COLLECTION PUCEAU PUCELLE. L’étudiant. (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUCEAU PUCELLE. L’étudiant. (2/2)
C’est incroyable, je suis venue à Paris pour visiter une chambre dans une maison où une vieille femme me reçoit.
Je dis vieille femme, car pour moi qui ai 18 ans, 62 ans, c’est vieux malgré que Clotilde soit une femme longiligne qui est loin de faire cet âge.
Arrivée dans la chambre qu’elle veut me prêter alors que je pensais la louer me dégageant financièrement, la chambre est dans le noir et deux contacts physiques, mais furtifs, nous jetons dans les bras l’un de l’autre dans un baiser fusionnel qui se finit sur le lit où elle m’ôte mon pucelage.
J’ai joui une première fois et sans débander mon envie étant très grand, je continue à l’honorer pour finir dans un embrasement de nos deux corps.
Je dois repartir le soir après ma visite pour rentrer à Lamotte-Beuvron, mais Clotilde m’en dissuade voulant me former pour être un amant hors pair avec les femmes.
J’accepte son invitation en profitant pour m’émanciper plutôt que prévue de mes parents et ainsi éviter à passer les jours suivants à servir les clients de leur épicerie.
La seule différence, c’est que je devais avoir une chambre au 2ème étage et que j’en ai une contigu à la sienne bien que depuis les trois jours où je suis là nous couchons dans son lit.
Elle m’a déjà appris bien des choses qui vont faire de moi un amant sachant m’occuper des femmes, elle qui a connu un nombre faramineux d’hommes tout au long de ses déplacements et de sa vie.
Après ces trois jours, elle me propose de venir à Nice où elle a une villa où nous venons d’arriver et ou la femme de service qui s’occupe de sa propriété à tout préparer pour notre arrivée.
Je vois bien qu’elle a compris que je suis l’amant de Clotilde et doit me prendre pour un gigolo, car depuis le nombre d’années qu’elle est à son service, elle a dû en voir défiler.
Ce soir c’est restaurant sur la plage privée où nous avons deux transats réservés, je prends rapidement goût au luxe et au pouvoir de l’argent.
Sa villa est bien indépendante des voisins et j’adore vivre nu avant de descendre continuer à faire le lézard sur la plage.
La villa et notre isolement me permettent de faire l’amour à l’amour de ma vie fréquemment soit sur les transats soient dans l’eau, car la différence d’âge a disparu du moins pour moi.
Il est fréquent le soir de nous promener sur la promenade des Anglais la main dans la main ou mon bras sur son épaule montrant à tous que nous assumons notre différence.
Ce qui est drôle, c’est que de nouvelles photos ornent sa villa, mais j’ai appris à être galant et j’évite de poser des questions.
C’est elle qui est nature et souvent, elle me montre une photo de l’un d’eux m’expliquant sous le regard du garçon ce que sexuellement, il lui a apporté, c’est le cas de Victorio que je reconnais étant connu par ses films, mais il est marié avec une actrice elle aussi célèbre, son amant italien lui a appris à se faire sodomiser.
La nuit suivante au retour de notre promenade où j’ai mangé une énorme glace, après nous être embrassé fougueusement et qu’elle m’est sucée intensément elle s’est placée de manière à ce que je lui prenne l’anus me montrant les plaisirs interdits que je dois maîtriser sans lui faire mal.
La seule demande, quand j’ai réussi à entrer au plus profond de son cul, c’est de lui claquer les fesses chose que je fais déjà depuis qu’elle m’a appris à la baiser en levrette.
J’adore ses cris de douleur qui sont autant de bruit de plaisir pour elle quand après presque une heure de ce traitement, elle a un orgasme venu du fond elle.
Je passe des vacances de rêve avant de faire retour chez mes parents où je prépare mes affaires pour intégrer ma fac.
Elle me conduit à l’hôpital où l’on m’ôte mon plâtre avant que j’aille en rééducation.
Je couche toujours dans sa chambre, mais je passe des heures dès les premiers cours dans la mienne, jusqu’à ce qu’elle vienne me chercher pour dîner avec elle sans voir les heures passées.
Les mois succèdent aux mois, Clotilde fait de moi un amant de plus en plus accro au sexe à son sexe, je travaille comme une brute et je la baise dès que mon travail me le permet.
Pour une femme de son âge, elle est surprenante, aucun coin de sa maison du moins 1er et 2ème qui ne nous aient vu nus tous les deux sauf une pièce au rez-de-chaussée qui est toujours fermé et où elle semble avoir perdu la clef.
Même sa gouvernante qui vit dans son office et qui finit tous les jours à 17 heures reste sans entrer.
J’ai réussi ma première année sans problème ainsi que les sept premières années.
Je vais deux fois par année voire mes parents à leur épicerie, ils m’ont fait savoir qu’ils venaient à Paris en septembre et qu’ils souhaitent voir la chambre où je vivais.
J’en ai parlé à Clotilde qui toujours organisée me propose de les recevoir sans qu’ils restent pour autant, nous montons mes affaires au 3ème et pour la première fois, je retrouve la chambre où elle m’a dépucelé.
Quand tout est installé pour donner le change elle se laisse déshabiller et contrairement ou en temps normal elle conduit nos ébats, c’est moi qui lui fais voir que toutes ses leçons ont porté leurs fruits.
Je la fais jouir trois fois avant que mon sperme vienne en elle dans un dernier orgasme.
La visite se passe sans encombre, maman sympathisante même avec ma maîtresse sans que pour autant, elle ne se doute de quoi que ce soit.
Après leur départ, j’ai récompensé Clotilde comme elle le méritait la laissant même épuisé sur le canapé ou tous les endroits ou j’ai pu la pénétrer l’ont été en commençant par sa bouche qui m’a pompé divinement, ses seins ou malgré qu’il soit petit m’ont servi pour me faire une branlette espagnole.
Sans oublier son sexe que j’ai pénétré dans de nombreuses positions pour finir par son anus que j’ai rempli de mon foutre.
Tous les étés, j’ai le droit de continuer à travailler au bord de la piscine ou sur la plage de Nice, je grandis en profitant de la salle de musculation qu’elle m’a fait aménager pour que je prenne du muscle en même temps que je remplis mon cerveau.
Cette année une nouveauté pour nous, Ange sa petite fille doit nous rejoindre, Clotilde est ravie, car elle a obtenu son diplôme de médecine en Amérique et passe ce mois d’août avec nous avant de rejoindre une école pour une spécialisation en Angleterre en septembre.
Clotilde souhaite que sa petite fille ignore notre relation et je dois faire un nœud à mon sexe dès qu’elle nous rejoint à l’aéroport de Nice où je vais la chercher avec sa voiture ayant dans le deuxième séjour passé ici pris des leçons de conduite et étant reçu du premier coup.
Dès qu’elle voit mon carton sur lequel j’ai écrit son nom, elle se dirige vers moi et c’est le choc de ma vie, je reconnais la Clotilde des photos au temps où elle défilait sur des podiums et où elle avait des amants à gogo, la petite fille et la grand-mère étant de parfaits sosies.
• Ange, tu es Christian, ma grand-mère m’a parlé longtemps de toi, il semble qu’elle t’aime particulièrement depuis que tu es venu dans la chambre où tu travailles pour devenir médecin, diplôme que j’ai eu cette année, car malgré que nous ayons le même âge, à la rentrée, je vais faire une spécialisation en Angleterre pour être sexologue.
• Sexologue, c’est drôle, tu dois aimer faire l’amour.
Tu parles bien le français.
• Ma grand-mère a toujours souhaité que je le parle et chaque fois que je l’ai au téléphone nous conversons dans ta langue, sans oublier les cours bien sûr.
Ce fut notre premier contact jusqu’au moment où Clotilde retourne à Paris en urgence appelée par sa femme de service pour un problème survenu à la maison de Courbevoie.
Je propose de l’accompagner, mais elle préfère prendre un taxi et promet de nous rejoindre le plus rapidement possible.
Je suis dans un transat à réviser un point mal assimilé au cours de l’année quand elle arrive recouverte d’un peignoir, elle l’enlève et se baigne nue devant moi sans aucune pudeur.
Le soir, nous marchons sur la promenade des Anglais et nous allons manger une glace, Ange comme Clotilde pouvant manger sans pour autant prendre du poids.
De retour à la villa, alors que je me suis couché dans le noir, la porte de ma chambre s’ouvre et Ange vient me rejoindre sur mon lit où je suis nu.
Nos bouches se trouvent bien que je sois mal à l’aise de tromper celle qui a fait de moi celui que je suis devenu aujourd’hui.
Mon sexe rejoint son sexe et quand je la pénètre après qu’elle m’eût mis une capote qu’elle a amenée, je sors précipitamment allumant.
• Mais tu es vierge, tu vas être sexologue, moi qui t’ai dit que tu devais aimer l’amour.
• Oui, viens, je vais aimer l’amour avec toi.
Sa grand-mère m’a dépucelé et je dépucelle sa petite fille avec en supplément nos cœurs qui s’enflamment l’un pour l’autre.
Nous passons une nuit extraordinaire mon cœur battant à tous rompre jusqu’au surlendemain où Clotilde fait son retour.
• Clotilde, il est arrivé quelque chose pendant ton absence, Ange et moi sommes devenus amant, je voulais être franc avec toi, je t’aime plus que tout au monde, mais quand elle m’a rejoint, j’ai tout de suite cédé, elle te ressemble tellement.
• Ainsi, va la vie Christian, je suis contente que ce soit toi qui vives avec elle, je sois sûr qu’elle t’attend, pars-la rejoindre, tu as été la plus belle page de ma vie et je te remercie de ta loyauté, tu aurais pu essayer de nous partager, risquant de tout perdre.
Ange est parti en Angleterre et nous sommes repartis à Courbevoie, je suis en train de passer mes examens sûrs d’être reçus après tant de travail.
Je viens de recevoir confirmation et Clotilde tient à ce que j’aille l’annoncer à mes parents.
Je suis chez eux depuis deux jours quand je reçois un SMS d’Ange.
« Venir de suite Clotilde au plus mal »
Quand j’arrive, Ange est là et je vais dans la chambre de mon initiatrice qui est morte avant mon retour.
Deux jours après nous l’incinérerons et nous partons avec l’urne à Nice où nous l’enterrons dans son jardin bien que ce soit interdit.
Un mois après sa mort, Ange qui est définitivement revenu d’Angleterre ayant elle aussi terminé sa formation me demande de la suivre, elle qui est très coquette porte un peignoir fermé jusqu’au cou.
Elle prend des clefs dans sa poche et ouvre la porte infranchissable depuis que je suis ici.
• Je te fais entrer dans le bureau du dernier mari de Clotilde, elle a tenu à ce que tu le voies et m’a donné une lettre à te remettre dans ce bureau un mois après qu’elle nous ait quitté.
Assieds-toi dans ce fauteuil et lis la lettre qu’elle a écrite avant ton retour de chez tes parents.
Je m’installe prend le coupe-papier posé sur le bureau et j’ouvre l’enveloppe.
À l’intérieur un feuillet avec une écriture à la main légèrement tremblante.
« Mon petit Christian, quand tu liras cette lettre, je serais parti côtoyer les anges, Ange vient de t’ouvrir la porte du bureau de mon dernier mari qui était sexologue, il avait une clientèle importante qui s’est trouvée orpheline quand il est mort.
Ma petite fille est prête à prendre la suite, mais souhaitait le faire avec celui qui serait son mari, elle m’a chargé de trouver la perle rare et à te former à devenir un mari et un amant exceptionnel, avant que je devienne ta maîtresse, j’avais fait venir trois garçons à qui j’ai refusé de louer la chambre d’étudiant promis dans l’annonce.
Quand je t’ai vu avec tes béquilles, j’ai su que ce serait toi et la suite des années m’a donné raison, tu es un amant merveilleusement formé.
Quand je suis retourné à Courbevoie de Nice, il était prévu que ma petite fille prenne le relais de ton éducation, quand j’ai accepté de l’aider, je savais que j’étais condamné et grâce à toi ma maladie a semblé m’abandonner pendant nos années de bonheur, je viens d’apprendre que l’issue était proche.
Il te reste une chose à apprendre dans les jeux de l’amour, le sadomasochisme.
Ange était en Angleterre pour suivre cette formation à laquelle elle va t’initier, soyez heureux ensemble et fait moi de beaux-enfants.
Je t’embrasse retourne-toi Ange t’attend.
Clotilde, ton aimé »
Je suis à la limite de pleurer, je me retourne et celle qui va devenir ma femme est là, en guêpière et costume de cuir, avec bottes plus hautes que les genoux et des gants remontant après ses coudes, une cravache à la main.
• Suis-moi dans l’autre pièce contiguë à ce bureau, toi qui es médecin, l’an prochain si tu acceptes, tu feras ta formation de sexologue, mais en attendant, je vais t’initier au sexe avec divers degrés de perversion.
Épilogue.
J’ai franchi la porte et j’ai découvert une salle avec des appareils tous plus surprenants les uns que les autres.
C’est dans cette pièce que Clotilde est entrée un jour et où elle a fait la connaissance de son Maitre qui l’a épousé, mais sans jamais lui faire l’amour du moins avec son sexe, son mari avait une grande clientèle qui s’est trouvé démunie à sa mort.
La plupart d’entre eux, hommes ou femmes étaient à l’enterrement de Clotilde qui leur avaient écrit que sa petite fille reprenait le cabinet dans les mêmes conditions.
Ange m’a formé après que j’ai reçu mon diplôme de sexologue.
Nous avons deux types de clientèle, ceux qui individuellement ou en couple veulent régler leurs problèmes sexuels et ceux que nous sentons pour qu’ils trouvent leur plénitude doivent passer la porte les menant vers Maitre Ange ou Maitre Christian.
Il faut voir la clientèle qui fond partie de la deuxième catégorie ce qui nous permet de fermer le cabinet deux mois par an pour aller soigner les fleurs que nous avons plantées sur le massif où Clotilde repose.
Nous venons d’acheter un grand voilier que j’ai appris à manœuvrer et Ange vient de m’annoncer que je dois la suivre à la clinique où dans quelques mois nous aurons notre premier enfant, si c’est une fille elle s’appellera Clotilde.
Je dis vieille femme, car pour moi qui ai 18 ans, 62 ans, c’est vieux malgré que Clotilde soit une femme longiligne qui est loin de faire cet âge.
Arrivée dans la chambre qu’elle veut me prêter alors que je pensais la louer me dégageant financièrement, la chambre est dans le noir et deux contacts physiques, mais furtifs, nous jetons dans les bras l’un de l’autre dans un baiser fusionnel qui se finit sur le lit où elle m’ôte mon pucelage.
J’ai joui une première fois et sans débander mon envie étant très grand, je continue à l’honorer pour finir dans un embrasement de nos deux corps.
Je dois repartir le soir après ma visite pour rentrer à Lamotte-Beuvron, mais Clotilde m’en dissuade voulant me former pour être un amant hors pair avec les femmes.
J’accepte son invitation en profitant pour m’émanciper plutôt que prévue de mes parents et ainsi éviter à passer les jours suivants à servir les clients de leur épicerie.
La seule différence, c’est que je devais avoir une chambre au 2ème étage et que j’en ai une contigu à la sienne bien que depuis les trois jours où je suis là nous couchons dans son lit.
Elle m’a déjà appris bien des choses qui vont faire de moi un amant sachant m’occuper des femmes, elle qui a connu un nombre faramineux d’hommes tout au long de ses déplacements et de sa vie.
Après ces trois jours, elle me propose de venir à Nice où elle a une villa où nous venons d’arriver et ou la femme de service qui s’occupe de sa propriété à tout préparer pour notre arrivée.
Je vois bien qu’elle a compris que je suis l’amant de Clotilde et doit me prendre pour un gigolo, car depuis le nombre d’années qu’elle est à son service, elle a dû en voir défiler.
Ce soir c’est restaurant sur la plage privée où nous avons deux transats réservés, je prends rapidement goût au luxe et au pouvoir de l’argent.
Sa villa est bien indépendante des voisins et j’adore vivre nu avant de descendre continuer à faire le lézard sur la plage.
La villa et notre isolement me permettent de faire l’amour à l’amour de ma vie fréquemment soit sur les transats soient dans l’eau, car la différence d’âge a disparu du moins pour moi.
Il est fréquent le soir de nous promener sur la promenade des Anglais la main dans la main ou mon bras sur son épaule montrant à tous que nous assumons notre différence.
Ce qui est drôle, c’est que de nouvelles photos ornent sa villa, mais j’ai appris à être galant et j’évite de poser des questions.
C’est elle qui est nature et souvent, elle me montre une photo de l’un d’eux m’expliquant sous le regard du garçon ce que sexuellement, il lui a apporté, c’est le cas de Victorio que je reconnais étant connu par ses films, mais il est marié avec une actrice elle aussi célèbre, son amant italien lui a appris à se faire sodomiser.
La nuit suivante au retour de notre promenade où j’ai mangé une énorme glace, après nous être embrassé fougueusement et qu’elle m’est sucée intensément elle s’est placée de manière à ce que je lui prenne l’anus me montrant les plaisirs interdits que je dois maîtriser sans lui faire mal.
La seule demande, quand j’ai réussi à entrer au plus profond de son cul, c’est de lui claquer les fesses chose que je fais déjà depuis qu’elle m’a appris à la baiser en levrette.
J’adore ses cris de douleur qui sont autant de bruit de plaisir pour elle quand après presque une heure de ce traitement, elle a un orgasme venu du fond elle.
Je passe des vacances de rêve avant de faire retour chez mes parents où je prépare mes affaires pour intégrer ma fac.
Elle me conduit à l’hôpital où l’on m’ôte mon plâtre avant que j’aille en rééducation.
Je couche toujours dans sa chambre, mais je passe des heures dès les premiers cours dans la mienne, jusqu’à ce qu’elle vienne me chercher pour dîner avec elle sans voir les heures passées.
Les mois succèdent aux mois, Clotilde fait de moi un amant de plus en plus accro au sexe à son sexe, je travaille comme une brute et je la baise dès que mon travail me le permet.
Pour une femme de son âge, elle est surprenante, aucun coin de sa maison du moins 1er et 2ème qui ne nous aient vu nus tous les deux sauf une pièce au rez-de-chaussée qui est toujours fermé et où elle semble avoir perdu la clef.
Même sa gouvernante qui vit dans son office et qui finit tous les jours à 17 heures reste sans entrer.
J’ai réussi ma première année sans problème ainsi que les sept premières années.
Je vais deux fois par année voire mes parents à leur épicerie, ils m’ont fait savoir qu’ils venaient à Paris en septembre et qu’ils souhaitent voir la chambre où je vivais.
J’en ai parlé à Clotilde qui toujours organisée me propose de les recevoir sans qu’ils restent pour autant, nous montons mes affaires au 3ème et pour la première fois, je retrouve la chambre où elle m’a dépucelé.
Quand tout est installé pour donner le change elle se laisse déshabiller et contrairement ou en temps normal elle conduit nos ébats, c’est moi qui lui fais voir que toutes ses leçons ont porté leurs fruits.
Je la fais jouir trois fois avant que mon sperme vienne en elle dans un dernier orgasme.
La visite se passe sans encombre, maman sympathisante même avec ma maîtresse sans que pour autant, elle ne se doute de quoi que ce soit.
Après leur départ, j’ai récompensé Clotilde comme elle le méritait la laissant même épuisé sur le canapé ou tous les endroits ou j’ai pu la pénétrer l’ont été en commençant par sa bouche qui m’a pompé divinement, ses seins ou malgré qu’il soit petit m’ont servi pour me faire une branlette espagnole.
Sans oublier son sexe que j’ai pénétré dans de nombreuses positions pour finir par son anus que j’ai rempli de mon foutre.
Tous les étés, j’ai le droit de continuer à travailler au bord de la piscine ou sur la plage de Nice, je grandis en profitant de la salle de musculation qu’elle m’a fait aménager pour que je prenne du muscle en même temps que je remplis mon cerveau.
Cette année une nouveauté pour nous, Ange sa petite fille doit nous rejoindre, Clotilde est ravie, car elle a obtenu son diplôme de médecine en Amérique et passe ce mois d’août avec nous avant de rejoindre une école pour une spécialisation en Angleterre en septembre.
Clotilde souhaite que sa petite fille ignore notre relation et je dois faire un nœud à mon sexe dès qu’elle nous rejoint à l’aéroport de Nice où je vais la chercher avec sa voiture ayant dans le deuxième séjour passé ici pris des leçons de conduite et étant reçu du premier coup.
Dès qu’elle voit mon carton sur lequel j’ai écrit son nom, elle se dirige vers moi et c’est le choc de ma vie, je reconnais la Clotilde des photos au temps où elle défilait sur des podiums et où elle avait des amants à gogo, la petite fille et la grand-mère étant de parfaits sosies.
• Ange, tu es Christian, ma grand-mère m’a parlé longtemps de toi, il semble qu’elle t’aime particulièrement depuis que tu es venu dans la chambre où tu travailles pour devenir médecin, diplôme que j’ai eu cette année, car malgré que nous ayons le même âge, à la rentrée, je vais faire une spécialisation en Angleterre pour être sexologue.
• Sexologue, c’est drôle, tu dois aimer faire l’amour.
Tu parles bien le français.
• Ma grand-mère a toujours souhaité que je le parle et chaque fois que je l’ai au téléphone nous conversons dans ta langue, sans oublier les cours bien sûr.
Ce fut notre premier contact jusqu’au moment où Clotilde retourne à Paris en urgence appelée par sa femme de service pour un problème survenu à la maison de Courbevoie.
Je propose de l’accompagner, mais elle préfère prendre un taxi et promet de nous rejoindre le plus rapidement possible.
Je suis dans un transat à réviser un point mal assimilé au cours de l’année quand elle arrive recouverte d’un peignoir, elle l’enlève et se baigne nue devant moi sans aucune pudeur.
Le soir, nous marchons sur la promenade des Anglais et nous allons manger une glace, Ange comme Clotilde pouvant manger sans pour autant prendre du poids.
De retour à la villa, alors que je me suis couché dans le noir, la porte de ma chambre s’ouvre et Ange vient me rejoindre sur mon lit où je suis nu.
Nos bouches se trouvent bien que je sois mal à l’aise de tromper celle qui a fait de moi celui que je suis devenu aujourd’hui.
Mon sexe rejoint son sexe et quand je la pénètre après qu’elle m’eût mis une capote qu’elle a amenée, je sors précipitamment allumant.
• Mais tu es vierge, tu vas être sexologue, moi qui t’ai dit que tu devais aimer l’amour.
• Oui, viens, je vais aimer l’amour avec toi.
Sa grand-mère m’a dépucelé et je dépucelle sa petite fille avec en supplément nos cœurs qui s’enflamment l’un pour l’autre.
Nous passons une nuit extraordinaire mon cœur battant à tous rompre jusqu’au surlendemain où Clotilde fait son retour.
• Clotilde, il est arrivé quelque chose pendant ton absence, Ange et moi sommes devenus amant, je voulais être franc avec toi, je t’aime plus que tout au monde, mais quand elle m’a rejoint, j’ai tout de suite cédé, elle te ressemble tellement.
• Ainsi, va la vie Christian, je suis contente que ce soit toi qui vives avec elle, je sois sûr qu’elle t’attend, pars-la rejoindre, tu as été la plus belle page de ma vie et je te remercie de ta loyauté, tu aurais pu essayer de nous partager, risquant de tout perdre.
Ange est parti en Angleterre et nous sommes repartis à Courbevoie, je suis en train de passer mes examens sûrs d’être reçus après tant de travail.
Je viens de recevoir confirmation et Clotilde tient à ce que j’aille l’annoncer à mes parents.
Je suis chez eux depuis deux jours quand je reçois un SMS d’Ange.
« Venir de suite Clotilde au plus mal »
Quand j’arrive, Ange est là et je vais dans la chambre de mon initiatrice qui est morte avant mon retour.
Deux jours après nous l’incinérerons et nous partons avec l’urne à Nice où nous l’enterrons dans son jardin bien que ce soit interdit.
Un mois après sa mort, Ange qui est définitivement revenu d’Angleterre ayant elle aussi terminé sa formation me demande de la suivre, elle qui est très coquette porte un peignoir fermé jusqu’au cou.
Elle prend des clefs dans sa poche et ouvre la porte infranchissable depuis que je suis ici.
• Je te fais entrer dans le bureau du dernier mari de Clotilde, elle a tenu à ce que tu le voies et m’a donné une lettre à te remettre dans ce bureau un mois après qu’elle nous ait quitté.
Assieds-toi dans ce fauteuil et lis la lettre qu’elle a écrite avant ton retour de chez tes parents.
Je m’installe prend le coupe-papier posé sur le bureau et j’ouvre l’enveloppe.
À l’intérieur un feuillet avec une écriture à la main légèrement tremblante.
« Mon petit Christian, quand tu liras cette lettre, je serais parti côtoyer les anges, Ange vient de t’ouvrir la porte du bureau de mon dernier mari qui était sexologue, il avait une clientèle importante qui s’est trouvée orpheline quand il est mort.
Ma petite fille est prête à prendre la suite, mais souhaitait le faire avec celui qui serait son mari, elle m’a chargé de trouver la perle rare et à te former à devenir un mari et un amant exceptionnel, avant que je devienne ta maîtresse, j’avais fait venir trois garçons à qui j’ai refusé de louer la chambre d’étudiant promis dans l’annonce.
Quand je t’ai vu avec tes béquilles, j’ai su que ce serait toi et la suite des années m’a donné raison, tu es un amant merveilleusement formé.
Quand je suis retourné à Courbevoie de Nice, il était prévu que ma petite fille prenne le relais de ton éducation, quand j’ai accepté de l’aider, je savais que j’étais condamné et grâce à toi ma maladie a semblé m’abandonner pendant nos années de bonheur, je viens d’apprendre que l’issue était proche.
Il te reste une chose à apprendre dans les jeux de l’amour, le sadomasochisme.
Ange était en Angleterre pour suivre cette formation à laquelle elle va t’initier, soyez heureux ensemble et fait moi de beaux-enfants.
Je t’embrasse retourne-toi Ange t’attend.
Clotilde, ton aimé »
Je suis à la limite de pleurer, je me retourne et celle qui va devenir ma femme est là, en guêpière et costume de cuir, avec bottes plus hautes que les genoux et des gants remontant après ses coudes, une cravache à la main.
• Suis-moi dans l’autre pièce contiguë à ce bureau, toi qui es médecin, l’an prochain si tu acceptes, tu feras ta formation de sexologue, mais en attendant, je vais t’initier au sexe avec divers degrés de perversion.
Épilogue.
J’ai franchi la porte et j’ai découvert une salle avec des appareils tous plus surprenants les uns que les autres.
C’est dans cette pièce que Clotilde est entrée un jour et où elle a fait la connaissance de son Maitre qui l’a épousé, mais sans jamais lui faire l’amour du moins avec son sexe, son mari avait une grande clientèle qui s’est trouvé démunie à sa mort.
La plupart d’entre eux, hommes ou femmes étaient à l’enterrement de Clotilde qui leur avaient écrit que sa petite fille reprenait le cabinet dans les mêmes conditions.
Ange m’a formé après que j’ai reçu mon diplôme de sexologue.
Nous avons deux types de clientèle, ceux qui individuellement ou en couple veulent régler leurs problèmes sexuels et ceux que nous sentons pour qu’ils trouvent leur plénitude doivent passer la porte les menant vers Maitre Ange ou Maitre Christian.
Il faut voir la clientèle qui fond partie de la deuxième catégorie ce qui nous permet de fermer le cabinet deux mois par an pour aller soigner les fleurs que nous avons plantées sur le massif où Clotilde repose.
Nous venons d’acheter un grand voilier que j’ai appris à manœuvrer et Ange vient de m’annoncer que je dois la suivre à la clinique où dans quelques mois nous aurons notre premier enfant, si c’est une fille elle s’appellera Clotilde.
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