COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison VII et de l’histoire (21/21)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Fin de la saison VII et de l’histoire (21/21)
C’est sous les armes de redoutables pirates qui brandissent leurs sabres sous notre nez que nous sommes réveillées au matin.
Comparés au révolver que Mario m’a pointé sur le ventre hier, ces sabres sont plus impressionnants.
Lorsque j’ai retrouvé Sacha hier au soir, elle était dans sa salle de bains entièrement nue.
C’est nu que je lui ai fait l’amour finissant sur notre lit par une prise en ciseau du plus bel effet pour nos clitoris, avant de nous endormir.
Quand les pirates nous attaquent, nous sommes encore nus et ils semblent se satisfaire de la situation.
Sacha aussi admet que ses filles nous voient dénudés ensemble.
Je me cache tout de même la poitrine par un réflexe devant ses enfants.
Je veux éviter les questions sur leur allaitement comme elle l’on fait dans leurs premiers jours.
C’est l’heure de l’école et Jeanne est là qui les aide à se préparer.
Je remets mes affaires, malgré que j’ai du mal à remettre mes affaires de la veille.
Je vais voir Grand-mère.
Elle est devant sa fenêtre semblant ailleurs, mais je sais à ce qu’a dit le docteur Sala que cet état soit permanent jusqu’à son dénouement irrémédiable surtout à son âge.
Je l’embrasse, ça me fait mal pour elle qui était si joyeuse de retrouver sa petite fille.
Jeanne, mise au courant la veille par Sacha, est allée acheter la presse.
C’est ce que je pensais, Jocelyne a éloigné les journalistes de notre bar et se cantonne à dire qu’une enquête est en cours.
Un journaliste évoque la question qu’il lui a posée à savoir si Jocelyne était présente dans ce bar bien connu des habitants de Tournai, puisque c’est elle qui a interpelé le suspect.
No comment là encore elle réserve sa réponse à ses supérieurs et à la justice.
La seule chose que j’apprends, c’est que l’on parle d’extradition pour que le meurtre soit jugé en France.
Voilà, ça fait deux jours que nous avons rouverts, un problème se pose, l’affluence.
Même des mecs d’Avignon et de sa région sont montés jusqu’à nous.
Je vais vous avouer ce que Sacha et moi avons fait pour soulager les autres.
Nous sommes retournés dans les chambres, ça se bouscule tellement que ce soir, un homme la cinquantaine, c’est dans la chambre d’amis que je lui ai fait une passe.
Lorsque le dernier client s’en va, une seule bouteille de champagne reste dans les frigos.
Dans la matinée, j’appelle Mario sur son portable sans voir que nous sommes dimanche.
« Raccroche Mario. »
C’est la voix de Maryse, encore chez le garçon.
Un blanc et Mario reprend.
• Oui, Gladys, excuse, une amie, tu sais ce que sais, je suis sur notre terrasse, que veux-tu ?
• Je voulais aller voir ton viticulteur rémois, mais je suis pris de court, je pense que tu es au courant de l’arrestation de Mario, l’ex de Karine dans mon bar !
• J’en ai entendu parler !
• Par Karine que tu as mise dans ton lit.
• Ça te pose problème !
• Je vais être franche, si les choses deviennent sérieuses, prévenez-moi, j’ai une affaire à faire tourner.
Pour l’heure, Mario part nous chercher 10 cartons de 12.
Pour me dépanner, les garçons ont 10 bouteilles, restant du carton qu’ils ont ouvert pour l’anniversaire de Luis, c’est lui qui va me les apporter.
Voilà le genre de problème qu’il faut que j’apprenne à prendre en compte, Lala truandait peut-être, mais savait être efficace pour ce genre de chose.
Le problème du champagne réglé, comme je l’ai dit, tous revient en ordre.
Le bar tourne toujours bien, malgré la légère baisse de fréquentation, on est médiatique un temps, mais c’est mieux pour les filles qui gagnent bien sans pour autant se surpasser sexuellement.
Je suis dans le bureau, je regarde le logiciel de gestion des stocks avec réapprovisionnement auto sous un certain seuil.
Sacha où moi lorsqu’une fille se fait payer une bouteille, on la prend en compte et tous ce fait automatiquement pour le reste.
La sonnette déclenche, merde, Mario est de retour, je vais me retrouver devant une arme qu’il a dû voler à la gendarmerie.
Écoutant que mon courage, je descends.
• Gladys, le docteur Sala est venu pour te voir, je m’excuse de t’avoir dérangé.
• Docteur, vous voulez passer un moment avec l’une de nos filles !
• Mademoiselle Gladys, j’ai une confidence à vous faire, merci pour votre offre, mais les filles que j’aime, je les rencontre dans d’autres endroits qu’ici.
Vous savez, les filles qui travaillent ici, je les respecte, chacun a le droit de choisir comment vivre, mais j’ai d’autres endroits pour les rencontrer.
• Excusez ma méprise, suivez-moi dans mon bureau, vous m’expliquerez le but de votre visite.
Je monte devant ce beau garçon, dommage qu’il soit d’une autre classe sociale que la mienne, je crois bien que je pourrais accepter d’être sa maîtresse à défaut d’être sa femme.
De toute manière, je resterais célibataire, même si un jour je rencontre un homme de la même condition que moi.
• Voilà, je dois vous avouer qui je suis, plutôt qui était ma maman.
Vos beaux-parents ont partagé un moment de leur vie au moment de la guerre avec elle.
Odette, votre grand-mère vous a-t-elle parlé d’une certaine Jennifer ?
• Oui, une doctoresse qui réparait les soldats touchés au front et parmi eux un officier Allemant même si c’était un ennemi.
• Je vois que vous êtes au courant pour les lingots qu’elle a fait saisir par les résistants pour retarder les Allemand dans leur progression.
Je vois que Jennifer, la doctoresse dont nous parler Jeanne, a omis de dire, qu’elle était plus près de truands comme grand-père Arturo que des hommes qui se battent pour libérer nos pays.
• Oui, je sais les résistants que mes grands-parents et votre mère ont été.
• Maman avant de mourir a eu des remords et m’a avoué que sur cette période de sa vie, elle a eu un moment de faiblesse.
Je m’attends à qu’il me dise qu’elle avait couché avec grand-père.
• Ces lingots, c’était une chance pour elle de retrouver après guerre une nouvelle vie, alors elle a exigé le tiers des lingots.
Il y en avait 18 marqué du signe allemand de la Deutsche Reichbank, je l’ai noté sur ce bout de papier.
• S’ils font partie de ceux que la police a trouvés dans le sac de ma barmaid et de mon comptable, la police en a récupéré six.
• J’ai lu cela, ils font certainement partie du lot, mais ma mère avec l’aide de votre grand-père a caché les siens ici, maman m’a donné quelques renseignements.
• Pourquoi s’ils sont ici, les a-t-elle laissés après la guerre.
• Dans les derniers jours en 1945, maman travaillait avec les forces américaines sur le front après le débarquement.
Elle a rencontré un chirurgien de l’armée américaine et est devenue son assistante.
Les choses se sont faites très vite à la fin de la guerre et il l’a ramené dans ses bagages.
Ils ont trouvé un hôpital dans la réserve comanche à Lawton en Oklahoma.
Il y a 25 ans, il est mort et maman a épousé Quanah, mon père qui dirigeait leur tribu.
Je suis son fils né de leur union, voici mon acte de naissance.
• Et s’ils sont ici, tu souhaites récupérer ces lingots !
• Pour la bonne cause, maman m’a demandé de m’en servir pour ouvrir un hôpital pour enfants là où je le voudrais.
Avant de venir à la fin de mes études de médecine, je voulais le construire aux USA.
Depuis que j’ai vu votre beau pays, j’en suis tombé amoureux et c’est ici que je compte le bâtir.
• Avant il faut voir si les lingots sont bien ici, quels renseignements avez-vous à votre disposition ?
Il me donne plusieurs éléments, sa maman semblant avoir aimé le vin.
J’entraîne Sala dans la cave où les cartons de champagne ont été livrés.
On fouille, on cherche avant de nous apercevoir qu’un cassier de vins est fixé sur une plaque de fer obstruant le mur.
Six cartons de champagne délacés et après avoir enlevé diverses vieilles bouteilles de vin, là depuis la nuit des temps, nous arrivons à faire venir à nous ce casier.
Derrière des briques ont été décelés et très poussiéreux les lingots d’Hitler sont là.
Je m’attends à ce que Sala se contente de sauter de joie.
Sa réaction est tout autre, il me prend dans ces bras et ce garçon descendant d’un chef comanche se met à danser une danse comme les Indiens, le faisait à la télé dans les westerns de mon enfance.
Passant près de moi, il m’enlace et me prend les lèvres dans un baiser passionné.
• Je te le dis d’une seule traite Gladys, sinon le courage me manquera, je t’aime, j’ai eu le coup de foudre dès notre première rencontre.
Je décide que c’est ici, près de toi que je vais édifier ma clinique.
• Comment vas-tu faire, c’est bien beau d’avoir de l’or, mais c’est impossible à revendre sans se faire prendre.
• Détrompe-toi, avant de venir, j’ai pris des conseils auprès d’un ami, fais-moi confiance, j’ai la solution pour les rapatrier aux USA.
En plus, j’ai assez de collectionneurs qui sont prêts à les racheter bien au-dessus du prix du poids de l’or.
• Et si je participais avec quatre lingots supplémentaires du lot des 18 !
• Récupère les six autres et nous aurons largement ce qu’il nous faut.
Aujourd’hui, je fais retour dans le bar de ma grand-mère Odette.
Je reviens de Lawton en Oklahoma ou j’ai rencontré la tribu de mon mec.
Bien sûr, c’est Sala qui après avoir vu les quatre lingots les a fait rapatrier pour les USA par un tour de passe-passe dont j’ignorerais toujours, comment il a fait.
• Bonjour les filles, vous êtes belles dans vos nouvelles tenues.
Avant notre départ, j’ai fait rencontrer à mes filles une jeune modiste trouvée sur Internet qui a proposé des shorts avec boléro de couleurs différentes.
• Je vous présente Chloé, jeune Martiniquaise de 24 ans.
Karine, es-tu bien sûre de t’occuper des deux seules bites de Luis et Mario. J’embauche Chloé dans tous les cas, tu peux rester.
• Gladys, en essayant de soudoyer Karine, tu nous offusques.
Avec mon jumeau, nous avons toujours rivalisé pour piquer la copine de l’autre.
En ayant la même femme, on est sûr que ni l’un ni l’autre, nous la piquera.
Karine est devant moi assise sur un des tabourets du bar, Luis lui tient la cuisse droite, Mario la gauche.
• Avant l’ouverture après ces vacances, je paye la tourner générale, dans pas longtemps ce sera ma clinique Jennifer pour enfants que nous inaugurerons.
• Vous pouvez boire tous les champagnes que vous voulez, notre logiciel en a fait livrer 10 cartons.
• Merci Sacha, tu es la parfaite barmaid de notre bar, pas vrai mamy Odette !
Quant à Jocelyne notre sauveuse, elle est là avec Alissia sa petite femme.
En effet, suite à son exploit, notre amie est montée en grade et a été affectée à la police de Bruxelles.
Les deux jeunes femmes se sont retrouvées, on fait leur coming out et elles vivent ensemble sans plus de représailles par leur hiérarchie.
Hélas, mamy Odette est là, mais dans un fauteuil roulant son état lui permettant de sortir pousser par Jeanne, toujours attentive à son bien-être, mais toujours ailleurs dans sa tête.
On va se quitter, Chris71 pensait écrire deux ou trois saisons et les choses ont fait que mon histoire s’arrête à la saison VII.
Vous allez me dire et le sexe avec Sacha qans tout ça !
J’ai beau rester célibataire, est-ce que je vous demande comment vous baiser avec votre épouse, un peu de respect !
Comparés au révolver que Mario m’a pointé sur le ventre hier, ces sabres sont plus impressionnants.
Lorsque j’ai retrouvé Sacha hier au soir, elle était dans sa salle de bains entièrement nue.
C’est nu que je lui ai fait l’amour finissant sur notre lit par une prise en ciseau du plus bel effet pour nos clitoris, avant de nous endormir.
Quand les pirates nous attaquent, nous sommes encore nus et ils semblent se satisfaire de la situation.
Sacha aussi admet que ses filles nous voient dénudés ensemble.
Je me cache tout de même la poitrine par un réflexe devant ses enfants.
Je veux éviter les questions sur leur allaitement comme elle l’on fait dans leurs premiers jours.
C’est l’heure de l’école et Jeanne est là qui les aide à se préparer.
Je remets mes affaires, malgré que j’ai du mal à remettre mes affaires de la veille.
Je vais voir Grand-mère.
Elle est devant sa fenêtre semblant ailleurs, mais je sais à ce qu’a dit le docteur Sala que cet état soit permanent jusqu’à son dénouement irrémédiable surtout à son âge.
Je l’embrasse, ça me fait mal pour elle qui était si joyeuse de retrouver sa petite fille.
Jeanne, mise au courant la veille par Sacha, est allée acheter la presse.
C’est ce que je pensais, Jocelyne a éloigné les journalistes de notre bar et se cantonne à dire qu’une enquête est en cours.
Un journaliste évoque la question qu’il lui a posée à savoir si Jocelyne était présente dans ce bar bien connu des habitants de Tournai, puisque c’est elle qui a interpelé le suspect.
No comment là encore elle réserve sa réponse à ses supérieurs et à la justice.
La seule chose que j’apprends, c’est que l’on parle d’extradition pour que le meurtre soit jugé en France.
Voilà, ça fait deux jours que nous avons rouverts, un problème se pose, l’affluence.
Même des mecs d’Avignon et de sa région sont montés jusqu’à nous.
Je vais vous avouer ce que Sacha et moi avons fait pour soulager les autres.
Nous sommes retournés dans les chambres, ça se bouscule tellement que ce soir, un homme la cinquantaine, c’est dans la chambre d’amis que je lui ai fait une passe.
Lorsque le dernier client s’en va, une seule bouteille de champagne reste dans les frigos.
Dans la matinée, j’appelle Mario sur son portable sans voir que nous sommes dimanche.
« Raccroche Mario. »
C’est la voix de Maryse, encore chez le garçon.
Un blanc et Mario reprend.
• Oui, Gladys, excuse, une amie, tu sais ce que sais, je suis sur notre terrasse, que veux-tu ?
• Je voulais aller voir ton viticulteur rémois, mais je suis pris de court, je pense que tu es au courant de l’arrestation de Mario, l’ex de Karine dans mon bar !
• J’en ai entendu parler !
• Par Karine que tu as mise dans ton lit.
• Ça te pose problème !
• Je vais être franche, si les choses deviennent sérieuses, prévenez-moi, j’ai une affaire à faire tourner.
Pour l’heure, Mario part nous chercher 10 cartons de 12.
Pour me dépanner, les garçons ont 10 bouteilles, restant du carton qu’ils ont ouvert pour l’anniversaire de Luis, c’est lui qui va me les apporter.
Voilà le genre de problème qu’il faut que j’apprenne à prendre en compte, Lala truandait peut-être, mais savait être efficace pour ce genre de chose.
Le problème du champagne réglé, comme je l’ai dit, tous revient en ordre.
Le bar tourne toujours bien, malgré la légère baisse de fréquentation, on est médiatique un temps, mais c’est mieux pour les filles qui gagnent bien sans pour autant se surpasser sexuellement.
Je suis dans le bureau, je regarde le logiciel de gestion des stocks avec réapprovisionnement auto sous un certain seuil.
Sacha où moi lorsqu’une fille se fait payer une bouteille, on la prend en compte et tous ce fait automatiquement pour le reste.
La sonnette déclenche, merde, Mario est de retour, je vais me retrouver devant une arme qu’il a dû voler à la gendarmerie.
Écoutant que mon courage, je descends.
• Gladys, le docteur Sala est venu pour te voir, je m’excuse de t’avoir dérangé.
• Docteur, vous voulez passer un moment avec l’une de nos filles !
• Mademoiselle Gladys, j’ai une confidence à vous faire, merci pour votre offre, mais les filles que j’aime, je les rencontre dans d’autres endroits qu’ici.
Vous savez, les filles qui travaillent ici, je les respecte, chacun a le droit de choisir comment vivre, mais j’ai d’autres endroits pour les rencontrer.
• Excusez ma méprise, suivez-moi dans mon bureau, vous m’expliquerez le but de votre visite.
Je monte devant ce beau garçon, dommage qu’il soit d’une autre classe sociale que la mienne, je crois bien que je pourrais accepter d’être sa maîtresse à défaut d’être sa femme.
De toute manière, je resterais célibataire, même si un jour je rencontre un homme de la même condition que moi.
• Voilà, je dois vous avouer qui je suis, plutôt qui était ma maman.
Vos beaux-parents ont partagé un moment de leur vie au moment de la guerre avec elle.
Odette, votre grand-mère vous a-t-elle parlé d’une certaine Jennifer ?
• Oui, une doctoresse qui réparait les soldats touchés au front et parmi eux un officier Allemant même si c’était un ennemi.
• Je vois que vous êtes au courant pour les lingots qu’elle a fait saisir par les résistants pour retarder les Allemand dans leur progression.
Je vois que Jennifer, la doctoresse dont nous parler Jeanne, a omis de dire, qu’elle était plus près de truands comme grand-père Arturo que des hommes qui se battent pour libérer nos pays.
• Oui, je sais les résistants que mes grands-parents et votre mère ont été.
• Maman avant de mourir a eu des remords et m’a avoué que sur cette période de sa vie, elle a eu un moment de faiblesse.
Je m’attends à qu’il me dise qu’elle avait couché avec grand-père.
• Ces lingots, c’était une chance pour elle de retrouver après guerre une nouvelle vie, alors elle a exigé le tiers des lingots.
Il y en avait 18 marqué du signe allemand de la Deutsche Reichbank, je l’ai noté sur ce bout de papier.
• S’ils font partie de ceux que la police a trouvés dans le sac de ma barmaid et de mon comptable, la police en a récupéré six.
• J’ai lu cela, ils font certainement partie du lot, mais ma mère avec l’aide de votre grand-père a caché les siens ici, maman m’a donné quelques renseignements.
• Pourquoi s’ils sont ici, les a-t-elle laissés après la guerre.
• Dans les derniers jours en 1945, maman travaillait avec les forces américaines sur le front après le débarquement.
Elle a rencontré un chirurgien de l’armée américaine et est devenue son assistante.
Les choses se sont faites très vite à la fin de la guerre et il l’a ramené dans ses bagages.
Ils ont trouvé un hôpital dans la réserve comanche à Lawton en Oklahoma.
Il y a 25 ans, il est mort et maman a épousé Quanah, mon père qui dirigeait leur tribu.
Je suis son fils né de leur union, voici mon acte de naissance.
• Et s’ils sont ici, tu souhaites récupérer ces lingots !
• Pour la bonne cause, maman m’a demandé de m’en servir pour ouvrir un hôpital pour enfants là où je le voudrais.
Avant de venir à la fin de mes études de médecine, je voulais le construire aux USA.
Depuis que j’ai vu votre beau pays, j’en suis tombé amoureux et c’est ici que je compte le bâtir.
• Avant il faut voir si les lingots sont bien ici, quels renseignements avez-vous à votre disposition ?
Il me donne plusieurs éléments, sa maman semblant avoir aimé le vin.
J’entraîne Sala dans la cave où les cartons de champagne ont été livrés.
On fouille, on cherche avant de nous apercevoir qu’un cassier de vins est fixé sur une plaque de fer obstruant le mur.
Six cartons de champagne délacés et après avoir enlevé diverses vieilles bouteilles de vin, là depuis la nuit des temps, nous arrivons à faire venir à nous ce casier.
Derrière des briques ont été décelés et très poussiéreux les lingots d’Hitler sont là.
Je m’attends à ce que Sala se contente de sauter de joie.
Sa réaction est tout autre, il me prend dans ces bras et ce garçon descendant d’un chef comanche se met à danser une danse comme les Indiens, le faisait à la télé dans les westerns de mon enfance.
Passant près de moi, il m’enlace et me prend les lèvres dans un baiser passionné.
• Je te le dis d’une seule traite Gladys, sinon le courage me manquera, je t’aime, j’ai eu le coup de foudre dès notre première rencontre.
Je décide que c’est ici, près de toi que je vais édifier ma clinique.
• Comment vas-tu faire, c’est bien beau d’avoir de l’or, mais c’est impossible à revendre sans se faire prendre.
• Détrompe-toi, avant de venir, j’ai pris des conseils auprès d’un ami, fais-moi confiance, j’ai la solution pour les rapatrier aux USA.
En plus, j’ai assez de collectionneurs qui sont prêts à les racheter bien au-dessus du prix du poids de l’or.
• Et si je participais avec quatre lingots supplémentaires du lot des 18 !
• Récupère les six autres et nous aurons largement ce qu’il nous faut.
Aujourd’hui, je fais retour dans le bar de ma grand-mère Odette.
Je reviens de Lawton en Oklahoma ou j’ai rencontré la tribu de mon mec.
Bien sûr, c’est Sala qui après avoir vu les quatre lingots les a fait rapatrier pour les USA par un tour de passe-passe dont j’ignorerais toujours, comment il a fait.
• Bonjour les filles, vous êtes belles dans vos nouvelles tenues.
Avant notre départ, j’ai fait rencontrer à mes filles une jeune modiste trouvée sur Internet qui a proposé des shorts avec boléro de couleurs différentes.
• Je vous présente Chloé, jeune Martiniquaise de 24 ans.
Karine, es-tu bien sûre de t’occuper des deux seules bites de Luis et Mario. J’embauche Chloé dans tous les cas, tu peux rester.
• Gladys, en essayant de soudoyer Karine, tu nous offusques.
Avec mon jumeau, nous avons toujours rivalisé pour piquer la copine de l’autre.
En ayant la même femme, on est sûr que ni l’un ni l’autre, nous la piquera.
Karine est devant moi assise sur un des tabourets du bar, Luis lui tient la cuisse droite, Mario la gauche.
• Avant l’ouverture après ces vacances, je paye la tourner générale, dans pas longtemps ce sera ma clinique Jennifer pour enfants que nous inaugurerons.
• Vous pouvez boire tous les champagnes que vous voulez, notre logiciel en a fait livrer 10 cartons.
• Merci Sacha, tu es la parfaite barmaid de notre bar, pas vrai mamy Odette !
Quant à Jocelyne notre sauveuse, elle est là avec Alissia sa petite femme.
En effet, suite à son exploit, notre amie est montée en grade et a été affectée à la police de Bruxelles.
Les deux jeunes femmes se sont retrouvées, on fait leur coming out et elles vivent ensemble sans plus de représailles par leur hiérarchie.
Hélas, mamy Odette est là, mais dans un fauteuil roulant son état lui permettant de sortir pousser par Jeanne, toujours attentive à son bien-être, mais toujours ailleurs dans sa tête.
On va se quitter, Chris71 pensait écrire deux ou trois saisons et les choses ont fait que mon histoire s’arrête à la saison VII.
Vous allez me dire et le sexe avec Sacha qans tout ça !
J’ai beau rester célibataire, est-ce que je vous demande comment vous baiser avec votre épouse, un peu de respect !
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