COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Le professeur de piano et la pucelle (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Le professeur de piano et la pucelle (4/4)
Dans quelle histoire, me suis-je fourré.
C’est ce que je me dis lorsque Valentine la jeune pucelle déjà à moitié vierge suite à une chute de cheval en concours hippique après un refus de Tonnerre, son pur-sang.
Moi qui ai la cinquantaine et qui est un sérial niqueur, je la passe à la casserole sans m’inquiéter de ses 18 ans dans quelques jours.
Valentine préservée par sa famille des hommes avant son mariage.
Elle est une très bonne élève aussi bien au piano que sur mon canapé, principal instrument servant à mes exploits sexuels.
Alors que je donne une leçon à un jeune élève quand Valentine arrive chez moi à l’improviste voulant en remettre un petit coup.
1 300, c’est le nombre de salopes que j’ai dû sexer depuis mon dépucelage.
Mon problème, c’est que j’ai du mal à refuser quand je suis sollicité.
À moitié à poil, sa bouche sur mon sexe, on sonne de nouveau à ma porte.
Replis stratégiques pour la petite vers ma chambre et ouverture de la porte pour tomber sur un problème encore plus énorme.
Jeanne, la mère de Valentine est sur là m’apportant une boîte de chocolats de chez Fauchon pour me remercier d’avoir gardé sa fille pendant qu’elle allait voir sa mère en maison de retraite.
Environ deux heures que je mets à profit comme le vieux soudard que je suis pour dévirginiser Valentine et surtout lui apprendre que la vie est tout autre que celle que ses parents lui font vivre.
Ayant récupéré les chocolats que je pose sur mon piano à queue, Jeanne vient littéralement se coller à moi la bouche en avant.
Étant un niqueur né, j’oublie la fille qui est non loin de nous.
Je tente tout de même de la repousser afin d’entendre le début de l’histoire de cette grande femme.
Il semble que son mari l’ait dépucelée le jour de ses noces et depuis la naissance de sa fille, walou, nada, rien, pas une partie de jambes en l’air.
● J’ai été élevé dans une famille rigoriste, catho à cent pour cent.
Étant l’ainée de ma famille la dote économisée était en priorité pour la plus vieille, donc, moi.
Nous connaissions Félix, nous avions presque été élevés ensemble.
C’est lui que mes parents m’ont promis comme mari, je devais l’épouser sans avoir le droit de m’y opposer.
Par malchance, ils s’aimaient avec Agathe ma sœur.
Il l’avait même dépucelée et ça je le savais, mais je me suis tu pour éviter de déshonorer ma sœur et ma famille.
Sous couvert d’éviter de me laisser seule, elle est venue habitée avec nous et depuis, elle s’occupe de ma fille et couche toutes les nuits avec lui.
● Et toi tu fais ceinture, pourquoi restes-tu dans une telle situation ?
● Dans nos familles on obéit comme Valentine m’obéira, lorsque nous aurons trouvé un mari.
Dans nos familles, nul divorce, j’aurais pu prendre un amant, mais là encore, j’ai baissé la tête.
Lorsque je t’ai rencontré, j’ai eu le coup de foudre, je savais que c’était toi l’amant prodigieux qui allait commencer à me faire connaître l’amour, pardon le sexe.
Quand je parle de merdier dans lequel je plonge irrémédiablement, sans plus réfléchir à la situation je l’embrasse.
Je bande, je vais la baiser.
C’est toujours ce que je me dis lorsqu’une salope enlève sa veste de tailleur qui chute au sol.
● On va dans ta chambre, j’aime un bon lit.
La tuile, je me vois emmener Jeanne et lui dire, voici ta fille et à Valentine voici ta mère.
● Je suis un vieux garçon, un homme seul et ma chambre est dans un tel désordre, que je préfère que nous restions ici !
Si tu le veux, mon canapé pourra très bien nous recevoir.
Je la fais reculer manquant de me prendre les pieds dans sa veste et d’y atterrir plus vite que prévu.
Je défais ma ceinture et laisse glisser mon jean.
Elle est aussi maladroite que sa fille, que j’ai peur de voir surgir à tout moment pour nous traiter de salope et de salop !
Mais rien, elle reste cachée alors quand j’appuie sur la tête de Jeanne et qu’elle me prend en bouche, l’instinct du chasseur, l’instinct du baiseur remonte en moi et je me laisse pomper.
Le bas de sa jupe est à ma portée, je passe ma main là où les femmes aiment qu’elle se porte surtout lorsqu’elles sont en manque depuis tant d’années.
Je contourne sa protection et j’y plonge deux doigts.
Plus étroite que sa fille, presque encore pucelle, mais mes doigts trouvant un chemin bien humidifié.
Elle se redresse, vient m’embrasser.
● Relève ta jupe et mets toi en levrette, j’adore prendre les femmes en levrette.
Contrairement à Valentine, elle connaît les termes sexuels, car d’elle-même elle s’exécute.
Je me positionne et je rentre d’une seule poussée.
J’entre en elle difficilement, mais je suis au fond.
Je la prends par les hanches et à grands coups je finis par obtenir de petits gémissements.
● C’est bon, continu, oui bien à fond, je suis ta chienne, je suis ta salope.
Rapidement, elle jouit en même temps que moi.
Elle se relève, se rajuste et viens m’embrasser, avant de me glisser à l’oreille un numéro de portable.
● Apelle-moi si tu veux que nous nous revoyions.
Moi, je serais toujours là pour toi, mon cœur est à toi.
Elle part en grande femme comme une ombre dans son tailleur strict.
Je reste debout flamberge encore coulante de sperme.
C’est à ce moment que je prends conscience que la fille a certainement tout entendu lorsque je baisais sa mère.
Je rejoins ma salle de bains pour me nettoyer la queue et ouvrir la porte qui donne dans ma chambre.
Elle est dans le noir, mais mon radio-réveil me montre que Valentine est couchée en chien de fusil sur mon lit.
Comme elle le faisait tout à l’heure, elle pleure.
Je me couche derrière elle, elle lève sa tête me permettant de glisser mon bras.
● Pourquoi pleures-tu petite fille, parce que j’ai fait l’amour à ta maman ?
Elle semble réfléchir ou reprendre son souffle pour me répondre.
● Non, même si je suis jalouse, tu m’as ouvert les yeux sur tellement de choses depuis que, tu m’as fait jouer du piano à quatre mains, que je te pardonne.
Non, c’est d’avoir été trompé par cette pute d’Agathe et de Félix, mon père.
Faire vivre à ma mère ce qu’ils lui ont fait vivre pendant vingt ans la privant de ce que tu m’as fait connaître, c’est inhumain.
J’ai entendu qu’elle jouissait, même si je suis un peu jalouse, je te remercie.
Elle se retourne et m’offre sa bouche.
Mon lit est parfaitement fait et c’est sur mon couvre-lit que je referme tous les matins, ayant été dans l’armée pendant cinq ans.
Mon lit est fait au carré et ma chambre toujours rangée contrairement à ce que j’ai dit à Jeanne afin qu’elle évite de tomber sur sa fille.
Je bande, je viens de décharger dans la chatte d’une femme la quarantaine quand je pénètre Valentine, je suis dans celle de sa fille petite poupée de 18 ans dans quelques jours.
Valentine apprend vite lorsqu’elle sent ma queue taper sur ses fesses.
Elle lève sa jolie jambe gauche pour me permettre le passage et de ma main libre je la pénètre sans grandes difficultés.
J’ignore ce que l’avenir me réserve, mais je peux assurer que deux femmes dans la même après midi, qui plus est mère et fille, restera l’exploit de ma vie.
Elle à un orgasme et je lui vide une bonne rasade de sperme venue du fond de mes couilles.
● Oh ! la jolie boîte de chocolats, tu permets que j’en prenne un !
Rhabillée, Valentine vient de m’accompagner dans ma salle et de mon piano où j’y ai déposé la boîte apportée certainement comme alibi par Jeanne, sa mère.
● Tu peux, pouvons-nous nous revoir ?
Elle met un chocolat dans sa jolie bouche et vient me caresser la queue au travers de mon pantalon.
● Bien sûr, mais venir à l’improviste, c’est source de mauvaise surprise.
● Tu penses revoir ma mère.
● Je vais t’apprendre quelque chose, certaines femmes, ce sont des coups d’un soir, ta mère en fait partie.
Je la colle contre moi, goutant le chocolat au travers de ses lèvres.
● Toi c’est autre chose, j’ai plaisir à t’apprendre la vie, tu as encore bien des choses à savoir.
De tête, le mercredi après-midi, est un jour où je peux me libérer, je te propose de venir ici à 14 heures chaque semaine.
Elle s’en va toute fière, certainement d’intéresser un homme comme moi qui a su l’ouvrir à la vie.
● Allo, Jeanne, c’est moi, merci pour ton numéro.
Toi aussi tu es contente que je te rappelle.
Oui, j’ai beaucoup aimé le moment passé ensemble.
Si je suis prêt à recommencer, plutôt deux fois plus.
Quand ?
Attends, je regarde mes disponibilités.
Oui, les vendredis après-midi de 14 à 16 heures, tu viens ici et je serai entièrement à toi.
Voilà, ça fait plusieurs semaines que je baise la fille les mercredis et sa mère les vendredis.
La fille, méconnaissable aussi bien sur ma queue, que vestimentairement.
Elle a dit son faite à son père et à sa tante, qui se sent obligé de subvenir à ses besoins pour éviter le scandale.
Un bon chantage est toujours utile.
Elle vient de s’inscrire en fac après avoir été reçue à son bac en candidate libre.
En ce moment, je danse dans les bras d’une mère de la mariée.
Mariage où j’ai reçu une invitation.
« Monsieur Félix et madame Jeanne S, ont le plaisir de vous inviter au mariage de leur fille Valentine avec monsieur Arsène L plombier chauffagiste le samedi 20 aout 2021.
Nous nous réunirons à la maison du peuple ou le maire les unira. »
Bien sûr, ni comtesse, ni titre de noblesse.
Encore moins de curés, Valentine a tout balayé pour faire ce qu’elle veut.
Arsène, plombier, chauffagiste, mais propriétaire de l’une des plus grosses entreprises de la région parisienne.
● Jeanne, ta fille est magnifique, elle a bien changé depuis que tu me l’as confiée pendant deux heures pour aller voir ta mère.
● Oui, j’ignore, comment elle a su que Félix couchait avec Agathe, mais une nuit, elle a déboulé dans leur chambre et a fait un scandale à son père.
J’ai entendu les cris et je me suis levée, depuis elle obtient de lui tout ce qu’elle veut.
Jusqu’à ce mariage qu’elle nous a imposé.
Nous nous voyons bien vendredi Christian !
● Pourquoi changer une équipe qui gagne, avec ta boîte de chocolats de chez Fauchon, j’ai une élève qui les aime, si tu savais ?
Sens comme tu me fais bander.
Je valse divinement, j’ai appris très jeune avec l’une de mes maîtresses professeures de danse.
● Maman, je peux faire danser mon professeur de piano, il m’apprend si bien à jouer de son instrument !
● Bien sûr, ma fille, c’est un très bon cavalier contrairement à Arsène qui préfère siroter sa coupe de champagne.
Je change de bras, pour des plus jeunes, mais d’aussi experte sur ma queue lorsque je sexe l’une ou l’autre.
● On se voit toujours mercredi Christian.
● Pourquoi changer une équipe qui gagne, sent comme je bande pour toi ?
Finalement, je me sors honorablement de ma situation.
Deux femmes deux jours différents qui jouissent sur ma queue.
Hier, une mère est venue inscrire sa fille de 16 ans à mes cours de piano à queue.
Il me reste les lundis, mardis, jeudis et samedis pour voir ce que je peux faire avec elles.
C’est ainsi quand on est un sérial niqueur.
C’est ce que je me dis lorsque Valentine la jeune pucelle déjà à moitié vierge suite à une chute de cheval en concours hippique après un refus de Tonnerre, son pur-sang.
Moi qui ai la cinquantaine et qui est un sérial niqueur, je la passe à la casserole sans m’inquiéter de ses 18 ans dans quelques jours.
Valentine préservée par sa famille des hommes avant son mariage.
Elle est une très bonne élève aussi bien au piano que sur mon canapé, principal instrument servant à mes exploits sexuels.
Alors que je donne une leçon à un jeune élève quand Valentine arrive chez moi à l’improviste voulant en remettre un petit coup.
1 300, c’est le nombre de salopes que j’ai dû sexer depuis mon dépucelage.
Mon problème, c’est que j’ai du mal à refuser quand je suis sollicité.
À moitié à poil, sa bouche sur mon sexe, on sonne de nouveau à ma porte.
Replis stratégiques pour la petite vers ma chambre et ouverture de la porte pour tomber sur un problème encore plus énorme.
Jeanne, la mère de Valentine est sur là m’apportant une boîte de chocolats de chez Fauchon pour me remercier d’avoir gardé sa fille pendant qu’elle allait voir sa mère en maison de retraite.
Environ deux heures que je mets à profit comme le vieux soudard que je suis pour dévirginiser Valentine et surtout lui apprendre que la vie est tout autre que celle que ses parents lui font vivre.
Ayant récupéré les chocolats que je pose sur mon piano à queue, Jeanne vient littéralement se coller à moi la bouche en avant.
Étant un niqueur né, j’oublie la fille qui est non loin de nous.
Je tente tout de même de la repousser afin d’entendre le début de l’histoire de cette grande femme.
Il semble que son mari l’ait dépucelée le jour de ses noces et depuis la naissance de sa fille, walou, nada, rien, pas une partie de jambes en l’air.
● J’ai été élevé dans une famille rigoriste, catho à cent pour cent.
Étant l’ainée de ma famille la dote économisée était en priorité pour la plus vieille, donc, moi.
Nous connaissions Félix, nous avions presque été élevés ensemble.
C’est lui que mes parents m’ont promis comme mari, je devais l’épouser sans avoir le droit de m’y opposer.
Par malchance, ils s’aimaient avec Agathe ma sœur.
Il l’avait même dépucelée et ça je le savais, mais je me suis tu pour éviter de déshonorer ma sœur et ma famille.
Sous couvert d’éviter de me laisser seule, elle est venue habitée avec nous et depuis, elle s’occupe de ma fille et couche toutes les nuits avec lui.
● Et toi tu fais ceinture, pourquoi restes-tu dans une telle situation ?
● Dans nos familles on obéit comme Valentine m’obéira, lorsque nous aurons trouvé un mari.
Dans nos familles, nul divorce, j’aurais pu prendre un amant, mais là encore, j’ai baissé la tête.
Lorsque je t’ai rencontré, j’ai eu le coup de foudre, je savais que c’était toi l’amant prodigieux qui allait commencer à me faire connaître l’amour, pardon le sexe.
Quand je parle de merdier dans lequel je plonge irrémédiablement, sans plus réfléchir à la situation je l’embrasse.
Je bande, je vais la baiser.
C’est toujours ce que je me dis lorsqu’une salope enlève sa veste de tailleur qui chute au sol.
● On va dans ta chambre, j’aime un bon lit.
La tuile, je me vois emmener Jeanne et lui dire, voici ta fille et à Valentine voici ta mère.
● Je suis un vieux garçon, un homme seul et ma chambre est dans un tel désordre, que je préfère que nous restions ici !
Si tu le veux, mon canapé pourra très bien nous recevoir.
Je la fais reculer manquant de me prendre les pieds dans sa veste et d’y atterrir plus vite que prévu.
Je défais ma ceinture et laisse glisser mon jean.
Elle est aussi maladroite que sa fille, que j’ai peur de voir surgir à tout moment pour nous traiter de salope et de salop !
Mais rien, elle reste cachée alors quand j’appuie sur la tête de Jeanne et qu’elle me prend en bouche, l’instinct du chasseur, l’instinct du baiseur remonte en moi et je me laisse pomper.
Le bas de sa jupe est à ma portée, je passe ma main là où les femmes aiment qu’elle se porte surtout lorsqu’elles sont en manque depuis tant d’années.
Je contourne sa protection et j’y plonge deux doigts.
Plus étroite que sa fille, presque encore pucelle, mais mes doigts trouvant un chemin bien humidifié.
Elle se redresse, vient m’embrasser.
● Relève ta jupe et mets toi en levrette, j’adore prendre les femmes en levrette.
Contrairement à Valentine, elle connaît les termes sexuels, car d’elle-même elle s’exécute.
Je me positionne et je rentre d’une seule poussée.
J’entre en elle difficilement, mais je suis au fond.
Je la prends par les hanches et à grands coups je finis par obtenir de petits gémissements.
● C’est bon, continu, oui bien à fond, je suis ta chienne, je suis ta salope.
Rapidement, elle jouit en même temps que moi.
Elle se relève, se rajuste et viens m’embrasser, avant de me glisser à l’oreille un numéro de portable.
● Apelle-moi si tu veux que nous nous revoyions.
Moi, je serais toujours là pour toi, mon cœur est à toi.
Elle part en grande femme comme une ombre dans son tailleur strict.
Je reste debout flamberge encore coulante de sperme.
C’est à ce moment que je prends conscience que la fille a certainement tout entendu lorsque je baisais sa mère.
Je rejoins ma salle de bains pour me nettoyer la queue et ouvrir la porte qui donne dans ma chambre.
Elle est dans le noir, mais mon radio-réveil me montre que Valentine est couchée en chien de fusil sur mon lit.
Comme elle le faisait tout à l’heure, elle pleure.
Je me couche derrière elle, elle lève sa tête me permettant de glisser mon bras.
● Pourquoi pleures-tu petite fille, parce que j’ai fait l’amour à ta maman ?
Elle semble réfléchir ou reprendre son souffle pour me répondre.
● Non, même si je suis jalouse, tu m’as ouvert les yeux sur tellement de choses depuis que, tu m’as fait jouer du piano à quatre mains, que je te pardonne.
Non, c’est d’avoir été trompé par cette pute d’Agathe et de Félix, mon père.
Faire vivre à ma mère ce qu’ils lui ont fait vivre pendant vingt ans la privant de ce que tu m’as fait connaître, c’est inhumain.
J’ai entendu qu’elle jouissait, même si je suis un peu jalouse, je te remercie.
Elle se retourne et m’offre sa bouche.
Mon lit est parfaitement fait et c’est sur mon couvre-lit que je referme tous les matins, ayant été dans l’armée pendant cinq ans.
Mon lit est fait au carré et ma chambre toujours rangée contrairement à ce que j’ai dit à Jeanne afin qu’elle évite de tomber sur sa fille.
Je bande, je viens de décharger dans la chatte d’une femme la quarantaine quand je pénètre Valentine, je suis dans celle de sa fille petite poupée de 18 ans dans quelques jours.
Valentine apprend vite lorsqu’elle sent ma queue taper sur ses fesses.
Elle lève sa jolie jambe gauche pour me permettre le passage et de ma main libre je la pénètre sans grandes difficultés.
J’ignore ce que l’avenir me réserve, mais je peux assurer que deux femmes dans la même après midi, qui plus est mère et fille, restera l’exploit de ma vie.
Elle à un orgasme et je lui vide une bonne rasade de sperme venue du fond de mes couilles.
● Oh ! la jolie boîte de chocolats, tu permets que j’en prenne un !
Rhabillée, Valentine vient de m’accompagner dans ma salle et de mon piano où j’y ai déposé la boîte apportée certainement comme alibi par Jeanne, sa mère.
● Tu peux, pouvons-nous nous revoir ?
Elle met un chocolat dans sa jolie bouche et vient me caresser la queue au travers de mon pantalon.
● Bien sûr, mais venir à l’improviste, c’est source de mauvaise surprise.
● Tu penses revoir ma mère.
● Je vais t’apprendre quelque chose, certaines femmes, ce sont des coups d’un soir, ta mère en fait partie.
Je la colle contre moi, goutant le chocolat au travers de ses lèvres.
● Toi c’est autre chose, j’ai plaisir à t’apprendre la vie, tu as encore bien des choses à savoir.
De tête, le mercredi après-midi, est un jour où je peux me libérer, je te propose de venir ici à 14 heures chaque semaine.
Elle s’en va toute fière, certainement d’intéresser un homme comme moi qui a su l’ouvrir à la vie.
● Allo, Jeanne, c’est moi, merci pour ton numéro.
Toi aussi tu es contente que je te rappelle.
Oui, j’ai beaucoup aimé le moment passé ensemble.
Si je suis prêt à recommencer, plutôt deux fois plus.
Quand ?
Attends, je regarde mes disponibilités.
Oui, les vendredis après-midi de 14 à 16 heures, tu viens ici et je serai entièrement à toi.
Voilà, ça fait plusieurs semaines que je baise la fille les mercredis et sa mère les vendredis.
La fille, méconnaissable aussi bien sur ma queue, que vestimentairement.
Elle a dit son faite à son père et à sa tante, qui se sent obligé de subvenir à ses besoins pour éviter le scandale.
Un bon chantage est toujours utile.
Elle vient de s’inscrire en fac après avoir été reçue à son bac en candidate libre.
En ce moment, je danse dans les bras d’une mère de la mariée.
Mariage où j’ai reçu une invitation.
« Monsieur Félix et madame Jeanne S, ont le plaisir de vous inviter au mariage de leur fille Valentine avec monsieur Arsène L plombier chauffagiste le samedi 20 aout 2021.
Nous nous réunirons à la maison du peuple ou le maire les unira. »
Bien sûr, ni comtesse, ni titre de noblesse.
Encore moins de curés, Valentine a tout balayé pour faire ce qu’elle veut.
Arsène, plombier, chauffagiste, mais propriétaire de l’une des plus grosses entreprises de la région parisienne.
● Jeanne, ta fille est magnifique, elle a bien changé depuis que tu me l’as confiée pendant deux heures pour aller voir ta mère.
● Oui, j’ignore, comment elle a su que Félix couchait avec Agathe, mais une nuit, elle a déboulé dans leur chambre et a fait un scandale à son père.
J’ai entendu les cris et je me suis levée, depuis elle obtient de lui tout ce qu’elle veut.
Jusqu’à ce mariage qu’elle nous a imposé.
Nous nous voyons bien vendredi Christian !
● Pourquoi changer une équipe qui gagne, avec ta boîte de chocolats de chez Fauchon, j’ai une élève qui les aime, si tu savais ?
Sens comme tu me fais bander.
Je valse divinement, j’ai appris très jeune avec l’une de mes maîtresses professeures de danse.
● Maman, je peux faire danser mon professeur de piano, il m’apprend si bien à jouer de son instrument !
● Bien sûr, ma fille, c’est un très bon cavalier contrairement à Arsène qui préfère siroter sa coupe de champagne.
Je change de bras, pour des plus jeunes, mais d’aussi experte sur ma queue lorsque je sexe l’une ou l’autre.
● On se voit toujours mercredi Christian.
● Pourquoi changer une équipe qui gagne, sent comme je bande pour toi ?
Finalement, je me sors honorablement de ma situation.
Deux femmes deux jours différents qui jouissent sur ma queue.
Hier, une mère est venue inscrire sa fille de 16 ans à mes cours de piano à queue.
Il me reste les lundis, mardis, jeudis et samedis pour voir ce que je peux faire avec elles.
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