COLLECTION PUTE. Enterrement de vie de garçon (1/3) - histoire érotique

• Corinne, je suis dans la mouise la plus noire pour ce soir.
La jeune femme qui devait faire son strip devant le groupe de garçons qui ont loué ma salle pour enterrer la vie de garçon de leur meilleur ami, m’a fait faut bon.
Traiteur, serveur jusqu’au spectacle ou Sabine vient se dénuder, perte sèche 5 000 €.
• Trouve une remplaçante pour ce numéro et tout se règlera pour toi !
• J’ai appelé les agences de strip qui fournissent ces filles, c’est la reprise après le confinement et toutes celles disponibles sont prises.
• Ça consiste à quoi !
• Dès que le repas est terminé, nous nous retirons, la fille arrive, là pour ce soir ils ont choisi la tenue d’infirmière.
Elle se dénude et danse de façon très subjective avec les garçons et surtout le futur marié.
• Vous laissez la fille en tête à tête avec plusieurs mecs, c’est dangereux pour elle !
• Nous quittons la salle et les dépendances, mais je reste sur place prêt à intervenir, j’ai mon portable, la fille le sien toujours près d’elle.
Je l’appelle si le temps me semble trop long, ça c'est toujours bien passé.
• Ça en reste là !
• Oui, sinon nous tomberions dans un risque d’être pris pour des proxénètes et j’irais en prison.
Il existe des filles qui vont plus loin, mais ce sont des réseaux ou des indépendantes qui ont des sites sur Internet.
• La tenue, ce sont les filles qui les possèdent ?
• Non, j’ai acheté un lot de vêtements qui servaient à des films, j’ai toute une collection dont je fournis la liste à celui qui souvent s’occupe de tous.
Pour ce soir, la tenue d’infirmière est prête, Fred, c’est mon contact, a choisi cette tenue que la fille doit porter.
• Et si je la remplaçais !
• Toi, tu es jolie, mais se dénuder devant quelques garçons, c’est un métier.
• Lorsque j’étais petite, mes parents étant naturistes.
Avec eux, dès mon plus jeune âge, j’allais sur une plage réserver aux personnes aimant être nu.
Ceci jusqu’à mes dix-sept ans où je me suis émancipée et que je galère pour gagner ma vie.
Sur cette plage, j’avais remarqué qu’il y avait des voyeurs, ils étaient repérables, lunette de soleil pour matter sans avoir l’air de le faire.
Assis sur une serviette, leur polo posé sur leur partie intime, comme s’il refusait de s’assumer !
Mon grand jeu, dès que ma poitrine a poussé et que je m’épilais la chatte, c’était de me dénuder en prenant mon temps, montrant souvent le maximum de détails de mon anatomie.
J’aimais faire durée le plaisir avec dans mon regard la vision de maman, ayant rapidement remarqué mon manège.
Il m’arrivait de relever mon débardeur à moitié, montrant le bas de mes seins avant de le rabaisser.
Je me penchais montrant mes fesses dans mon petit maillot avant de m’assoir et de recommencer mon manège avant de me mettre toute nue.
Souvent les voyeurs avaient leur main sous leur polo et se masturbaient en voyant mon manège, ça se remarquait, car leur vêtement se soulevait à la place de leur bite.
• On peut essayer, si ça dysfonctionne, je les rembourserais dès 1 000 € que je leur demande pour la prestation de la fille.
Tu m’auras permis de sauver le reste de la soirée et le salaire de mes employés.

Gontran, copain de longue date, nous étions ensemble à la maternelle.
Amant, oui et non, un ou deux coups un soir de beuverie avant que Gontran se range en fondant son entreprise de soirées festives.
J’ai servi à son mariage et je passais pour voir si dans les semaines prochaines il avait besoin de mes services.
Sans être dépensière, mon travail de caissier à Carrefour me rapport assez pour vivre, mais sans extras.
Or, je veux m’acheter une nouvelle tenue pour l’été, je vis habillée, même si j’aime être nue.
Cette tenue, il me serait facile de l’acquérir, pour cela il me suffirait de rentrer dans le bureau du gros Fred, le patron de notre supermarché et de m’assoir sur sa bite.
Après je me serais permis de prendre deux ou trois trucs dans le magasin, qui seraient comptés dans les volés.
Trucs plus sa bite dans ma chatte, je serais devenue une pute et après ce gros porc trouverais un motif pour me virer.
J’aurais ma tenue, mais j’irais pointer au chômage alors je compte sur Gontran pour pouvoir me l’acheter en tout bien tout honneur.
Ces 1 000 € vont me le permettre avec en plus, le petit canapé que j’ai vu chez But magasin voisin du nôtre.
S’il en reste, je me ferai un Mac Do dès que je le pourrais, j’adore les Big Mac et leurs frites.
Bon, j’ai appris Perrette allant au marché, à l’école, fables de Jean de la Fontaine, voilà toute mon instruction.
1 000 €, ce soir, il va falloir que je les gagne en tortillant mon cul.

Je suis à l’heure en place dans l’arrière-salle quand revêtu de cette tenue qui par chance me va comme un gant, la musique de mon entrée démarre.
Préalablement Gontran m’a donné 10 billets de 100 € que j’ai serrés sur mon cœur pour me donner du courage.

• Merci Corinne de me sauver mon salaire, sinon j’aurais été dans la merde, Salmon s’est offert une nouvelle moto sans s’inquiéter du budget.
J’aurais eu du mal à acheter le lait maternisé pour Simon.
Je pensais l’élever au sein, mais à la maternité, il a été impossible que je le nourrisse, car je manque de lait, ça nous aurait fait des économies.

Ça c’est mon amie Silvana, ses parents sont venus s’installer en France, mais elle a rencontré Salmon, en est tombée amoureuse, car c’était le beau gosse du village.
J’ai bien connu Salmon, c’est même lui qui m’a dépucelé, mais si j’ai baisé avec Gontran les rares fois lors de beuveries, lui c’est tous les soirs qu’il rentre soûl.
Une fois ou Silvana servait avec moi, elle se trimbalait un magnifique cocard, je lui ai demandé ou elle s’était fait ça, bien sûr, c’était une porte mal fermée qui s’était attaquée à elle.

Que dire de ma prestation valait-elle 1 000 € ?
Lorsque je suis entrée, ils étaient cinq dont le marié qui était attaché sur une chaise avec un bandeau sur les yeux et, ce qui devait être un slip rose de fille dans sa bouche ?
Un morceau de ficelle pendant, ce doit être un string peut-être l’un de sa femme qu’ils lui ont mise.
J’étais à deux doigts de demander au dénommé Fred que j’avais vu à mon arrivée ce que ça signifiait.
J’ai assisté à des enterrements de vie de jeunes filles, mais c’était moins solennel.
Généralement dans un bar nous étions déguisées et ou nous nous contentions de boire de la bière, de la vodka ou autres boisons finissant par nous déchirer.
Tient, c’est drôle en parlant d’enterrement de vie de jeune fille, c’est à celui de Silvana que j’ai pris une méga cuite dans un bar.
Gontran cherchant sa voie à cette période-là et passant par là, m’a ramené chez moi et au matin, j’ai vu que nous avions baisé.
Par chance, je me suis levée pour aller dégueuler dans ma salle de bains ou se trouve la cuvette des toilettes.
Comme un trophée ou voulant me rassurer, Gontran avait laissé une capote reposant sur le rebord du lavabo.
Elle était remplie, je l’ai jetée dans la poubelle.
Quelques jours plus tard, j’ai revu mon ami, qui s’est excusé, mais j’étais tellement persuasive de me faire prendre qu’il avait tout juste eu le temps de se mettre une capote.

Dans mon show, tout va bien, j’ai terminé mon effeuillage en me frottant sur la verge du futur marié, je sentais ma chatte s’humidifier.
Fred s’est approché de moi.

• 1 000 € de plus des 3 000 que ton patron nous prend et t’a donné pour venir te dénuder devant nous !
Si tu sors la queue de Laurent et que tu le suces, Diana sa future refuse de lui faire des pipes, toi qui fais ce métier, tu dois être une belle pompeuse.
Cet argent que Louis va sortir de notre cagnotte, est à toi.

Gontran, ce salopard, il touche 3 000 € et en reverse seulement 1 000 à la strip-teaseuse.
1 000 €, c’est le chiffre qu’il m’a dit leur donner à chaque prestation et c’est pour ça qu’il m’a proposé la même somme.
Il se fait 2 000 de gratte sur de pauvres filles, ça m’étonnerait que les mecs de l’agence prennent une com aussi importante pour lui fournir des filles.
Là à ce que m’a dit Gontran, si je le suce, ais-ce que je tomberais dans la prostitution au risque de voir débarquer les flics.
Mais pour quel motif, les flics débarqueraient, qui serait à même de les prévenir, mais je refuse.
Fred interprète mon refus d’une autre manière que le mien.

• Toute personne à un prix, je double cette somme 2 000 pour faire une fellation à notre copain, Louis sort 2 000 à notre amie Corinne, c’est ton nom, je crois.

Je fais nom de la tête, mais j’étais à deux doigts d’accepter 3 000 pour un strip et une fellation, si ça se trouvait ce soir ou demain, je rencontrerais une verge que je sucerais avidement pour pas un rond.

• Aller je fais tapi, 3 000 et c’est notre dernier mot, tu seras déçu Laurent.
Pourtant, nous aurons tout fait pour que cette jolie demoiselle te suce au moins une fois avant que tu te contentes de la position du missionnaire que t’impose Diana, ta future femme.
• Ok donné moi l’argent, je vais le sucer.
• Les gars, vous avez vu, toutes ces petites salopes ont leur prix, Corine a été coriace, mais elles lâchent toutes à un moment ou un autre.

C’est à ce moment que dans la poche de la blouse d’infirmière mon portable sonne.
Je viens de m’agenouiller et d’ouvrir le pantalon du marié, je m’en saisi, je sais que c’est Gontran fidèle à ce qu’il m’a dit viens aux nouvelles.
Il est vrai que la transaction pour cette fellation que je m’apprête à faire à un peu durer depuis que je suis à poil.
J’ai peur de devoir rendre l’argent que m’a donné Louis.

• Oui, sans problème, je viens de finir tout s’est parfaitement passé.
Les garçons m’offrent un verre avec le marié.
Vous pouvez partir tranquille, Fred m’a proposé de me ramener.
Attends, il veut te parler.
• Gontran, super, dit à toute ton équipe que je vous donnerais 1 000 € de gratte à vous partager.
Pour Corinne, nous l’avons déjà récompensé et je pense que c’est avec délectation qu’elle va avaler le cocktail que le marié va lui préparé dès que nous aurons raccroché.

Les deux garçons stop la communication, je viens de sortir la verge de Laurent, même dans la position du missionnaire, Diana doit passer de bons moments avec son fiancé et futur mari...