COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Début de la saison VII (19/21) - histoire érotique

« Mario, un truand avignonnais, pensait faire payer ses dettes de jeu à son débiteur par une jeune femme, qui s’est enfui.
Ayant perdu sa monnaie d’échange, il a tué son débiteur prenant Karine, cette jeune femme en chasse.
Il est passé par Avignon où il a légèrement bousculé une coiffeuse pour qu’elle lui dise si elle avait vu cette fille.
Nous vous en dirons plus dans une prochaine édition. »

C’est l’article que je lis sur Internet m’édifiant sur Mario mon ancien amant qui est recherché jusque dans notre région Karine étant venu se réfugier chez ma grand-mère.
Joselyne, la gendarmette me met en garde, car il est possible que ce garçon qui, lorsque je l’ai connu, avait déjà un peu la tête près du bonnet, veuille chercher à la récupérer.
Il la tient pour responsable de ses ennuis et ayant franchi la ligne rouge est prêt à tous.
Où est Mario, celui du Sud et non celui du nord ?
C’est là où je vous ai laissé à la fin de la saison VI.

La fille Karine, c’est ma copine qui me l’a piqué et qui est venue se réfugier auprès de moi sur suggestion de maman.
C’est drôle comme j’ai facile à dire chez moi en parlant du bar à pute que ma grand-mère tenait à Tournai en Belgique jusqu’à son AVC qui l’a fauché quelques jours après mon arrivée.
Karine, ça fait deux jours que je la fais travailler au bar et bien sûr dans les chambres.
J’avais vu juste, il fallait seulement lui faire voir ou était son avenir et le mien aussi.
À aider et à gérer, je vois rapidement là rentabilisée de ce que je considère comme notre héritage à maman et à moi.
Dès le premier jour, avoir deux filles en plus notre affaire m’apparaît plus rentable quand le soir je fais la caisse avec Sacha.
Deux nouvelles devant le bar, mais comme Sacha a remplacé Lala pour l’heure en prison, ça fait réellement une fille de plus.
La répartition financière, surtout avec l’apport des bouteilles est largement à l’avantage de Karine, les deux après-midi où elle a travaillé.
Sylvie, le soir est devant elle, mais elle a de nombreux fidèles qui viennent spécifiquement pour elle.
La quatrième Sabine est proche des autres, mais un peu plus timide à quelques difficultés à provoquer le client.

Hier à 14 heures, Mario et Luis sont venus comme prévu pour tester Clarissa, ils se sont marrés quand ils ont vu Karine assise sur un tabouret attendant le client.
Deux jeunes mecs, deux jeunes femmes, ils ont été à la hauteur et les filles aussi.
Je mesure la chance qu’ils ont de sauter à l’œil deux beautés, je mesure la chance de récupérer deux filles.
Ils ont été à la hauteur surtout qu’ils ont payé des bouteilles aux filles qu’ils ont tenu à payer sur leurs deniers.
Satisfaite et les contrats signés, elles sont toutes les deux chez Clarissa maintenant.

Hier j’ai fait plusieurs choses, bien sûr, aller embrasser grand-mère et aussi Jeanne qui est enchantée d’avoir récupéré celle qu’elle a toujours aimée même du temps de la guerre et de mon grand-père.
Quand les garçons ont eu fini avec leur obligation envers les filles, si obligations il y avait, avec l’accord de Sacha, je leur ai montré sa maison.
Les filles de Sacha étaient là et les ont tout de suite adoptées.
Ils vont venir la remettre en état à mes frais bien sûr, du moins avec ce qu’il y a toujours dans le coffre dans la chambre des plus jeunes.
C’est à ce moment que je m’aperçois qu’il peut y avoir problème quand Luisa essaye d’ouvrir le coffre à pirates.

• Dis Gladys, sais-tu ou maman a mis la clef, elle nous a dit qu’elle l’a perdue.
Toi tu es grande, peux-tu couper le cadenas avec ça, je suis trop petite.

Elle sort de dessous leur lit un coupe-boulon.

• Attends, je vais le faire.
• Stop Luis, Sacha sait ce qu’elle fait.

Je récupère l’outil et passant dans le garage je le remets sur l’établi.
Il est urgent de rendre leur coffre aux petites et de rapatrier ce qu’il contient dans celui de grand-mère.
Les investigations d’Alissia, l’inspectrice de police plus qu’amie avec Jocelyne, notre propre gendarmette, sont terminées et rien pour nous empêcher de remettre tout en place.
Les deux garçons acceptent de tout remettre en état.

Une dernière chose que j’avais remarqué poste accident de grand-mère.
La nécessité d’avoir un bouton sous le bar où les filles pourront appuyer pour me prévenir dans le bureau de grand-mère en cas d’un problème en bas.
Ce matin, Mario est passé avec le bouton commandant une simple sonnette brancher sur le courant dans mon bureau.
Aucun fil, juste le bouton et la sonnette.
Le plus drôle c’est que j’aurais pu le faire moi-même, car c’est une simple sonnette sur pile de porte d’entrée, dernier modèle qui marche avec des ondes à ce que j’ai compris.

• On va mettre la sonnette sur ce mur tu l’entendras de la chambre.
• Je te tiens l’escabeau, je veux t’éviter de tomber.
• Et c’est en mettant ta main là que tu vas y arriver !
• Attends, je vais faire mieux.

Je lui ai ouvert son pantalon dégageant sa verge.

• Tu penses me retenir par là en cas de chute.
Oui, astique là elle sera plus dure et si je tombe, tu auras une bonne prise.
Suce salope.

Moi la petite Gladys, petite fille de sa grand-mère, j’ai été choquée d’être traitée de salope.
Pour punir celui qui venait de mal me parler, j’ai pris sa queue en bouche et tout en le masturbant, je l’ai pompé du mieux que j’ai pu.
Lorsqu’il a été tendu à mort, Mario a sauté au sol manquant de se fracasser, car son pantalon entravait ses pieds, mais se rétablissant par une roulade avant.
Il l’a ôté, me prenant par la main et me conduisant à mon bureau.
Il a détaché le mien, il m’a planté directement.
C’était un peu rude, mais rapidement j’ai joui.
C’est peu dire, ce descendant d’italien sait se servir de son engin, aussi bien dans son Jacuzzi qu’ici dans mon bureau.
Quand il m’a quitté, c’était après l’orgasme dévastateur qu’il avait déclenché en moi.
Avant de me partir, nous avons fait un essai, tout marchait comme sur des roulettes.

Hier, j’ai réglé un autre problème, l’argent volé par Lala et Serge le comptable.
Comme me l’ a suggérée Jocelyne au poste-frontière, Sacha va contacter un de ses habituels, il est avocat et il lui doit un service.
Un jour, il l’a croisée dans un super-marcher de la ville de Courtrai, ou il avait son étude.
Ce qu’il ignorait c’est que sa femme faisait ses courses à la même heure avec ses enfants.
Quand ils se sont approchés d’eux, sa femme aurait pu se poser des questions sur cette jeune femme habillée plutôt sexy.
C’est qu’en son fils a dit « papa » qu’elle a senti la situation qui pourrait mal tourner.
Voilà ce qu’elle a dit et ce qu’elle a fait.

• Merci maître, je suis heureuse de vous avoir croisé et que vous me confirmiez que mon dossier de divorce avance dans le bon sens.
Bonjour madame, bonjours les enfants, vous avez un mari et un papa exceptionnel.
Vous vous rendez compte, quand votre mari a repris mon affaire de divorce mal engagé par un de ses confrères de Tournai, j’étais certaine de perdre mon divorce et mes filles.
Vous vous rendez compte, non seulement votre mari m’a permis de garder mes filles, mais mon ex me paye une pension en plus de l’entretien de mes filles.
Je le remerciais de tout mon cœur, prenez soin de lui madame.

Elle avait tourné les talons, dans une glace de surveillance en bout de rayon, elle a vu le couple s’enlacer avec les deux enfants dans leurs jambes.
Elle m’a encore expliqué qu’il était revenu la voir, le plus drôle c’est qu’elle lui a révélé un moment dans cet échange verbal avoir failli l’appeler Pierre comme elle le faisait au bordel.
Bref, il est redevable et va voir le président du tribunal.

Je suis en train de faire des commandes sur Internet, je veux trouver une société qui puisse faire un genre d’uniforme sexy pour les filles après leur accord bien sûr.
Je viens de monter après la relève, Sabine et Sylvie ont pris la place de Clarissa et Karine que j’ai vu partir chez la première.
Elles semblent fort bien s’entendre, Clarissa étant une forte femme par le caractère bien sûr, je suis certaine que Karine est sa soumise.

La sonnette se déclenche.
Je descends sans bruit voir ce qui se passe.
À mi- escalier, une voix caractéristique m’interpelle.
Une voix, comme Fernandel l’avait, une voix du Sud.

• Où est Karine, allez me chercher cette salope, sinon je vous flingue toutes ?...