu’il ait le temps de se poser des questions, je me saisis de la deuxième de l’autre côté l’immobilisant entièrement.
• Oh ! ma chérie, j’aime beaucoup, voilà ce que j’espérais.
Viens me sucer et te faire prendre alors que mes mains sont attachées.
Elle s’approche prend un objet sur le buffet, c’est une boule à bouche, le temps que je comprenne, la parole m’est ôtée, elle dégraphe mon pantalon, le tirant me libérant même de mon boxer.
• Tu te trompes, j’attends quelqu’un et tu vas assister à ma transformation.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrer retenti.
• Chéri voilà ton cadeau d’anniversaire, mais c’est moi qui vais en profiter.
Ai-je fait sortir un papillon de nuit de sa chrysalide alors que j’espérais un magnifique papillon de jour ?
• Entrez, voici votre enveloppe.
Vous savez ce que j’attends de vous.
• Oui, madame vous avez été très précise au téléphone.
Qu’est-ce que je fais si votre mari se met à hurler, ça arrive la première fois ou il voit jusqu’à ou vous êtes capable d’aller ?
• J’y ai pensé, vous allez voir, j’ai remédié au problème.
Mon fauteuil est placé derrière la porte de communication avec le vestibule, j’entends tout comme si les deux personnes avaient été à mon côté.
• Entre, je t’ai préparé un bon repas avant que nous prenions du bon temps si la verge que tu m’as montrée par MMS est à la hauteur.
• Pourquoi tromper mes clientes ?
Plus je suis honnête et plus elles me rappellent.
Dans une conversation après mon retour, je lui ai conseillé de dépenser tout ce qu’elle désirait même si notre plan d’épargne-logement devait en souffrir.
Elle s’est payé un escortboy qui plus est le jour de mon anniversaire.
Ils entrent, bien mis le garçon.
Je regarde son pantalon très serré, il semble avoir ce qu’il faut, pour satisfaire une femme, satisfaire ma femme.
Ils ont parlé de cris du mari cocu.
Je serais un cocu obligé de me taire, quand finissant leur repas elle démarre notre sono et se met à danser.
Aucun geste d’humeur, je reste attaché et zen.
Voir ma femme, la chatte épilée à l’air se frotter sur le sexe proéminent de son compagnon d’un soir, me fait lever la queue.
C’est le seul endroit de ma personne montrant mes sentiments.
Pendant qu’ils dansent elle lui enlève sa chemise me montrant ses pectoraux.
• Regarde ton cocu, est-il capable de faire ça !
Devant mon regard ébahi, il se met à les faire marcher comme je l’ai vu par des acteurs dans certains films.
Je dois être humble, même à son âge, 25, 28 ans j’étais incapable d’en faire de même, même si à 50 je suis encore svelte.
L’élève dépasse le maître quand elle vient face à moi sur notre canapé et que se callant le vagin offert, elle se fait brouter le minou.
Malgré ce que je pensais au début, je tire sur mes menottes à la limite de me déchirer les poignets, mais c’est pour me masturber.
La longueur de la corde passant sous mon fauteuil m’interdit de m’empoigner.
Je me contorsionne comme une anguille et manque de chance, ma bite reste à cinq centimètres de mes doigts.
Je bande à la limite d’en avoir mal.
• Continu petit salopard, regarde, il bande comme un taureau, mais j’ai tout prévu.
La corde peut coulisser sans qu’il ait la possibilité de se masturber.
Suis-je une assez grande salope mon chéri ?
Voir cette jeune pute me lécher la chatte avant qu’il me prenne comme une bête, suis-je une assez belle salope à tes yeux ?
Elle défait ma boule, libérant ma parole.
• Salope, oui tu es la reine, mais je t’en supplie, viens me sucer, je vais exploser.
• Ce serait trop facile, j’ai travaillé des jours pour mettre au point ton cadeau d’anniversaire.
Reste calme, la soirée vient juste de commencer.
Oh ! Ludovic, pourquoi as-tu mis autant de temps à me faire connaître ça ?
Je jouis.
Elle aussi se tortille, je sais qu’elle me fait subir le supplice de Tantale pour la peur que je lui ai faite de lui faire croire que j’allais la quitter.
C’est un peu ma faute, lorsque je suis revenu et que je lui ai dit où j’étais, je lui ai aussi dit que je voulais la faire réagir sexuellement mais que je l’aimais trop pour la quitter.
Tantale, c’était la faim et la soif, moi c’est l’interdiction de me masturber.
Je vois le bellâtre se mettre nue, merde, je suis incapable de rivaliser
• Mets-toi en levrette.
● En levrette !
Elle veut jouer dans le cours des grands, mais est incapable de savoir ce qu’est la levrette.
Il est vrai que depuis les débuts de nos rapports comme je l’ai dit, la position du missionnaire a été toujours là nôtre.
• Mets-toi à quatre pattes, je vais venir derrière toi.
• Vas-tu me sodomiser ?
• Si tu le désir, pour moi dans le sexe, tout est bon, mon seul but le plaisir de ma cliente .
• Fait comme il te plait, j’ai juste un peu peur de ton calibre, quand je vois ce que Ludovic m’offre.
• Je veux bien fermer ma gueule ma jolie salope, mais même si ton mec est mieux membré que moi, j’ai ce qu’il faut pour te rendre heureuse.
J’aime la regarder se faire prendre centimètre par centimètres, de toute façon je suis dans l’incapacité de faire autre chose, mais de là à être rabaissé, il y a un pas que je refuse de les voir franchir.
Certains diront que j’ai joué avec le feu et que j’ai perdu.
Aucunement, même si j’ai envie de participer.
La vision de ce sexe entrant et sortant par de grands coups dans le vagin de ma femme est l’un des meilleurs moments de ma vie de couple surtout quand elle jouit hurlant de plaisir.
La jeunesse est prompte à récupérer alors que ma vieille semble avoir du mal à reprendre son souffle.
Je vois venir Adrien vers moi et sans me demander mon avis s’agenouiller et me prendre dans sa bouche.
J’ai envie de hurler, mais c’est de plaisir, car deux coups de langue et je lâche la purée.
Ça semble lui plaire, car il avale la moindre goutte me lavant la queue avec sa bouche.
Profitant de mon abandon tellement j’avais envie de jouir, elle me libère les mains.
• Chéri, voilà mon cadeau d’anniversaire !
Encule-le.
• Salope.
• Mon dieu, que je suis contente de te l’entendre dire.
Je suis vache à ce moment de notre histoire.
Il faut dire que la peur de perdre mes amies qui auraient eu du mal à comprendre que mon mari m’ait quitté pour des histoires de fesses, m’a fait penser à des choses comme la sodomie.
Avant que j’essaye, je veux le voir se faire défoncer l’anus.
Ça faisait partie du contrat, même si la sodomie, c’était lui ou moi qui devais la subir.
Il fait basculer Ludovic lui dégageant l’anus.
J’approche pour mieux voir et c’est moi qui lui prenant la queue le place là où ça va faire mal.
• Salope.
• Ça, tu l’as déjà dit mon amour.
• Vas-y Adrien, je pense qu’il va aimer se faire trombiner la boîte à chocolat.
J’ai voulu jouer pour le moment j’ai perdu.
Du moins quand son escorte entre en moi m’enfonçant son sexe jusqu’à ses couilles.
J’ai l’impression qu’il m’ouvre en deux, mais je dois dire qu’une fois que la totalité est passée c’est loin d’être désagréable.
• Embrasse-moi mon amour, je sens que nous faisons un très bon couple de beaux salopards.
J’ai regardé sur Internet, il y a plein de jeux érotiques que nous allons pratiquer.
Aujourd’hui c’est moi qui ai été maître de nos jeux la fois prochaine, ce sera toi.
Quand elle me détache nous finissons notre soirée à trois.
L’élève vient de dépasser le maître.
Nous verrons ça dans le prochain chapitre…
J’en étais resté là après que ma femme m’ait rappelé après trois jours où j’ai pris mes quartiers chez Martin, mon comptable et ami d’enfance.
En me réfugiant chez lui, ça me permet de me cacher aux yeux des curieux qui pourraient trouver bizarre que je sois venu habiter à l’hôtel de notre petite ville.
Ça c'était il y a quelques semaines.
Depuis Janine a appris à être décoincé du cul comme je l’espérais.
Il est fréquent que de retour de notre entreprise je la trouve seulement revêtue de sa guêpière la chatte offerte pour mon plus grand plaisir.
Ce soir c’est mon anniversaire 51 ans.
Janine m’a demandé si je pouvais prendre mon temps afin qu’elle ait le temps de tout préparer.
Quand j’arrive, les chandelles sont allumées sur la table préparée avec amour.
Elle a revêtu sa guêpière rouge que j’aime énormément, car elle est promesse de débauche tant espéré avant mon coup de force.
Je sens que je vais passer un bon moment alors quand l’ordre tombe je m’exécute sans penser à ce qui va arriver.
• Mon chéri prend place dans ton fauteuil, je pense que tu vas aimer la salope que je suis devenue.
Là je prends des risques, la soirée que je vais passer sera décisive pour l’avenir de notre couple.
Soit j’arrive à l’attacher à son fauteuil me permettant de passer à la phase deux de mon plan.
Il s’assoit, je saisis la première menotte fixée au bout d’une corde que j’ai fait courir dessous.
Il est surpris et avant qu’il ait le temps de se poser des questions, je me saisis de la deuxième de l’autre côté l’immobilisant entièrement.
• Oh ! ma chérie, j’aime beaucoup, voilà ce que j’espérais.
Viens me sucer et te faire prendre alors que mes mains sont attachées.
Elle s’approche prend un objet sur le buffet, c’est une boule à bouche, le temps que je comprenne, la parole m’est ôtée, elle dégraphe mon pantalon, le tirant me libérant même de mon boxer.
• Tu te trompes, j’attends quelqu’un et tu vas assister à ma transformation.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrer retenti.
• Chéri voilà ton cadeau d’anniversaire, mais c’est moi qui vais en profiter.
Ai-je fait sortir un papillon de nuit de sa chrysalide alors que j’espérais un magnifique papillon de jour ?
• Entrez, voici votre enveloppe.
Vous savez ce que j’attends de vous.
• Oui, madame vous avez été très précise au téléphone.
Qu’est-ce que je fais si votre mari se met à hurler, ça arrive la première fois ou il voit jusqu’à ou vous êtes capable d’aller ?
• J’y ai pensé, vous allez voir, j’ai remédié au problème.
Mon fauteuil est placé derrière la porte de communication avec le vestibule, j’entends tout comme si les deux personnes avaient été à mon côté.
• Entre, je t’ai préparé un bon repas avant que nous prenions du bon temps si la verge que tu m’as montrée par MMS est à la hauteur.
• Pourquoi tromper mes clientes ?
Plus je suis honnête et plus elles me rappellent.
Dans une conversation après mon retour, je lui ai conseillé de dépenser tout ce qu’elle désirait même si notre plan d’épargne-logement devait en souffrir.
Elle s’est payé un escortboy qui plus est le jour de mon anniversaire.
Ils entrent, bien mis le garçon.
Je regarde son pantalon très serré, il semble avoir ce qu’il faut, pour satisfaire une femme, satisfaire ma femme.
Ils ont parlé de cris du mari cocu.
Je serais un cocu obligé de me taire, quand finissant leur repas elle démarre notre sono et se met à danser.
Aucun geste d’humeur, je reste attaché et zen.
Voir ma femme, la chatte épilée à l’air se frotter sur le sexe proéminent de son compagnon d’un soir, me fait lever la queue.
C’est le seul endroit de ma personne montrant mes sentiments.
Pendant qu’ils dansent elle lui enlève sa chemise me montrant ses pectoraux.
• Regarde ton cocu, est-il capable de faire ça !
Devant mon regard ébahi, il se met à les faire marcher comme je l’ai vu par des acteurs dans certains films.
Je dois être humble, même à son âge, 25, 28 ans j’étais incapable d’en faire de même, même si à 50 je suis encore svelte.
L’élève dépasse le maître quand elle vient face à moi sur notre canapé et que se callant le vagin offert, elle se fait brouter le minou.
Malgré ce que je pensais au début, je tire sur mes menottes à la limite de me déchirer les poignets, mais c’est pour me masturber.
La longueur de la corde passant sous mon fauteuil m’interdit de m’empoigner.
Je me contorsionne comme une anguille et manque de chance, ma bite reste à cinq centimètres de mes doigts.
Je bande à la limite d’en avoir mal.
• Continu petit salopard, regarde, il bande comme un taureau, mais j’ai tout prévu.
La corde peut coulisser sans qu’il ait la possibilité de se masturber.
Suis-je une assez grande salope mon chéri ?
Voir cette jeune pute me lécher la chatte avant qu’il me prenne comme une bête, suis-je une assez belle salope à tes yeux ?
Elle défait ma boule, libérant ma parole.
• Salope, oui tu es la reine, mais je t’en supplie, viens me sucer, je vais exploser.
• Ce serait trop facile, j’ai travaillé des jours pour mettre au point ton cadeau d’anniversaire.
Reste calme, la soirée vient juste de commencer.
Oh ! Ludovic, pourquoi as-tu mis autant de temps à me faire connaître ça ?
Je jouis.
Elle aussi se tortille, je sais qu’elle me fait subir le supplice de Tantale pour la peur que je lui ai faite de lui faire croire que j’allais la quitter.
C’est un peu ma faute, lorsque je suis revenu et que je lui ai dit où j’étais, je lui ai aussi dit que je voulais la faire réagir sexuellement mais que je l’aimais trop pour la quitter.
Tantale, c’était la faim et la soif, moi c’est l’interdiction de me masturber.
Je vois le bellâtre se mettre nue, merde, je suis incapable de rivaliser
• Mets-toi en levrette.
● En levrette !
Elle veut jouer dans le cours des grands, mais est incapable de savoir ce qu’est la levrette.
Il est vrai que depuis les débuts de nos rapports comme je l’ai dit, la position du missionnaire a été toujours là nôtre.
• Mets-toi à quatre pattes, je vais venir derrière toi.
• Vas-tu me sodomiser ?
• Si tu le désir, pour moi dans le sexe, tout est bon, mon seul but le plaisir de ma cliente .
• Fait comme il te plait, j’ai juste un peu peur de ton calibre, quand je vois ce que Ludovic m’offre.
• Je veux bien fermer ma gueule ma jolie salope, mais même si ton mec est mieux membré que moi, j’ai ce qu’il faut pour te rendre heureuse.
J’aime la regarder se faire prendre centimètre par centimètres, de toute façon je suis dans l’incapacité de faire autre chose, mais de là à être rabaissé, il y a un pas que je refuse de les voir franchir.
Certains diront que j’ai joué avec le feu et que j’ai perdu.
Aucunement, même si j’ai envie de participer.
La vision de ce sexe entrant et sortant par de grands coups dans le vagin de ma femme est l’un des meilleurs moments de ma vie de couple surtout quand elle jouit hurlant de plaisir.
La jeunesse est prompte à récupérer alors que ma vieille semble avoir du mal à reprendre son souffle.
Je vois venir Adrien vers moi et sans me demander mon avis s’agenouiller et me prendre dans sa bouche.
J’ai envie de hurler, mais c’est de plaisir, car deux coups de langue et je lâche la purée.
Ça semble lui plaire, car il avale la moindre goutte me lavant la queue avec sa bouche.
Profitant de mon abandon tellement j’avais envie de jouir, elle me libère les mains.
• Chéri, voilà mon cadeau d’anniversaire !
Encule-le.
• Salope.
• Mon dieu, que je suis contente de te l’entendre dire.
Je suis vache à ce moment de notre histoire.
Il faut dire que la peur de perdre mes amies qui auraient eu du mal à comprendre que mon mari m’ait quitté pour des histoires de fesses, m’a fait penser à des choses comme la sodomie.
Avant que j’essaye, je veux le voir se faire défoncer l’anus.
Ça faisait partie du contrat, même si la sodomie, c’était lui ou moi qui devais la subir.
Il fait basculer Ludovic lui dégageant l’anus.
J’approche pour mieux voir et c’est moi qui lui prenant la queue le place là où ça va faire mal.
• Salope.
• Ça, tu l’as déjà dit mon amour.
• Vas-y Adrien, je pense qu’il va aimer se faire trombiner la boîte à chocolat.
J’ai voulu jouer pour le moment j’ai perdu.
Du moins quand son escorte entre en moi m’enfonçant son sexe jusqu’à ses couilles.
J’ai l’impression qu’il m’ouvre en deux, mais je dois dire qu’une fois que la totalité est passée c’est loin d’être désagréable.
• Embrasse-moi mon amour, je sens que nous faisons un très bon couple de beaux salopards.
J’ai regardé sur Internet, il y a plein de jeux érotiques que nous allons pratiquer.
Aujourd’hui c’est moi qui ai été maître de nos jeux la fois prochaine, ce sera toi.
Quand elle me détache nous finissons notre soirée à trois.
L’élève vient de dépasser le maître.
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