COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (8/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (8/18)
Mais…
C’est ce que je pense, car il reste possible que les deux Suisses lâchent leur couteau leur montrant qu’il vaut mieux faire confiance à une femme qu’à un couteau même multi lames et Suisse à croix blanche.
Je pense qu’ils ont pu se libérer en coupant leurs liens, au moins l’un libérant l’autre. Car je pense qu’à l’heure du petit déjeuner avant l’heure de leur départ, la réception se serait inquiétée à l’heure de les réveiller ou lorsque le service d’étage serait intervenu.
Ils les auraient trouvés et libérés ce qui aurait fait le tour de Courchevel.
« Deux Suisses attachés aux appliques murales par les poignets avec des cordes de tendeur de tente. »
• Élisa, peux-tu me dire comment tu t’y es prise pendant que je me reposais ?
15 % alors que j’en espérais 5 au max et en plus des fèves venues du Sénégal, les meilleurs à travers le monde.
Jusqu’à maintenant j’étais satisfait de pouvoir décrocher des péruviennes.
Mais que fais-tu avec ton portable, qui t’envoie des messages ?
• Non, Pierre, personne ne m’envoie de message, au contraire, c’est moi qui t’envoie une vidéo.
Nous arrivons à un air d’autoroute, arrête-toi et regarde là, elle te donnera une grande partie de la réponse à ta question.
• Comment as-tu pu ce matin avant notre départ faire signer à Chantal un contrat à 15 % de remise sur les fèves du Sénégal alors qu’au départ, elles étaient réservées à la pâtisserie Lenôtre à Paris ?
Sa proposition m’a étonné, je lui ai même demandé pourquoi cette fleur qu’elle m’avait toujours refusé depuis que c’est elle qui s’occupe de nos fournitures.
Elle m’a dit de te poser la question !
Pierre met le clignotant, c’est un air sans restauroute, il m’a dit que nous nous arrêterons de nouveau aux portes de la Bourgogne Franche-Comté après Lyon et Mâcon pour prendre de nouveau un café.
Il neige depuis notre départ, sans pour autant ralentir notre progression, les services de sécurité de l’autoroute ayant commencé leur travail.
J’ai sur le dos, un manteau de fourrure que Chantal m’a offert sortie de sa penderie.
Comme on l’a vu, j’ai pu l’habiller avec des affaires un peu plus osées que ses sempiternels pantalons et ses chemisiers fermés au cou et cachant sa féminité.
Pierre sort son portable que j’ai entendu vibré dans sa poche de costume.
• Avant de regarder ce que je t’ai envoyé, ne veux-tu pas profiter un peu de moi en voyant ce que je porte sous le manteau en vison que Chantal m’a offert ?
J’appuie sur la commande de mon siège pour m’allonger légèrement et j’ouvre mon manteau.
• Mais tu es à poil sous ta fourrure, moi qui m’étais bien reposé, je crois que je vais profiter de la circulation peu importante pour m’occuper de toi petite salope.
Pierre se penche sur moi et me caresse la chatte avec sa langue, je mouille de plaisir de retrouver mon mâle dominateur même si c’est mon beau-père.
Je passe ma main et je lui caresse la verge au travers de son pantalon.
C’est à ce moment que j’entends mon portable vibrer à son tour, je récupère ma main et j’écoute ayant vu que c’était Victor qui m’appelait.
• Oui mon chéri, nous avons fait de bonnes affaires, du moins c’est ce que j’ai cru comprendre lorsque Chantal a signé à ton père le contrat pour cette année.
Vous ne manquerez pas de matière première.
Je relève la tête de mon amant, j’étais à deux doigts d’éructer de plaisir avec sa langue sur mon clito, risquant de faire comprendre au fils que j’avais cédé au père.
• Non, nous sommes arrêtés aux portes de Lyon, il neige et je pense que nous allons essayer de rejoindre Lyon.
Je viens de suggérer à ton père de prendre deux chambres dans un hôtel et de nous arrêter jusqu’à demain.
Il est sur son portable de son côté pour réserver, je crois qu’il a trouvé.
Ils viennent d’annoncer sur la radio d’autoroute une tempête avec de la neige rendant les déplacements à haut risque.
Tu nous donnes raison, il serait dommage, d’avoir un grave accident après le contrat que nous avons signé.
Je te quitte merci de ton appel et de ton coup de fil, il m’a fait très plaisir.
Tu as hâte de me retrouver, mais en un seul morceau.
Je t’en remercie, je t’aime mon chéri moi aussi à demain en fin d’après-midi !
Tu tiens à m’appeler pour savoir que nous sommes bien à l’abri, mais oui mon chéri, t’entendre est toujours un plaisir.
Pendant que je parle à mon mari, le grugeant une nouvelle fois, même s’il neige de plus en plus et qu’un poids lourd vient se garer derrière nous, je coupe l communication.
• Mais quelle salope, j’ai permise à mon fils d’épouser, tu l’as mis dans ta poche en quelques secondes, comme j’ai bien fait de te proposer de travailler avec moi.
Reprenons la route, je connais un hôtel à Lyon où nous pourrons attendre que ces quelques flocons disparaissent et nous permettent de reprendre notre route en un seul morceau comme Victor vient de te le suggérer.
J’allais justement te proposer cet arrêt, nous pouvons même aller manger dans un bouchon que je connais, connais-tu les bouchons lyonnais ?
J’ai vu la vidéo que tu as tournée, tu as fait ça sans me tromper avec ces deux Suisses.
Chantal te baisant et se faisant baiser par deux beaux mecs, explique-moi ce que tu dis lorsque tu parles des soucis familiaux que Chantal aurait eus dans sa jeunesse.
Nous reprenons la route, je m’empresse de refermer mon vison sur mon corps nu, il serait idiot que nous ayons un accident alors que nous allons avoir tout notre temps de baiser avec mon amant.
• Une chambre s’il vous plait ?
• Pour le restant de l’après-midi ?
• Pour qui prenez-vous mon épouse, une pute, vous mériteriez que je signale votre impertinence à la direction !
• Avec toutes mes excuses monsieur et madame.
Pour rattraper mon erreur, vous ayant importuné, je vous donne la suite principale de notre hôtel donnant sur la place Bellecour.
Au prix d’une chambre classique il va de soi et je vais vous faire monter une bouteille de Dom Pérignon, bon déjour à Lyon.
Être prise pour une pute, même si l’on regarde bien j’en suis bien une, même si c’est celle de mon beau-père.
La chambre du grand Hôtel est magnifique, Pierre donne un billet au chasseur qui nous a ouvert la porte et déposé nos sacs de voyage sur le reposoir.
Je me laisse tomber sur le lit véritable piste de danse, je n’ai jamais vu de lit aussi grand.
Je n’ose imaginer les orgies que nous pourrions faire dans un tel lit et celles qui s’y sont peut-être déjà déroulées.
Mon manteau s’ouvre montant une nouvelle fois ma chatte blonde à l’un du personnel d’un hôtel.
Je suis encore dans cette position impudique lorsque l’on frappe de nouveau et que la bouteille promise arrive par porteur interposé.
• Avant d’aller déjeuner et si tu me montrais de quoi tu es capable petite pute chérie au lieu de t’exhiber devant le petit personnel !
Le mot « chérie » aplanie tout quiproquo avec le terme de « petite pute » que Pierre vient d’employer.
Quant au petit personnel, il a bien le droit à une petite compensation lui va retourner à son office, ma vision va peut-être l’aider à se masturber.
Pierre ayant lui aussi enlevé son manteau à col de fourrure, se couche sur moi me faisant sentir que ces deux jours de repos lui a fait le plus grand bien.
Il m’embrasse avec toute la fougue qu’un homme est capable lorsqu’il a envie de vous baiser.
Une bonne queue, car j’ai laissé Chantal profiter des deux couteaux suisses, ça va me ramener dans le monde bi-sexuel que je viens de quitter pendant ce week-end à la montagne.
En ayant quitté les deux beaux gosses, nous sommes remontés au chalet avec Chantal.
Pour commencer dans sa salle de bains où nous nous sommes prélassés dans la baignoire.
Moi, pour continuer à être une bonne lesbienne, Chantal pour se rafraichir la chatte après s’être fait défoncer accaparant pour la première fois les deux verges d’hommes.
• Ma puce, vu l’heure, je te propose de remettre à plus tard ces moments de plaisir que tu sais si bien me procurer.
J’ai faim, à part le resto, je me suis juste fait un ou deux cafés dans la cuisine du chalet de Chantal.
En regardant ta vidéo, je comprends pourquoi tu m’as abandonné et je t’en remercie.
Je reprends un bain avant de remettre quelques vêtements, inutile de créer un scandale au petit bouchon où Pierre m’entraine.
Moi aussi, j’ai faim.
Saucisson lyonnais, œufs en meurette, le tout arrosé d’un verre de pouilly Fuissé et d’un autre, de cote rotie rouge.
Pour le dessert, nous avons du champagne qui nous attend dans notre chambre que j’ai plaisir à retrouver la neige commençant à prendre sur les trottoirs.
Nous remontons dans la chambre, il fait trop froid pour rester dehors.
• Qu’est-ce que tu regardes sur ton portable, Chantal se faisant deux mecs, toi qui pensais que ce n’était qu’une brouteuse de minou ?
• Non justement c’est toi et elle que je regarde, on voit bien au début que tu es un peu hésitante, mais à la fin, tu la lèches divinement jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Dommage que je n’étais pas là, j’aurais bien voulu te voir en réel.
Attends, j’ai une idée, me fais-tu confiance !
Comment refuser la confiance en Pierre moi qui ai passé mon temps de le demander à Chantal puis aux croix blanches suisses ?
Il reprend son portable et je le vois chercher quelque chose.
Je m’approche, il regarde un site d’escorte.
• Aide-moi à choisir, dit moi laquelle te plait, elles sont toutes répertoriées sur Lyon.
Je vais la faire venir, je vais la payer et je pourrais te voir de très près me montrer les progrès que Chantal t’a fait faire.
• Comment connais-tu ce site d’escorte ?
• Tu as vu que je voyage souvent, c’est les filles que j’appelais lorsque je me sentais seul, maintenant il y a toi ma chérie !
• Oui, mademoiselle Clara à ce que je vois.
500 € pour le reste de l’après-midi, c’est parfait, vous êtes à six minutes à pied du grand Hôtel place Bellecour !
Sans problème on vous attend, oui, c’est pour mon amie, j’ai vu que vous n’acceptez que les femmes.
Vous êtes d’accord pour que je reste à vous regarder sinon j’appelle une autre de vos collègues.
Si en plus, je peux regarder vous voulez plus d’argent, attendez, 700 c’est tout ce que j’ai en liquide, 700 sinon j’appelle quelqu’un d’autre.
C’est bon pour 700, on vous attend, ma femme mouille déjà de vous rencontrer.
Dix minutes, plutôt vingt, mais ça ne pose aucun problème.
Le vin même si j’en ai bu peu m’a grisé et le bouchon de la bouteille de Don pérignon bien frappé contribue après un verre à me désinhiber.
De nouveau son portable sonne.
• La réception, une demoiselle Clara nous demande !
Faite là conduire à notre suite, c’est une manucure qui vient s’occuper de ma femme.
Une autre bouteille de champagne ?
Je comprends, bien sûr que dans quelque temps je vous en commanderais une, il faut bien que tout le monde gagner sa vie.
Je comprends bien que le réceptionniste a vu notre jeu et tient à en tirer profit.
L’après-midi semble prendre une bonne tournure, que j’ai bien fait de me faire épouser et de devenir la maîtresse de mon beau-papa et patron…
C’est ce que je pense, car il reste possible que les deux Suisses lâchent leur couteau leur montrant qu’il vaut mieux faire confiance à une femme qu’à un couteau même multi lames et Suisse à croix blanche.
Je pense qu’ils ont pu se libérer en coupant leurs liens, au moins l’un libérant l’autre. Car je pense qu’à l’heure du petit déjeuner avant l’heure de leur départ, la réception se serait inquiétée à l’heure de les réveiller ou lorsque le service d’étage serait intervenu.
Ils les auraient trouvés et libérés ce qui aurait fait le tour de Courchevel.
« Deux Suisses attachés aux appliques murales par les poignets avec des cordes de tendeur de tente. »
• Élisa, peux-tu me dire comment tu t’y es prise pendant que je me reposais ?
15 % alors que j’en espérais 5 au max et en plus des fèves venues du Sénégal, les meilleurs à travers le monde.
Jusqu’à maintenant j’étais satisfait de pouvoir décrocher des péruviennes.
Mais que fais-tu avec ton portable, qui t’envoie des messages ?
• Non, Pierre, personne ne m’envoie de message, au contraire, c’est moi qui t’envoie une vidéo.
Nous arrivons à un air d’autoroute, arrête-toi et regarde là, elle te donnera une grande partie de la réponse à ta question.
• Comment as-tu pu ce matin avant notre départ faire signer à Chantal un contrat à 15 % de remise sur les fèves du Sénégal alors qu’au départ, elles étaient réservées à la pâtisserie Lenôtre à Paris ?
Sa proposition m’a étonné, je lui ai même demandé pourquoi cette fleur qu’elle m’avait toujours refusé depuis que c’est elle qui s’occupe de nos fournitures.
Elle m’a dit de te poser la question !
Pierre met le clignotant, c’est un air sans restauroute, il m’a dit que nous nous arrêterons de nouveau aux portes de la Bourgogne Franche-Comté après Lyon et Mâcon pour prendre de nouveau un café.
Il neige depuis notre départ, sans pour autant ralentir notre progression, les services de sécurité de l’autoroute ayant commencé leur travail.
J’ai sur le dos, un manteau de fourrure que Chantal m’a offert sortie de sa penderie.
Comme on l’a vu, j’ai pu l’habiller avec des affaires un peu plus osées que ses sempiternels pantalons et ses chemisiers fermés au cou et cachant sa féminité.
Pierre sort son portable que j’ai entendu vibré dans sa poche de costume.
• Avant de regarder ce que je t’ai envoyé, ne veux-tu pas profiter un peu de moi en voyant ce que je porte sous le manteau en vison que Chantal m’a offert ?
J’appuie sur la commande de mon siège pour m’allonger légèrement et j’ouvre mon manteau.
• Mais tu es à poil sous ta fourrure, moi qui m’étais bien reposé, je crois que je vais profiter de la circulation peu importante pour m’occuper de toi petite salope.
Pierre se penche sur moi et me caresse la chatte avec sa langue, je mouille de plaisir de retrouver mon mâle dominateur même si c’est mon beau-père.
Je passe ma main et je lui caresse la verge au travers de son pantalon.
C’est à ce moment que j’entends mon portable vibrer à son tour, je récupère ma main et j’écoute ayant vu que c’était Victor qui m’appelait.
• Oui mon chéri, nous avons fait de bonnes affaires, du moins c’est ce que j’ai cru comprendre lorsque Chantal a signé à ton père le contrat pour cette année.
Vous ne manquerez pas de matière première.
Je relève la tête de mon amant, j’étais à deux doigts d’éructer de plaisir avec sa langue sur mon clito, risquant de faire comprendre au fils que j’avais cédé au père.
• Non, nous sommes arrêtés aux portes de Lyon, il neige et je pense que nous allons essayer de rejoindre Lyon.
Je viens de suggérer à ton père de prendre deux chambres dans un hôtel et de nous arrêter jusqu’à demain.
Il est sur son portable de son côté pour réserver, je crois qu’il a trouvé.
Ils viennent d’annoncer sur la radio d’autoroute une tempête avec de la neige rendant les déplacements à haut risque.
Tu nous donnes raison, il serait dommage, d’avoir un grave accident après le contrat que nous avons signé.
Je te quitte merci de ton appel et de ton coup de fil, il m’a fait très plaisir.
Tu as hâte de me retrouver, mais en un seul morceau.
Je t’en remercie, je t’aime mon chéri moi aussi à demain en fin d’après-midi !
Tu tiens à m’appeler pour savoir que nous sommes bien à l’abri, mais oui mon chéri, t’entendre est toujours un plaisir.
Pendant que je parle à mon mari, le grugeant une nouvelle fois, même s’il neige de plus en plus et qu’un poids lourd vient se garer derrière nous, je coupe l communication.
• Mais quelle salope, j’ai permise à mon fils d’épouser, tu l’as mis dans ta poche en quelques secondes, comme j’ai bien fait de te proposer de travailler avec moi.
Reprenons la route, je connais un hôtel à Lyon où nous pourrons attendre que ces quelques flocons disparaissent et nous permettent de reprendre notre route en un seul morceau comme Victor vient de te le suggérer.
J’allais justement te proposer cet arrêt, nous pouvons même aller manger dans un bouchon que je connais, connais-tu les bouchons lyonnais ?
J’ai vu la vidéo que tu as tournée, tu as fait ça sans me tromper avec ces deux Suisses.
Chantal te baisant et se faisant baiser par deux beaux mecs, explique-moi ce que tu dis lorsque tu parles des soucis familiaux que Chantal aurait eus dans sa jeunesse.
Nous reprenons la route, je m’empresse de refermer mon vison sur mon corps nu, il serait idiot que nous ayons un accident alors que nous allons avoir tout notre temps de baiser avec mon amant.
• Une chambre s’il vous plait ?
• Pour le restant de l’après-midi ?
• Pour qui prenez-vous mon épouse, une pute, vous mériteriez que je signale votre impertinence à la direction !
• Avec toutes mes excuses monsieur et madame.
Pour rattraper mon erreur, vous ayant importuné, je vous donne la suite principale de notre hôtel donnant sur la place Bellecour.
Au prix d’une chambre classique il va de soi et je vais vous faire monter une bouteille de Dom Pérignon, bon déjour à Lyon.
Être prise pour une pute, même si l’on regarde bien j’en suis bien une, même si c’est celle de mon beau-père.
La chambre du grand Hôtel est magnifique, Pierre donne un billet au chasseur qui nous a ouvert la porte et déposé nos sacs de voyage sur le reposoir.
Je me laisse tomber sur le lit véritable piste de danse, je n’ai jamais vu de lit aussi grand.
Je n’ose imaginer les orgies que nous pourrions faire dans un tel lit et celles qui s’y sont peut-être déjà déroulées.
Mon manteau s’ouvre montant une nouvelle fois ma chatte blonde à l’un du personnel d’un hôtel.
Je suis encore dans cette position impudique lorsque l’on frappe de nouveau et que la bouteille promise arrive par porteur interposé.
• Avant d’aller déjeuner et si tu me montrais de quoi tu es capable petite pute chérie au lieu de t’exhiber devant le petit personnel !
Le mot « chérie » aplanie tout quiproquo avec le terme de « petite pute » que Pierre vient d’employer.
Quant au petit personnel, il a bien le droit à une petite compensation lui va retourner à son office, ma vision va peut-être l’aider à se masturber.
Pierre ayant lui aussi enlevé son manteau à col de fourrure, se couche sur moi me faisant sentir que ces deux jours de repos lui a fait le plus grand bien.
Il m’embrasse avec toute la fougue qu’un homme est capable lorsqu’il a envie de vous baiser.
Une bonne queue, car j’ai laissé Chantal profiter des deux couteaux suisses, ça va me ramener dans le monde bi-sexuel que je viens de quitter pendant ce week-end à la montagne.
En ayant quitté les deux beaux gosses, nous sommes remontés au chalet avec Chantal.
Pour commencer dans sa salle de bains où nous nous sommes prélassés dans la baignoire.
Moi, pour continuer à être une bonne lesbienne, Chantal pour se rafraichir la chatte après s’être fait défoncer accaparant pour la première fois les deux verges d’hommes.
• Ma puce, vu l’heure, je te propose de remettre à plus tard ces moments de plaisir que tu sais si bien me procurer.
J’ai faim, à part le resto, je me suis juste fait un ou deux cafés dans la cuisine du chalet de Chantal.
En regardant ta vidéo, je comprends pourquoi tu m’as abandonné et je t’en remercie.
Je reprends un bain avant de remettre quelques vêtements, inutile de créer un scandale au petit bouchon où Pierre m’entraine.
Moi aussi, j’ai faim.
Saucisson lyonnais, œufs en meurette, le tout arrosé d’un verre de pouilly Fuissé et d’un autre, de cote rotie rouge.
Pour le dessert, nous avons du champagne qui nous attend dans notre chambre que j’ai plaisir à retrouver la neige commençant à prendre sur les trottoirs.
Nous remontons dans la chambre, il fait trop froid pour rester dehors.
• Qu’est-ce que tu regardes sur ton portable, Chantal se faisant deux mecs, toi qui pensais que ce n’était qu’une brouteuse de minou ?
• Non justement c’est toi et elle que je regarde, on voit bien au début que tu es un peu hésitante, mais à la fin, tu la lèches divinement jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Dommage que je n’étais pas là, j’aurais bien voulu te voir en réel.
Attends, j’ai une idée, me fais-tu confiance !
Comment refuser la confiance en Pierre moi qui ai passé mon temps de le demander à Chantal puis aux croix blanches suisses ?
Il reprend son portable et je le vois chercher quelque chose.
Je m’approche, il regarde un site d’escorte.
• Aide-moi à choisir, dit moi laquelle te plait, elles sont toutes répertoriées sur Lyon.
Je vais la faire venir, je vais la payer et je pourrais te voir de très près me montrer les progrès que Chantal t’a fait faire.
• Comment connais-tu ce site d’escorte ?
• Tu as vu que je voyage souvent, c’est les filles que j’appelais lorsque je me sentais seul, maintenant il y a toi ma chérie !
• Oui, mademoiselle Clara à ce que je vois.
500 € pour le reste de l’après-midi, c’est parfait, vous êtes à six minutes à pied du grand Hôtel place Bellecour !
Sans problème on vous attend, oui, c’est pour mon amie, j’ai vu que vous n’acceptez que les femmes.
Vous êtes d’accord pour que je reste à vous regarder sinon j’appelle une autre de vos collègues.
Si en plus, je peux regarder vous voulez plus d’argent, attendez, 700 c’est tout ce que j’ai en liquide, 700 sinon j’appelle quelqu’un d’autre.
C’est bon pour 700, on vous attend, ma femme mouille déjà de vous rencontrer.
Dix minutes, plutôt vingt, mais ça ne pose aucun problème.
Le vin même si j’en ai bu peu m’a grisé et le bouchon de la bouteille de Don pérignon bien frappé contribue après un verre à me désinhiber.
De nouveau son portable sonne.
• La réception, une demoiselle Clara nous demande !
Faite là conduire à notre suite, c’est une manucure qui vient s’occuper de ma femme.
Une autre bouteille de champagne ?
Je comprends, bien sûr que dans quelque temps je vous en commanderais une, il faut bien que tout le monde gagner sa vie.
Je comprends bien que le réceptionniste a vu notre jeu et tient à en tirer profit.
L’après-midi semble prendre une bonne tournure, que j’ai bien fait de me faire épouser et de devenir la maîtresse de mon beau-papa et patron…
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