COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (14/18)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (14/18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (14/18)
Qu’importe le temps qui défile dans ces toilettes pour femmes.
Venant de temps en temps au restaurant de Jean-François, personnage notoire de Courchevel ou avec Lucien le cuistot, ils tiennent le restaurant où nous trouvons.
Certains diront deux tantouses comme ils pourraient ce dire de Roza et de moi que nous sommes deux gouines, deux gougnottes.
S’ils allaient en cuisines, ils rencontreraient Lucien, ancien fort des halles de Paris, dans le secteur de la viande en tout genre ou avec ses gros muscles.
Il était capable de porter des carcasses de demi-bœuf sur son dos pour les rentrer dans les frigos.
Il rêvait de faire de la cuisine ayant appris chez sa grand-mère les plats qu’il nous confectionne ici.
Malgré ses battoires et ses bras gros comme mes cuisses, il aurait pu abattre des bœufs les tuants, sans les anesthésier.
Jean-François quant à lui était le fils d’un maquignon accompagnant son père pendant qu’il était en vacances scolaires.
Ils se sont vus, se sont reconnus et se sont mis ensemble dans le tourbillon de la vie comme le chantait Jeanne Moreaux dans les années 60.
Je vous parle d’un temps, que vous ne pouvez pas connaitre, comme là encore le grand Charles, Aznavour, pas l’autre le chantait dans ces mêmes années 60.
On va me dire que la chatte que je caresse et qui ruisselle de plaisir, fait de moi une mémé ayant l’âge de ma retraite en évoquant ses chansons alors que je n’étais pas encore née !
Oh que non !
Je suis bien de mon époque comme Chantal et Mini, mais Pierre dans la voiture chaque fois qu’il m’emmenait voir un client, on connaît à quoi, il m’employait principalement passait des CDs de ses chanteurs et chanteuses.
Je connais mieux Aznavour, Brassens et sa grosse moustache que je voyais en noir et blanc sur la boîte en plastique que maître Gims ou Bouba.
Quant à Jean-François, la belle et la bête, c’est avec les sous de papa qu’il est venu cacher ses amours dans nos Alpes Française en ouvrant conjointement leur resto.

• Continue, c’est fou, pourquoi ai-je retardé si longtemps ce moment divin que tu me fais vivre ?
• Veux-tu que j’arrête, quelqu’un pourrait venir nous surprendre et crier au monde, que deux salopes se caressent dans les toilettes des dames ?
• Tu fais ça et c’est moi qui crie à qui veut l’entendre que la salope c’est moi.

Je sens sa chatte ruisseler, son fuseau sera certainement trempé lorsque nous allons remonter.
Et que dire du mien, si Roza mouille lorsque je sens son clitoris extrêmement sensible à mes caresses, le mien l’étant tout autant malgré que sa main doit simplement posé dessus.

• Ah ! ah ! je jouis, c’est la première fois, même avec Ours que des doigts m’apporte nettement plus de jouissance que la bite d’Ours, ah ! ah ! ah !

Ma bouche réduit ses cris de plaisir au moment où il faut que je la retienne pour éviter qu’elle ne s’affale sur le carrelage.
Je dois la soutenir, abrégeant mon plaisir, pour m’occuper de ma nouvelle amie

• Je suis folle, on est folle, regarde dans quel état nous nous sommes mises, comment allons-nous remonter, mon pantalon a la marque de ce que nous venons de faire.

C’est mot Roza les prononce lorsqu’elle sort de son sac son bâton de rouge à lèvres pour se refaire une façade.
Dans la glace je vois ses yeux brillés du plaisir qu’elle a pris à ma simple caresse, certes très bien cramponné dans sa chatte, l’un d’eux titillant son gros clito du moins à ce que j’ai senti.
Dans la glace, je vois le désastre que mes doigts ont fait lors de ma caresse.
Pour ma part, je suis venue les mains dans les poches simplement avec ma planche qui est dehors posée sur le râtelier avec plusieurs de ses congénères ou paires de skis.
Moi aussi j’ai mouillé, mais pas suffisamment pour que l’aréole soit prise pour une marque de la cyprine que mon corps sait aussi produire lorsque l’un ou l’autre de mes partenaires me sollicite.
Pourtant c’est souvent depuis que Pierre a fait de moi la pute de son entreprise.

• Suis-moi de prêt, je vais directement à notre table, tu te dépêches de t’asseoir et moi j’en fais de même.

Je suis arrivée presque au sommet du colimaçon nous ayant conduit vers notre lieu de plaisir, c’est là que j’entends une voix efféminée bien connue.

• Non, non, madame, les toilettes sont provisoirement fermées, on nous a signalé une fuite qui pourrait devenir catastrophique.
Un plombier intervient, mon compagnon a dû l’appeler pour réparer cette fuite.
Mon dieu que tout ceci me stresse en plein service !
• Jean-François, le plombier est reparti avec ses outils, il a réparé, vous pouvez rouvrir vos toilettes.

Quel chou, je comprends pourquoi j’ai pu avoir le temps de combler ma nouvelle amie Roza.

Contre toute attente, Jean-François a fait barrage de son corps inventant une improbable fuite pour éviter que nous ne soyons surprises en pleine action.
Lorsque nous sommes descendues était-il aussi flagrant que nous allions satisfaire nos désirs les plus pervers dans leur toilette ?
Nous rejoignons notre table, seule une petite grosse près de la descente semble avoir tout compris de la situation.
À part ce petit détail, rien à signaler, nous reprenons place à notre table, Roza réussissant à cacher le petit détail du pourquoi nous avions été aux toilettes et si repérable sur le devant de son pantalon ?
Nous finissons notre repas, je suis à deux minutes d’aller régler l’addition lorsque Roza prend la parole.

• Tient, voilà mon mari, tu vas pouvoir constater que je ne t’ai pas menti sur la beauté de mon homme.
• Il est avec deux jeunes femmes, tu vas voir, il est loin d’être beau, mais sait toujours s’entourer, soit sans crainte, je suis loin d’être jalouse, surtout après le plaisir que tu viens de me donner.
• Ours, où sont Arsène et Lucienne, tu les as abandonnés ?
• Ils sont restés à la voiture, Lucienne est dans l’impossibilité de mettre un pied devant l’autre.
Elle qui se vantait de pouvoir me battre sur les 20 kilomètres que je leur ai fait faire avec des raquettes.
En chemin, nous avons rencontré ces deux jeunes femmes de la région.
Chérie, je te présente Chantal et Marylène, elles m’ont conduit jusqu’ici après que nous ayons vu que tu avais remis ta tenue en enlevant ta combinaison de ski.
• Le monde est petit Ours, si tu as trouvé les amis de mon amie, j’en ai fait de même en essayant de faire du ski.

Ours nous regarde sans sembler n’y rien comprendre.

• Mesdames, je crois savoir sans peu de chances de me tromper que vous êtes les deux amies d’Élisa, assise près de moi !
Je me trompe Chantal ou vous Mini, j’ignore pourquoi Élisa vous a surnommé ainsi, elle a voulu garder le secret pour elle, mais Mini à moi aussi ça m’ira.
• Tu as bien compris, toi tu es Roza, la femme d’Ours, tout le long du parcours depuis que nous les avons croisés avec ses amis, il a passé son temps à chanter la chance qu’il avait de t’avoir épousée.
Mini, la petite souris, ça te donne une idée pourquoi Élisa m’appelle comme ça, je te permets d’en faire de même.
Surtout que j’ai une sainte horreur de mon nom de baptême au point de l’avoir sorti de mon cerveau.

Reprenant la parole, je fais une proposition à Ours qui hélas la refuse des tables s’étant libéré.

• Jean-François, peux-tu disposer des tables pour que nos amis s’installent et prennent au moins un verre ?
• Mais oui, mes poulettes, je vais appeler mon homme les déplacer, c’est affreusement lourd ces trucs-là et je risquais d’abimer ma manucure, j’y suis allé ce matin au saut du lit.
Si vous saviez ce que j’ai loupé avec Julien, mais ça c’est mon affaire.
Quand je vous dis que je suis une indécrottable pipelette, je m’écouterais, je me fesserais, ah, ah, ah !

Jean-François avec sa voix de castrat, ne l’est-il pas ?
Se serait-il fait couper les couilles pour faire plaisir à son gorille de mari ?
Chantal m’a dit, lors de ma première visite que le couple profitant de la nouvelle loi avait convolé en avril dernier lors de la fermeture de printemps.

• Hélas, c’est inutile, pour notre part, nous devons repartir pour Neuchâtel demain matin avec Arsène nous avons des clients dès 9 heures à l’ouverture de notre garage.
Je les connais avec Lucienne, s’ils ont décidé de rentrer, ils seraient capables de partir sans nous.
• Dommage, j’étais prête à vous proposer de rester à dormir dans le chalet de Chantal très près d’ici si celle-ci est d’accord bien sûr.
• Sans problème, Mini vous aurait raccompagné avec la voiture que nous lui avons offerte après qu’elle ait réussi son permis.
• Oui, j’ai eu mon permis du premier coup.
• C’est sympa, mais non, une autre fois peut être, Roza, mon portable est déjà dans la voiture, si tu le veux et si Élisa le veut aussi, échangez vos téléphones et nous nous contacterons.

Nous entrons chacune dans les contacts de l’autre, « le cheval » car Ours a vraiment des dents de cheval, mais chauve.
C’est vrai qu’il est laid, mais a un certain charme, Roza ne m’avait pas menti en parlant de son mari.
Nous nous bisons, Roza glissant sa main sous mon bras ce qui lui permet de me caresser le sein.
Sans les toucher, je suis certaine que les pointes de mon mamelon bande, il est sensible à la moindre sollicitation.
J’en fais de même sans insister, en se levant, elle me permet de voir, qu’à part une légère auréole, sa cyprine a séché la laissant de nouveau présentable pour aller jusqu’au parking et leur voiture.
De leur côté, Chantal et Mini s’installe la table devenant assez grande pour les trois.

• Bon alors, les filles, une bouteille de vin blanc de Savoie et trois verres.
Élisa, je suis encore chamboulé lorsque vous avez été aux toilettes tout à l’heure et que j’ai gardé la descente d’escalier !...

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