COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (13/18)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (13/18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (13/18)
• Bonjour mesdames, heureux de vous avoir chez nous ce midi.
Élisa, toutes mes condoléances à la suite du décès de votre am… beau-père.
Je suis indécrottable, j’ai encore failli faire un imper, Chantal m’a prévenu la dernière fois qu’elle est venue du décès de Pierre.
J’en suite toute retournée, excusez, je reviens pour la commande, je dois me sécher mes yeux, la mort d’un ami ça me bouleverse.

Jean-François part vers la réception, égal à lui-même toujours aussi efféminé et gaffeur, je vais en avoir la preuve dans les minutes qui suivent.

• Élisa, qu’a voulu dire cet homme, enfin quand on dit homme, en prononçant les lettres « am » avant de se reprendre en parlant de la mort de ton beau-père ?
Eh ! pourquoi est-il indécrottable ?
Mais je suis peut-être indiscrète, garde la réponse pour toi si me répondre te pose des problèmes, comme les filles de l’Italie, je suis toujours la bouche ouverte !
• Roza, nul besoin de me cacher de ce qu’ait ma vie, je gère une entreprise de chocolat industriel.
Victor mon mari, je l’ai nommé directeur de l’usine de fabrication dans la banlieue de Paris.
J’avais été embauché comme secrétaire par Pierre son père, qui m’avait repéré à la cafétaria de la station d’autoroute, ou il avait l’habitude de s’arrêter.
J’ai vite compris que je l’avais pris de vitesse en épousant le fils et que c’était mon petit cul qui l’intéressait, je suis devenue la maîtresse du père de celui que j’avais épousé.
Il y a quelques mois, il m’a quitté après un infarctus me laissant les clefs de sa société et depuis, j’ai décentralisé les bureaux à Genève pour éviter des licenciements à Paris.
• Victor ton mari a accepté tout ça sans rien dire, je vois ton alliance, vous êtes toujours mariés !
• Pierre a été malin, il a mis une clause dans son testament qui nous empêche de nous séparer.
Si l’un de nous divorce, les parts de la société qui lui a été attribuée et où il m’a donné la majorité à 51 %, reviendront à l’autre.
Tu comprends bien que m’étant élevé dans l’échelle sociale, je sors d’un orphelinat, ce n’est pas moi qui vais donner le moindre prétexte à Victor.
Il fait sa vie à Paris et moi la mienne ici, je vis avec deux amies Chantal et Mini, c’est ainsi que je l’appelle, en réalité, c’est Marylène.
Permet que je garde pour moi pourquoi je l’ai surnommée Mini comme la petite souris.
• Am…, amant, tu es une belle cochonne avec ton beau-père, quant à la clause, ça peut être pris pour une vacherie post mortem.
• Eh ! à toi, puis-je te poser une question ?
• Tout ce que tu veux, tu as été tellement franche avec moi, qu’il serait incongru d’éviter de te répondre.
• Tu t’es changé dans votre voiture en toute impudeur, j’ai même pu voir ta chatte au travers du léger voile de ton string, s’était pour m’aguicher !
Si c’est ça, c’était réussi, j’ai beaucoup aimé !
• Oui et non, surtout après ce que tu m’as dit sur tes amies avec lesquelles tu vis, vous semblez faire un ménage à trois, entre femmes, êtes-vous lesbiennes ?
• On peut le dire, nous sommes toutes les trois plutôt bi-sexuelles !
Chantal pendant des années ayant été plutôt portée sur les femelles plus que sur les mâles.
• Pour ma part, tu as raison, j’aime m’exhiber, ça vient de ma jeunesse.
Lorsque mes parents fermaient notre hôtel restaurant sur le lac de Lugano, nous partions dans la botte de l’Italie ou en Grèce dans des camps naturistes.
Ils m’ont appris à être libres de mon corps, je me suis changé naturellement devant toi pour venir à ton invitation manger ici.
J’aurais crevé de chaud avec cette combinaison de ski sur mon dos surtout qu’elle entravait mes mouvements.
Mais si je comprends bien, tu as apprécié le spectacle et j’en suis fortement satisfaite.
Il faut que je t’avoue autre chose, je t’ai dit que nous habitions avec Ours à Neuchâtel.
C’est presque vrai, en réalité nous habitons un immeuble qui domine le lac de Bienne.
À part des voiliers ou des bateaux à moteur qui croisent à quelques centaines de mètres de la plage en contrebas de notre immeuble, nous n’avons aucun vis-à-vis.
Chez moi, je suis toujours nue surtout lorsque Ours est là, ça l’émoustille et tu dois comprendre la suite.
• Eh ! c’est toi qui parles de cochonne.
• Mesdames, excusez de revenir vous déranger, avez-vous choisi ?
Élisa, par moments, j’aurais envie de me couper la langue, je suis une gaffeuse à répétition, monsieur Pierre était un homme charmant.
• Aucun problème Jean-François, je prendrais la raclette avec de la tome des Bauges.
• Pareil, j’aime la charcuterie et ce fromage de Haute-Savoie, ça va me changer de mes pizzas, je suis une indécrottable Italienne, Ours me le dit souvent, surtout lorsque nous allons en France.
• Pour me faire pardonner ma gaffe de tout à l’heure, Élisa, je sais que vous aimez les blancs de Savoie.
Je vous fais porter une bouteille que je prends à mon compte.

Jean-François quitte notre table, je n’ai aucun problème de dire que j’ai été la maitresse de mon beau-père, surtout lorsque je vois le compte en banque que sa mort m’a laissé.
Il est vrai que j’aime le blanc de Savoie, même si avec la fondue, je faisais attention de rester lucide afin de piéger Chantal lors de notre première visite.

• Et comment as-tu connu ton mari, Roza ?
• Il faisait du tennis à haut niveau à cette époque, il est venu au challenge Città que Lugano organise chaque année et était descendu dans l’hôtel tenu par mes parents.
Il a terminé sa carrière, ce jour-là, avec une cheville en vrac, mais est reparti quelques mois plus tard avec la serveuse s’étant occupé de lui au grand désespoir de mes parents.
C’était la première année que j’acceptais de servir au restaurant pendant mes vacances.
• Je vois, il était beau et séduisant !

Roza éclate de rire, si fort que plusieurs tables voisines se retournent vers nous.

• Pardon, mon rire est parti tout seul, si tu voyais sa tête, sans être moche, je dirais qu’il est un peu disgracieux, ses copains l’appelaient « le cheval » à cause de sa denture.
Si je me souviens bien, je t’ai dit qu’en plus il est chauve, « le cheval » s’était au temps où il avait encore une crinière sur sa tête.

Je me penche vers elle, afin de lui parler sans que l’on m’entende.

• Alors, il doit bien te baiser, c’est comme avec mon beau-père, il était vieux et ça faisait jazzer de voir une jeune fille comme moi avec un vieux beau.
Puisque l’on en est à ce genre de confidence, mon mari avait, pardon, possède une petite queue, comparé à celle de son père.
• Eh ! tu aimes les femmes, ça je l’ai compris !
• Eh ! toi ?
• Juste une petite expérience mais sans conséquence avec une copine de lycée, mais sans conséquence.
Elle est très bonne cette raclette, surtout avec de la tome, c’est la première fois que j’en mange une avec ce type de fromage, c’est plus fort en goût, mais c’est très agréable.

Je vois clairement que Roza cherche à éluder le sujet.
Je suis perspicace, je crois l’avoir démontré, ai-je touché un jardin secret comme celui que j’avais pressenti pour Chantal avec son aversion pour les hommes ?
Une idée me vient, je prends l’initiative de vérifier si j’ai raison.

• Roza, j’ai besoin de me rendre aux toilettes, peux-tu m’accompagner !
• Bien sûr, j’allais justement te proposer de m’accompagner, moi aussi, le blanc commence à me faire de l’effet, j’ai la vessie qui va déborder.

À son regard, je sens qu’étant en ménage féminin à trois avec Chantal et Mini, notre appartenance au monde des lesbiennes ne fait aucun doute.
Si elle m’accompagne dans ce lieu d’aisance, son intention semble évidant, veut-elle que je prenne l’initiative.
Qu’est-ce que je risque, une baffe dans la figure tout au plus, on se remet très vite de ce genre de chose et sinon je serais frustrée de laisser passer une telle occasion ?
Nous nous levons, ça sent bon hors des odeurs de cuisine, pour traverser la salle et nous rendre au sous-sol où je dais que les toilettes se trouvent, Roza me prend la main.
La sienne est moite comme chaque fois que quelqu’un va découvrir un de ses fantasmes, si le sien est identique au mien, ces quelques minutes volées au monde extérieur peu nous faire que du bien.

• Mesdames, c’est l’heure du petit pipi, au pardon je suis indécrottable, c’est certain que vous allez faire une retouche à votre maquillage, si je m’écoutais, je vous accompagnerais pour refaire le mien !

Jean-François venant d’une table du fond de son restaurant se tien en haut des marches, égale à lui-même, nous empruntons l’escalier.
Mes chaussures de ski, direz-vous ?
En venant réserver ma table, j’avais amené une paire d’escarpins.
Elles sont dans le casier à l’entrée, on peut être tranquille, il fait beau et chaud, j’ai fait de la planche en fuseau et en pull d’hiver.

• Enfin seules, nous sommes folles, mais je crois que c’est ça que tu veux !

Entrée dans les toilettes pour dames, je plaque Roza contre le lavabo et sans la moindre hésitation je me plaque à elle.
Nos bouches se trouvent instinctivement, j’avais vu juste, elle est chaude comme la braise du feu de la cheminée allumée dans le restaurat et ou Jean-François venait ayant remis une buche lorsqu’il nous a croisés en haut de cet escalier.
Je sens que Roza est hésitante, non pas sur ce nouveau rapport que nous engageons, mais dans la pratique des jeux féminins.
N’ai-je pas été dans la même situation lors de ma première expérience féminine avec Chantal, au point de me faire découvrir sur la pute que mon beau-père voulait faire de la femme de son fils ?
Je l’embrasse une main se glissant sous son haut de vêtement et l’autre glissée dans son fuseau.
C’est une chatte ruisselante que mes doigts sentent ayant glissée directement sous la petite culotte que j’ai vue dans la voiture où elle s’est changée devant moi sans la moindre pudeur.
On peut venir, je passerais, nous passerons pour des salopes, mais qu’importe, le moment est divin lorsque je sens sa main venir caresser ma chatte au travers de mon fuseau…

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