COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (10/18) - histoire érotique

Non d’un chien, j’allais être impoli et dire les cinq lettres, comment raccrocher, je sens qu’attaqué comme je le suis, je vais jouir.
Et c’est ce qui m’arrive attaqué sur mes seins par Pierre et par la jolie, j’allais dire pute, mais c’est mieux de dire escorte, mot plus adapté à la rencontre qu’elle nous propose.

Ouf, c’est Victor qui sans le savoir vient à mon secours.
C’est lui qui au moment où à deux doigts de jouir, je m’envole vers ce que certains appellent le septième ciel m’embrasse et dis à demain à Paris.

• Bande d’enfoirées, j’ai failli hurler comme je viens de le faire, montrant à mon mari la salope que vous avez faite de moi.
• Il n’a pas fallu te forcer beaucoup pour que tu franchisses le pas Élisa, mais dis-moi Clara, si Clara est bien ton nom.
Tu as parlé des oeufs en meurette, que celle que tu as comprise qu’elle est loin d’être ma femme a mangée au resto à midi !
Pour le somnifère, j’ai compris que ça faisait partie du personnage que tu jouais en me faisant comprendre que je devais continuer à faire l’homme endormi.
Pour le reste, explique-toi !
• Le monde est petit et grand à la foi, je travaille dans le bouchon où vous avez mangé à midi.

J’entends les propos entre Mini, pour moi elle reste Mini et Pierre, mais le gode couplé à la conversation avec Victor m’a envoyé plané et je suis encore dans les vapes.
Je dois reconnaitre que dans la nuit tombée et la veilleuse près de la porte, je me rends enfin compte que je viens de baiser avec la petite serveuse du bouchon lyonnais.

• Je suis avec Bred mon copain en alternance à la célèbre école Paul-Bocuse de cette ville.
• Et tu te prostitues !
• Avec Bred mon fiancé, nous voulons reprendre un resto lorsque nous aurons nos diplômes, il s’occupera de la partie restauration et moi de l’accueil et des desserts.
• C’est toi qui vas vers les clients que nous sommes pendant que ton mec encaisse les bénéfices de tes passes comme escorte ?
• Vous vous trompez, Pierre, Élisa ayant prononcé votre nom !
Bred se prostitue aussi, mais avec des hommes souvent de votre âge, sans vous offenser.
Vous pouvez trouver son profil sur le site où vous m’avez trouvé, mais je vous préviens, il fait l’homme et non la femme.
• Je comprends, Clara lorsque tu dis qu’il fait l’homme, c’est lui qui encule ses partenaires d’un moment contre rétribution, c’est très clair.
• Oui, il n’est pas homo, c’est juste le fric notre moteur et c’est pour cela que je refuse les hommes.

Pendant ces propos, j’ai atterri, je serais bien restée à dix mille, mais je retrouve la situation.
Si Mini est en veine de confidence, une question me vient.

• Mini, je t’ai vu jouer à la perfection ton personnage, mais tu as sorti ton gode de mon sac sans que je t’aie vu, l’avoir mis, comment fais-tu ?
• Moi aussi, je t’observais en faisant semblant de dormir, je voulais profiter de tous ces instants que vous me proposiez toutes les deux, sans comprendre comment tu as fait !
• Cette fleur de lys que je sors de nulle part et que je t’offre Élisa, comment est-elle arrivée là ?

Devant mes yeux, une fleur m’est tendue.

• J’aime me déguiser et jouer des personnages, mais avant de rencontrer Bred et de le suivre dans son idée de restaurant, je voulais être magicienne et la magie, dois rester de la magie.

Je me rends compte que le gode a disparu de la place où il se dressait fièrement pour devenir cette fleur que Mini m’offre.
Mini pourrait en rester là, elle m’a fait jouir, remplissant sa part de contrat, mais elle m’offre en plus de sa fleur, sa langue qui rapidement me fait repartir vers les étoiles.
Les étoiles, certainement invisibles si je me mets à la fenêtre, vu le temps de neige sur la France et particulièrement à Lyon, Mini sachant très bien réchauffer l’atmosphère.

• Tu regardes la carte que Clara t’a donné ma chérie, je suis très satisfait que tu nous aies montré l’étendue de tes progrès en rapports féminins.
Je comprends mieux le contrat que Chantal nous a signé, même si j’ai la bite qui se tend, une nouvelle fois tu as joui, moi je n’ai pu que regarder.

Se faire sauter par son patron et beau-papa dans les toilettes du restauroute des portes de la Bourgogne Franche-Comté, ça équilibre les choses, ça nous retarde simplement un peu plus.
J’ai le temps de fermer les yeux pour récupérer la nuit ayant été longue et ma petite souris est loin d’avoir compté ses heures et ses efforts pour gagner son argent avec ses jolies fesses.

• Pierre, pourquoi ne me réponds-tu pas lorsque je t’appelle par l’Interphone ?

Trois semaines que nous sommes rentrées, lorsque le malheur arrive, je quitte mon bureau pour entrer dans celui de Pierre.

• Pierre qu’est-ce qui t’arrive, appelez les secours !

En même temps que je vois Pierre effondré dans son fauteuil, je comprends l’étendue des dégâts.
Contournant le bureau pour le secourir, je vois l’écran de son ordinateur allumé et la vidéo de Courchevel me montrant baisant avec Chantal tourner.

• Qu’arrive-t-il à Papa, mon Dieu, il a dû faire une attaque, je vais appeler les secours ?

Réagir vite, le clavier en bonne secrétaire, je sais effacer ce genre de vidéo inopportune, « Delete », notre secret à Pierre et à moi est effacé du moins si personne n’a dans l’idée de fouiller le disque dur.
Quant à la queue de Pierre qu’il tenait en main, c’est Victor qui revenu de son bureau la remet dans son pantalon avant de le refermer.
Heureusement lorsque son cœur a lâché, Pierre n’avait pas encore déchargé tout ceci aurait été plus difficile si du sperme avait maculé son pantalon.

• Je vous ai réuni aujourd’hui pour vous lire le testament que Pierre Legras est venu modifier il y a quelque semaines…

Pierre repose en paix dans l’urne ou le feu du crématorium l’a transformée en cendres avant que nous allions à Lorient port où Pierre a été marin dans sa jeunesse.
Il veut que nous dispersions ses cendres en mer, il devait avoir des souvenirs dont il avait oublié de me parler.

Mais revenons à la cérémonie au crématorium, ou Pierre a été incinéré.
Au moment où les présents, ils étaient nombreux, tous les employés de notre société étant présents.
Les personnes que j’avais commencé à rencontrer comme Georges, mais le plus surprenant, non pas Chantal, il était normal qu’elle ait été prévenue par mon service.
Non, Mini était avec elle, c’est la cérémonie terminée et les participants partis que je les ai retrouvés.
Victor avait suivi le maître de cérémonies des pompes funèbres, pour récupérer l’urne.
Nous devons nous retrouver à la maison, j’ai du temps pour passer un moment avec les deux femmes.
Mini, comment se retrouve-t-elle près de moi alors que j’ignore comment elle a été prévenue ?
Victor comme à son habitude semble à dix mille alors que les employés présents semblent anxieux de ce que va devenir l’entreprise que mon beau-père dirigeait.
Je pense que voyant cette jeune femme inconnue, je me serais enclin de savoir qui elle était.
C’est dans notre cuisine que j’ai des explications de la petite pute qui m’a fait jouir à Lyon.

• J’ai vu que tu étais étonnée en découvrant Marylène, Carla sur son site d’escorte lorsque tu nous as vus près de vous.
Pourtant c’est simple, ayant le portable de Pierre, je l’ai appelé pour lui demander si votre voyage s’était bien passé.
Il m’a confirmé qu’il avait été à la hauteur de ses espérances côté bizness.
Il venait de recevoir le fax de confirmation de notre entendement sur la qualité et le prix de la matière première que j’allais lui fournir.
Il a ri de la vidéo qu’il avait sur lui sur laquelle tu m’as fait franchir le pas vers des plaisirs plus masculins que ceux féminins.
Il m’a parlé de votre arrêt sexe à Lyon et de l’étrange concours de circonstances qui vous a mis en rapport avec Carla.
Tu me connais, même si tu m’as fait apprécier les verges des hommes après ce que tu m’as fait faire avec les deux couteaux suisses.
Je me suis empressé d’aller manger dans le bouchon que je connaissais déjà dans la jonction entre le Rhône et la Saône.
Carla était absente, ayant quitté le service où elle était censée faire de l’alternance pour se former à son métier.
• Tu permets ma chérie, que je reprenne la suite de mon histoire.
• Bien sûr qui mieux que celle qui l’a vécu est amène de raconter ce qu’elle a vécu.
• Chantal, a levé une partie du voile, mais je pense que tu savais déjà que Carla était le nom que j’avais emprunté auprès de mes clients.
Marylène, c’est mon vrai nom de baptême que m’ont donné mes parents, je suis issu d’une bonne famille de Saint-Étienne.
La prostitution me passait au-dessus de la tête jusqu’à ce que je rencontre Bred et qu’après avoir fait de moi une femme.
Il m’a proposé de nous installer dans un restaurant près de ma ville de naissance et qu’il connaissait où il me disait qu’il y avait un gros potentiel de développement.
Je t’ai dit ainsi qu’à Pierre, paix à son âme, qu’en nous prostituant l’un comme l’autre, nous devrions nous en sortir très vite et que de son côté il baisait avec des hommes.
Il m’avait soutenu que c’était lui qui les enculait sans pour autant se faire sodomiser de son côté.
Deux jours après que je vous ai rejoint dans votre chambre à votre hôtel place Bellecour, je suis revenue chez nous.
Bred était dans notre lit avec William, une autre escorte mâle se faisant enculer.
J’aurais pu comprendre, mais il m’a appris que tout l’argent que je gagnais, il le donnait à d’autres putes pour satisfaire ses propres déviances ou plaisirs comme tu le voudras.
Nous n’avions plus un sou, il était tellement accro au sexe qu’il avait tout dilapidé.
• Et c’est là que je ré-interviens Élisa, voici comment j’ai retrouvé et sauvé celle que Pierre m’avait dit s’appeler Carla.
• Si tu le veux bien Marylène, Carla, notre amie, je suis plus que content de la retrouver malgré ces circonstances malheureuses, sera toujours Mini la petite souris grise…