COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (11/18) - histoire érotique

Pierre est décédé !
Certains, s’ils connaissaient l’exacte vérité dirait que mourir d’une crise cardiaque aux heures de bureaux en se branlant en regardant sa maîtresse, femme de son fils, apprendre à devenir gouine est une belle mort.
« Exacte vérité, » tout réside dans ces deux mots.
Depuis que je suis devenue ce que l’on peut appeler la pute de mon patron, alors que je suis la femme de son fils, c’est la première fois que j’ai l’impression que Victor m’a servi à quelque chose.
En attendant les secours, j’ai pu « Deleter » la vidéo ou j’étais plutôt active, qu’il visionnait.
Mais c’est Victor dans un deuxième temps qui lui a rentré sa queue et refermé son pantalon à quelques secondes de l’arrivée du médecin du SAMU75.
Certificat de décès rempli en bonne et dû forme, je me suis occupée de la cérémonie et surtout des invitations.
Invitations, c’est aussi un grand mot.
J’ai prévenu les gens proches dont Chantal avec qui il travaillait, mais aussi celle qui, bien sûr, elle m’avait appris le planter de bâton sur les pistes de Courchevel avant de m’apprendre à lui sucer la chatte.
Amie et fournisseur de fèves de cacao fort utile pour une société qui fabrique et vend des boîtes de chocolats en tout genre, surtout au moment des fêtes.
C’est à ce titre que Pierre avant de nous quitter m’a embauché officiellement comme secrétaire si particulière qu’il a faite de moi sa petite pute au mépris de la femme de son fils que j’avais réussi à devenir.
Je séduis ses interlocuteurs, genre monsieur Georges, gérant d’une centrale d’achats de plusieurs sociétés de distribution.
Chantal comme fournisseur de fèves en fait partie et moi la petite orpheline j’ai découvert les joies du ski et du broutage de minou.
J’ai découvert que si Chantal aimait lécher de la chatte au détriment des bites d’homme, c’était dû à un blocage issu de sa jeunesse.
Deux Suisses, en vacances à Courchevel m’ont permis de faire sauter ce verrou et elle fait partie des personnes ayant fait l’effort de monter à Paris.

• Je vous ai réuni aujourd’hui pour vous lire la dernière version du testament que Pierre Legras est venu modifier il y a quelque semaines…

Cette phrase vous la connaissez déjà, c’est dans le chapitre précédent que monsieur Franck Dubois notaire de son état l’a prononcé.
Nous sommes dans son bureau pour l’ouverture du testament de Pierre.
Qui est présent sur convocation de cet homme de loi ?
Victor, c’est normal, c’est le fils du défunt.
Moi, c’est normal au titre d’épouse du fils, c’est un peu moins normal, je suis mariée sous le signe de la communauté et je n’avais pas besoin de convocation personnel, Victor assumant pour moi.
Chantal, ça c’est plus bizarre, elle aussi a reçu une convocation, elle est restée à Paris, Mini elle aussi escorte et petit rat d’hôtel à ses heures, l’attendant à son hôtel.
Je passe les formules protocolaires dans ce genre de, j’allais dire cérémonie, nous dirons de réunion.

« La présence de Chantal Laval doit vous surprendre Victor et Élisa.
Lors de notre séjour à Courchevel, pendant que ton épouse skiait, Victor, j’ai rencontré les avocats de Chantal, mon amie et j’ai cédé 20 % de mon entreprise à Chantal contre des liquidités.
Le Covid a très fortement impacté les résultats de notre société et cet argent frais nous a permis de subsister sans être étranglé par les banques.
À toi mon fils, je te concède 29 % de la société avec en plus les revenus des deux immeubles que j’avais acquis lorsque dans ma jeunesse, j’avais voulu me lancer dans l’immobilier.
Hélas, le décès prématuré de mon père m’a orienté vers le chocolat lorsque j’ai repris la chocolaterie familiale.
Il reste 51 % des parts, je vais vous surprendre, je te les cède Élisa Grosjean, dans les dernières semaines, tu m’as montré la clairvoyance de tes jugements et tu es la plus amène de continuer l’œuvre familiale. »

Je passe les formules de fin de testament et les signatures.
Je me retrouve propulsée actionnaire principale de la société, de pute de mon beau-père, je me retrouve à la tête de l’entreprise qui, il est vrai, j’ai contribué à trouver des clients et de la matière première.
Le temps passe, j’ai pris mes fonctions à Genève, on va me dire pourquoi Genève alors que la société était en région parisienne.
Lors de la réunion des actionnaires, à la table dans un tailleur strique, j’ai pris la place principale, vous savez celle que l’on voit dans les films.
Celle où l’on voit le plus souvent un homme en bout de table qui dirige une entreprise devant les autres actionnaires.
Lors de cette réunion dans les anciens bureaux de direction en région parisienne, j’ai fait voter la décentralisation dans cette ville suisse de notre direction.
Mais aussi la prise de direction de Victor chargé du secteur production en région parisienne.
Inutile de me demander comment, j’ai fait, ça existe, avec l’accord de
Bercy, Victor et son équipe d’une centaine de personnes fabrique les chocolats jusqu’à la mise en boîte.
Chaque nuit cette production est transférée dans mes bureaux de Genève et comme par une opération du Saint-Esprit se retrouve à avoir fait le travail de cent.
On comprend la suite, taux d’impôts plus bas ici qu’en France et maintient de l’emploi dans notre pays.
Chantal m’a suivi, elle a ses entrepôts en France et ses bureaux en Suisse.
Pour elle de Genève à Courchevel, par l’autoroute 2 heures de voiture et 130 kilomètres alors que de Lyon à cette même ville 2 heures 30 pour 200 kilomètres.
Même là nous sommes gagnantes.
Locaux communs avec deux boîtes aux lettres et bien sûr planté de bâton tous les week-ends dans le chalet que nous rejoignons pour retrouver la chaude quiétude de notre cheminée centrale.
Lorsque je dis planté de bâtons, c’est faux.
Avec Mini que nous avons embauchée, j’ai tellement progressé que je me suis mise au snowboard bien en équilibre sur la planche ou nous dévalons la piste noire de la station.
Mini, pour la première fois, va jouer son rôle, notre secrétaire à Chantal et moi, sera aussi la nouvelle pute de notre société, rôle facile pour elle, elle a déjà été formée par Bred.
Pour Mini, vivre principalement entre Genève et Courchevel, ça lui fait un grand soulagement, ça l’éloigne de ce dernier qui dans un premier temps a essayé de la récupérer.
On a rapidement mis le holà, on a vite compris que c’était le fric qu’elle lui rapportait qui l’intéressait.
Avec nous, comme moi, j’en avais trouvé un, grâce à Pierre, elle trouve un emploi bien rémunéré sans pour autant avoir le moindre diplôme ayant abandonné définitivement l’école de Bocuse lyonnaise.

Et Victor dans tout ça ?
Une clause mise par Pierre devant son notaire, certainement pour m’éloigner de son fils, me permet de vivre à environ 400 kilomètres à vol d’oiseau de lui.
Cette clause, nous contraint à rester marier jusqu’à ce que la mort nous sépare.
Si moi ou lui, nous demandons le divorce, les parts que nous avons dans la société reviendront à celui qui est resté fidèle à son engagement de mariage.
Petite vengeance de Pierre à mes épousailles avec son fils alors qu’il avait tout bien fait pour me mettre dans son lit après qu’il m’est repéré sur mon air d’autoroute où je trimais pour un salaire de misère.
PDG des chocolats Pierre Legras, j’ai fait voter le maintien du nom de mon protecteur sur la façade de l’entreprise, je lui dois bien ça et ça nous a fait faire des économies.
En région parisienne, il avait un engagement sur cinq ans, avec une cartonnerie fabriquant nos emballages.
Ça aurait coûté un max à renégocier or les boîtes avaient déjà cette raison sociale marquée dessus, il aurait fallu en jeter des milliers, en payant même pour leurs destructions.

Victor, vie sa vie, juste un petit coup de téléphone pour des ordres pour la boîte et prendre de mes nouvelles.
La chatte de Mini, vivant avec nous et Chantal, est devenue ma principale source de plaisir.
Bien que le week-end dernier nous ayons retrouvé Ours et François, les couteaux suisses aux bains de Cressy à 30 minutes de chez nous et à une heure pour eux.
Qui va en Suisse et qui passe par Genève doit se rendre à ces bains chauds et naturels, même en hiver, se baigner dans ces grandes piscines, ça remet un homme en forme.
Pour être en forme nous sommes en forme, les ayant retrouvé, ça a été facile.
Nous avions confié à Mini ce travail, elle s’en est acquittée avec maestria.
Grâce aux renseignements qu’ils nous avaient laissés sur leur propre travail à Neuchâtel dans les métaux précieux, elle les a retrouvés et apportés notre invitation.
Connaissant nos queutards suisses et la petite cochonne qu’est Mini, débarrassé de son presque mac lyonnais, je suis certaine qu’elle a déjà franchi le pas avec eux,

Pour ceux n’étant jamais allé dans ces eaux chaudes, tout le long du bord, des jets à haute pression vous massent le corps.
Pour vous éviter de prendre froids en hiver la profondeur est suffisante pour rester toujours immergée.
J’ai senti un jet juste bien placé, on comprend ou.
Chantal se trouvait au jet précédent, je l’ai écartée pour la faire passer devant moi.
A tel compris où je voulais en venir, elle était assez à la coule pour comprendre très vite, mais avant il m’a fallu éloigner Ours et François qui nous suivait de près.
Une nouvelle fois, Mini est venue à mon secours.

• Mini, va faire le nécessaire pour retarder nos amis, je veux montrer quelque chose à Chantal.

Intelligente la petite, on le sait déjà, en deux temps trois mouvements, le peu de monde dans la piscine extérieure, elle les a rejoints et nul doute que ses mains savaient s’occuper de nos queutards.
Pour ma part, je me suis collée à ma maîtresse et j’ai plongé ma main dans l’eau bouillonnante et chaude.
J’ai baissé son maillot livrant son intimité au jet sortant des bords de la piscine.
En peu de temps, l’effet sur son clito ou est-ce la chaleur, mais je l’ai sentie se cabrer.
De retour aux vestiaires, elle devait m’avouer qu’elle avait eu une jouissance fulgurante comme celle que j’avais ressentie en approchant ma chatte avant de la faire venir.
Mini toujours très perspicace, comme elle masturbait les garçons dos à eux pour rester discrète a compris ce que je faisais sentir à Chantal.
Elle nous a informé qu’une mémère de l’autre côté d’où nous étions à tout compris et était à deux doigts de crier au scandale.
Rentrant à son tour dans le vestiaire, cette femme plus près du quintal que de la moitié des kilos de chacune de nous, s’est trouvée face à trois femmes à poil et Mini qui est venue nous embrasser chacune notre tour.
Son quintal, bien loin de faire le poids face à trois salopes, a tourné les talons et est rentré précipitamment dans une cabine individuelle, nous cachant sa graisse débordant de son maillot une pièce.
À la sortie, nous avons retrouvé nos queues, sans croix blanches suisses dessus et nous les avons conduits chez nous à Genève pour finir de prendre du plaisir avec eux.
Mini devait une nouvelle fois nous surprendre…