COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (16/18)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (16/18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (16/18)
Ils sont arrivés pour un week-end prolongé.
Je savais que Georges à la veille de rencontrer Victor mon mari avait accepté de venir à la montagne.
Plus précisément à Courchevel, malgré la coupure de saison, mais la station restant très agréable à quelques heures du printemps.
Je sais maintenant qui est Nicolas et qui est Jennifer, je peux dire que ce sont indirectement ses enfants, mais nullement frère et sœur.
Nicolas, 27 ans est le fils de sa deuxième femme alors que Jennifer 27 ans et deux jours est la fille de sa troisième.
Lorsque Pierre m’a jeté au cou de cet homme, j’ignorais que c’était un queutard qui comme un con, c’est chaque fois fait prendre entrainant un divorce.
Nicolas et Jennifer ayant été élevé par cet homme aimant le sexe, mais très sympathique tout de même, ils étaient restés en contact et ayant fait leur étude ensemble, Georges les a fait embaucher pour prendre sa succession.

• Tu vois, Élisa, c’est le décès de Pierre qui m’a ouvert les yeux sur les notions de travail et que je ferais mieux de profiter de la vie.
Pierre lors de nos sortis très crapuleuse comme tu le sais, me disais toujours qu’à la retraite il ferait des voyages.
Sais-tu qu’il mettait de côté de quoi s’acheter un camping-car avec moi pour sillonner les routes de l’Europe !
Il est mort avant, surtout lorsqu’il me parlait de son fils.
Ta demande qui entraîne notre venue dans ce chalet, après ses commendes, en vue du Noël dernier, en est la preuve.
Avec lui à la tête de son entreprise, il savait qu’en moins de cinq ans, elle serait mise en faillite et que son personnel serait licencié.
Lorsqu’il a croisé ton chemin, il a rapidement décelé en toi la morte de faim que tu étais, certainement dû à ton éducation dans un orphelinat.
Si tu es à la tête de son entreprise, Victor gérant la production, c’est après une soirée très arrosée, je peux le dire vu l’état de cendre où il est qu’il a pris sa décision.
Il avait appelé des putes par son portable et elles venaient de partir lorsque nos queues rassasiées, il m’avait demandé mon avis sur ce que je pensais de toi.
Je lui avais conseillé de foncer et de trouver me moyen d’évincer son fils sans faire trop de vague.
• Est-toi qui lui avais suggéré la clause dans son testament nous obligeant à rester marié si nous voulons garder notre part dans notre société ?
• Non, ça c’est lui seul, je ne dis pas que ce n’était pas une petite vacherie qu’il t’est fait après ton mariage avec son fils, mais, il souhaitait surtout que tu prennes les rênes.
Tu vois, je te dis tout, mon dieu que ce paysage est beau, vue de ce balcon, allons rejoindre les autres.
Chantal nous a demandés de venir diner à 20 heures, le temps a filé à te parler, il est déjà 20 heures 5.

C’est difficilement que nous descendons du premier étage, la vue de la dent du villard ou du petit mont Blanc, encore enneigé à leurs sommets est un enchantement dans ce soleil couchant.
Il fait encore froid dans ces montagnes au printemps débutant.
Le feu crépite, ça c’est le travail de Mini depuis que je l’ai récupéré sous mon aile après m’être installé à Genève.
Je finance, notre chez-nous, Chantal a fini de fiancer ici et Mini est le lien entre nous deux dans notre ménage à trois.

• Jennifer, nous parlerons commerce demain matin, es-tu déjà venue à la montagne en hiver ?
• Depuis que maman s’est séparée de Georges et se mettre avec la mère de celui que je considère comme mon frère malgré qu’aucun lien de parenté ne nous unisse, nous sommes plutôt mer.
Plus précisément la Côte atlantique et la dune du Pilat, c’est pourquoi je suis encore bronzée du dernier été.

Parlons de Jennifer, grande, presque vingt centimètres de plus que moi, comme je l’ai dit au début de mon aventure j’ai du mal à atteindre le mètre 55 sans talons.
Cheveu long, brun, yeux vairons, ça lui donne un charme fou, surtout que pour notre premier repas smoking pour les hommes et robe provocante pour les femmes.
J’ai voulu cette soirée hommage à Pierre qui sans lui et sa boulimie de sexe, nous ne serions pas réunis ce soir.
Demain, nous irons manger une pizza dans un des seuls établissements ouverts corrects en cette coupure de saison.
N’oublions pas que j’ai rencontré Mini par un hasard du destin alors qu’elle préparait l’école Bocuse de Lyon, tout en jouant les rats d’hôtel lorsqu’elle faisait la pute.
Elle a fait les courses et en deux temps trois mouvements surtout lorsqu’elle se sert d’un couteau la poule a pu rejoindre son pot dans la crémaillère pendu dans la cheminée.
La farce la remplissant est une pure merveille, je détecte des petits morceaux de champignons.
L’apéro but sans la moindre limitation vu que nul de nous ne conduisons ce soir à dégeler l’atmosphère.
Je dis dégeler, je devrais dire réchauffer, surtout avec le Côtes du Rhône rouge que Chantal nous a offert, c’est lorsqu’elle était à Lyon avec son entreprise, je dirais plutôt ses bureaux qu’elle les achetait.
Avant le dessert, je sais que c’est un gâteau au chocolat, dans notre maison, ce serait crime que de confectionner autre chose qu’un dessert au chocolat.
La sono de la pièce malgré son volume est un pur régal, alors que je lui demandais dans nos premiers jours qui lui avaient installé, nous avons eu le même installateur à Genève.

• Elisa, veux-tu danser avec moi ?

Surprise, non, malgré notre différence de taille, j’ai bien vu que les yeux de Jennifer dardaient sur moi une grande partie de la soirée.
Chantal s’occupe de Nicolas, sa queue semblant n’être plus si effrayante que par le passé depuis que nous avons joué au pain perdu dans la fondue.
Je dirais même qu’elle a du retard à rattraper et je sais que maintenant elle ne s’en prive pas.
Quant à Mini, plus rien ne m’étonne.
Nous lui avons assigné l’ordre de s’occuper tout au long de son séjour de Georges, n’est-elle pas notre petite pute à nous, à demeure.
Elle remplit très bien de cette tache, dans sa robe blanche, semblant représenter la pureté, assise à califourchon sur les cuisses de notre ami, alors qu’il est lui-même dans un des canapés de la pièce.
Jennifer se colle à moi, ma tête reposant sur le haut de ses seins, chaque fois que je vois notre couple en action, la pelle qu’elle lui roule ferait revivre un mort.
Nul doute que sous son petit cul, encore emballé dans sa robe, elle doit sentir ce vit qui il y a peu me défonçait pour nos intérêts et surtout ceux de notre entreprise.
Georges voudrait éviter de mourir prématurément, comme Pierre.
Dans les bras de notre petit vampire femelle, j’ai bien peur qu’il ne le rejoigne avant la fin du week-end, dans les eaux de l’Atlantique !
Il y a peu, les lèvres féminines m’étaient inconnues, Chantal ayant senti puis comblé ce vide, m’a bien initié aux amours lesbiens.
Jennifer en veut, je vais lui en donner, je m’agenouille devant elle, je pose ma bouche sur sa chatte et à travers des voiles qui la recouvrent, je la bise là ou, immanquablement ça lui fait du bien.
Du moins je le sens, ses mains se posant sur ma tête pour mieux sentir ma bouche qui après ses lèvres vient apporter du plaisir à ses lèvres vaginales.

• Continue Élisa, attend, je dégraffe ma robe, Georges nous avait dit que vous étiez des personnes surprenantes, il était loin du compte, surtout à vingt ans.

C’est vrai, les choses se sont tellement accélérées depuis la sortie de mon orphelinat, à ma majorité, j’en avais oublié que demain c’est mon anniversaire, vingt ans et déjà P.D.G. d’une chocolaterie.
Demain, après une nuit de plaisir, nul doute, elle commence si bien lorsque je me relève, que je prends Jennifer par la main et que je l’entraîne dans la chambre ou à son arrivée nous l’avons installé.
Le lit est tout petit, du moins, moins grand que celui où nous dormons toutes les trois lorsque nous sommes seules, Chantal, Mini et moi.
N’ai-je pas dit, qu’ici ou à Genève nous formions un ménage à trois avec mes deux belles salopes.
Lorsque nous nous sommes déplacés à l’étage en passant sur la mezzanine, j’ai nettement vu que les choses avançaient aussi entre Nicolas et Chantal.
Tout en dansant, elle a déjà sorti de son smoking la queue de son cavalier servant.
Alors qu’ils s’embrassent, eux aussi, j’ai eu le temps de voir qu’elle a gagné un gros morceau à mettre au fond de son vagin.
Les rôles ont été bien répartis du moins celui de notre hôte principal, notre petite pute remplissant très bien sa mission.
Elle aussi a sorti la queue de celui qui aura su garder sa vie demain au réveil.
Ce ne sont que des visions fugace, le manque de lumière et l’envie pressente que Jennifer et moi ressentons, nous obligeant à rentrer dans sa chambre, pour assouvir notre désir impératif de faire jouir nos corps.
Je pensais que des voiles, recouvraient le corps de celle qui va bientôt être pleinement mienne, je me trompais, sa robe au sol, sa chatte brune m’apparait dans toute la splendeur d’un sexe féminin.
Quand chutant en 69, moi aussi nue que ma partenaire sur le lit, l’odeur un peu poivrée de la cyprine s’échappant de mon lieu de convoitise, embaume mes narines.
Là, en grande partie réside la différence entre les amours masculins et féminins.
Comme le disait une personne célèbre en France.
« Quand en plus, on a l’odeur ! »
Je laisse l’imagination prendre le pas sur mon action, du moins celle de ma langue qui, trouve un chemin loin d’être pavé d’embuche.
Surtout lorsque l’on a sucé la queue de son beau-père de nombreuses fois et ayant trouvé le goût du sperme un peu fade en comparaison de la cyprine que Jennifer fait couler de son corps.
Une première décharge d’adrénaline nous fait nous tordre de plaisir, dans un orgasme simultané simplement grâce à nos langues titillant nos clitoris.
Son frère, sans en être un réellement, semble, à la vision fugace que j’en ai eue, bien monté.
Sa sœur, sans en être vraiment une aussi, d’après que nous en a expliqué Georges, même pas, demi-frère ou demi-sœur, a un clito fort intéressant à trouver à la pointe de ses grandes lèvres.
Ma chatte, celle de Mini sans parler celle de Chantal, avec la sienne, quatre chattes, chattes bien différentes les unes que les autres.
J’ai dû m’endormir dans les bras de ma compagne, la journée a été un peu tourmentée et que dire de cette soirée remplie de plein d’intérêt.
C’est à ce moment que des bruits identiques à ceux de Mini, mon rat d’hôtel se fait entendre, bien que je sois toujours dormi.
Mini, vient-elle nous rendre visite ayant satisfait Georges comme nous lui avions suggéré de le faire ?…

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